Ouais_supère a écrit:Tu leur as montré Tetsuo ?
Je l'ai vu à l'époque, mais ça ne m'a pas semblé aussi trash que Vibroboy. Faudrait peut-être que je le revois.
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Ouais_supère a écrit:Tu leur as montré Tetsuo ?
Silverwitch a écrit:, je ne saurais trop recommander, un cinéma pour adulte
Hugues, au sujet de Daaaaaaali a écrit:C'est exactement à ce moment là que je me suis réveillé... Et je me suis dit que je me devais de vous raconter cerêveteaser.
Ouais_supère a écrit:Silverwitch a écrit:, je ne saurais trop recommander, un cinéma pour adulte
Ouais_supère a écrit:Franchement, je ne sais pas quel était ton degré d'ironie lorsque tu en parlais, mais pour moi Daaaaaalí ! est clairement le meilleur film de Dupieux.
Autant je trouve avec le recul qu'il s'était bien pris les pieds dans le tapis avec Yannick qui glorifiait le jeu de l'acteur sans trop savoir quoi en faire ni lui faire dire, autant là on a un film qui me semble bien construit et qui parle de Dali sans trop faire parler le personnage de Dali.
Parce que finalement, même les numéros d'acteurs sont assez cadrés, malgré la distribution ultra bankable, ils ne sont que passagers du récit, ils sont "au service".
L'anecdote à laquelle tu fais référence, j'ai éclaté de rire (même nerveusement) à chaque fois, et c'est quand même autre chose que du David Lynch.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Tu sais quoi ?
Je télécharge tellement plus rien depuis des années que je saurais même plus où le faire !
Je regarde mes films sur OCS, Rakuten TV (en majorité), un peu Netflix, rarement Prime Video, et j'ai un abonnement Disney + parce que ma compagne voulait voir la série The Bear mais dont je me sers pas (ah si, pour être complètement honnête, je me suis refait par leur intermédiaire la "pentalogie" la Planète des Singes, tu sais, les films des années 60/70).
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Feyd a écrit:Un Brad Pitt de presque 61 piges pilote de F1.
LOL
Lionsgate Takes Down Megalopolis Trailer With Fake Critic Quotes
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Un padre e una figlia. Il cinema e la vita. L’infanzia che sembra perfetta e poi diventare grandi sbagliando tutto. Cadere e rialzarsi, ricominciare, invecchiare, diventare fragili, lasciarsi andare ma non perdersi mai. Il tempo che ci vuole per salvarsi
Un père et une fille. Le cinéma et la vie. L'enfance qui semble parfaite puis grandir en se trompant, faisant des erreurs sur tout. Tomber et se relever, recommencer, vieillir, devenir fragiles, se laisser aller mais sans jamais se perdre. Le temps qu'il faut pour se sauver.
Un père et sa fille habitent les mondes de l’enfance. Il lui parle avec respect et sérieux, comme à une grande personne, il l’entraine dans des univers magiques débordants de vie et d’humanité. Il est le grand cinéaste de l’enfance et travaille sur Pinocchio. Un jour, la petite fille devient une jeune femme et l’enchantement disparait. Elle comprend que la rupture avec l’enfance est inéluctable et a le sentiment qu’elle ne sera plus jamais à la hauteur de son père. Alors elle commence à lui mentir et se laisse aller, jusqu’au bord du gouffre. Le père ne fera pas semblant de ne pas voir. Il sera là pour elle, tout le temps qu’il faut.
Sinossi
Questo film è il racconto molto personale di momenti vissuti dalla regista con il padre. Un racconto personale che però trova la giusta distanza nel fatto che tra il padre e la figlia c’è sempre il cinema come passione, scelta di vita, modo di stare al mondo. Il cinema come una rete che sottende il racconto dei loro scambi, crea lo spazio dell’immaginazione. “Con il cinema” dice, il padre “si può scappare. Con l’immaginazione”. Le immagini partono dai ricordi e come i ricordi amplificano alcuni segni salienti e ne cancellano altri. Immagini scarne, in cui non c’è quasi niente tranne loro due, e in cui il segno che è presente ha sempre qualcosa di esagerato: se qualcosa è grande è molto grande, se è lontano è molto lontano, se c’è un raggio di luce è molto luminoso, se qualcosa è vicino è molto vicino. Per quel che riguarda i set, invece, molta pienezza, confusione, fretta, molta gente, molto chiasso e anche qui tutto amplificato, in questa eccitazione della vita collettiva che sono i set: qui quelli di Pinocchio, sempre creati in mezzo al nulla, in terreni brulli di campagna.
