Modérateurs: Garion, Silverwitch
Kadoc a écrit:C'est pas toi qui te plains tout le temps que les gens interpretent mal tes propos?
Shoemaker a écrit:Mufasa a écrit:Cette action est équivalente à celle des jeunes hommes des années 60 de porter les cheveux longs.
Non. Ce qui est important dans le code d'apparence, ce n'est pas l'aspect du code lui-même, mais sa signification. Nous ne portions pas des cheveux longs dans un désir d'efféminisation, ni de transgression des lois du genre.

Shoemaker a écrit:Je me ballade ces jours-ci dans Paris, et je suis consterné par le look "féminisation rampante" des jeunes mecs entre 20 et 30 ans.
Kadoc a écrit:Shoemaker a écrit:Je me ballade ces jours-ci dans Paris, et je suis consterné par le look "féminisation rampante" des jeunes mecs entre 20 et 30 ans.
Et tu penses que leur intention c'est de revendiquer le melange des genres?
Shoemaker a écrit:Kadoc a écrit:Shoemaker a écrit:Je me ballade ces jours-ci dans Paris, et je suis consterné par le look "féminisation rampante" des jeunes mecs entre 20 et 30 ans.
Et tu penses que leur intention c'est de revendiquer le melange des genres?
Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qui se passe dans leur tête. Je constate juste ces look vaporeux, délicats, mous, ces attitudes, ces démarches dans les couloirs du métro, dans la rue... Un subtil glissement vers une efféminisation visible des jeunes hommes. Je ne trouve pas qu'un machisme outrancier soit meilleur ! Je suis simplement un adepte du juste milieu (ce qui n'empêche pas, dans la sphère intime et ultra privée, de s'adonner à toutes les folies du monde et à tous les excès possibles, dans le respect d'autrui etc etc...).
Cortese a écrit:Oui et il se rasent les couilles !![]()
J'ai appris ça par hasard en discutant avec deux jeunes a priori normaux.
P... j'ai fait ça deux fois pour être opéré je me demande comment ils peuvent accepter ça.



Ouais_supère a écrit:Je récuse par principe la "féminisation" de notre jeunesse, c'est juste que les jeunes sont extrêmement soucieux de leur apparence, que la consommation les pousse à se "pomponner", ce qui était jusqu'ici considéré comme des mœurs féminines.
Les jeunes ne se féminisent pas, ils s'amollissent, ils deviennent indolents et centrés sur leur apparence.
Quelle insulte faite aux femmes et à leur dynamisme que de rapprocher la mollesse et l'indolence de la féminité.

Rainier a écrit:Shoemaker a écrit:Kadoc a écrit:Shoemaker a écrit:Je me ballade ces jours-ci dans Paris, et je suis consterné par le look "féminisation rampante" des jeunes mecs entre 20 et 30 ans.
Et tu penses que leur intention c'est de revendiquer le melange des genres?
Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qui se passe dans leur tête. Je constate juste ces look vaporeux, délicats, mous, ces attitudes, ces démarches dans les couloirs du métro, dans la rue... Un subtil glissement vers une efféminisation visible des jeunes hommes. Je ne trouve pas qu'un machisme outrancier soit meilleur ! Je suis simplement un adepte du juste milieu (ce qui n'empêche pas, dans la sphère intime et ultra privée, de s'adonner à toutes les folies du monde et à tous les excès possibles, dans le respect d'autrui etc etc...).
J'ai un fils de 21 ans et je m'aperçois que ses copains du même age ont à peu près tous le même look et la même attitude (je précise que mon fils a une copine et ne semble avoir aucune tendance homosexuelle) :
grand soin porté au corps extérieurement (ils doivent passer au moins deux heures dans la SDB par jour à se pomponner et se parfumer, barbe et cheveux taillés au mm, surtout pas de poil sur la poitrine ...) mais aucun soin porté au corps intérieurement (bouffe de merde, boissons hyper sucrés ou énergisantes).
Ce soin porté au corps, qui à "mon époque" faisait bien pire qu’efféminé ...ce n'était même pas concevable même chez un homosexuel, s'accompagne d'une envie d'être hyper musclé et costaud.
Bien entendu, aucune nourriture intellectuelle : musique de merde, films à la con ...bref entre être ou paraître, ils ont clairement choisi !



