
et qu'il obéit, comme tout, à des cycles :
les enfants des hommes efféminés du XXI° siècle deviendront des gros "durs machos-poilus-qui ne se lavent pas" en réaction à leurs pères !
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Je ne sais pas où t'as vu ou entendu ça mais en France, la majorité des nanas que je connais s'épilent ou se rasent de partout...et pas depuis "peu". Ça fait longtemps.Mufasa a écrit:Autre question, notamment pour les Français : Que pensez-vous de "l'obligation" qu'ont les femmes de raser les poils des jambes et aisselles, parties naturelles de leur corps ? Je dis Français car il me semble qu'en France, jusqu'à peu la mode était assez lâche (épilation des mollets seulements, de plus par pince et non rasoir ou cire, et on laisse les aisselles tranquilles). Aux Etats-Unis c'est considéré choquant de voir une femmes poilue à ces endroits.
Marlaga a écrit:Rainier a écrit:Marlaga a écrit: Et on sait que les hormones féminines sont déversées en masse dans l'eau du fait de l'utilisation de la pilule, ce qui a des conséquences sur les humains.
Je ne connaissais pas cette ...théorie (?) mais c'est intéressant.
Y a-t-il eu des études à ce sujet ?
Vite fait, j'ai trouvé ça :
http://www.admin.ch/cp/f/370B2921.4B@mbox.gseved.admin.ch.html
On voit l'apparition de caractères féminins sur des poissons mâles (et inversement) qui baignent dans l'eau contenant des produits chimiques, dont des hormones.
J'avais déjà lu d'autres articles donnant les mêmes informations, sans qu'aucune étude sérieuse ne se soit penché sur les humains, mais on peut se douter qu'on n'est pas à l'abri de ce que subissent les poissons.
23/06/14 - 06H00
Le tribunal de Montluçon a validé l’adoption de deux fils nés avec la PMA à l’étranger
Caroline, Louis, Victor, Sandrine, Manon. PHOTO SOPHIE GRAND - Sophie Grand
Caroline Aubert vient d’obtenir l’adoption plé- nière de Louis et Victor. Sandrine Mouton leur a donné naissance, grâce à la PMA. Le couple de Lignerolles témoigne.
C'est important pour elles de parler de leur cas, qui peut faire jurisprudence à l'heure où des tribunaux rejettent des demandes similaires. « Notre militantisme, c'est notre transparence, notre visibilité au quotidien », affirme Caroline Aubert.
Vous avez choisi la Procréation médicalement assistée. Quel est le parcours ?
Caroline : On s'est rencontrées en 2005. Très vite, on a eu envie d'avoir des enfants. On s'est renseignées sur les possibilités en France. Il n'y en avait pas. On a été obligées de s'orienter vers l'étranger. Il y avait les Pays-Bas, l'Espagne, la Belgique. Notre choix s'est porté, pour des raisons géographiques, sur la Belgique. À l'époque, on habitait à Paris.
On a été accueillies à l'hôpital universitaire de Liège, qui accepte d'ouvrir la procédure aux femmes étrangères, malgré la rareté des dons de sperme. Louis est né en 2007 et Victor en 2009. Ils ont le même donneur, anonyme.
Vous, Sandrine, êtes la maman biologique, et la seule reconnue légalement jusque-là. Comment avez-vous géré cette différence de statut ?
Caroline : On s'est toujours présenté auprès des enfants, de notre entourage, nos familles, des médecins, de la crèche, de l'école… Comme étant leurs deux mamans. C'est la réalité : on s'en occupe comme deux parents.
Partage d'autorité parentale en 2010
Puis il y a eu le mariage pour tous.
Sandrine : Oh mais on n'en a fait déjà avant ! On a obtenu un partage d'autorité parentale à Paris, en juillet 2010.
Caroline : Ça a pris quasiment un an. On a eu une enquête de voisinage par les services de police. On a été convoquées au tribunal, au commissariat pour un interrogatoire. Ça a duré plusieurs heures.
Comment avez-vous cette période ? Ensemble : Moyennement bien.
Caroline : L'inquisition… On se sentait jugées, par le fait que les services de police aient à intervenir là-dedans.
