heow a écrit:J'attends la consigne de vote de porcaro, vous devriez en faire de même.
(qui risque de changer 5 fois d'ici 15 jours, certes)
Ce n'est sera pas Macron de toute façon
Modérateurs: Garion, Silverwitch
heow a écrit:J'attends la consigne de vote de porcaro, vous devriez en faire de même.
(qui risque de changer 5 fois d'ici 15 jours, certes)
Nuvo a écrit:Aym a écrit:Y'a un truc hallucinant quand même, quand on y pense : ça fait 3 ans au moins qu'on sait que Le Pen sera au second tour, et tout le monde s'est habitué à cette idée tranquillement.
En 2002, on a eu 2 semaines d'entre-deux tours avec plein de manifs anti-FN, là ça s'annonce très calme. Je crois que c'est une des plus grandes victoires de Le Pen, cet état d'esprit. Elle a fait accepter le FN comme un parti légitime.
Tu as vu ce que çà a donné les 82% de Chirac ?
Tu as vu le passage de Jospin disant que le FN était un parti d'extrême-droite, aux tendances autoritaires et xénophobes, mais ce n'est pas un parti fasciste. Donc l'anti-fascisme est du théâtre. En effet, Marine Le Pen n'appelle pas au reversement de la République et ses troupes ne défilent pas en armes avec des tenues paramilitaires.
Donc on peut comprendre que cette fois-ci, on ne va pas avoir la même réaction.
D'ailleurs Macron a feté sa victoire hier. Il n'avait pas l'air trop triste de se retrouver seul face à l'extrême droite.
Quand j'ai entendu Collard dire qu'il allait falloir choisir "entre le peuple et la banque", je me suis dit houla, çà peut faire mal çà.
Nuvo a écrit:Quand j'ai entendu Collard dire qu'il allait falloir choisir "entre le peuple et la banque", je me suis dit houla, çà peut faire mal çà.
Silverwitch a écrit:Ni Macron, ni Le Pen pour moi. Vote blanc ou abstention, probablement un dimanche à la campagne.
DCP a écrit:Silverwitch a écrit:Ni Macron, ni Le Pen pour moi. Vote blanc ou abstention, probablement un dimanche à la campagne.
Fosseyeuse de la République, tu n'as pas honte...![]()
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Blague à part, les partisans de la France insoumise interrogés hier soir avaient la même réaction que toi...
Alfa a écrit:J'ai jamais ressentit ca, cette impression qu'on nous mène vraiment en bateau politiquement, et ca me donne vraiment envie de voter FN au second tour.
Mais bon j'ai autre chose a faire donc j'irais pas voter.
Ouais_supère a écrit:
Il a passé le plus clair de son temps à relativiser son soutien à Macron, genre "moi je mange de ce pain-là, mais à contre-cœur, à défaut, avec du recul, à distance".
Et qu'est-ce qu'il a fait en sortant ?
Il a été bouffer avec Macron !!
Aym a écrit:Ouais_supère a écrit:
Il a passé le plus clair de son temps à relativiser son soutien à Macron, genre "moi je mange de ce pain-là, mais à contre-cœur, à défaut, avec du recul, à distance".
Et qu'est-ce qu'il a fait en sortant ?
Il a été bouffer avec Macron !!
oui, mais pas du pain. Donc ça va.
Toma a écrit:Quand on aime l'immobilisme, on vote Macron.
Tout le monde va faire la leche a Macron pour des investitures aux legislatives
Dans 6 mois, LR et le PS feront comme si rien ne s'était passé et en 2022 on remet ça.
Sylphus a écrit:J'irai voter Macron, sans problème. Quand on aime la France, on vote Macron.
Silverwitch a écrit:Ni Macron, ni Le Pen pour moi. Vote blanc ou abstention, probablement un dimanche à la campagne.
Ce sera mon dernier post politique avant longtemps. Il exprime ma surprise, et mon écœurement, devant la réaction infantile et inepte de nombre de mes amis proches de l'extrême-gauche (mais ça, ça ne me surprend pas) et de Mélenchon (et là, je suis sidéré, même si je sentais le coup venir depuis une quinzaine de jours…).
