Topic Coup de Coeur/Coup de Gueule

[Cyril]

Je crois qu'on en avait déjà discuté en privé, mais vous avez déjà essayé de voir avec elle pour rejoindre une association sociale, culturelle ou sportive ?

Elle est allée quelques mois le mercredi et parfois samedi à l'espace jeunes local mais elle n'a pas persévéré. Elle a fait aussi du cheval durant quelques mois en 2016 mais n'a pas non-plus persévéré. Il n'y a que le violon qu'elle pratique depuis quelques mois mais je ne sais pas trop ce que ça donne.
Elle n'est pas sportive pour deux sous de toutes façons. Elle se fatigue en un rien de temps.

Comme le dit Mav, le sport, c'est pas forcément naturel. Tu sais ce que je me mets dans la figure, mais tu m'aurais vu il y a 15 ans, j'étais un flan Il faut juste se mettre un bon coup de pied au derrière, mais ce n'est pas facile quand il s'agit de ton enfant que tu dois pousser.

Après, il n'y a pas que les activités sportives. N'importe quelle activité culturelle (c'est bien qu'elle ait attaqué le violon, instrument très ingrat, il faut de la volonté !) ou sociale (aide aux animaux, aux personnes, protection de l'environnement)... En côtoyant des jeunes dans ce cadre là, moins formel que celui de l'école, ça peut peut être l'aider ?

[Bob Williams]

Mon frère, 42 ans, vient de se voir decouvrir un légère intolérance au glucose. Depuis, ses problèmes de fatigue, d'insomnies, ont disparu.


Faut peut être se pencher sur l'alimentaire aussi pour ta fille.

Tu crois qu'on n'a pas essayé depuis le temps ? On a exploré plusieurs pistes, en vain.
J'avais des soucis du genre quand j'étais gamin. Ça ne s'est débloqué (enfin en partie) qu'a partir de 25 ans de manière progressive, lorsque je vivais avec la mère de ma fille. Mais les contraintes de l'entourage, familial/scolaire/..., ça ne fonctionne pas. On peut simplement l'encourager.

[Toma]

Bon, elle n'aime pas qu'on la touche, elle met des vêtements amples, donc elle a visuellement une attitude qui pourrait en faire une "victime".

J'ai pensé à ça, un élève peut avoir des bons copains et vivre un enfer au collège. Ça m'est arrivé.
J'ai pas quitté ou arrêté le collège mais j'avais des résultats très moyens et c'était une torture d'aller en classe.
Ça, les profs ne le voient pas "oh ils chahutent ce sont des ados" ou "il est très bien intégré et a des amis"
Et je n'ai jamais rien dit à mes parents et s'ils avaient demandé à mes vrais amis, je pense qu'ils n'auraient rien dit car ils ne se rendaient pas compte.

Ça m'a fait rire jaune quand il y a quelques années un gars du collège me recontacte sur Facebook pour savoir ce que je devenais comme si on était des vieux potes; sauf que ce gars passait son temps à se foutre de ma gueule, me piquer des trucs, monter les autres contre moi, m'humilier a la moindre occasion.

Anecdote "rigolote", je ne pouvais pas mettre les survêtements a la mode (avec les boutons pressions tout le long des jambes), sinon je finissais en sous vêtement à chaque récré donc c'était survêtement normal avec le lacet de taille serré a fond (parce que s'il n'y avait pas les boutons pressions il suffisait juste de tirer fort).

[Bob Williams]

Personne n'est sportif par nature. C'est en pratiquant qu'on le devient. Je suis plutôt de l'avis de Cyril, une activité en groupe quelqu'elle soit lui ferait sans doute du bien.

Il faut qu'il y ait un minimum d'envie. Moi par exemple, je n'en ai jamais eu envie, ben j'en ai jamais fait, sauf quand mes parents m'ont inscrit de force au foot quand j'avais 9-10 ans. Ça m'a encore plus braqué, sur le sport et le foot aussi d'ailleurs.

