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de **BWT** le 19 Déc 2015, 18:48

Cthulhu, affectueux et miaule beaucoup.

de **Ouais_supère** le 19 Déc 2015, 20:08

Oh !
Excellent nom pour un chat !

(je te pique la photo)

de **Shoemaker** le 19 Déc 2015, 20:09

Cthulhu n'est pas perdu. Cthulhu est retourné dans la dimension de la 7 eme sphère de l'autre monde parallèle et invisible, d'où un mage dément l'a amené en notre monde, par d'innommables et indicibles évocations qui n'auraient jamais du être prononcées par une bouche humaine, et normalement prisonnières à jamais du démoniaque grimoire pulsant d'une obscène vibration vitale, le Nécronomicon, bien entendu... Et écrit par qui, hein ?...

de **Cortese** le 19 Déc 2015, 20:22

Tout le monde sait que les chats ont 7 vies.

de **von Rauffenstein** le 19 Déc 2015, 20:34

Shoemaker a écrit:Cthulhu n'est pas perdu. Cthulhu est retourné dans la dimension de la 7 eme sphère de l'autre monde parallèle et invisible, d'où un mage dément l'a amené en notre monde, par d'innommables et indicibles évocations qui n'auraient jamais du être prononcées par une bouche humaine, et normalement prisonnières à jamais du démoniaque grimoire pulsant d'une obscène vibration vitale, le Nécronomicon, bien entendu... Et écrit par qui, hein ?...

Abdul-Bin-Corteze. L'Ottoman dément !

de **Shoemaker** le 19 Déc 2015, 20:38

de **Shoemaker** le 19 Déc 2015, 20:40

Les chats, c'est à peu près les seuls êtres vivants entre Betelgeuse et Fomalhaut pour qui il éprouve un sincère respect, une empathie certaine, et une patience infinie.

de **Cortese** le 19 Déc 2015, 20:54

Ils sont le seul lien qui me reste avec ma dimension perdue.

de **Shoemaker** le 20 Déc 2015, 19:15

(pour répondre à Panzer suite à son message dans le topique "Etat islamique")

Je n'ai pas lu Terreur (il ne perd rien pour attendre), mais si tu te dois toute affaire cessante de lire Hyperion/Endymion. C'est du très très haut de gamme ; le top, parmi l'élite de l'élite !
Tu as raison de remarquer que Dan Simmons est un excellent conteur : il est un grand admirateur de son aîné Jack vance, qui est LE conteur par excellence de la SF, aussi bien dans la catégorie Space opéra, que dans celle de l'Heroic Fantasy, genre dans lequel il a commis l'ultime et indépassable Lyonesse, 3 volumes d'un pur bonheur (au cas bien sûr où tu ne l'aurais pas encore lu).
Simmons est un virtuose qui maîtrise toutes les "astuces" narratives propres au roman Américain moderne, les techniques de construction du récit... Parfois c'est agaçant, quand par exemple chaque chapitre se termine sur un coup de suspens, et qu'il faille attendre 2 ou 3 chapitres de suite, pour reprendre le suspens laissé en plan... Mais bon, on joue le jeu sans trop récriminer tant on prend son pied pour le reste !

Dans Hyperion, Simmons est extraordinairement clairvoyant quant à internet, sachant que le bouquin a été écrit en 89, alors que le truc était à ses tout premiers balbutiements... J'en dis pas plus !

de **von Rauffenstein** le 20 Déc 2015, 19:20

Il faut que je lise Hypérion. Comme William Gibson et son Neuromancien, 1983/84, dont les extraits me glacent par leur acuité !!!! :eek:

de **Shoemaker** le 20 Déc 2015, 19:32

je viens de voir sur Wiki. C'est impressionnant ces mecs qui dans les années 80, anticipaient l'évolution d'internet. A lire donc !

de **Cyril** le 20 Déc 2015, 23:53

Shoemaker a écrit:Sinon, personne n'a encore vu le l'incontournable Episode 7 ?

J'y suis allé aujourd'hui.