Ainsi, on n'ira pas au deuxième tour… Ah! que non! Pas question de voter pour un "libéral", quand bien même l'abstention devrait placer à la tête du pays une néo-fasciste face un républicain. Nous avons perdu? Nous ne sommes pas (et ne serons jamais) majoritaires? Qu'ils crèvent, nos "adversaires". Qu'advienne le pire, Marine Le Pen, puisque nous n'avons pas réussi à porter en tête notre Grand Leader!
Politique du pire: un classique de l'extrême-gauche infantile et inconséquente, aveuglée par l'idéologie.
Voici ce que je répondais, sur un autre fil, à mes "amis" (probablement bientôt "ex": bon vent à tous, mais soyez sûrs que votre violence ne passera pas et que les républicains ne se laisseront pas intimider!).
…"
Depuis une dizaine de jours, devant la violence sidérante des "arguments" des mélenchonistes, j'avais mis la pédale douce sur la politique. Désinformation, mensonges, promesses infantiles, agressivité, violence et brutalité à la moindre critique sur le leader maximo… de quoi dégoûter ceux qui tentent de réfléchir sans se laisser déborder par l'idéologie.
Bon, c'est plié, vous avez perdu et là, on voit le vrai visage de Mélenchon: mauvais perdant et antidémocrate au petit pied.
Pendant des mois, il vous a mené par le bout du nez avec sa rhétorique, vous imposant une pensée unique et des éléments de langage (qui ont - du reste - achevé de me détourner de ce mouvement). Et après le résultat, qu'il n'accepte pas, le voilà qui renvoie dos-à-dos un parti néo-fasciste et un républicain en jouant les grands seigneurs: "je ne vous imposerai pas de consigne de vote".
Macron… Certes, un libéral… mais tout de même un républicain.
Et tout cela sous le fallacieux prétexte - qui nous renvoie aux sixties - du "blanc bonnet et bonnet blanc", comme s'il pouvait y avoir la moindre hésitation entre un Macron, quoi que l'on en pense par ailleurs, et une Marine Le Pen!
C'est juste dingue d'avoir pu être assez décérébré par le verbe de notre Che de sous-préfecture pour ne pas voir ce que signifie son absence de prise de position claire sur une situation qui ne souffre pourtant pas d'atermoiements.
Au passage, à destination de mes amis maçons, je rappellerai avant de me retirer sur l'Aventin, que l'on ne s'abstient pas en loge et que cette habitude gagnerait à être transposée dans la vraie vie. Vous avez le choix entre le gris et le noir: il a plus de lumière et moins d'ombre dans le gris. Je voterai gris sans enthousiasme, mais sans barguigner!
…"Bonjour /.../. Mais ne crois tu pas aussi que l'abstention est un choix politique ? Que comptes-tu sauver en votant Macron contre MLP ? Le "progrès" ? La République ? N'as-tu pas l'impression que depuis 15 ans on ne cesse d'écoper ? Je comprends parfaitement, moi, électeur gaulliste [Note Personnelle, pour ceux qui me connaissent depuis 18 ans sur ce forum, c'est le mouvement naturel dans lequel la maturité m'a conduit. Je suis un "manginiste" au départ - pour ceux qui connaissent l'histoire de la conduite militaire et stratégique de la 1ère guerre mondiale, cela vous apparaitra donc comme logique] , l'attitude de Mélenchon. A priori, il y a un très gros problème en France qui fait de l'extrême droite française, contenue à 5/6% d'irréductibles traditionnellement dans ce pays, à des sommets de popularité qui ne devraient pas seulement t'alarmer par rapport à tes positions, mais t'avertir comme conséquence à certaines causes que nous n'avons pas résolues. L'électeur FN, n'est pas à 80% un "ligueur" trouvant ses racines dans la vieille doxa des Guise. Voter Macron, parce que c'est la République ? Mais laquelle ? Qu'est-ce que c'est que ce "Deus Ex machina" qu'on nous sort d'un chapeau ? On va dans le mur ? Et voter ce personnage, penses tu, nous l'évitera ? Moi, je crois qu'on ne fait que ralentir les choses. On ira dans le mur. Il n'est plus temps de tenter de s'opposer, mon Cher /.../. Mais d'affronter.
