Faites ch.... les mecs, on doit pas rigoler ici !
Dans mon patelin d'origine au fin fond du trou du cul du monde, quand quelqu'un mourrait, bon, on se réunit, on pleure, on se lamente, tout ça...
Puis, pendant la veillée, quand ne restaient que les plus proches, les choses se décompressaient, les esprits s'apaisaient, et, surtout chez mes tantes, ça finissait toujours par des fou-rires no limite ! A l'époque, ça me choquait. Mais maintenant, je comprends leur grande sagesse !
Le papa de la tribu Debré, qui se souvient que le canard l'appelait "l'Amer Michel" ?
(deux frères d'un coup, quand même !)