Lo a écrit:Bon, je m'y attendais, ce sera une cause perdue....
Vous en faites pas je reviendrais faire un tour quand le prochain illuminé de service viendra nous démontrer que la terre est plate.![]()
De toute facon, la Terre est de forme patatoïde
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Lo a écrit:Bon, je m'y attendais, ce sera une cause perdue....
Vous en faites pas je reviendrais faire un tour quand le prochain illuminé de service viendra nous démontrer que la terre est plate.![]()
Waddle a écrit:Garion a écrit:
Je ne sais pas d'où sort ce chiffre, mais il est complètement abérrant.
Les dernières études montrent en moyenne 4 mutations pour chaque reproduction chez les primates par exemple.
Je ne sais pas si on parle de la meme chose, mais je l'avais étudié en génétique, peut etre ca parlait des mutations qui se transmettent dans le sperme et dans les ovaires. Parce que 4 mutations pour une reproduction, y a belle lurette qu'on aurait vu un primate naître avec un début d'ailes sur le corps.
Là aussi, c'est faux, tu as une chance sur deux de transmettre ce gène à chaque descendant, il n'y a pas de question de compatibilité. Ce qui peut se passer c'est que le gène ne soit pas dominant et qu'il ne se manifeste pas, mais il sera bien transmit à la génération suivante et pourra sauter des générations avant de se manifester.
Reflechissons. Si il existe un gène "couleur de cheveux" qui chez un etre est par exemple soit blanc, soit noir, et qu'une mutation vienne rajouter "couleur rouge", effectivement, ca se passe comme tu le dis. Mais les mutations desquelles on parle, c'est non pas l'ajout d'un nouveau caractère, mais d'un nouveau gène, celui qui ferait apparaitre l'oreille, ou le début de l'oreille. Et pour cela, il faut que ce nouveau gène soit reconnaissable avec celui de la femelle qui pourtant, n'aura aucun gène qui correspond au nouveau du mâle, tu vois ce que je veux dire?
Tes calculs sur le nombre d'individu ne sont pas du tout crédible, et montrent ta méconnaissance de l'histoire de la terre qui n'a que 4 Milliards d'années.
Heureusement que quand j'ai pris 10 milliards au lieu de 4, c'était pour être gentil et optimiste. Mais tu n'as pas compris, pourtant je l'ai précisé.


Waddle a écrit:Garion a écrit:
D'abord, il n'y aucune raison que les deux espèces se séparent, le lion qui y voit mieux ira se repoduire avec celui qui y voit moins bien.
Pourquoi donc ne me trouvez vous pas d'exemple de fossiles de 2 especes mutées qui auraient cohabité pendant quelques millions d'années? C'est pas compliqué non?
Ensuite, tu dis qu'il y a suffisamment d'antilopes pour deux espèces, c'est faux, s'il y avait surabondance d'antilopes, il y aurait plus de lions, jusqu'a ce qu'un équilibre se fasse
Ca c'est fou ca! Donc s'il y avait plus de bouffe dans le monde, il y aurait plus d'hommes c'est ca? Tu crois vraiment, sincèrement que le facteur limitant du nombre de lions ce sont les antilopes? A entendre ca, on dirait qu'ils meurrent de faim les lions. Et s'il y avait plus d'arbres, il y aurait plus de girafes?



Ze}[Learner] a écrit:
Que les choses soeint clair : l'homme ne descend pas du singe. Les singes qu'on peut voir actuellement ne sont pas les ancêtres de l'homme. Ils ont évolué en parralèle en ayant, à plus ou moins longue échéance un ancetre commun.
Quant à l'exemple de la girafe, je crois, sans trop me tromper, que si tu veux un animal provenant du meme ancetre, prend tout simplement la Hyène.
Waddle a écrit:
Si tu enleve les antilopes, tu enleveras forcément les Lions. C'est la chaine alimentaire qui délimite les niches écologiques. Et ce sont ces niches écologiques qui permettent aux espèces dominantes de survivre.
Il y a eu plusieurs Crises dans l'histoire de la Terre. Chacune de ces Crises a fait disparaitre environ 99 % des espèces vivantes alors sur la planète. Prenons exemple de celle qui a signé la mort des dinosaures : en balayant de la terre 99% des especes dont les dinosaures, quasiment toutes les niches écologiques ont été libérées, et des espèces peu développée, non dominantes du temps des dinos et ayant survecues à la crise comme des petits mamifères et des rongeures ont pu occuper ces niches pour s'y developper.
fais l'experience : vas dans une foret, prends un petit bout de fourmillière (ainsi que la Reine, sinon mon exemple ne marchera pas) et mets tout ça dans un vivarium. si tu leur mets beaucoup de nourriture, ainsi que des brindilles tu verras la fourmilliere grandir à vue d'oeil. inversement tu leur donne peu de nourriture, avec le meme stock de brindilles, et la fourmilière stagnera, voire disparaitra.
Il y a 2 ou 3 os je ne me souviens pas bien, qui ne sont pas solidaires de la colonne vertebrale, d'environ 10 cm de largeur avec une forme rappellant un bassin de mamifère juste en dessous de la-dite colonne.
Quand à son ancètre Je suis bien inccapale de repondre à ça
Sans doute un animal qui devait être amphibien mais avec des pates arrières ... (ce sont de pures speculations de ma part).