La rose et le réséda, hein.
[...]
Et en réponse à un ami commun qui m'interpellait :
la république
celle qui nous permet de manifester de se syndiquer...
Ah, la République de Macron ? La République des banques ? Des transnationales ? De la dette publique qui nous enferme d'avantage chaque jour entre les mains de nos créanciers et limite notre liberté désormais, non plus au "social", mais au "sociétal" ? Au gadget des uns contre les autres et le bien commun ? /.../ nous évoquait les nuances entre le gris et le noir. Et choisir le blanc dans l'enveloppe, en attendant le choc à venir, c'est aussi faire un choix. Républicain. Parce que la République nous offre aussi cette option.
von Rauffenstein a écrit:Non. Mon "pote" n'est pas "macroniste". Il continue de croire en de vieilles lunes et qu'il sauvera ainsi la république en choisissant le "moindre mal". je me demande comment autant d'intelligence et de réflexions, pendant tant d'années, peut aveugler à ce point.
Toma a écrit:L'humoriste et grand democrate Gustave Parking appelle a signer une petition interdisant le FN a se présenter a l'election presidentielle (uniquement legislatives et municipales.
Toma a écrit:L'humoriste et grand democrate Gustave Parking appelle a signer une petition interdisant le FN a se présenter a l'election presidentielle (uniquement legislatives et municipales.
Moi je serai sur une course historique à Dijon.von Rauffenstein a écrit:Silverwitch a écrit:Ni Macron, ni Le Pen pour moi. Vote blanc ou abstention, probablement un dimanche à la campagne.
Pareil.
Très jolis coins à pêcher dans l'Ain.
Sinon, ma réponse à un ami Maçon, très haut Gradé (je précise que je suis "profane" ; quant à lui, il ne s'en cache pas et en est un militant très actif, donc je me permets de poster, sans faire mention de son nom, ce qu'il a rédigé sur son mur FB et ma réponse).Ce sera mon dernier post politique avant longtemps. Il exprime ma surprise, et mon écœurement, devant la réaction infantile et inepte de nombre de mes amis proches de l'extrême-gauche (mais ça, ça ne me surprend pas) et de Mélenchon (et là, je suis sidéré, même si je sentais le coup venir depuis une quinzaine de jours…).
Ainsi, on n'ira pas au deuxième tour… Ah! que non! Pas question de voter pour un "libéral", quand bien même l'abstention devrait placer à la tête du pays une néo-fasciste face un républicain. Nous avons perdu? Nous ne sommes pas (et ne serons jamais) majoritaires? Qu'ils crèvent, nos "adversaires". Qu'advienne le pire, Marine Le Pen, puisque nous n'avons pas réussi à porter en tête notre Grand Leader!
Politique du pire: un classique de l'extrême-gauche infantile et inconséquente, aveuglée par l'idéologie.
Voici ce que je répondais, sur un autre fil, à mes "amis" (probablement bientôt "ex": bon vent à tous, mais soyez sûrs que votre violence ne passera pas et que les républicains ne se laisseront pas intimider!).
…"
Depuis une dizaine de jours, devant la violence sidérante des "arguments" des mélenchonistes, j'avais mis la pédale douce sur la politique. Désinformation, mensonges, promesses infantiles, agressivité, violence et brutalité à la moindre critique sur le leader maximo… de quoi dégoûter ceux qui tentent de réfléchir sans se laisser déborder par l'idéologie.
Bon, c'est plié, vous avez perdu et là, on voit le vrai visage de Mélenchon: mauvais perdant et antidémocrate au petit pied.