Scenario ultra téléphoné, 3D totalement inutile, Harrison Ford plus tellement convaincant en Han Solo ... Mais... Quel plaisir de retrouver ces personnages, cet univers ! Je suis rentré totalement dans le film malgré les points noirs cités précédemment. Cet épisode est (logiquement) plus proche de la trilogie originale que des épisodes I, II et III, surtout au niveau de l'ambiance. Ironiquement, je trouve que la prélogie fait plus "ambiance Disney", carton pâte et superficiel, que cet épisode 7. Et si les cinémas décidaient d'installer une boutique vendant des BB8 à la sortie des salles, ils feraient fortune...

de **Shoemaker** le 21 Déc 2015, 08:22

C'est intéressant, on a partout, grosso modo, le même ressenti, dans les critiques.

de **Cyril** le 21 Déc 2015, 09:47

C'est là où Abrams a réussi son pari : faire un film restant fidèle à ce qui a fait le succès de la trilogie originale, satisfaisant les fans de la 1ère heure de l'univers Star Wars, sans tomber dans les excès de la prélogie. Mais à trop vouloir coller au film de 77, on a souvent l'impression de voir une nouvelle version de "Un nouvel Espoir", avec les mêmes ficelles scénaristiques. Je pense que ceux qui ont vu le film ont eu le même sentiment tant les fils narratifs se ressemblent.

de **Alfa** le 21 Déc 2015, 11:09

3D inutile.... c'est a dire ? pas assez d'effets?

de **Ouais_supère** le 21 Déc 2015, 11:30

C'est pas un pléonasme, "3D inutile "?

de **von Rauffenstein** le 21 Déc 2015, 12:28

Attention. Ça casse. Et ça spoile. Et se poile aussi. Mini résumé : il faut pendre, écarteler et éventrer après lui avoir cramé les roustons JJ Abrams.

Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher

Il y a longtemps, très longtemps mais alors super longtemps sa race… Dans une galaxie cinématographique lointaine, très lointaine, genre les 70’s, le barbu binoclard californien George Lucas nous balança à la tronche une trilogie S-F révolutionnaire ! George et son mirifique goitre se sont depuis ridiculisés avec une prélogie de sinistre mémoire… C’est maintenant au tour de l’empire Disney (après avoir claquer quelques zilliards de dollar$ pour racheter les droits à George) de relancer cette machine à fantasmes et à fric (enfin, surtout à fric) avec l’incontournable J.J. Abrams comme héraut geeko-post-moderno-nostalgico-bidule !

Mais enfin, où c’est qu’il est Luke Skywalker le dernier Jedi du cosmos de la galaxie ? Tout le monde le cherche partout bordel ! Des gentils résistants de la Résistance de la République qui ont subitement besoin de lui jusqu’aux méchants fanatiques nazis de l’espace néo-impériaux du Premier Ordre (vive la finesse !!!) qui veulent lui pulvériser la tronche. Tout ce beau monde se retrouve sur une planète des sables, que c’est pas Tatooine mais presque, pour se foutre sur la gueule à grand coup de pisto-lasers histoire de récupérer une super clé USB (nan, pas celle avec Lucy à l’intérieur) contenant la carte du refuge où qu’il est Luke (défense de rire !), des mains d’un vieux clodo qui vit dans un village paumé dans le désert. L’émissaire des gentils cache, avant de se faire capturer, la clé dans un droïde ballon de plage multifonction (side kick pas drôle à la Jar-Jar Bin/machine toute mignonne à merchandising à la Ewoks/clone sphérique de R2D2) qui tombe miraculeusement dans les bras d’une planche à pain surdouée du cosmos (la cruchasse Daisy Ridley, espèce de Luke Skywalker avec des nichons) et d’un improbable gentil stormtrooper déserteur tout naïf (l’insupportable John Boyega, quota ethnique à lui tout seul). Et tout ce beau monde embarque, avec à ses trousses Kylo (tonne) Ren, l’ultime fanboy acnéique à son grand-papy Dark Vador (qu’il porte même un masque ridicule pour lui ressembler alors qu’il n’en a pas besoin !), pour un incroyable reboot/remake du matriciel Épisode IV – Un nouvel espoir qui s’appelait pas encore comme ça quand il est sorti en 1977 !

Parce que c’est exactement ça, ce Réveil de la Force ! Un décalque imbécile du matriciel Star Wars !!! Avec passage obligé par une (pitoyable) cantina version champêtre et par l’attaque désespérée d’un aspirateur à soleil/planète de destruction massive (encore une putain d’Étoile Noire ? Bonjour l’imagination !).

