Modérateurs: Garion, Silverwitch
Toma a écrit:Cazeneuve confirme une attaque «a carracttere terroriste».
Le gars a voulu entrer au Louvre avec une machette et un sac a dos quand il s'est fait fouillé il a crié Alla Akbar et a poignardé ou tenté de poignardé un militaire qui lui a ensuite tiré dessus. Le gars est gravement blessé.
Sinon en France, tout va bien.
Edit: pas d'explosif trouvé dans son sac
Ghinzani a écrit:Encore un cas isolé criant Allah Akbar, machette au Louvre...
Cortese a écrit:Ghinzani a écrit:Encore un cas isolé criant Allah Akbar, machette au Louvre...
Ça doit être un Mexicain alors.
Cortese a écrit:Ghinzani a écrit:Encore un cas isolé criant Allah Akbar, machette au Louvre...
Ça doit être un Mexicain alors.
Cortese a écrit:Ghinzani a écrit:Encore un cas isolé criant Allah Akbar, machette au Louvre...
Ça doit être un Mexicain alors.
Ghinzani a écrit:Encore un cas isolé criant Allah Akbar, machette au Louvre...
Né quelque part a écrit:Ghinzani a écrit:Encore un cas isolé criant Allah Akbar, machette au Louvre...
Mais non, il a crié : "Ah là ! Y'a d'l'art !"
Japon : pic de radiation et trou béant dans les entrailles de Fukushima
La compagnie électrique Tepco dit avoir relevé des taux mortels de plus de 500 sieverts au niveau du réacteur 2 de la centrale nucléaire ravagée par le tsunami du 11 mars 2011.
Japon : pic de radiation et trou béant dans les entrailles de Fukushima
Dans son grand chantier de démantèlement de la centrale de Fukushima-daiichi, Tepco vient de faire des découvertes qui risquent de compliquer sa mission. Jeudi, la compagnie électrique qui gère le site endommagé par le tsunami et l’accident du nucléaire de mars 2011, a dit avoir relevé des taux de radiations records : 530 sieverts par heure dans la partie basse de l’enceinte de confinement du réacteur 2, l’un des plus endommagés sur les six unités du site installé en bordure du Pacifique. Il est possible que ce taux astronomique soit dû au fait qu'une partie du combustible fondu ne soit pas immergé dans les eaux de refroidissement, comme l'avance Miyano Hiroshi, professeur émérite de l’université Hôsei, à la NHK.
Même si, comme l’a précisé Tepco à la presse japonaise, il faut tenir compte d’une marge d’erreur de 30%, le chiffre constaté reste très au-delà du précédent record de 73 sieverts établi en 2012 sur ce même réacteur. Avec de tels niveaux de rayonnement, «inimaginables» selon des experts japonais cités par l’agence Kyodo, la mort est quasi instantanée pour l’être humain.
Selon les recommandations de la Commission internationale de protection radiologique (CIPR), les ouvriers du nucléaire en milieu radioactif ne doivent pas être exposés à des doses efficaces et supérieures à 20 millisieverts (mSv) par an, «moyennées sur des périodes définies de cinq ans», indique la CPIR, soit 100 mSv. On s’est rendu compte qu’au-delà de ce seuil, le risque de leucémie s’accroît significativement.
Un magma très radioactif
Depuis la fin décembre, Tokyo Electric company a percé une petite ouverture dans l’enceinte de confinement du réacteur 2. La compagnie cherche à déterminer quel est l’état du cœur des réacteurs, ce magma extrêmement radioactif constitué de débris et de barres de combustibles qui ont fondu dans les heures qui ont suivi le 11 mars 2011. Selon des calculs de l’Institut international de recherche sur le démantèlement nucléaire, ce corium représenterait une masse globale de 880 tonnes réparties entre les unités 1,2 et 3 de Fukushima. Tepco cherche également à localiser où se situe précisément ce magma.
Fin janvier, elle a donc envoyé une petite caméra fixée sur un bras télescopique de guidage qui doit parcourir une dizaine de mètres. Avant d’expédier un robot d’ici à la fin du mois, la compagnie électrique a ainsi réalisé une petite vidéo (visible ici) qui permet d’apercevoir une petite partie des entrailles de réacteur.