Pendant des mois, il vous a mené par le bout du nez avec sa rhétorique, vous imposant une pensée unique et des éléments de langage (qui ont - du reste - achevé de me détourner de ce mouvement). Et après le résultat, qu'il n'accepte pas, le voilà qui renvoie dos-à-dos un parti néo-fasciste et un républicain en jouant les grands seigneurs: "je ne vous imposerai pas de consigne de vote".
Macron… Certes, un libéral… mais tout de même un républicain.
Et tout cela sous le fallacieux prétexte - qui nous renvoie aux sixties - du "blanc bonnet et bonnet blanc", comme s'il pouvait y avoir la moindre hésitation entre un Macron, quoi que l'on en pense par ailleurs, et une Marine Le Pen!
C'est juste dingue d'avoir pu être assez décérébré par le verbe de notre Che de sous-préfecture pour ne pas voir ce que signifie son absence de prise de position claire sur une situation qui ne souffre pourtant pas d'atermoiements.
Au passage, à destination de mes amis maçons, je rappellerai avant de me retirer sur l'Aventin, que l'on ne s'abstient pas en loge et que cette habitude gagnerait à être transposée dans la vraie vie. Vous avez le choix entre le gris et le noir: il a plus de lumière et moins d'ombre dans le gris. Je voterai gris sans enthousiasme, mais sans barguigner!
…"Bonjour /.../. Mais ne crois tu pas aussi que l'abstention est un choix politique ? Que comptes-tu sauver en votant Macron contre MLP ? Le "progrès" ? La République ? N'as-tu pas l'impression que depuis 15 ans on ne cesse d'écoper ? Je comprends parfaitement, moi, électeur gaulliste [Note Personnelle, pour ceux qui me connaissent depuis 18 ans sur ce forum, c'est le mouvement naturel dans lequel la maturité m'a conduit. Je suis un "manginiste" au départ - pour ceux qui connaissent l'histoire de la conduite militaire et stratégique de la 1ère guerre mondiale, cela vous apparaitra donc comme logique] , l'attitude de Mélenchon. A priori, il y a un très gros problème en France qui fait de l'extrême droite française, contenue à 5/6% d'irréductibles traditionnellement dans ce pays, à des sommets de popularité qui ne devraient pas seulement t'alarmer par rapport à tes positions, mais t'avertir comme conséquence à certaines causes que nous n'avons pas résolues. L'électeur FN, n'est pas à 80% un "ligueur" trouvant ses racines dans la vieille doxa des Guise. Voter Macron, parce que c'est la République ? Mais laquelle ? Qu'est-ce que c'est que ce "Deus Ex machina" qu'on nous sort d'un chapeau ? On va dans le mur ? Et voter ce personnage, penses tu, nous l'évitera ? Moi, je crois qu'on ne fait que ralentir les choses. On ira dans le mur. Il n'est plus temps de tenter de s'opposer, mon Cher /.../. Mais d'affronter.
La rose et le réséda, hein.
[...]
Et en réponse à un ami commun qui m'interpellait :
la république
celle qui nous permet de manifester de se syndiquer...
Ah, la République de Macron ? La République des banques ? Des transnationales ? De la dette publique qui nous enferme d'avantage chaque jour entre les mains de nos créanciers et limite notre liberté désormais, non plus au "social", mais au "sociétal" ? Au gadget des uns contre les autres et le bien commun ? /.../ nous évoquait les nuances entre le gris et le noir. Et choisir le blanc dans l'enveloppe, en attendant le choc à venir, c'est aussi faire un choix. Républicain. Parce que la République nous offre aussi cette option.
porcaro77 a écrit:von Rauffenstein a écrit:Silverwitch a écrit:Ni Macron, ni Le Pen pour moi. Vote blanc ou abstention, probablement un dimanche à la campagne.
Pareil.
Très jolis coins à pêcher dans l'Ain.
Sinon, ma réponse à un ami Maçon, très haut Gradé (je précise que je suis "profane" ; quant à lui, il ne s'en cache pas et en est un militant très actif, donc je me permets de poster, sans faire mention de son nom, ce qu'il a rédigé sur son mur FB et ma réponse).