Sandrine : Eux, ont eu une super-attitude. Ils nous ont bien expliqué que comme les enfants étaient mineurs, c'était la procédure. Que ce n'était pas par rapport à notre homosexualité.
L'autorité parentale n'était pas suffisante ?
Caroline : Cette première démarche me permettait d'avoir le droit d'aller chercher mes enfants à l'école sans montrer ma carte d'identité, de les emmener chez le médecin, de pouvoir décider s'ils avaient besoin d'être opérés quand Sandrine n'était pas en mesure de donner son accord.
Sauf qu'au niveau patrimonial, héritage et surtout protection en cas de décès de Sandrine, ce papier ne vaut rien. Il n'y a pas de filiation.
Sans cette adoption, sans le mariage, en cas de décès de Sandrine, les enfants se retrouvent orphelins. Après, c'est la procédure juridique au bon vouloir du juge des affaires familiales. Et ça, c'est vachement flippant, même si on n'y pense pas tous les quatre matins.
« On s'est toujours présentées comme leurs deux mamans »
Sandrine : Tout ce qui était possible, on l'avait fait. J'avais fait une tutelle testamentaire désignant Caroline ; on a été chez le notaire. Le projet de naissance aussi, qui nous a servis pour Louis d'ailleurs. Dès qu'il est sorti de mon ventre, j'ai eu des complications. La sage-femme s'est posé la question de savoir si légalement, elle pouvait le confier à Caroline. Elle lui a rappelé le projet de naissance, avec la preuve de ma volonté.
Quand la loi sur le mariage pour tous est passée, vous êtes mariées rapidement, donc…
Sandrine : C'était le 17 mai 2013. On s'est mariées le 29 juin.
Caroline : On s'était pacsées en 2007.
Sandrine : On avait envie de se marier à ce moment-là. On a fait une cérémonie à la mairie du XIII e, à Paris, en grande pompe, avec toute la famille.
Caroline : Donc le mariage, on l'a fait vite fait, bien fait, pour pouvoir entamer cette requête en adoption, déposée officiellement début février après toutes les démarches. On a eu l'audience début avril. On a reçu le jugement là (lundi 16 juin, N.D.L.R).
Seher Turkmen
metomoll a écrit:C'est clair, le rasage ou épilation du maillot intégral c'est devenu quelque chose de très très courant.
C'est pas compliqué, la dernière fois que j'ai vu une touffe de poils pubiens chez une femme dans l'intimité, ça doit remonter aux années 90... pourtant j'en ai connu quelques unes![]()
Kadoc a écrit:Ce qui est interessant c'est qu'elles aient eu droit de cause parce que personne n'a rien trouve a redire (administration, justice, police) qu'elles aient contourne la loi francaise pour faire leur PMA a l'etranger.
Kadoc a écrit:Ce qui est interessant c'est qu'elles aient eu droit de cause parce que personne n'a rien trouve a redire (administration, justice, police) qu'elles aient contourne la loi francaise pour faire leur PMA a l'etranger.
Hugues a écrit::o
Si tu veux signifier par là que la mère adoptive ne soit jamais reconnu, ou que l'enfant ne soit pas reconnu comme français, c'est effectivement ce que je défends...
Certes en ce cas, l'insécurité juridique et affective est ennuyeuse pour l'enfant, mais c'est à ceux qui conçoivent les enfants dans ces conditions d'être conséquent et d'assumer l'entière responsabilité de leurs actes, c'est à dire soit d'assumer que l'enfant ne sera jamais français (sauf démarche de naturalisation une fois majeur de l'enfant, comme tout autre étranger), et jamais adoptable par la concubine, soit d'émigrer vers ces états où la terre leur semble tellement plus verte, puisqu'ils ne souscrivent pas au projet qu'est la nation française en ayant un comportement de consommateur vis à vis des législations.
Hugues
Hugues a écrit::o
Si tu veux signifier par là que la mère adoptive ne soit jamais reconnu, ou que l'enfant ne soit pas reconnu comme français, c'est effectivement ce que je défends...