Le syndrome J.J. Abrams a encore frappé ! Après les ridicules Star Trek et le frustrant Super 8, préparez-vous à vous faire tabasser la tronche à mort à grands coups de coups de coudes complices et de clins d’œil éléphantesques et de fan service crétinoïde ! En bonne groupie sincère et inoffensive (c’est bien ça le drame de ce mec), J.J. ne cherche jamais repenser cette saga mythique. Il se contente de satisfaire la nostalgie fanatique d’un public fondamentalement frileux. Les énormités les plus dégueulasses et les incohérences les plus galactiques se livrent une lutte à mort pour la possession et la destruction du dernier neurone valide d’un public lobotomisé par ce déferlement incessant de climax sans queues ni têtes ni liens entre eux qui n’existent que pour photocopier n’importe comment chaque putain de scènes cultes de la saga ! C’est ça le méta-cinéma version J.J. Abrams, une visite de musée, une bouillie infâme de références mal comprises être repatouillées à l’arrache dans un tsunami nawesque. Un vide intersidéral que chacun comble avec ses propres fantasmes et ses propres souvenirs…

Et là J.J., il se surpasse ! Le bestiaire cosmique tout vilain (c’est quoi ce super méchant aussi charismatique qu’une ampoule grillée) pompe allègrement les saga Harry Potter et Le Seigneur des anneaux et les atermoiements des nouveaux (très jeunes) héros épuisent un filon ravagé par les dystopies teenage Hunger Games et Divergente. Sans oublier le grand modèle inavoué de ce machin, la série culte Firefly (et son film Serenity) à Joss Whedon (LE réalisateur idéal pour ce film dont personne ne parle). Bref, c’est la catastrophe.

Le Réveil de la Force c’est aussi un grand jeu nanar… Celui du « c’est qui qui sont les parents de tous ces orphelins au destin légendaire ? » Et les « ancêtres » jouent les faire-valoir dans ce déferlement de punchlines moisies et de gags minables (coucou Star Trek)… La princesse Leïa n’est qu’une potiche, Han Solo qu’un vieux grabataire inutile et Chewbacca n’aura jamais autant ressemblé à un yorkshire géant au poil lustré et soyeux, sortant d’un shampouineur de luxe de la planète B de l’étoile Émeri… Et tout ça se conclut dans un invraisemblable tourbillon sentimentalo-lelouchien ! Nan mais quelle putain de baudruche grotesque !!!

Personne n’imaginait un jour voir un Star Wars pire que la prélogie christico-romantico-débilo à George… Eh ben faut jamais dire jamais ! Lucas avait refusé de se vautrer dans le fan service, lui… Il avait fait n’importe quoi, d’accord, mais, au moins, il avait proposé autre chose que cette triste photocopie… Cette machine décervelante à entretenir la nostalgie… Ce putain de non film !!!

MOVIE MINI REVIEW : critique de Star Wars: Le réveil de la force

de **Cyril** le 21 Déc 2015, 12:39

Alfa a écrit:3D inutile.... c'est a dire ? pas assez d'effets?

Non, effets souvent inutiles et rendant parfois l'image peu nette (mais ça, ça vient aussi peut être de mes lentilles).
Le seul truc classe en 3D, c'est le générique.

En parlant de générique, désolé d'être vulgaire, mais p****n, entendre le thème de Star Wars à l'ouverture du film, dans une salle de ciné, ça fait quand même quelque chose !

de **Cyril** le 21 Déc 2015, 12:40

Ouais_supère a écrit:C'est pas un pléonasme, "3D inutile "?

Pas faux... J'ai rarement vu un film où elle s'imposait.

de **von Rauffenstein** le 21 Déc 2015, 12:42

La 3D accentue les flous d'arrière plan et les transitions brutales de net à flou sans passer par "mou". Sur Godzilla, ça m'avait beaucoup choqué. Ouais. la 3D, bof. Soit c'est pas assez. Soit c'est too much. Bref. Pas au point.

de **Ouais_supère** le 21 Déc 2015, 12:50

Oh purée, le dernier Godzilla.

Un étron incommensurable.
Si seulement la 3D était le seul truc raté dans ce... Truc...

de **von Rauffenstein** le 21 Déc 2015, 12:54

Ouais_supère a écrit:Oh purée, le dernier Godzilla.

Un étron incommensurable.
Si seulement la 3D était le seul truc raté dans ce... Truc...