[Bob Williams]

Bon, elle n'aime pas qu'on la touche, elle met des vêtements amples, donc elle a visuellement une attitude qui pourrait en faire une "victime".

J'ai pensé à ça, un élève peut avoir des bons copains et vivre un enfer au collège. Ça m'est arrivé.
J'ai pas quitté ou arrêté le collège mais j'avais des résultats très moyens et c'était une torture d'aller en classe.
Ça, les profs ne le voient pas "oh ils chahutent ce sont des ados" ou "il est très bien intégré et a des amis"
Et je n'ai jamais rien dit à mes parents et s'ils avaient demandé à mes vrais amis, je pense qu'ils n'auraient rien dit car ils ne se rendaient pas compte.

Ça m'a fait rire jaune quand il y a quelques années un gars du collège me recontacte sur Facebook pour savoir ce que je devenais comme si on était des vieux potes; sauf que ce gars passait son temps à se foutre de ma gueule, me piquer des trucs, monter les autres contre moi, m'humilier a la moindre occasion.

Anecdote "rigolote", je ne pouvais pas mettre les survêtements a la mode (avec les boutons pressions tout le long des jambes), sinon je finissais en sous vêtement à chaque récré donc c'était survêtement normal avec le lacet de taille serré a fond (parce que s'il n'y avait pas les boutons pressions il suffisait juste de tirer fort).

Moi j'ai carrément fait l'inverse en essayant de contacter sur Facebook certains de mes bourreaux de l'époque et qui s'affichent avec leurs enfants, gendre idéal tout ça. Je voulais leur rappeler ce qu'ils m'ont fait à l'école. Je n'ai jamais eu de réponse.

[denifumi]

Bon, elle n'aime pas qu'on la touche, elle met des vêtements amples, donc elle a visuellement une attitude qui pourrait en faire une "victime".

J'ai pensé à ça, un élève peut avoir des bons copains et vivre un enfer au collège. Ça m'est arrivé.
J'ai pas quitté ou arrêté le collège mais j'avais des résultats très moyens et c'était une torture d'aller en classe.
Ça, les profs ne le voient pas "oh ils chahutent ce sont des ados" ou "il est très bien intégré et a des amis"
Et je n'ai jamais rien dit à mes parents et s'ils avaient demandé à mes vrais amis, je pense qu'ils n'auraient rien dit car ils ne se rendaient pas compte.

Ça m'a fait rire jaune quand il y a quelques années un gars du collège me recontacte sur Facebook pour savoir ce que je devenais comme si on était des vieux potes; sauf que ce gars passait son temps à se foutre de ma gueule, me piquer des trucs, monter les autres contre moi, m'humilier a la moindre occasion.

Anecdote "rigolote", je ne pouvais pas mettre les survêtements a la mode (avec les boutons pressions tout le long des jambes), sinon je finissais en sous vêtement à chaque récré donc c'était survêtement normal avec le lacet de taille serré a fond (parce que s'il n'y avait pas les boutons pressions il suffisait juste de tirer fort).

j'ai faillit vivre la meme chose en 6EME un groupe de gars me poussaient se foutaient de ma gueule car j'etais un peu petit pour mon age ,un jour il a voulu me piquer ma trousse dans mon cartable en rigolant par reflexe je lui ai mot mon poing dans sa gueule et je lui ai peté le nez,je le repete c'etait plus de la peur que de la violence pure et bien j'ai passé le reste de ma scolarité tranquille ma reputation de bagarreur me suivait a chaque classe et pourtant je ne me suis jamais battu.

[Nicklaus]

Bon, elle n'aime pas qu'on la touche, elle met des vêtements amples, donc elle a visuellement une attitude qui pourrait en faire une "victime".

J'ai pensé à ça, un élève peut avoir des bons copains et vivre un enfer au collège. Ça m'est arrivé.
J'ai pas quitté ou arrêté le collège mais j'avais des résultats très moyens et c'était une torture d'aller en classe.
Ça, les profs ne le voient pas "oh ils chahutent ce sont des ados" ou "il est très bien intégré et a des amis"
Et je n'ai jamais rien dit à mes parents et s'ils avaient demandé à mes vrais amis, je pense qu'ils n'auraient rien dit car ils ne se rendaient pas compte.