Certes en ce cas, l'insécurité juridique et affective est ennuyeuse pour l'enfant, mais c'est à ceux qui conçoivent les enfants dans ces conditions d'être conséquent et d'assumer l'entière responsabilité de leurs actes, c'est à dire soit d'assumer que l'enfant ne sera jamais français (sauf démarche de naturalisation une fois majeur de l'enfant, comme tout autre étranger), et jamais adoptable par la concubine, soit d'émigrer vers ces états où la terre leur semble tellement plus verte, puisqu'ils ne souscrivent pas au projet qu'est la nation française en ayant un comportement de consommateur vis à vis des législations.
Hugues
Waddle a écrit:Hugues a écrit::o
Si tu veux signifier par là que la mère adoptive ne soit jamais reconnu, ou que l'enfant ne soit pas reconnu comme français, c'est effectivement ce que je défends...
Certes en ce cas, l'insécurité juridique et affective est ennuyeuse pour l'enfant, mais c'est à ceux qui conçoivent les enfants dans ces conditions d'être conséquent et d'assumer l'entière responsabilité de leurs actes, c'est à dire soit d'assumer que l'enfant ne sera jamais français (sauf démarche de naturalisation une fois majeur de l'enfant, comme tout autre étranger), et jamais adoptable par la concubine, soit d'émigrer vers ces états où la terre leur semble tellement plus verte, puisqu'ils ne souscrivent pas au projet qu'est la nation française en ayant un comportement de consommateur vis à vis des législations.
Hugues
Pour la nationalité de l'enfant, je ne suis pas vraiment d'accord. Si sa mère biologique est française, même si elle a été conçue par PMA, pour moi l'enfant doit être français.
L'enfant n'a pas à avoir moins de droit qu'un autre parce qu'il est né via PMA.
Par contre, aucun droit pour la "mère adoptive", là c'est clair.
Marlaga a écrit:Waddle a écrit:Hugues a écrit::o
Si tu veux signifier par là que la mère adoptive ne soit jamais reconnu, ou que l'enfant ne soit pas reconnu comme français, c'est effectivement ce que je défends...
Certes en ce cas, l'insécurité juridique et affective est ennuyeuse pour l'enfant, mais c'est à ceux qui conçoivent les enfants dans ces conditions d'être conséquent et d'assumer l'entière responsabilité de leurs actes, c'est à dire soit d'assumer que l'enfant ne sera jamais français (sauf démarche de naturalisation une fois majeur de l'enfant, comme tout autre étranger), et jamais adoptable par la concubine, soit d'émigrer vers ces états où la terre leur semble tellement plus verte, puisqu'ils ne souscrivent pas au projet qu'est la nation française en ayant un comportement de consommateur vis à vis des législations.
Hugues
Pour la nationalité de l'enfant, je ne suis pas vraiment d'accord. Si sa mère biologique est française, même si elle a été conçue par PMA, pour moi l'enfant doit être français.
L'enfant n'a pas à avoir moins de droit qu'un autre parce qu'il est né via PMA.
Par contre, aucun droit pour la "mère adoptive", là c'est clair.
L'enfant est né en dehors du cadre législatif français, sur le sol étranger. Aucune raison pour la France de le reconnaître français. Faisons les chier avec des démarches administratives et des pertes de droit, ça en fera réfléchir quelques uns.
FranceTVInfo.fr avec AFP a écrit:La CEDH condamne le refus de la France de reconnaître la filiation des enfants nés par mère porteuse à l'étranger
La Cour européenne des droits de l'homme avait été saisie par deux couples qui se battent depuis des années pour faire transcrire dans l'état-civil français les actes de naissance de leurs enfants nés par GPA aux Etats-Unis.
Sylvie et Dominique Mennesson quittent le palais de justice de Paris le 06 avril 2011, après l'examen par la Cour de cassation de leur pourvoi pour que leurs jumelles, nées d'une mère porteuse, soient reconnues par l'état-civil. (BERTRAND GUAY / AFP)
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 26/06/2014 | 10:34 , publié le 26/06/2014 | 10:14
La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) condamne le refus de la France de reconnaître la filiation des enfants nés par mère porteuse à l'étranger, jeudi 26 juin. Elle donne tort à la France, qui pourrait éventuellement demander un nouvel examen de l'affaire par la Grande Chambre de la Cour européenne. Mais elle devra de toute façon se conformer à l'arrêt final de la CEDH, en adaptant si nécessaire sa législation.