Garion a écrit:
L'espérance de vie est de 13 à 15 ans en milieu naturel et 34 ans en captivité. La mortalité des jeunes est très importante: 9 mâles sur 10 meurent avant l'âge de 2 ans, contre 5 femelles sur 10. Cela explique la disproportion du nombre de femelles par rapport aux mâles.
Et à t'on avis, elle vient d'où cette mortalité ? C'est vrai qu'ils ont beaucoup de prédateurs les lions

Thevv a écrit:A supposerque la seule mutation qui intervient sur la première génération est une modification qui produit une oreille (quelle drôle d'idée sur des organismes primitifs de quelques cellules... m'enfin c'est un exemple),
prétendre que cette individu n'a qu'une chance sur 100 de se reproduire est d'une hérésie complète. La seule modification génétique menant à une oreille, cette organisme serait 100% capable de se reproduire...
mais ton calcul Waddle, non seulement en considérant une seule chance sur 100 alors qu'aucune modification génétique entraînant une incompatibilité sexuelle ne s'était produite, est faux de bien d'autres manières.
Il faudrait déjà savoir si aucun, un ou plusieurs génes concernés sont dominants ou récessifs. Ensuite il faudrait déterminer si cette oreille donnent un avantage à l'individu.
Si non : L'individu se reproduira comme un autre individu et cela conduira à deux sous espèces, une avec oreille une sans oreilles.
Si oui : voir pour quel(s) avantage(s) : durée de vie, capacité de reproduction, autres ?
Mais quel que soit l'avantage puisque avantage il y aurait, au bout d'un temps, cette souche prendra l'avantage sur l'autre grâce à cet avantage et l'autre pourrait disparaître.
Je n'ai considéré que la première phase de ton calcul (déjà fausse) et il y a dans ce premier échelon plus de paramètres à considérer que dans toute ta "démonstration"...
Et je ne poursuis pas puisque déjà dès ce niveau ton calcul est faux alors que le mien n'englobe même pas encore tous les paramètres à prendre en compte.

Waddle a écrit:Thevv a écrit:A supposerque la seule mutation qui intervient sur la première génération est une modification qui produit une oreille (quelle drôle d'idée sur des organismes primitifs de quelques cellules... m'enfin c'est un exemple),
Tu n'as rien compris. Si au moins tu avais lu. J'ai dit une mutation qui créerait quelque chose qui serait l'ancetre de l'oreille, etant donné que l'oreille n'est pas apparue d'un coup. Et en plus, je n'ai pas dit forcéement sur des cellules primitives. Je parlais de n'importe quel animal qui serait l'ancetre du 1er animal ayant une oreille. Mais bon, quand on ne lis pas...
prétendre que cette individu n'a qu'une chance sur 100 de se reproduire est d'une hérésie complète. La seule modification génétique menant à une oreille, cette organisme serait 100% capable de se reproduire...
Encore faux. Je n'ai pas dit qu'il n'avait qu'1 chance sur 100 de se reproduire, mais de transmettre l'anomalie génétique. Des personnes qui ont 6 doigts, ca existe. Tu crois franchement que ces gens la accouchent des enfants à 6 doigts?
Il existe dans le patrimoine génétique de l'homme, un onglet "Couleur des yeux". Ce caractere est contenu dans un type de gène tres précis, et le choix final se trouvera, soit dans le gène de la mère, soit dans celui du père. Mais si dans ce gène, une mutation se produit et que le père apporte un caractère: "longueur des ailes", alors que le gène correspondant n'existe pas chez la mère, lors de la fécondation et le reste, il est tres improbable que cela persiste sur plusieurs générations.
Apres tout, la reproduction, c'est l'apport de chaque sexe à des questions deja définies. Par exemple, la question "couleur des yeux". Si un gène apporte un réponse à une question non posée (longueur des ailes), c'est très improbable que la mutation se transmette. Apres tout, si c'était si simple, pourquoi ne pouvons nous plus nous reproduire avec les singes, qui ont pourtant le meme ancetre que nous?
Où ai-je dit que c'était simple ?
En disant "très improbable", tu ne réfutes pas totalement que ce soit possible, on progresse.
La très grande majorité des mutations ne survivent pas, ce n'est pas pour autant que la théorie de l'évolution est fausse.
Il est un point où je suis d'accord avec toi, c'est qu'elle n'explique pas tout, et à la manière des physiciens à la recherche de la superforce, je pense, comme je l'ai expliqué dans le récapitulatif des différentes théories, que les paléontologues devraient chercher à faire fusionner les différentes théories plutôt que de s'accrocher mordicus comme partisan de telle ou telle autre parfois en dépit du bon sens.Il faudrait déjà savoir si aucun, un ou plusieurs génes concernés sont dominants ou récessifs. Ensuite il faudrait déterminer si cette oreille donnent un avantage à l'individu.
Super. Et alors? Pour le dominant ou récessif, ca ajoute un aléa de plus a la perpetuation de la mutation. Pour savoir si l'oreille donne un avantage ou pas, il est tres improbable qu'une mutation apporte un avantage des le premier coup. C'est la succession de mutations et de mutations, + la selection naturelle, qui font que l'organe final sera un avantage.
Tu n'as pas compris... si récessif, les chances diminuent car dépendent du brassage et de la rencontre de singularités.
Si dominant elles deviennent majeures et rapides :
--> cohabitation des deux sous espèces si pas de catastrophes et éventuellement incapacité future à se reproduire.
--> éventuellement extinction d'une des deux si la transformation procure un avantage majeure en terme reproductif ou de survie de l'espèce ou de catastrophes amenant l'une ou l'autre à survivre.Si non : L'individu se reproduira comme un autre individu et cela conduira à deux sous espèces, une avec oreille une sans oreilles.
Si oui : voir pour quel(s) avantage(s) : durée de vie, capacité de reproduction, autres ?
Comme je l'ai dit dans mon calcul, etant donné que les mutations se font au hasard, si tu prend une mutation au hasard, la proba que cette mutation n'apporte aucun avantage est infiniment supérieure à la proba que cette mutation apporte un avantage.
C'est pour cette raison que la plupart des mutations n'aboutissent pas... car nous sommes tous des mutants, toi aussi. Et comme nous mutons tous et même au cours d'une vie, les chances de transmettre une mutation positive augmentent. Paradoxalement plus l'entropie du système augmente plus il y a de chance d'aboutir à quelque chose, ce qui est très différent que de dire que la probabilité qu'il se produise quelque chose augmente.Mais quel que soit l'avantage puisque avantage il y aurait, au bout d'un temps, cette souche prendra l'avantage sur l'autre grâce à cet avantage et l'autre pourrait disparaître.
Y aura forcément avantage au bout d'un temps? Ah bon? Bientot les hommes à 6 doigts auront éradiqué de la planete les hommes a 5 doigts?
Ca suivait le "si oui"... et donc le parti pris était que oui, il y avait avantage, puisque le "si non" avait déjà été débattu...
Faut suivre hein sinon on va pas avancer...Je n'ai considéré que la première phase de ton calcul (déjà fausse) et il y a dans ce premier échelon plus de paramètres à considérer que dans toute ta "démonstration"...
Ah bon?
Je maintiens, de toutes les démonstrations "scientifiques", entre guillemet parce que la tienne ne l'est pas, que j'ai pu lire, la tienne est la plus farfelue car fondée sur les seuls chiffres de ton bon sens qui en l'occurrence ne semble pas sain puisque uniquement voué à démonter les preuves que l'on avance... et pas toujours avec l'honnêteté intellectuelle que ça requiert..Si on rajoute des paramètres, on se rend compte que la proba de partir d'une cellule primitive et arriver à un homme, est encore bien plus infime que ce que j'ai pu calculer.
-Il faut que la mutation se produise
-Qu'elle se transmette
-Que les descendants, pourtant minoritaires et pas encore au point au niveau de cet organe, survivent
-Que d'autres mutations se produisent pour améliorer l'organe
-Et en plus, que les especes mutées soit toujours fécondables avec les especes non mutées, au moins au début, pour perpétuer la descendance.
Avec ca, rassure toi, mon calcul etait infiniment généreux.