Ça m'a fait rire jaune quand il y a quelques années un gars du collège me recontacte sur Facebook pour savoir ce que je devenais comme si on était des vieux potes; sauf que ce gars passait son temps à se foutre de ma gueule, me piquer des trucs, monter les autres contre moi, m'humilier a la moindre occasion.

Anecdote "rigolote", je ne pouvais pas mettre les survêtements a la mode (avec les boutons pressions tout le long des jambes), sinon je finissais en sous vêtement à chaque récré donc c'était survêtement normal avec le lacet de taille serré a fond (parce que s'il n'y avait pas les boutons pressions il suffisait juste de tirer fort).

Moi j'ai carrément fait l'inverse en essayant de contacter sur Facebook certains de mes bourreaux de l'époque et qui s'affichent avec leurs enfants, gendre idéal tout ça. Je voulais leur rappeler ce qu'ils m'ont fait à l'école. Je n'ai jamais eu de réponse.

mauvaise idée, il faut laisser ses connards derrière soi, ne pas leur donner de l'importance plus de 20 ans après. en plus ça relance la gamberge. Je n'ai plus aucun contact avec les enfoirés du collège. Ma seule vengeance, c'est sur la chaîne youtube du collège, la prof en question était sur une vidéo, je l'ai bien pourri en dénonçant ses agissements. Depuis, les commentaires sont désactivés sur cette chaîne.

[Toma]

Ils ont vu tout de suite que j'étais trop gentil et que je m'étais laissé faire.
Et puis a la 1ere rébellion le CPE m'etait tomber dessus, ils s'etaient tous plaint de mon caractère aggressif sans raison. Et la c'était foutu pour le reste du collège.

[Nicklaus]

Bon, elle n'aime pas qu'on la touche, elle met des vêtements amples, donc elle a visuellement une attitude qui pourrait en faire une "victime".

J'ai pensé à ça, un élève peut avoir des bons copains et vivre un enfer au collège. Ça m'est arrivé.
J'ai pas quitté ou arrêté le collège mais j'avais des résultats très moyens et c'était une torture d'aller en classe.
Ça, les profs ne le voient pas "oh ils chahutent ce sont des ados" ou "il est très bien intégré et a des amis"
Et je n'ai jamais rien dit à mes parents et s'ils avaient demandé à mes vrais amis, je pense qu'ils n'auraient rien dit car ils ne se rendaient pas compte.

Ça m'a fait rire jaune quand il y a quelques années un gars du collège me recontacte sur Facebook pour savoir ce que je devenais comme si on était des vieux potes; sauf que ce gars passait son temps à se foutre de ma gueule, me piquer des trucs, monter les autres contre moi, m'humilier a la moindre occasion.

Anecdote "rigolote", je ne pouvais pas mettre les survêtements a la mode (avec les boutons pressions tout le long des jambes), sinon je finissais en sous vêtement à chaque récré donc c'était survêtement normal avec le lacet de taille serré a fond (parce que s'il n'y avait pas les boutons pressions il suffisait juste de tirer fort).

Ca va, tu n'as pas passé 3 ans à rester seul dans un coin pendant la récré du jour au lendemain sans savoir pourquoi avant que quelqu'un t'explique que c'est sur " ordre" de la prof principale. C'était sympa le sport au moment de faire les équipes, personne ne veut de toi alors par dépit, le prof te file le sifflet. Ah ouais et le mariage de la prof de français dont personne ne t'a parlé et tout d'un coup, tu vois qu'on lui apporte un cadeau avec le nom de tous les élèves et qu'elle te demande pourquoi t'es pas sur la liste. Et bien sûr, histoire que ce soit complet, son mari avait le même nom de famille que moi, super les blagues après....... Un régal ces années.
Je n'ai rien dit non plus à mes parents avant l'âge de 35 ans.

