
une grande danseuse..."le boléro de Ravel",le rôle de la "Mélodie sur la table" de ce ballet emblématique de Béjart,c'est elle qui l'a créé, quand elle était chez Maurice Béjart.
Modérateurs: Garion, Silverwitch








Ouais_supère a écrit:Je me le rappelle.
Ou je m'en souviens.














Shoemaker a écrit::o
Il nous a prévenu que cela allait arriver incessamment sous peu.
J'ai appris l'essentiel de "mon anglais" en étudiant Suzanne pendant des heures. On ne comprenait rien à ce qu'il voulait dire, mais pourtant, la langue rentrait peu à peu, avec sa voix qui est devenue définitivement familière.


Discret, simple, direct, le pianiste, qui se considérait « parfois comme un prêtre, parfois comme un ouvrier », n’avait pas le culte des projecteurs. C’est ainsi qu’il devient dès 1976 professeur à l’Académie Franz Liszt de Budapest, donne des cours d’interprétation à Szombathely, région natale de Bela Bartok, près de la frontière autrichienne. Son intérêt pour la musique de son temps le pousse à prendre la tête du Studio de musique nouvelle de Budapest. S’il reste un médium privilégié de la musique hongroise du XXe siècle, Kocsis, qui enregistre aussi, entre autres, pour Denon, Hungaroton, Nippon Columbia, Quintana, Naxos, est également reconnu dans l’interprétation de Rachmaninov (les concertos pour piano), de Mozart et de Claude Debussy à qui il voue une véritable passion, tant au piano (son enregistrement des Images lui vaudra en 1990 un prestigieux Gramophone Award) qu’à l’orchestre.
La disparition prématurée de ce « géant de la musique » (dixit Ivan Fischer sur sa page Facebook), artiste polyvalent et musicien charismatique, ne doit pas faire oublier l’exigence et l’éthique exceptionnelles de l’homme. Ainsi, Zoltan Kocsis ne comprenait pas qu’on pût applaudir après la fugue inachevée de L’Art de la Fugue. « Rentrez plutôt chez vous et devenez de meilleurs humains ! » préconisait cet incorruptible de la vie comme de l’art.










Rainier a écrit:Denim et Feyd, j'aimerais bien avoir la chance incroyable que vous avez !!
Borges disait (à peu près) que les plus heureux des hommes étaient ceux qui n'avaient jamais lu la Divine Comédie de Dante car ils allaient connaitre l’émerveillement en lisant cette oeuvre.

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