Thevv a écrit:
Si je lis mal toi tu occultes les preuves que l'on t'avance... j'ai pas eu d'écho sur le dromadaire, mutant du chameau les deux étant encore contemporains de nos jours...
Je t'ai parlé de dominance et de récession des gènes, mais ça t'es passé au dessus de la tête... qu'y puis-je ?
Et les chances sont bien supérieurs à une chance sur 100 dans le cas que tu cites : voir Garion.
Allons allons, tu me parles de "très improbable" et on parle de sciences... tu as fait un petit calcul ?
Tout dépend de la capacité de ces gènes de s'exprimer par la suite, de très peu probable cela peut devenir très probable.
Qu'est ce qui peut amener un type d'individus à survivre à un autre ?
La capacité d'adaptation. Imaginons une catastrophe comme il s'en est produit tant au cours des âges géologiques. Ton être mutant avec ses ailes, et quelques descendances heureuses et donc quelques spécimens dotés d'ailes, cette mutation pourrait permettre à cette souche de survivre là où les autres pourraient en être incapable. C'est ce qui se produit sous nos yeux chaque fois que nous traitons les bactéries avec des bactéricides de plus en plus puissants dans les hôpitaux. Si un seul individu survit parce qu'une mutation jusque là silencieuse d'un point de vue utilité l'aide à survivre, il donnera une descendance totalement insensible à ce bactéricide.
Tes ailes c'est pareil en plus complexe car il faudrait pour qu'elles se transmettent et puisque cette mutation ne survient pas d'une sélection naturelle d'individus, que les gènes soient dominants pour qu'elles se transmettent.
Et si ensuite une catastrophe survient et qu'elles permettent à ceux qui en sont dotées de survivre aux autres, il ne subsistera que l'espèce à ailes mais sans catastrophe, on peut imaginer une cohabitation au moins au début.
Où ai-je dit que c'était simple ?
En disant "très improbable", tu ne réfutes pas totalement que ce soit possible, on progresse.
La très grande majorité des mutations ne survivent pas, ce n'est pas pour autant que la théorie de l'évolution est fausse.
Il est un point où je suis d'accord avec toi, c'est qu'elle n'explique pas tout, et à la manière des physiciens à la recherche de la superforce, je pense, comme je l'ai expliqué dans le récapitulatif des différentes théories, que les paléontologues devraient chercher à faire fusionner les différentes théories plutôt que de s'accrocher mordicus comme partisan de telle ou telle autre parfois en dépit du bon sens.
C'est pour cette raison que la plupart des mutations n'aboutissent pas... car nous sommes tous des mutants, toi aussi. Et comme nous mutons tous et même au cours d'une vie, les chances de transmettre une mutation positive augmentent. Paradoxalement plus l'entropie du système augmente plus il y a de chance d'aboutir à quelque chose, ce qui est très différent que de dire que la probabilité qu'il se produise quelque chose augmente.
Je maintiens, de toutes les démonstrations "scientifiques", entre guillemet parce que la tienne ne l'est pas, que j'ai pu lire, la tienne est la plus farfelue car fondée sur les seuls chiffres de ton bon sens qui en l'occurrence ne semble pas sain puisque uniquement voué à démonter les preuves que l'on avance... et pas toujours avec l'honnêteté intellectuelle que ça requiert..
waddle a écrit:Si on rajoute des paramètres, on se rend compte que la proba de partir d'une cellule primitive et arriver à un homme, est encore bien plus infime que ce que j'ai pu calculer.
-Il faut que la mutation se produise
-Qu'elle se transmette
-Que les descendants, pourtant minoritaires et pas encore au point au niveau de cet organe, survivent
-Que d'autres mutations se produisent pour améliorer l'organe
-Et en plus, que les especes mutées soit toujours fécondables avec les especes non mutées, au moins au début, pour perpétuer la descendance.
Avec ca, rassure toi, mon calcul etait infiniment généreux.
En quoi lire tant d'inepties devrait me rassurer ?
Au pire, ça me fait sourire... mais ça ne me rassure en rien.
Des mutations se produisent en tout temps, et même chaque seconde suivant exposition à phénomène mutagène...
et même sans par erreur de réplication. De plus, l'environnement permet de faire la sélection des individus sur l'endurance à diverses contraintes et favorisent les individus les plus aptes... ainsi une meilleure vue est tout de suite un avantage à qui à utilité de voir.
Ces mutations se transmettent si elles sont dominantes... et lorsqu'on est pourvu d'oreilles, il vaut mieux que les gènes qui leurs sont associés le soient. Pour la couleur des cheveux, c'est mois grave.
Et en début de mutation, si tant est que celle-ci ne touche pas la capacité reproductive, sans quoi on obtient un individu unique mais affreusement voué à sa perte, il n'y a aucune raison que les capacités reproductives avec l'espèce soit affectées. La dominance des nouveaux gènes fera le reste, sinon le brassage au bout de x générations.