[Cortese]

Ce genre de choses était inimaginable à mon époque (années 60) . Sans doute parce qu'il était inimaginable que le monopole de la violence ne soit pas entre les mains des deux surveillants généraux qui patrouillaient sans relâche les couloirs (à l'architecture 19eS par elle même hautement intimidante) du lycée (6e à terminale).

[Stéphane]

Ouais, à ton epoque, cetait les surveillants les harceleurs, ça aidait pour la cohésion des élèves

[Ouais_supère]

#jesuisSurgé

[Cortese]

Ouais, à ton epoque, cetait les surveillants les harceleurs, ça aidait pour la cohésion des élèves

Non, il y avait une discipline intransigeante qui n'avait même pas besoin de sanctionner les gens, tout le monde trouvait ça normal et la paix régnait. Il y avait une super ambiance entre nous. On était très heureux (à part qu'on n'avait pas de gonzesses).

[Cortese]

#jesuisSurgé

[Lola T70]

#jesuisSurgé

Cela ne s appelle plus comme cela àc maonnaissance. Conseiller principal d éducation

[Maverick]

Bah merde, vous avez eu une adolescence difficile.

[Nicklaus]

Ca n'allait pas jusqu'à créer des troubles mais comme je l'ai dit, je séchais certains cours par exemple et ça modifie ton comportement.

[Cyril]

J'ai été également pas mal emmerdé en primaire, collège et lycée (voir même parfois en université). Quand on est le plus petit de la classe, pas agressif pour deux sous mais qui ne se laisse pas faire non plus, ça n'aide pas. Finalement, ce qui m'a permis de me libérer, c'est quitter la région et commencer un cursus scolaire dans un établissement où il n'y avait personne qui me connaissait.

[Feyd]

Bah merde, vous avez eu une adolescence difficile.

Le coup d'être le dernier à être "choisi" (par défaut donc) en cours d'EPS pour faire des équipes, je connais bien. Quant tu vois tes soit disant potes qui te snobent et que tu es le dernier à rester comme un con, tu te manges une belle humiliation en pleine tronche. Tout comme les soit disant potes qui distribuent les cartes d'invitation pour un annif et que tu n'en reçois jamais une (et que toi qd tu les invites, ils ne viennent pas). A partir de ces exemples, se forge l'idée très jeune que l'on ne peut pas faire confiance aux gens qui ne sont en fait que des hypocrites. Je me rappelle aussi cette fille en classe de 8ème ou 7ème qui était à côté de moi et pour des raisons dont je ne me souviens plus avait levé le doigt pour dire à la prof "Madame, il m'a traité de salope !" (ce qui était faux évidemment, par contre elle avait raison sans le savoir en effet, c'était bien une salope). Au lycée, je n'ai jamais compris pourquoi des types d'une autre classe que je ne connaissais pas m'ont qualifié de "vélociraptor". Je ne leur avait rien demandé et voilà qu'on m'appelle comme ça.

Ce genre d'expériences vécues durant l'enfance et l'adolescence marquent incontestablement au fer rouge et transforme complètement l'idée que l'on se fait du rapport à avoir avec les gens. Donc pas surprenant que je sois de tendance misanthrope.

[Alfa]

J'ai également connu un demi calvaire en 6e dans un collège ou je ne connaissais personne, je faisais un peu bande a part (les mioches aime pas les gens seul), jusqu'au jour ou je me suis découvert a savoir dessiner en classe ! des voitures et des caricatures.

La on s'est intéressé a ce que je faisais, et je prenais plaisir a dessiner leur sales tronches !

[Cyril]

Concernant les cours d'EPS, j'étais aussi un des derniers à être choisi dans les sports d'équipe. Mais d'un côté, je ne peux pas les blâmer, je suis nul avec un ballon aux pieds ou aux mains et les gamins à cet age voulaient gagner comme si leur vie en dépendaient.