Moi je serai sur une course historique à Dijon.Ce sera mon dernier post politique avant longtemps. Il exprime ma surprise, et mon écœurement, devant la réaction infantile et inepte de nombre de mes amis proches de l'extrême-gauche (mais ça, ça ne me surprend pas) et de Mélenchon (et là, je suis sidéré, même si je sentais le coup venir depuis une quinzaine de jours…).
Ainsi, on n'ira pas au deuxième tour… Ah! que non! Pas question de voter pour un "libéral", quand bien même l'abstention devrait placer à la tête du pays une néo-fasciste face un républicain. Nous avons perdu? Nous ne sommes pas (et ne serons jamais) majoritaires? Qu'ils crèvent, nos "adversaires". Qu'advienne le pire, Marine Le Pen, puisque nous n'avons pas réussi à porter en tête notre Grand Leader!
Politique du pire: un classique de l'extrême-gauche infantile et inconséquente, aveuglée par l'idéologie.
Voici ce que je répondais, sur un autre fil, à mes "amis" (probablement bientôt "ex": bon vent à tous, mais soyez sûrs que votre violence ne passera pas et que les républicains ne se laisseront pas intimider!).
…"
Depuis une dizaine de jours, devant la violence sidérante des "arguments" des mélenchonistes, j'avais mis la pédale douce sur la politique. Désinformation, mensonges, promesses infantiles, agressivité, violence et brutalité à la moindre critique sur le leader maximo… de quoi dégoûter ceux qui tentent de réfléchir sans se laisser déborder par l'idéologie.
Bon, c'est plié, vous avez perdu et là, on voit le vrai visage de Mélenchon: mauvais perdant et antidémocrate au petit pied.
Pendant des mois, il vous a mené par le bout du nez avec sa rhétorique, vous imposant une pensée unique et des éléments de langage (qui ont - du reste - achevé de me détourner de ce mouvement). Et après le résultat, qu'il n'accepte pas, le voilà qui renvoie dos-à-dos un parti néo-fasciste et un républicain en jouant les grands seigneurs: "je ne vous imposerai pas de consigne de vote".
Macron… Certes, un libéral… mais tout de même un républicain.
Et tout cela sous le fallacieux prétexte - qui nous renvoie aux sixties - du "blanc bonnet et bonnet blanc", comme s'il pouvait y avoir la moindre hésitation entre un Macron, quoi que l'on en pense par ailleurs, et une Marine Le Pen!
C'est juste dingue d'avoir pu être assez décérébré par le verbe de notre Che de sous-préfecture pour ne pas voir ce que signifie son absence de prise de position claire sur une situation qui ne souffre pourtant pas d'atermoiements.
Au passage, à destination de mes amis maçons, je rappellerai avant de me retirer sur l'Aventin, que l'on ne s'abstient pas en loge et que cette habitude gagnerait à être transposée dans la vraie vie. Vous avez le choix entre le gris et le noir: il a plus de lumière et moins d'ombre dans le gris. Je voterai gris sans enthousiasme, mais sans barguigner!
…"Bonjour /.../. Mais ne crois tu pas aussi que l'abstention est un choix politique ? Que comptes-tu sauver en votant Macron contre MLP ? Le "progrès" ? La République ? N'as-tu pas l'impression que depuis 15 ans on ne cesse d'écoper ? Je comprends parfaitement, moi, électeur gaulliste [Note Personnelle, pour ceux qui me connaissent depuis 18 ans sur ce forum, c'est le mouvement naturel dans lequel la maturité m'a conduit. Je suis un "manginiste" au départ - pour ceux qui connaissent l'histoire de la conduite militaire et stratégique de la 1ère guerre mondiale, cela vous apparaitra donc comme logique] , l'attitude de Mélenchon. A priori, il y a un très gros problème en France qui fait de l'extrême droite française, contenue à 5/6% d'irréductibles traditionnellement dans ce pays, à des sommets de popularité qui ne devraient pas seulement t'alarmer par rapport à tes positions, mais t'avertir comme conséquence à certaines causes que nous n'avons pas résolues. L'électeur FN, n'est pas à 80% un "ligueur" trouvant ses racines dans la vieille doxa des Guise. Voter Macron, parce que c'est la République ? Mais laquelle ? Qu'est-ce que c'est que ce "Deus Ex machina" qu'on nous sort d'un chapeau ? On va dans le mur ? Et voter ce personnage, penses tu, nous l'évitera ? Moi, je crois qu'on ne fait que ralentir les choses. On ira dans le mur. Il n'est plus temps de tenter de s'opposer, mon Cher /.../. Mais d'affronter.