lovecraft a écrit:Juste un mot sur la dernière question de waddle a propos de l'interet d'avoir 2 sexes.
Le fait d'avoir 2 sexes, et donc besoin de 2 individus pour en faire un 3ème est beaucoup plus interessant au niveau de la survie de l'espèce et de sa diversification que la reproduction par division d'un individu, qui elle ne fournit qu'une copie exacte.
Le brassage génétique qu'entrainne une reproduction à 2 sexes est nettement plus avantageuse



Garion a écrit:Moi, personnellement, je commence à me lasser.
Dés qu'il y a des faits qui vont à l'encontre de ta théorie, tu les nies.(alors que normalement, on adapte la théorie au faits et non le contraire).
On peut voir l'évolution des virus quotidiennement grâce à leur forte vitesse de reproduction. (Soit dit en passant, tu es même allez jusqu'a admettre l'évolution du virus, mais en la considérant comme néfaste, c'est pour dire...).
Même les loups qui se sont transformé en centaines de races de chiens devant les yeux des hommes en l'espace de quelques milliers d'années, si ça c'est pas une preuve de l'évolution....
Tu dis qu'il y a des chainons manquant alors qu'on a pratiquement toutes les étapes.
Bref, j'ai l'impression que tu défends ta théorie coute que coute, sans vouloir la remettre en cause, même devant les pires contradictions.

Neoflo a écrit:C'est quand meme fou, que malgré les tres nombreux arguments donnés sur ce topic, ou simplement par le fait de ce que nous vivons, et de nos connaissances scientifiques aujourd'hui, certains croient encore que c'est un simple claquement de doigt qui a crée tel quel tout ce que nous voyons aujourd'hui !
Juste pour revenir sur les virus, Waddle tu contournes encore tres malhonetement le probleme, en revenant indefiniment a ton histoire d'oreille, exemple stupide notamment pour un virus, mais en plus simple exemple, noyé par les argumentations bien plus generales et précises de tes interlocuteurs.
Enfin concernant ces mutations de virus, puisque ce sont les plus faciles et rapides a constater avec nos moyens, elles sont multiples, le virus de la grippe par exemple qui mute chaque année pour résister au nouvelle forme de vaccin, ou tout autre virus qui mutent eux-aussi pour résister au nouveaux médicaments.
Mais comme d'habitude tu ne verras que ce qui t'interesse, c'est a dire rien dans totues les argumentations qui t'ont ete donnés.



Waddle a écrit:Je commence a croire pourquoi vous fatiguez.
C'est que vous en avez marre de vous répondre a vous meme, effectivement parce que vous vous empressez de répondre sans lire ce que j'écrit.
En parlant de la sexualité, je demandais par quel processus, elle est apparu dans le monde.
Je n'ai pas demandé: "Sexualité: Avantages et inconvénients". Si tu avais un peu lu, Thevv, ca t'aurait évité bien des recherches sur Google.
Bonne soirée.

Thevv a écrit:Waddle a écrit:Je commence a croire pourquoi vous fatiguez.
C'est que vous en avez marre de vous répondre a vous meme, effectivement parce que vous vous empressez de répondre sans lire ce que j'écrit.
En parlant de la sexualité, je demandais par quel processus, elle est apparu dans le monde.
Je n'ai pas demandé: "Sexualité: Avantages et inconvénients". Si tu avais un peu lu, Thevv, ca t'aurait évité bien des recherches sur Google.
Bonne soirée.
Si tu avais lu ça y répond...