Au lycée, il m'était arrivé une drôle d'histoire. On devait choisir en début d'année un trio de sport pour l'année, sur lequel on serait évalué. Et le trio de sport qui intéressait la majorité des classes comportait l'endurance dedans. Ils voulaient ce trio non pas pour l'endurance, mais pour un autre sport (je ne sais plus lequel). Même si je ne courrais pas à l'époque, je savais que j'avais quelques dispositions pour les efforts longs et je voulais absolument ce trio de sport. Pensant que les places étaient limitées pour chaque trio, un des caïds de la classe vient me voir et me dit "si j'ai pas ces sports, tu vas passer un mauvais quart d'heure, surtout que t'es nul en sport" (ou quelque chose dans ce genre). Finalement, tout le monde a eu ce qu'il voulait, mais au moment du cycle endurance, ce petit con la ramenait moins quand je lui prenais des tours de stade

[Nicklaus]

Il y a une différence entre être choisi le dernier parce qu'on te trouve nul et que le reste de la classe refuse catégoriquement ta présence

[Stéphane]

Ouais, moi jetais choisi en dernier mais jen foutais pas une non plus.
Un jour le prof m'a dit, si t'as pas envie de faire d'effort tu peux aller te rhabiller. Donc, je m'execute et il rappelle 'qu'est-ce que tu fais?', ben je vais me rhabiller, vous aviez dit que je pouvais. Tout le monde s'est marré, et pas pour se foutre de moi.


Ou alors, on faisait une equipe vraiment de potes, on se marait bien, et du coup les mecs en face qui jouaient leurs vies avaient même pas la fierté de nous battre.

[Ouais_supère]

#jesuisSurgé

Cela ne s appelle plus comme cela àc maonnaissance. Conseiller principal d éducation

AH BON ???

Plaisanterie mise à part, l'appellation existe encore dans le privé (entre nombre d'autres).

[Shoemaker]

#jesuisSurgé

Cela ne s appelle plus comme cela àc maonnaissance. Conseiller principal d éducation

AH BON ???

Plaisanterie mise à part, l'appellation existe encore dans le privé (entre nombre d'autres).

Au lycée François 1er à Fontainebleau, pour proviseur, on disait (en jargon) "Protal". J'avoue que je n'ai jamais entendu ce mot ailleurs.
Quelqu'un connaît ?...

(bon, c'était vers 66-67 hein... )

[rozz]

Au lycée François 1er à Fontainebleau, pour proviseur, on disait (en jargon) "Protal". J'avoue que je n'ai jamais entendu ce mot ailleurs.
Quelqu'un connaît ?...

(bon, c'était vers 66-67 hein... )

yes, en 84-86 ça s'utilisait toujours en tout cas et pas qu'à Fontaaaaaainebleauuuuuuuu

[Shoemaker]

Au lycée François 1er à Fontainebleau, pour proviseur, on disait (en jargon) "Protal". J'avoue que je n'ai jamais entendu ce mot ailleurs.
Quelqu'un connaît ?...

(bon, c'était vers 66-67 hein... )

yes, en 84-86 ça s'utilisait toujours en tout cas et pas qu'à Fontaaaaaainebleauuuuuuuu

Me voilà rassuré !

[Alfa]

En 92 c’était déjà fini par contre.

[rozz]

on avait un "surgé" aussi, qu'on commencait à appeler CPE....
le pauvre, fortement diabétique, il était miro comme une taupe et ne voyait rien de precis à + de 5metres.... du coup il n'etait pas bien craint.
Je me rappelle qu'il avait engueulé une chaise (!) sur laquelle quelqu'un avait laissé son blouson.....

[Shoemaker]

Pour en rester à mes années d'internat à Fontainebleau, on avait 2 surgé : L'un avec un accent marseillais à découper au couteau, grande gueule mais pas méchant, et l'autre, plutôt sympa aussi, était pied bot. Il avait un pied qu'il traînait "lamentablement". Son look vraiment "vieille France" même pour l'époque ! Blouse grise, béret, etc. Cela dit, 68 pointait son nez, quand même, et il commençait vraiment à "dater".
Et un jour, par hasard, je le surprend dans un coin isolé du lycée, extirpant d'un garage une super grosse moto, genre Triumph des années 60, un monstre ! Discret, je regarde la scène planqué dans un coin. Il fait avancer la moto dehors, par la petite porte de sortie isolée, avec les difficultés qu'on imagine pour un handicapé, etc. Une fois prêt, il range son béret, et met un super casque cuir tout ça, avec les lunettes adéquates. Puis, il saisit son pied handicapé, et ... carrément le jette, le balance, sur la moto ! Et le voilà sur le monstre, soudain, super à l'aise ! Il a démarré en trombe, mais vraiment tel un Aigle de la route !
Depuis ce jour-là, je l'ai regardé avec d'autres yeux, grand respect !