La rose et le réséda, hein.
[...]
Et en réponse à un ami commun qui m'interpellait :
la république
celle qui nous permet de manifester de se syndiquer...
Ah, la République de Macron ? La République des banques ? Des transnationales ? De la dette publique qui nous enferme d'avantage chaque jour entre les mains de nos créanciers et limite notre liberté désormais, non plus au "social", mais au "sociétal" ? Au gadget des uns contre les autres et le bien commun ? /.../ nous évoquait les nuances entre le gris et le noir. Et choisir le blanc dans l'enveloppe, en attendant le choc à venir, c'est aussi faire un choix. Républicain. Parce que la République nous offre aussi cette option.
von Rauffenstein a écrit:porcaro77 a écrit:von Rauffenstein a écrit:Silverwitch a écrit:Ni Macron, ni Le Pen pour moi. Vote blanc ou abstention, probablement un dimanche à la campagne.
Pareil.
Très jolis coins à pêcher dans l'Ain.
Sinon, ma réponse à un ami Maçon, très haut Gradé (je précise que je suis "profane" ; quant à lui, il ne s'en cache pas et en est un militant très actif, donc je me permets de poster, sans faire mention de son nom, ce qu'il a rédigé sur son mur FB et ma réponse).
Moi je serai sur une course historique à Dijon.Ce sera mon dernier post politique avant longtemps. Il exprime ma surprise, et mon écœurement, devant la réaction infantile et inepte de nombre de mes amis proches de l'extrême-gauche (mais ça, ça ne me surprend pas) et de Mélenchon (et là, je suis sidéré, même si je sentais le coup venir depuis une quinzaine de jours…).
Ainsi, on n'ira pas au deuxième tour… Ah! que non! Pas question de voter pour un "libéral", quand bien même l'abstention devrait placer à la tête du pays une néo-fasciste face un républicain. Nous avons perdu? Nous ne sommes pas (et ne serons jamais) majoritaires? Qu'ils crèvent, nos "adversaires". Qu'advienne le pire, Marine Le Pen, puisque nous n'avons pas réussi à porter en tête notre Grand Leader!
Politique du pire: un classique de l'extrême-gauche infantile et inconséquente, aveuglée par l'idéologie.
Voici ce que je répondais, sur un autre fil, à mes "amis" (probablement bientôt "ex": bon vent à tous, mais soyez sûrs que votre violence ne passera pas et que les républicains ne se laisseront pas intimider!).
…"
Depuis une dizaine de jours, devant la violence sidérante des "arguments" des mélenchonistes, j'avais mis la pédale douce sur la politique. Désinformation, mensonges, promesses infantiles, agressivité, violence et brutalité à la moindre critique sur le leader maximo… de quoi dégoûter ceux qui tentent de réfléchir sans se laisser déborder par l'idéologie.
Bon, c'est plié, vous avez perdu et là, on voit le vrai visage de Mélenchon: mauvais perdant et antidémocrate au petit pied.
Pendant des mois, il vous a mené par le bout du nez avec sa rhétorique, vous imposant une pensée unique et des éléments de langage (qui ont - du reste - achevé de me détourner de ce mouvement). Et après le résultat, qu'il n'accepte pas, le voilà qui renvoie dos-à-dos un parti néo-fasciste et un républicain en jouant les grands seigneurs: "je ne vous imposerai pas de consigne de vote".