Commento della regista
Dopo tanti anni passati a fare il suo stesso lavoro cercando di essere diversa da lui, ho voluto raccontare quanto ogni cosa che sono la devo a lui: ho voluto rendere omaggio a mio padre, al suo modo di fare cinema, al suo modo di essere, all’importanza che la sua opera e il suo impegno hanno avuto per il nostro cinema, all’importanza che la sua persona ha avuto per me. Forse, mi sono detta, forse ora sono abbastanza anziana, ne sono capace, forse ora sarò all’altezza di questo racconto. Forse, ora, è arrivato il momento di dirgli grazie.
Synopsis
Ce film est le récit très personnel de moments vécus par la réalisatrice avec son père. Un récit intime, mais qui trouve la bonne distance dans le fait que, entre le père et la fille, il y a toujours le cinéma comme passion, comme choix de vie, comme manière d’être au monde. Le cinéma sert de toile de fond à leurs échanges, créant un espace pour l’imagination. « Avec le cinéma, » dit le père, « on peut s’échapper. Avec l’imagination. » Les images proviennent des souvenirs et, comme les souvenirs, elles amplifient certains détails et en effacent d’autres. Des images dépouillées, où il n’y a presque rien à part eux deux, et où chaque signe présent est toujours exagéré : si quelque chose est grand, c’est très grand, si c’est loin, c’est très loin, s’il y a un rayon de lumière, il est très lumineux, si quelque chose est proche, c’est très proche. En revanche, sur les plateaux de tournage, c’est l’abondance : plein de gens, de la confusion, de l’empressement, du bruit, et ici aussi tout est amplifié, dans cette excitation collective propre aux plateaux de cinéma. Ici, ce sont ceux de Pinocchio, toujours créés au milieu de nulle part, dans des terrains de campagne arides.
Commentaire de la réalisatrice
Après tant d'années passées à faire le même travail que lui, en essayant d'être différente de lui, j'ai voulu raconter à quel point je lui dois tout ce que je suis : j’ai voulu rendre hommage à mon père, à sa façon de faire du cinéma, à sa manière d'être, à l'importance que son œuvre et son engagement ont eue pour notre cinéma, à l'importance qu'il a eue pour moi. Peut-être, me suis-je dit, peut-être que maintenant je suis assez âgée pour cela, peut-être que j'en suis capable, peut-être que je serai à la hauteur de ce récit. Peut-être que le moment est venu de lui dire merci.
Au cœur de l’hiver 1944. Dans un petit village de montagne du Trentin, au nord de l'Italie, la guerre est à la fois lointaine et omniprésente. Lorsqu'un jeune soldat arrive, cherchant refuge, la dynamique de la famille de l'instituteur local est changée à jamais. Le jeune homme et la fille aînée tombent amoureux, ce qui mène au mariage et à un destin inattendu…
In quattro stagioni la natura compie il suo ciclo. Una ragazza può farsi donna. Un ventre gonfiarsi e divenire creatura. Si può smarrire il cammino che portava sicuri a casa, si possono solcare mari verso terre sconosciute. In quattro stagioni si può morire e rinascere. Vermiglio racconta dell’ultimo anno della seconda guerra mondiale in una grande famiglia e di come, con l’arrivo di un soldato rifugiato, per un paradosso del destino essa perda la pace, nel momento stesso in cui il mondo ritrova la propria.
En quatre saisons, la nature accomplit son cycle. Une fille peut devenir femme. Un ventre peut se gonfler et devenir créature. On peut perdre le chemin qui menait sûrement à la maison, on peut traverser des mers vers des terres inconnues. En quatre saisons, on peut mourir et renaître. Vermiglio raconte la dernière année de la Seconde Guerre mondiale au sein d'une grande famille, et comment, avec l'arrivée d'un soldat réfugié, par un paradoxe du destin, elle perd sa paix, au moment même où le monde retrouve la sienne.
