Marlaga a écrit:Je passe sur ton méprisant "petit" qui en dit long sur ton respect de nos institutions et de la fonction présidentielle.
Conclusion absurde.
Dans ton monde on ne peut donc s'opposer ni faire des mots d'esprit.
Ah si, on peu si c'est pas le libéralisme. Si c'est le libéralisme, touche pas à mon président.
Je respecte la présidence de la République dans sa fonction, c'est à dire sa fonction et rien que sa fonction...
Mais je ne respecte pas l'homme, dès qu'il sort de sa fonction. Je ne l'ai jamais respecté.
Quand il se fait chef de parti, je ne le respecte pas.
Quand il gouverne plutôt que présider, je ne le respecte pas.
Mais retenir un très riche en France, ce n'est pas retenir sa personne mais son capital, ses investissements.
Mais j'ai très bien compris cette théorie.
Sauf que ça n'est pas vrai.
Un riche peut vivre et être domicilié fiscale où il a choisi de l'être, ses investissement sont là où il le veut. Et la plupart du temps il ne décide pas de tout ça lui même, ce sont des sociétés d'investissement qui gèrent "au mieux" l'investissement de son capital en tel ou tel contrat boursier ou action, et se foutent de l'ISF.
Autrement dit de l'argent qui n'est pas investi dans l'économie mais sert à la spéculation financière.
Bref, il n'y a aucun intérêt à retenir un riche. Ses finances voyagent indépendamment. Et voyagent de manière spéculative et rarement pour un investissement économique.
J'attends donc toujours l'intérêt de retenir un riche en France.
En dehors de servir des intérêts particuliers. (Ou en dehors du fait qu'il puisse un peu contribuer en payant l'ISF.

)
Hugues
*:Bref l'existence de l'ISF n'empêchait pas l'achat de contrats de spéculation français par un américain, un prince du Golfe ou je ne sais qui. Et très rarement des investissements dans l'économie française.