Macron… Certes, un libéral… mais tout de même un républicain.
Et tout cela sous le fallacieux prétexte - qui nous renvoie aux sixties - du "blanc bonnet et bonnet blanc", comme s'il pouvait y avoir la moindre hésitation entre un Macron, quoi que l'on en pense par ailleurs, et une Marine Le Pen!
C'est juste dingue d'avoir pu être assez décérébré par le verbe de notre Che de sous-préfecture pour ne pas voir ce que signifie son absence de prise de position claire sur une situation qui ne souffre pourtant pas d'atermoiements.
Au passage, à destination de mes amis maçons, je rappellerai avant de me retirer sur l'Aventin, que l'on ne s'abstient pas en loge et que cette habitude gagnerait à être transposée dans la vraie vie. Vous avez le choix entre le gris et le noir: il a plus de lumière et moins d'ombre dans le gris. Je voterai gris sans enthousiasme, mais sans barguigner!
…"Bonjour /.../. Mais ne crois tu pas aussi que l'abstention est un choix politique ? Que comptes-tu sauver en votant Macron contre MLP ? Le "progrès" ? La République ? N'as-tu pas l'impression que depuis 15 ans on ne cesse d'écoper ? Je comprends parfaitement, moi, électeur gaulliste [Note Personnelle, pour ceux qui me connaissent depuis 18 ans sur ce forum, c'est le mouvement naturel dans lequel la maturité m'a conduit. Je suis un "manginiste" au départ - pour ceux qui connaissent l'histoire de la conduite militaire et stratégique de la 1ère guerre mondiale, cela vous apparaitra donc comme logique] , l'attitude de Mélenchon. A priori, il y a un très gros problème en France qui fait de l'extrême droite française, contenue à 5/6% d'irréductibles traditionnellement dans ce pays, à des sommets de popularité qui ne devraient pas seulement t'alarmer par rapport à tes positions, mais t'avertir comme conséquence à certaines causes que nous n'avons pas résolues. L'électeur FN, n'est pas à 80% un "ligueur" trouvant ses racines dans la vieille doxa des Guise. Voter Macron, parce que c'est la République ? Mais laquelle ? Qu'est-ce que c'est que ce "Deus Ex machina" qu'on nous sort d'un chapeau ? On va dans le mur ? Et voter ce personnage, penses tu, nous l'évitera ? Moi, je crois qu'on ne fait que ralentir les choses. On ira dans le mur. Il n'est plus temps de tenter de s'opposer, mon Cher /.../. Mais d'affronter.
La rose et le réséda, hein.
[...]
Et en réponse à un ami commun qui m'interpellait :
la république
celle qui nous permet de manifester de se syndiquer...
Ah, la République de Macron ? La République des banques ? Des transnationales ? De la dette publique qui nous enferme d'avantage chaque jour entre les mains de nos créanciers et limite notre liberté désormais, non plus au "social", mais au "sociétal" ? Au gadget des uns contre les autres et le bien commun ? /.../ nous évoquait les nuances entre le gris et le noir. Et choisir le blanc dans l'enveloppe, en attendant le choc à venir, c'est aussi faire un choix. Républicain. Parce que la République nous offre aussi cette option.
Tu quotes sans répondre, maintenant ?
Moi je serai sur une course historique à Dijon.
Nuvo a écrit:Panzer, ton pote macroniste écrit presque comme ceux que je connais. Des puceaux en politique qui pensent vraiment que le gamin va "enfin réformer" ce qui ne va pas, qu'avec lui "c'est la fin de la vieille politique" (ils croient à l'homme nouveau comme les cocos d'autrefois ?) et le début de la "France moderne".
Toma a écrit:L'humoriste et grand democrate Gustave Parking appelle a signer une petition interdisant le FN a se présenter a l'election presidentielle (uniquement legislatives et municipales.
Nicklaus a écrit:quelle belle affiche :
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