[Nuvo]

Et là tout à coup, la chanson de Julien Clerc me vient en tête : quand je vois les motos sauvages... qui traversent nos villages !

[Shoemaker]

Et là tout à coup, la chanson de Julien Clerc me vient en tête : quand je vois les motos sauvages... qui traversent nos villages !

[Cortese]

Ah les motos sauvages, j'ai bien connu !
A Alger j'habitais face au port, qui était longé par une large avenue à quatre voie. Le jour c'était la rumeur sourde de l'embouteillage sur les trois voies en gradin que je surplombais. Un jour avec ma mère on avait compté plus de 400 véhicules, moteur tournant. La nuit s'était calme (Alger était traditionnellement une ville qui vit le jour), mais il y avait toujours un petit malin à 3heures du matin, en mobylette à échappement libre (ce qui devait lui faire perdre au moins 20% de sa misérable puissance) qui mettait bien une minute pour parcourir les cinq cent mètres dans un zinzinabulement de moustique géant du crétacé supérieur qui te tirait de ton sommeil légitime. En banlieue parisienne, dans la cité près du rond point, c'était les couinements métalliques des petits 125 des Mad Max du pauvre qui te découpaient le crâne autour des pointillés. Dans mon petit village touristique c'est les Harley-Davidson et les quads et autre marteaux pneumatiques à pneus qui te défoncent la gueule à coups de décibels. Dans les trois cas, je pense qu'il serait légitime d'autoriser le port d'armes de chasse pour les riverains, et de la déclarer ouverte à l'année pour ces nuisibles mal faisans.

[Alfa]

Ah les motos sauvages, j'ai bien connu !
A Alger j'habitais face au port, qui était longé par une large avenue à quatre voie. Le jour c'était la rumeur sourde de l'embouteillage sur les trois voies en gradin que je surplombais. Un jour avec ma mère on avait compté plus de 400 véhicules, moteur tournant. La nuit s'était calme (Alger était traditionnellement une ville qui vit le jour), mais il y avait toujours un petit malin à 3heures du matin, en mobylette à échappement libre (ce qui devait lui faire perdre au moins 20% de sa misérable puissance) qui mettait bien une minute pour parcourir les cinq cent mètres dans un zinzinabulement de moustique géant du crétacé supérieur qui te tirait de ton sommeil légitime. En banlieue parisienne, dans la cité près du rond point, c'était les couinements métalliques des petits 125 des Mad Max du pauvre qui te découpaient le crâne autour des pointillés. Dans mon petit village touristique c'est les Harley-Davidson et les quads et autre marteaux pneumatiques à pneus qui te défoncent la gueule à coups de décibels. Dans les trois cas, je pense qu'il serait légitime d'autoriser le port d'armes de chasse pour les riverains, et de la déclarer ouverte à l'année pour ces nuisibles mal faisans.

Ca me rappelle quand j'habitais en Belgique au bord d'une longue ligne droite de 2 kilomètres au moins. A minuit, un zigoto passait régulièrement avec une mobylette qui n’avançait pas mais faisait un bruit du diable, il mettais je ne sais combien de minute pour passer.
Le pire c'est quand il revenait en sens inverse ! puis un jour fini terminé. Cependant les voitures parfois c'est pas beaucoup mieux.