Une filleule alors agée de 12 ans fan de dinos et autres monstres... :roll:

de **von Rauffenstein** le 21 Déc 2015, 12:55

Et JJ Abrans est un salopeur.

de **Nuvo** le 22 Déc 2015, 14:51

J'aime bien la critique que tu as posté Panzer. Ca montre que les opinions sur un film sont quand même très diverses.
Oui ça fait photocopie, oui c'est simpliste, oui c'est rempli d'incohérences scientifiques.
Mais en effet, la nostalgie l'emporte et j'ai trouvé qu'il y avait plein de petites idées sympa. L'écran géant, le son extra, la 3D c'était pas mal.

Ce que je trouve ridicule c'est la facilité à s'introduire puis à détruire des installations absolument monumentales. Ca c'est grotesque.

D'accord pour dire aussi que Chewbacca est montré sous un jour curieux...

Mais Rey n'est pas une planche à pain

Elle est angélique j'adore !

de **von Rauffenstein** le 22 Déc 2015, 15:05

Cadeau de Noel

de **von Rauffenstein** le 22 Déc 2015, 15:25

{Refrain:}
San ku kaï San ku kaï
C'est un message {x2}

San ku kaï San ku kaï
C'est un voyage {x2}
San ku kaï San ku kaï
C'est la bataille {x2}
San ku kaï San ku kaï
Dans les étoiles {x2}

(Mon nom est Sidero)
(Je répète, Sidero)
(Je vous parle à bord du San ku kaï)

Dans l'espace
Il y a des machines,
Dans l'espace
La guerre est sublime,
Dans l'espace
L'aventure dépasse
Dans l'espace
Les rêves les angoisses,
Dans l'espace
Quelqu'un nous regarde
Dans l'espace

San ku kaï San ku kaï
C'est un message {x2}
San ku kaï San ku kaï
C'est un voyage {x2}

(Attention ! Cosmosaure à portée de tir)
(Volcor nous attaque ! Volcor nous attaque !)

Dans l'espace
Il y a des légendes,
Dans l'espace
Des empires s'étendent,
Dans l'espace
Le bien et le mal
Dans l'espace
Se livrent bataille,
Dans l'espace
Quelqu'un nous regarde
Dans l'espace

{au Refrain}

de **Fatcap** le 22 Déc 2015, 15:54

Nuvo a écrit:J'aime bien la critique que tu as posté Panzer. Ca montre que les opinions sur un film sont quand même très diverses.
Oui ça fait photocopie, oui c'est simpliste, oui c'est rempli d'incohérences scientifiques.
Mais en effet, la nostalgie l'emporte et j'ai trouvé qu'il y avait plein de petites idées sympa. L'écran géant, le son extra, la 3D c'était pas mal.

Ce que je trouve ridicule c'est la facilité à s'introduire puis à détruire des installations absolument monumentales. Ca c'est grotesque.

D'accord pour dire aussi que Chewbacca est montré sous un jour curieux...

Mais Rey n'est pas une planche à pain Elle est angélique j'adore !

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais pour moi après des années de réflexion j'en suis venu à la conclusion que le succès des Star Wars originaux ne tenait finalement qu'à un seul personnage. Dark Vador.

C'est le méchant ultime. Le bad boy indépassable. Avec sa cape noire, son casque et ses boutons bizarres sur la poitrine, il était terrifique. Et cette idée de démarrer in medias res, de ne nous le faire débarquer comme ça là, dès les premières images, mais comment Georges Lucas a-t'il pu tomber juste à ce point (surtout au vu des bouses de la prélogie) ?

Depuis, ils ont tout tenté pour retrouver la recette. Mais sans jamais vraiment réussir. La magie Star Wars, ce n'était pas (que) les vaisseaux et l'espace. Pas non plus cette cruche de princesse Leïa, et son histoire moyennement intéressante avec Han Solo, ni Luke Skywalker qui n'a jamais eu beaucoup de consistance. Pour moi c'est quand on entend la marche impériale et qu'on voit Dark Vador passer en revue ses milliers de Stormtroopers parfaitement alignés (très disciplinés mais incapables de tirer correctement, mais bon quand on est enfants on remarque moins ces détails). Et je n'ai pas l'impression que Kylo Ren sera un jour capable d'être à la hauteur, déjà parce qu'il a un nom, et un visage.

de **von Rauffenstein** le 22 Déc 2015, 16:01

je suis d'accord.

de **Cortese** le 22 Déc 2015, 17:07

Tu peut même dire que c'est la marche impériale qui fait le boulot. Mets les images de Vador sur l'air de "Tiens voilà du boudin" pour voir.