Dr Renard a écrit:Waddle a écrit:C'est pourquoi j'aurais préféré que la nature nous fasse 4 ou 5 sexes, de manière a apporter un meilleur brassage.Dr Renard a écrit:La seule réponse qui me semble être logique, c'est que justement c'est la variabilité génétique qui permet l'adaptation et l'évolution de espèces. Si l'ensemble des individus d'une espèces étaient identiques génétiquement, il n'y aurait pas d'évolution, l'ensemble des individus d'une espèce seraient sensibles aux mêmes modifications environnementales, et par exemple l'arrivée d'une nouveau virus, ou l'augmentation de température, signifierait l'extinction de l'espèce.
C'est totalement inutile, puisque, à part dans le cas des vraix jumeaux, chaque individu est génétiquement unique. Créer plus de sexe n'apporterait pas plus de variabilité génétique.Eh bien tu vas être conquis, ils existent!J'aurais vu des fossiles d'intermédiaires entre nous et cet ancêtre commun, que j'aurais été conquis.Comme l'a expliqué The vv, c'est un abus de langage, en fait les singes actuels et l'homme ont des ancêtres communs. Abus que l'on peut faire, car ces ancêtres ressemblaient plus à des singes d'aujourd'hui qu'à des hommes.
En effet, on a retrouvé à l'état de fossile toute la généalogie de nos ancètres, depuis la fin des panidés (les singes), jusqu'à l'Homo sapiens, l'espèce humaine, en passant par les australopithèques, proche des singes bonobos, puis les "homo", homo abilis et homo erectus.Non, il n'y a pas "assez d'antilopes dans la savanes pour toput le monde", et c'est l'un des points essentiels, justement. C'est pourquoi lorsqu'un individu avec un avantage apparait, il a une plus grande chance de survie et/ou une plus grande réussite reproductive. Les 2 sont d'ailleurs liés, car une survie plus longue augmente le temps pour se reproduire. Des gens très savants, toi qui aime bien les chiffres ce sont des mathématiciens, font des calculs poussés, avec de très nombreuses variables, pour étudier ces phénomènes. Ils montrent qu'un tel avantage, même faible, conduit à l'augmentation significative de la probabilité de fixation du gène responsable dans la population.Complètement ridicule. Il y a des millions d'especes qui vivent sur la terre. Et je ne vois pas pourquoi, si aujourd'hui une espece de lions avec une meilleure vue que celle actuelle apparait, ca impliquerait forcément que celle qui existait bel et bien depuis longtemps, doive forcement disparaitre. Apres tout, n'y a t'il pas assez d'antilopes dans la savane pour tout le monde?Ces "chaînons manquants" sont d'une manière générale à la base dues à des anomalies génétiques qui obligent les individus a découvrir une nouvelle niche écologique. Ces individus sont mal adaptés a ces conditions environnementales nouvelles, mais peuvent survivre car il ne sont plus en compétition avec les membres de leur espèce d'origine. Souvent, il s'agit d'un endroit où ils n'ont pas de prédateur à l'origine.
Cependant, ces individus restent mal adaptés. Et la variabilité génétique, l'apparition de nouvelles mutations font que la sélection naturelle va favoriser les individus les mieux adapté, et rapidement (à l'échelle de l'évolution, ça peut vouloir dire des millions d'années) l'espèce initiale sera supplantée.Tu as tout à fait raison sur ce point. Mais justement, le truc c'est que ça existe!Et de plus, si c'était vrai, il y aurait au moins une période de quelques millions d'années, ou la nouvelle et l'ancienne espece cohabite. Et on ne trouve pour aucune especes des fossiles de memes ages, avec l'ancienne et la nouvelle espece. Etrange non?
Par exemple, concernant les fossiles, on trouve de manière contemporaine des hommes de néanderthal et des homos sapiens. Le problème avec les fossiles, c'est que d'un point de vue géologique, un million d'années c'est presque rien. Seulement c'est déjà pas mal pour qu'une espèce se partage en 2 espèces, où qu'une seconde remplace la première. La 2ème difficulté est que la barrière de l'espèce est définie par le critère de fécondité: lorsque 2 individus sont naturellement interféconds, ils sont considérés comme faisant partie de la même espèce. Ce critère est impossible à observer, bien sûr, chez les fossiles. On se retranche alors sur des critères anatomiques.
Mais en fait, pour observer les phénomène d'apparition de nouvelles espèces, on peut regarder dans la nature aujourd'hui. On observe en effet de multiples exemples d'espèces animales qui, à cause d'une séparation géographique par exemple, acquièrent dans chacune de ses sous-populations des caractères qui leurs sont propres. Dans certains cas, on parle de 2 nouvelles espèces, dans d'autres, on parle plutôt de sous-espèces lorsque l'on sait qu'il peu y avoir reproduction entre les individus au chevauchement de leurs aires de répartition, mais que la fécondité est plus faible (c'est le cas des goélands bruns et des goélands argentés).
La notion même d'espèce est très pratique pour classer le monde vivant, mais c'est une vision fixiste des choses de la nature. En fait, lorsqu'on l'observe, dans bien des cas la frontière n'est pas nette (par exemple chez les goéland, mais dans de très nombreux cas, notamment chez les drosophile, un exemple que je connais bien) ce qui est un argument de poids en faveur des évolutionnistes.Quand on ne veut pas voir ...Ouais, je ne vois pas ce que ca apporte de plus.Par exemple, les 1er poissons à pouvoir s'échapper du milieu aquatique, étaient très mauvais pour respirer dans l'air, et très mauvais pour se déplacer sur terre. Mais en même temps, ils n'avaient ni compétiteur, ni prédateurs.
On peut retrouver encore aujourd'hui ces espèces vivantes, mais dans des endroits bien particulier. Par exemple les grands fonds marins, car l'environnement y est particulièrement stable (cf. le cœlacanthe). On retrouve aussi des poissons avec des poumons dits primitif dans des endroits où, régulièrement toute l'eau s'évapore. Seul ces poissons étonnant peuvent survivre. On parle souvent de fossiles vivants, car on les a découvert d'abord en tant que fossiles avant de voir qu'il en restait encore quelques individus dans des endroits particuliers ou préservés.
Eh bien tu me disais que l'on n'avait aucune trace des étapes intermédiaires, je te montre que si au contraire.Oui, je t'en ai donné quelques uns. D'autres, de nombreux autres, pourraient t'en donner à la pelle, et dans des disciplines extrêmement variées (géologues, paléontologues, biologistes spécialistes des animaux, généticiens, biologistes moléculaires, ...), et l'ensemble de ces chercheurs, à la pointe de nos connaissances actuelles, sont d'accord pour dire que l'évolution est un fait avéré et vérifiable.Ah oui?Regarde mieux la nature, des exemples existe, même chez l'homme, montrant l'évidence de l'évolution.
Les quelques pseudo scientifiques disant le contraire se comptent sur les doigts d'une main. Je pense qu'il s'agit de pauvres types qui n'ont trouvé que ce moyen pour se faire un nom et de l'argent. C'est pas parce qu'on fait des études scientifiques qu'on est forcément honnête, et il faut bien reconnaître que les sciences fondamentales (et non pas appliquées) ne sont pas un bon moyen pour devenir riche ou être connu (pas de risque de découvrir le virus du sida).
Attention Waddle, tu poses beaucoup trop de questions, dont chacune nécessiterait du temps pour y répondre. L'apparition de la sexualité en elle-même est un sujet complexe, étudié en profondeur par Gouyon qui fut l'un de mes profs et que cite The vvThevv a écrit:Gouyon et al. 1993 - Le sexe pour quoi faire ? La Recherche, 250 : 70-76.
Gouyon P.H. 1996 - Entretien. La Recherche, 292 : 88-92.
Gouyon P.H. 1997 - Le finalisme revisité. Dossier Pour la Science, l’Evolution : 36-38.
C'est totalement inutile, puisque, à part dans le cas des vraix jumeaux, chaque individu est génétiquement unique. Créer plus de sexe n'apporterait pas plus de variabilité génétique.
Par exemple, concernant les fossiles, on trouve de manière contemporaine des hommes de néanderthal et des homos sapiens. Le problème avec les fossiles, c'est que d'un point de vue géologique, un million d'années c'est presque rien. Seulement c'est déjà pas mal pour qu'une espèce se partage en 2 espèces, où qu'une seconde remplace la première. La 2ème difficulté est que la barrière de l'espèce est définie par le critère de fécondité: lorsque 2 individus sont naturellement interféconds, ils sont considérés comme faisant partie de la même espèce. Ce critère est impossible à observer, bien sûr, chez les fossiles. On se retranche alors sur des critères anatomiques.
Mais en fait, pour observer les phénomène d'apparition de nouvelles espèces, on peut regarder dans la nature aujourd'hui. On observe en effet de multiples exemples d'espèces animales qui, à cause d'une séparation géographique par exemple, acquièrent dans chacune de ses sous-populations des caractères qui leurs sont propres. Dans certains cas, on parle de 2 nouvelles espèces, dans d'autres, on parle plutôt de sous-espèces lorsque l'on sait qu'il peu y avoir reproduction entre les individus au chevauchement de leurs aires de répartition, mais que la fécondité est plus faible (c'est le cas des goélands bruns et des goélands argentés).
La notion même d'espèce est très pratique pour classer le monde vivant, mais c'est une vision fixiste des choses de la nature. En fait, lorsqu'on l'observe, dans bien des cas la frontière n'est pas nette (par exemple chez les goéland, mais dans de très nombreux cas, notamment chez les drosophile, un exemple que je connais bien) ce qui est un argument de poids en faveur des évolutionnistes.
Oui, je t'en ai donné quelques uns. D'autres, de nombreux autres, pourraient t'en donner à la pelle, et dans des disciplines extrêmement variées (géologues, paléontologues, biologistes spécialistes des animaux, généticiens, biologistes moléculaires, ...), et l'ensemble de ces chercheurs, à la pointe de nos connaissances actuelles, sont d'accord pour dire que l'évolution est un fait avéré et vérifiable.
Les quelques pseudo scientifiques disant le contraire se comptent sur les doigts d'une main. Je pense qu'il s'agit de pauvres types qui n'ont trouvé que ce moyen pour se faire un nom et de l'argent. C'est pas parce qu'on fait des études scientifiques qu'on est forcément honnête, et il faut bien reconnaître que les sciences fondamentales (et non pas appliquées) ne sont pas un bon moyen pour devenir riche ou être connu (pas de risque de découvrir le virus du sida).