La CEDH avait été saisie par deux couples de parents, qui se battent depuis des années devant les tribunaux pour faire transcrire dans l'état-civil français les actes de naissance de leurs enfants nés par gestation pour autrui (GPA) aux Etats-Unis. Un combat mené depuis plus de 13 ans par les époux Mennesson, qui résident à Maisons-Alfort, près de Paris, pour la reconnaissance de leurs jumelles, nées en Californie le 25 octobre 2000 d'une mère porteuse américaine.
Ces deux couples s'étaient heurtés, le 6 avril 2011, à une fin de non-recevoir de la Cour de cassation. La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire avait jugé "contraire à l'ordre public (...) la décision étrangère [de reconnaissance de la filiation par GPA] qui comporte des dispositions heurtant des principes essentiels du droit français".
Ouais_supère a écrit:Je pige pas : c'est quoi, leur argument en faveur de la reconnaissance du gamin, à la CEDH ?
Ouais_supère a écrit:Je pige pas : c'est quoi, leur argument en faveur de la reconnaissance du gamin, à la CEDH ?
sccc a écrit:Marlaga a écrit:Waddle a écrit:Hugues a écrit::o
Si tu veux signifier par là que la mère adoptive ne soit jamais reconnu, ou que l'enfant ne soit pas reconnu comme français, c'est effectivement ce que je défends...
Certes en ce cas, l'insécurité juridique et affective est ennuyeuse pour l'enfant, mais c'est à ceux qui conçoivent les enfants dans ces conditions d'être conséquent et d'assumer l'entière responsabilité de leurs actes, c'est à dire soit d'assumer que l'enfant ne sera jamais français (sauf démarche de naturalisation une fois majeur de l'enfant, comme tout autre étranger), et jamais adoptable par la concubine, soit d'émigrer vers ces états où la terre leur semble tellement plus verte, puisqu'ils ne souscrivent pas au projet qu'est la nation française en ayant un comportement de consommateur vis à vis des législations.
Hugues
Pour la nationalité de l'enfant, je ne suis pas vraiment d'accord. Si sa mère biologique est française, même si elle a été conçue par PMA, pour moi l'enfant doit être français.
L'enfant n'a pas à avoir moins de droit qu'un autre parce qu'il est né via PMA.
Par contre, aucun droit pour la "mère adoptive", là c'est clair.
L'enfant est né en dehors du cadre législatif français, sur le sol étranger. Aucune raison pour la France de le reconnaître français. Faisons les chier avec des démarches administratives et des pertes de droit, ça en fera réfléchir quelques uns.
Le droit du sol est l’absurdité qui consiste à dire qu'un cheval est une vache parce qu'il est né dans une étable
LeFigaro.fr avec AFP a écrit:GPA à l'étranger: le gouvernement ne contestera pas l'arrêt de la CEDH
Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 27/06/2014 à 10:21 Publié le 27/06/2014 à 09:55
Laurence Rossignol, secrétaire d'Etat chargée de la Famille, a déclaré aujourd'hui que le gouvernement ne contestera pas l'arrêt de la CEDH concernant la reconnaissance d'enfants nés de mères porteuses à l'étranger. "C'est une décision que nous ne contesterons pas (...) Le gouvernement tirera les conséquences de ces deux arrêts en droit interne", a affirmé Laurence Rossignol à la reprise des débats sur la proposition de loi sur l'autorité parentale. Elle a souligné que les arrêts de la CEDH rendus hier ne remettaient pas en cause l'interdiction du recours à la GPA mais faisaient prévaloir "l'intérêt des enfants sur le choix de conception des parents"
sccc a écrit:Tu veux surtout avoir le droit de choisir quand tu veux bien ou non accorder des droits, sans t'entraver de rigueur, de lois, de logique et d'éthique. Des lois sur mesure pour des catégories de personnes en quelques sortes.
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