
L'un des réalisateurs de westerns italiens les plus notables, même s'il est resté dans l'ombre de Leone, Corbucci et Solima. D'abord assistant de Sergio Leone pour Pour une poignée de dollars et Et pour quelques dollars de plus, il devient réalisateur pour la première fois avec Lanky, l'homme à la carabine (Per il gusto di uccidere, 1966). Mais ses westerns les plus notables arriveront ensuite : Le Dernier Jour de la colère (I Giorni dell'ira, 1967), où il oppose Lee Van Cleef à Giuliano Gemma ; Texas (Il Prezzo del potere, 1969), où il retrouve Giuliano Gemma dans cette transposition au western du meurtre de Kennedy ; Une raison pour vivre, une raison pour mourir, alias La horde des salopards (Una Ragione per vivere e una per morire, 1972), avec un casting encore une fois alléchant (James Coburn, Telly Savalas et Bud Spencer) ; et surtout Mon Nom est Personne (Il Mio nome è Nessuno, 1973), sa plus grande réussite, produite et scénarisée par Sergio Leone lui-même, et mettant en scène l'immense Henry Fonda face à l’exubérant Terrence Hill, dans une vision romantique de la fin du western, symbolisant une passation entre le western américain classique et l'impertinence italienne.
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Ciao, maestro !