de **Alfa** le 22 Déc 2015, 18:13

La marche impériale qui m'a toujours fait penser a la "Roman march" de Miklós Rózsa dans Ben Hur meme si le rythme est bien plus lent .

de **von Rauffenstein** le 22 Déc 2015, 19:20

Rome réside éternellement dans la pensée des Dieux. S'il n'y avait pas de Dieux, je continuerai à les révérer ; et s'il n'y avait pas Rome, je continuerai à rêver de Rome.

de **Nuvo** le 22 Déc 2015, 22:52

C'est vrai que ce Kylo Ren et ses énervements d'ado façon Anakin prélogie, ce n'est pas aussi flippant que Dark Vador.

J'aimais bien les répliques de Han Solo avec Leia

"Plutôt embrasser un Wookie ! Mais j'peux arranger ça ! Ca vous ferait pas de mal d'ailleurs"

de **Shoemaker** le 22 Déc 2015, 23:28

Voilà ce qui nous tenait lieu de SatrWars vers 1964/65.
Dans mon petit village au fin fond de l'Algérie, ce bonhomme volant était à lui tout seul, un mythe absolu. J'allais au ciné craintif, car ces images m'impressionnaient terriblement, et je les regardais avec un respect mêlé de crainte...
On ne savait pas bien prononcer, et Space Man devenait Spiceman (comme spice di counasses !)
L'espace, quand même ! Ca rigolait pas !
Alors, imaginez comment les kids de 2065 (peut-être même bien avant), verront le Starwars Actuel...

de **Shoemaker** le 22 Déc 2015, 23:33

Vers 39:20, il se paye une collision frontale avec une fusée, Spaceman ! Ils voyaient grand, à l'époque ! :lol:

de **Shoemaker** le 22 Déc 2015, 23:40

Les méchants avaient déjà des tenues militaires mode Prussiens vintage.

de **Shoemaker** le 22 Déc 2015, 23:42

Les méchants tiraient comme des damnés sur Space Man, mais ne le touchaient jamais. Tout aussi mauvais tireurs que ceux de StarWars. (vers 59:35)
J'adore les foulards aériens mais nez en moins élégants, sous ses bras. Un je ne sais quoi de subtil...

de **Cortese** le 22 Déc 2015, 23:57

On avait la télé en 63/64 et ils ont passé un feuilleton de SF. Woah ! J'avais adoré "Thé Thing", La Chose !, mais ce putain de feuilleton qu'est ce qu'il m'avait déçu! C'était Spaceman ! C'est devenu ensuite un sujet de rigolade avec mon frère, ce Japonais légèrement bedonnant dont la cape flottait dans l'espace. Un gros plan le montrait, l'air sévère (comme seuls les Japs savent faire) et dans un grand geste théâtral, il consultait sa montre, un gros machin représentant une mappemonde mal peinte dont les aiguilles indiquaient la position des extros. Pfff, je crois que c'est la que j'ai commencé à détester la culture populaire nippone. 50 ans que ça dure, pff, presque autant que le disco. Qu'est ce qu 'on a fait pour mériter des malédictions pareilles. On a l'impression d'être Caïn dans La légende des siècles quand on sera morts : "L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn".

de **Shoemaker** le 23 Déc 2015, 00:35

Tu exagères ! Que vaut l'influence nippone en ces matières là, devant le tsunami Américain (pour le meilleur et pour le pire, cela dit).
Bon, les Manga c'est sympa, mais ça reste relativement anecdotique, devant le rouleau compresseur US (tout media confondus. Pour les jeux video : si les principales machines de jeux videos sont Japonaises, les graphismes et l'esprit des scénario sont bel et bien US)

de **Shoemaker** le 23 Déc 2015, 00:49

C'est vrai que quand les Américains font aussi nul que Space Man, ça donne les films d'Ed Wood, qui ont au moins l'avantage d'être des films d'un humour dévastateur, à l'insu de leur plein gré...

de **Nuvo** le 23 Déc 2015, 11:37

de **von Rauffenstein** le 23 Déc 2015, 11:59

Vous êtes une mine, les garçons ! :lol:

Très bon aussi, des anénes 50/60, "Twilight Zone" au générique hyper flippant !

Des supers épisodes dont celui de ce fou de lecture, seul survivant d'une attaque nucléaire qui découvre la grande bibliothèque du congrès intacte, mais casse ses lunettes... Et il est... Hyper bigleux...