[Cortese]

Ah les motos sauvages, j'ai bien connu !
A Alger j'habitais face au port, qui était longé par une large avenue à quatre voie. Le jour c'était la rumeur sourde de l'embouteillage sur les trois voies en gradin que je surplombais. Un jour avec ma mère on avait compté plus de 400 véhicules, moteur tournant. La nuit s'était calme (Alger était traditionnellement une ville qui vit le jour), mais il y avait toujours un petit malin à 3heures du matin, en mobylette à échappement libre (ce qui devait lui faire perdre au moins 20% de sa misérable puissance) qui mettait bien une minute pour parcourir les cinq cent mètres dans un zinzinabulement de moustique géant du crétacé supérieur qui te tirait de ton sommeil légitime. En banlieue parisienne, dans la cité près du rond point, c'était les couinements métalliques des petits 125 des Mad Max du pauvre qui te découpaient le crâne autour des pointillés. Dans mon petit village touristique c'est les Harley-Davidson et les quads et autre marteaux pneumatiques à pneus qui te défoncent la gueule à coups de décibels. Dans les trois cas, je pense qu'il serait légitime d'autoriser le port d'armes de chasse pour les riverains, et de la déclarer ouverte à l'année pour ces nuisibles mal faisans.

Ca me rappelle quand j'habitais en Belgique au bord d'une longue ligne droite de 2 kilomètres au moins. A minuit, un zigoto passait régulièrement avec une mobylette qui n’avançait pas mais faisait un bruit du diable, il mettais je ne sais combien de minute pour passer.
Le pire c'est quand il revenait en sens inverse ! puis un jour fini terminé. Cependant les voitures parfois c'est pas beaucoup mieux.

J'ai même demandé aux gendarmes si c'était légal, homologué, ces machins. Le gars a eu l'air désolé et il m'a dit : on n'a pas de matériel, on n'a pas de moyens…

[Nuvo]

Heureusement qu'on est passé à l’électrique ! Je vois beaucoup moins de connards avec leurs pétrolettes infernales.
Comme quoi tout n'était pas mieux avant !

[Nuvo]

Et là tout à coup, la chanson de Julien Clerc me vient en tête : quand je vois les motos sauvages... qui traversent nos villages !

C'est un des moments de télévision qui m'a marqué ado : l'émission "paris dernière" de frédéric taddéï sur Paris Première, à la fin des années 90 début 2000.
Il allait dans des coins de Paris insensés, faisait des rencontres de dingue. une fois il suit un graph, une autre se retrouve sur un tournage porno, puis dans un bar avec Soral je me souviens ! A l'époque où c'était un dragueur de rue. La bande son était souvent composée de cover improbables. Et finissait toujours par A day in the life de Sergent Pepper's.

Une nuit, il se retrouve avec un groupe de motards dans un bar et ils l'emmènent avec eux faire un tour des grands boulevards. Une vraie parade. Et là Taddéï envoie la Cavalerie de Julien Clerc. un instant magique que je n'ai jamais revu en replay et pourtant je ne l'ai jamais oublié.

[Feyd]

Heureusement qu'on est passé à l’électrique ! Je vois beaucoup moins de connards avec leurs pétrolettes infernales.
Comme quoi tout n'était pas mieux avant !

Les motos électriques sont une bonne chose. Les voitures beaucoup moins.

[Bob Williams]

Motos électriques ?!?!
Au bûcher !
Puis attention à ne pas confondre cyclomoteurs et motos. J'entends trop souvent cette confusion.

[Cortese]

Si les motos (et cyclos) à moteur thermique sont interdites un jour, ça sera bien mérité pour la majorité des motards qui visiblement n'ont que le plus grand mépris pour le reste de l'humanité. C'est indispensable de donner de grands d'accélérateur en traversant un village ?

[Cyril]

Et on parle des cyclistes ? Cette lie de l'humanité qui râle contre les voitures qui ne les respectent pas mais qui n'hésitent pas à passer de front sur un chemin, sans ralentir, obligeant les coureurs (ou marcheurs) à se jeter dans les buissons pour ne pas se prendre une coup de guidon Ou qui arrivent derrière toi en donnant un coup de sonnette comme si tu étais du simple bétail et sans un merci ni merde quand tu t'écartes pour les laisser passer ?