Dr Renard a écrit:- Comment apparaissent les espèces d'après toi?
- Pourquoi la sexualité existe-t'elle?
- Pourquoi une telle variabilité génétique?
- Qu'est-ce qu'une espèce, et pourquoi existe-t'il des étapes intermédiaire ou sous-espèce?

Les mutations n'ont rien à voir avec la sexualité.Waddle a écrit:Les mutations se font au hasard, et non pas par "utile". Certes la selection fait le reste, mais au regard des milliards d'années passées et de l'infinité des mutations, on aurait du avoir l'apparition de plusieurs sexes non?
Je ne suis pas paléontologue, et je ne peux te répondre précisément. Mais l'étude des squelettes donne déjà beaucoup de renseignements.Deja, dire que l'homme de neanderthal et l'homo sapiens sont cousins, comment le sait on?
Mais en fait, pour observer les phénomène d'apparition de nouvelles espèces, on peut regarder dans la nature aujourd'hui. On observe en effet de multiples exemples d'espèces animales qui, à cause d'une séparation géographique par exemple, acquièrent dans chacune de ses sous-populations des caractères qui leurs sont propres. Dans certains cas, on parle de 2 nouvelles espèces, dans d'autres, on parle plutôt de sous-espèces lorsque l'on sait qu'il peu y avoir reproduction entre les individus au chevauchement de leurs aires de répartition, mais que la fécondité est plus faible (c'est le cas des goélands bruns et des goélands argentés).
Waddle a écrit:Dc Renard a écrit:La notion même d'espèce est très pratique pour classer le monde vivant, mais c'est une vision fixiste des choses de la nature. En fait, lorsqu'on l'observe, dans bien des cas la frontière n'est pas nette (par exemple chez les goéland, mais dans de très nombreux cas, notamment chez les drosophile, un exemple que je connais bien) ce qui est un argument de poids en faveur des évolutionnistes.
Que se passe t il avec le Goeland et les drosophiles?
C'est que tu n'a pas réfléchi suffisamment à cette notion de "hasard".C'est possible, ce que moi je conteste premierement, c'est la notion de hasard.
En faisant des expériences ou des observations telles que celles décrites ci-dessus.Et puis, comment ca c'est "verifiable"?
Qu'est-ce qui te permet de dire ça?Waddle a écrit:Dc Renard a écrit:Les quelques pseudo scientifiques disant le contraire se comptent sur les doigts d'une main. Je pense qu'il s'agit de pauvres types qui n'ont trouvé que ce moyen pour se faire un nom et de l'argent. C'est pas parce qu'on fait des études scientifiques qu'on est forcément honnête, et il faut bien reconnaître que les sciences fondamentales (et non pas appliquées) ne sont pas un bon moyen pour devenir riche ou être connu (pas de risque de découvrir le virus du sida).
Je pense que tu te trompes. Il y en a beaucoup qui ne sont simplement pas convaincus, de par leurs convictions, et le manque de preuves.
Un argument classique des créationniste: "ils ne sont pas d'accord entres-eux, c'est bien qu'il n'y a pas d'évidence et que le créationnisme est une hypothèse comme une autre".Ce qui t'apparait clair et évident, ne l'est pas pour tout le monde. D'ailleurs, pourquoi y a t il autant de courants chez les évolutionnistes?