Commento della regista
Mio padre ci ha lasciati un pomeriggio d’estate. Prima di chiuderli per sempre, ci ha guardati con occhi grandi e stupiti di bambino. L’avevo già sentito che da anziani si torna un po’ fanciulli, ma non sapevo che quelle due età potessero fondersi in un unico viso. Nei mesi a seguire è venuto a trovarmi in sogno. Era tornato nella casa della sua infanzia, a Vermiglio. Aveva sei anni e due gambette da stambecco, mi sorrideva sdentato, portava questo film sotto il braccio: quattro stagioni nella vita della sua grande famiglia. Una storia di bambini e di adulti, tra morti e parti, delusioni e rinascite, del loro tenersi stretti nelle curve della vita, e da collettività farsi individui. Di odore di legna e latte caldo nelle mattine gelate. Con la guerra lontana e sempre presente, vissuta da chi è rimasto fuori dalla grande macchina: le madri che hanno guardato il mondo da una cucina, con i neonati morti per le coperte troppo corte, le donne che si sono temute vedove, i contadini che hanno aspettato figli mai tornati, i maestri e i preti che hanno sostituito i padri. Una storia di guerra senza bombe, né grandi battaglie. Nella logica ferrea della montagna che ogni giorno ricorda all’uomo quanto sia piccolo.
Vermiglio è un paesaggio dell’anima, un “lessico famigliare” che vive dentro di me, sulla soglia dell’inconscio, un atto d’amore per mio padre, la sua famiglia e il loro piccolo paese. Attraversando un tempo personale, vuole omaggiare una memoria collettiva.
Commentaire de la réalisatrice
Mon père nous a quittés un après-midi d’été. Avant de fermer les yeux pour toujours, il nous a regardés avec de grands yeux étonnés, comme ceux d’un enfant. J'avais déjà entendu dire que l'on redevient un peu enfant en vieillissant, mais je ne savais pas que ces deux âges pouvaient se fondre en un seul visage. Dans les mois qui ont suivi, il est venu me voir en rêve. Il était revenu dans la maison de son enfance, à Vermiglio. Il avait six ans, des jambes de cabri, et me souriait sans dents, portant ce film sous le bras : quatre saisons dans la vie de sa grande famille. Une histoire d'enfants et d'adultes, entre morts et naissances, déceptions et renaissances, de leur manière de rester unis dans les virages de la vie, et de passer de la collectivité aux individus. Une odeur de bois et de lait chaud dans les matins glacés. Avec la guerre lointaine mais toujours présente, vécue par ceux qui sont restés en dehors de la grande machine : les mères qui ont observé le monde depuis une cuisine, les nouveaux-nés morts à cause de couvertures trop courtes, les femmes qui ont craint de devenir veuves, les paysans qui ont attendu des fils qui ne sont jamais revenus, les enseignants et les prêtres qui ont remplacé les pères. Une histoire de guerre sans bombes ni grandes batailles. Dans la logique implacable de la montagne qui, chaque jour, rappelle à l'homme combien il est petit.
Vermiglio est un paysage de l'âme, un « lexique familial » qui vit en moi, à la frontière de l’inconscient, un acte d’amour pour mon père, sa famille et leur petit village. À travers un temps personnel, il cherche à rendre hommage à une mémoire collective.
Hugues a écrit:Ah non pour celui là la semaine dernière j'avais écrit en privé
"Malgré leur décès, Julien Lepers et Paul Smecker cabotinent à fond et se fond joliment plaisir #AntaresAntaresAntares"
Non là je parlais d'un film du mois d'octobre...
(Oui on pourrait se dire que le truc des 3 fois c'est aussi pour octobre mais n'ont.)
Hugue
Hugues a écrit:Ah bah ils ont retiré la bande-annonce parce que les citations qu'ils avaient mises... étaient toutes fausses...
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Hugues
Hugues a écrit:Evidemment la bande-annonce avait été copié ailleurs (donc à moins qu'ils fassent des réclamation pour le retirer aussi sur d'autres comptes) on peut la voir ailleurs:
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Hugues
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