Ouais_supère a écrit:Je récuse par principe la "féminisation" de notre jeunesse, c'est juste que les jeunes sont extrêmement soucieux de leur apparence, que la consommation les pousse à se "pomponner", ce qui était jusqu'ici considéré comme des mœurs féminines.
Les jeunes ne se féminisent pas, ils s'amollissent, ils deviennent indolents et centrés sur leur apparence.
Quelle insulte faite aux femmes et à leur dynamisme que de rapprocher la mollesse et l'indolence de la féminité.

Marlaga a écrit: Et on sait que les hormones féminines sont déversées en masse dans l'eau du fait de l'utilisation de la pilule, ce qui a des conséquences sur les humains.
Cortese a écrit:Normalement les poils dans les coins c'est comme des roulements à bille, ça facilite les mouvements et évite les irritations dus aux frottements. La sueur c'est un graissage à huile perdue. Moi je ne touche jamais à la mécanique telle qu'elle a été conçue, donc vous faites comme vous voulez mais normalement si vous respectez une ingéniérie qui vous dépasse de très loin, vous ne vous rasez pas dans les coins et vous ne vous lavez que raisonnablement.
Ouais_supère a écrit:Cortese a écrit:Normalement les poils dans les coins c'est comme des roulements à bille, ça facilite les mouvements et évite les irritations dus aux frottements. La sueur c'est un graissage à huile perdue. Moi je ne touche jamais à la mécanique telle qu'elle a été conçue, donc vous faites comme vous voulez mais normalement si vous respectez une ingéniérie qui vous dépasse de très loin, vous ne vous rasez pas dans les coins et vous ne vous lavez que raisonnablement.
C'est vrai qu'on se lave trop.
Et pas assez.
Enfin y a des paradoxes, quoi.
Moi le premier, il m'arrive de prendre deux douches (très rapides, je rassure les écolos) par jour, mais je vais oublier de me laver les mains en rentrant alors que j'ai pris le tramway ou le métro.
En plus on a cette sorte de traumatisme des odeurs corporelles, maintenant.
On supporte plus l'odeur de l'autre, sous prétexte que... Ben qu'on la sent, qu'on la perçoit.
Mais biologiquement, on est des animaux, on a une odeur, on n'y peut rien, et l'odeur a du sens, inconsciemment ou pré-consciemment.
Je suis un obsédé des odeurs, des parfums. J'oublie tous les noms, je peux même oublier des visages, mais l'odeur, d'une personne, d'une atmosphère, d'une situation, ça, jamais, c'est comme gravé en moi, et j'en ai un besoin absolu.
Je me souviens de cette fille, à qui j'ai pas réussi à faire l'amour, ou fort mal, alors que l'envie réciproque était bien notre seul point commun, et dont les lèvres rappelaient l'odeur du caoutchouc (non c'était pas une poupée gonflable), et sa peau... l'odeur de rien du tout.
Y avait tout le reste, mais y avait pas l'essentiel.
Je vais vous dire: ma nana actuelle, avec qui je suis près à signer un CDI s'il le faut, je la trouvais jolie mais bon. Mais dans cette soirée, où parce que l'humeur et l'alcool aidaient, nos lèvres se sont croisées et que j'ai senti son parfum littéralement m'envahir par l'intérieur, comme une contamination, l'affaire était pliée, j'étais enchaîné.
Rainier a écrit:Marlaga a écrit: Et on sait que les hormones féminines sont déversées en masse dans l'eau du fait de l'utilisation de la pilule, ce qui a des conséquences sur les humains.
Je ne connaissais pas cette ...théorie (?) mais c'est intéressant.
Y a-t-il eu des études à ce sujet ?



Mufasa a écrit: (...) Cela n'empêche personne d'être un citoyen responsable ou de contribuer au bien commun et au progrès de notre espèce animale ...
Mufasa a écrit:Autre question, notamment pour les Français : Que pensez-vous de "l'obligation" qu'ont les femmes de raser les poils des jambes et aisselles, parties naturelles de leur corps ? Je dis Français car il me semble qu'en France, jusqu'à peu la mode était assez lâche (épilation des mollets seulements, de plus par pince et non rasoir ou cire, et on laisse les aisselles tranquilles). Aux Etats-Unis c'est considéré choquant de voir une femmes poilue à ces endroits.

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