Donc des espèces créés initialement, et d'autres apparues plus tard à partir de certaines déjà créées. Un espèce de mixe entre créationnisme et évolution.Waddle a écrit:Pour moi, 2 possibilités, en rapport évident avec mes convictions.Dr Renard a écrit:- Comment apparaissent les espèces d'après toi?
Soit les especes sont apparues, toutes disctinctes par rapport aux autres, aussi subitement que le Big bang, "on" a donné a plusieurs especes, le potentiel dans les genes de se transformer en plusieurs especes différentes, ce qui donnerait les especes actuelles. Mais point de hasard dans les 2 cas.
Ta réponse n'est pas scientifique, mais la question l'est.- Pourquoi la sexualité existe-t'elle?
Ce n'est pas une question scientifique que tu me poses, mais philosophique. Pourquoi la sexualité existe? Je n'en sais rien, pour qu'il nous soit donné la chance d'observer que l'amour, l'union de 2 êtres aboutit à la création d'un autre, de facon aussi magique. Toi le scientifique, n'est tu pas époustouflé par la magie de la grossesse et de la naissance?
Tu parles d'une réponse, "Pourquoi s'est varié? Parce que c'est comme ça!" ...- Pourquoi une telle variabilité génétique?
Effectivement je vais me rapprocher de toi, c'est pour que chaque individu soit unique et aie ses caractères propres, qui le différencie des autres. Les hommes, ni les animaux d'ailleurs, ne sortent pas du meme moule. Si tu veux la réponse "scientifique", c'est que celui qui a fait tout ca voulait une nature diversifiée. Ce qui est effectivement le cas.
- Qu'est-ce qu'une espèce, et pourquoi existe-t'il des étapes intermédiaire ou sous-espèce?

Oui, je vois ça, c'est pourquoi je te disais d'essayer d'éviter de poser 50.000 questions, ça embrouille tout et finalement n'avance à rien. Essayons d'organiser un peu tout ça, car lorsque tu me réponds, tu sembles souvent avoir oublié le début du raisonnement, la question initiale.Waddle a écrit:Docteur Renard, ca devient long et difficile a suivre clairement.
Waddle a écrit:Pour la sexualité, tu me dit que ca ne provient pas d'une mutation. Ô que si. Parce que si avant il n'y avait pas de sexe, et que maintenant, les femmes ont un pubis et les hommes des pénis, ca veut bien dire qu'il y a une mutation qui a fait apparaitre ces organes.
J'espère que tu as compris maintenant que l'ensemble des espèces de mammifères, dont l'homme, ont toujours été sexués quelque soit l'espèce. En fait, le tout premier mammifère était déjà sexué et a transmis ce caractère à toute sa descendance.Ce qui est magique, c'est de se dire qu'avant, un pere avait a lui tout seul sa descendance, et que ensuite, on ait aboutit à un père, une mère, qui ne peuvent plus se reproduire l'un sans l'autre. Bizarre non?
Tu as raison, mais c'est lié. J'ai expliqué pourquoi est-ce que la majorité des espèces vivantes ont une reproduction sexué, pourquoi la sexualité a non seulement perdurer mais également envahi la presque totalité du monde vivant, alors qu'a la base cela semble être quelque chose de plutôt négatif évolutivement parlant, puisqu'il faut être 2 pour produire un descendant.Et tu n'as pas répondu vraiment à la question sur l'apparition des sexes, mais seulement sur leur utilité.
C'est totalement faux et ça marque ton ignorance. Si c'est transmis d'une génération à une autre, ça ne peut être qu'un caractère génétique, sauf si tu penses que se sont les parents, qui d'ailleur ne sont jamais en contact avec leurs descendants, qui apprennent à leur rejetons comment faire bzz bzzzPour l'expérience sur les drosophiles, c'est très intéressant. Mais il est intéressant de noter aussi qu'on n'a pas obtenu d'isolement d'accouplement. Ca prouve juste que la phase pré-copulatoire est sociale et non génétique. Maintenant, dire que ca aboutit à la séparation de 2 espèces... Peut etre.
Si je te dis que je crois que Quelqu'un a décidé de créer les choses, pourquoi veut tu que je réponde a la question: "pourquoi une telle variabilité génétique"?
Voila le GROS problème chez toi: tu n'y connais rien. Que tu te poses des questions, soit, mais comment peux-tu réfuter aussi facilement ce que l'ensemble des gens qui s'y connaisse disent?Sinon, tu me dis que toutes les especes animales et végétales ont le même code génétique. C'est quoi un code génétique exactement?
L'oeil est un bon exemple, c'est un organe complexe, et l'explication peut être transposée aux autres organes.Pour revenir à la notion de hasard, je voudrais insister. Certes, les mutations sont fréquentes, assez pour expliquer des changements (par exemple, les moustiques qui resistent aux insecticides). Mais, de la a dire que ces mutations, ont créé une oreille, un oeil, un intestin, des poumons, un pancréas, je trouve ca simplement extraordinaire.
J'espere que tu ne crois pas qu'un organe comme l'oeil se soit formé en un coup, même pour les animaux dotés d'une mauvaise vue. Donc, si l'oeil n'est pas apparu en un coup, il est apparu par une multitude d'étape. Mais moi ce qui me sidére, c'est que ces animaux intermédiaires, avant que l'oeil n'aie la moindre utilité, aient survécu alors que l'oeil n'avait pas la moindre utilité. Pareil pour tous les autres organes.
Garion a écrit:Au fait Dc Renard, que penses-tu du chiffre de 4 mutations en moyenne par reproduction chez les primates, que j'ai lu dans un article scientifique sur le Web.
Ca te parait réaliste ?
Et le chiffre de Waddle, d'une chance sur 10 puissance 25 qu'apparaisse une mutation, tu en penses quoi ?
C'est combien chez les drosophiles ?


Garion a écrit:Je me requote au cas où tu ne l'aurai pas vu passer.Garion a écrit:Au fait Dc Renard, que penses-tu du chiffre de 4 mutations en moyenne par reproduction chez les primates, que j'ai lu dans un article scientifique sur le Web.
Ca te parait réaliste ?
Et le chiffre de Waddle, d'une chance sur 10 puissance 25 qu'apparaisse une mutation, tu en penses quoi ?
C'est combien chez les drosophiles ?

Waddle a écrit:La réalité c'est qu'il est un imposteur et qu'il n'en sait rien![]()
![]()
Non je rigole.


Garion a écrit:Pour la mort, c'est simple aussi : les conditions de vie ont toujours été changeantes sur terre
, donc une créature qui ne vieillit pas se retrouve forcément un jour ou l'autre dans un environnement où elle ne peut pas survivre, et c'est là où les créatures mortelles qui se renouvellent régulièrement peuvent survivre grace aux mutations qui peuvent leur permettre de s'adapter.

Waddle a écrit:Garion a écrit:Pour la mort, c'est simple aussi : les conditions de vie ont toujours été changeantes sur terre
Hum hum, ca c'est pas clair ca. Pour l'homme aussi tu trouves? Pour moi, ce n'est pas très convaincant.
, donc une créature qui ne vieillit pas se retrouve forcément un jour ou l'autre dans un environnement où elle ne peut pas survivre, et c'est là où les créatures mortelles qui se renouvellent régulièrement peuvent survivre grace aux mutations qui peuvent leur permettre de s'adapter.
Est ce que le fait d'être immortel empeche de se renouveller mon pote?
Ce que n'explique pas ton raisonnement, c'est le fait que, comme par magie, la vie d'un animal soit "volontairement" majorée. Au bout d'un moment, les cellules meurrent et ne se renouvellent plus. Comme si dans l'adn, c'était ecrit "tu vivras, tu grandiras, tu gueriras de tes blessures, mais a partir d'un moment, tu mourras".
Et c'est tres bizarre, puisque la mort n'apporte absolument rien a la survie des especes. Au contraire


Garion a écrit:Désolé, mais si tu ne meurt pas, la reproduction est forcément faible car il n'y aura pas assez de ressource pour les "nouveaux-né" qui mourront de faim. La mort permet de laisser de la place aux nouveaux.
Il y a déja eu des cellules qui ne viellissaient pas, mais elles se sont fait supplanté par celles qui vieillissaient et qui se renouvellaient plus vite. Elles étaient moins adaptées et se sont fait prendre le pain de la bouche.
La mort est un avantage.
De plus, même avec la meilleure biologie du monde, il y aura toujours des erreurs de réplication de cellule, cela ne peut être parfait. L'absence complète de vieillissement n'est pas techniquement réalisable.


Lo a écrit:C'est quoi ce truc "énergie sombre" ???
C'est ce qu'on appelait la "masse manquante " ?


Waddle a écrit:Garion, la selection naturelle choisit les plus forts, et pas les especes les plus fortes. Partant de la, meme s'il n'y a places pour mes enfants, moi je dois survivre. Je n'ai pas envie de laisser la place aux nouveaux. Et puis pour moi, a part quelques cas, je trouve que c'est un mythe cette histoire du "manque" de ressource.
La terre contient pour les hommes par exemples, enormément plus de ressources qu'il n'en faut pas nourrir l'humanité. On aurait du voir se développer des especes immorteles.
Encore le meme refrain. Je vais finir par croire qu'en fait, dans la forêt, il y a une seule espece d'herbivore qui existe, et une seule espece de carnivore: les plus forts dans leur domaine. Parce qu'apparrement, etre un peu moins "adapté" est une garantie de mort. Je le répète, c'est vrai dans certains cas (les niches ecologiques), mais la terre n'est pas une gigantesque niche écologique. Sinon il y a bien longtemps que l'homme serait mort, lui qui physiquement est archi mal adapté a son milieu.
Je ne vois pas en quoi le fait de ne pas vieillir, empeche ces especes de continuer a subir des mutations qui les ferait s'adapter aussi bien que les autres. La nature serait-elle impartiale au point de refuser trop d'avantage à une espece?
Non. Et meme si c'était le cas, cela n'explique pas pourquoi les cellules fonctionnent parfaitement, et un jour: paf! elles décident d'arreter de bosser. Ca ce me fascine quand meme.
Ah bon? Il suffirait simplement que les cellulles se renouvellent continument comme elles le font quand on a 25 ans non? Evidemment qu'il y aura des erreurs, mais crois moi, si la nature le voulait, elle aurait inventé le vieillissement.


Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 5 invités