Dans le flot d’images filmées, Tepco a publié des clichés où l’on voit nettement qu’un piédestal en forme de plateforme grillagée est nettement enfoncé sur une surface carrée d’un mètre sur un mètre environ. Ce trou pourrait être causé par la chute de structures, de barres de combustibles fondus. Si cette hypothèse devait se confirmer, ce serait la première fois que Tepco localise le corium au sein de l’un de ses réacteurs.
En début de semaine, la compagnie avait déjà publié des images - difficiles à lire pour des novices - tendant à montrer l’existence de ce combustible fondu. On y voyait des sortes de pâtés noirs éparpillés sur une structure métallique grillagée dans la partie inférieure de l’enceinte de confinement. Cela pourrait indiquer que le carburant a fondu et s’est répandu sur le plancher de cette enceinte.
Robots en rade
Le robot que Tepco prévoit d’envoyer dans les prochains jours dans cette partie de l’unité 2 permettra peut-être d’en apprendre plus. Censé supporter des radiations de l’ordre de 1000 sieverts, l’engin pourra fonctionner environ deux heures si l’on se fie au niveau de 530 sieverts relevés ces derniers jours. Ces derniers mois, deux robots expédiés en mission au sein des réacteurs sont déjà tombés en panne à cause de trop fortes radiations.
Celles-ci risquent de faire ralentir les travaux de démantèlement. Tepco ambitionne de commencer à retirer les combustibles fondus à partir de 2021. Mais elle doit encore finaliser la méthode pour y parvenir. Selon une étude du ministère de l’Economie, du commerce et de l’industrie (Meti) publiée en décembre, le seul démantèlement des réacteurs devrait coûter au minimum 8 trillions de yens (autour de 65,9 milliards d’euros), soit quatre fois ce qui était initialement envisagé. Au final, la facture atteindrait les 177 milliards d’euros pour démanteler, indemniser les riverains et décontaminer l'environnement. Ce retrait des combustibles reste la plus risquée de toutes les opérations de ce grand nettoyage de Fukushima-daiichi, prévu pour durer au moins quarante ans.
Garion a écrit:C'est clair, le nucléaire est non seulement une énergie risquée, mais surtout incroyablement chère à long terme.
Ok, le renouvelable est intermittent. C'est un fait, mais il existe des solutions, c'est la production de méthane à partir d'électricité excendaire pour l'injecter dans le réseau existant (qui a une grande capacité de stockage par la pression).
Le dernier scénario négawatt propose d'ici 2050 une sortie du nucléaire et du fossile d'ici 2050 tout en respectant les appels de puissance d'ici là. Tout est une question de volonté. Et accessoirement, cela créeraient des centaines de millier d'emplois.
Garion a écrit:C'est clair, le nucléaire est non seulement une énergie risquée, mais surtout incroyablement chère à long terme.
Ok, le renouvelable est intermittent. C'est un fait, mais il existe des solutions, c'est la production de méthane à partir d'électricité excendaire pour l'injecter dans le réseau existant (qui a une grande capacité de stockage par la pression).
Le dernier scénario négawatt propose d'ici 2050 une sortie du nucléaire et du fossile d'ici 2050 tout en respectant les appels de puissance d'ici là. Tout est une question de volonté. Et accessoirement, cela créeraient des centaines de millier d'emplois.
Garion a écrit:Et accessoirement, cela créeraient des centaines de millier d'emplois.
Sylphus a écrit:Garion a écrit:Et accessoirement, cela créeraient des centaines de millier d'emplois.
Une étude plus précise de cette argument qui ressort régulièrement mais qui n'a jamais été démontré économiquement parlant ?
Garion a écrit:C'est clair, le nucléaire est non seulement une énergie risquée, mais surtout incroyablement chère à long terme.
Ok, le renouvelable est intermittent. C'est un fait, mais il existe des solutions, c'est la production de méthane à partir d'électricité excendaire pour l'injecter dans le réseau existant (qui a une grande capacité de stockage par la pression).
Le dernier scénario négawatt propose d'ici 2050 une sortie du nucléaire et du fossile d'ici 2050 tout en respectant les appels de puissance d'ici là. Tout est une question de volonté. Et accessoirement, cela créeraient des centaines de millier d'emplois.
Ghinzani a écrit:Quelle est donc pour toi la forme de production d'électricité qui n'occasionne ni surcoût ni augmentation du CO2 permettant de remplacer le nucléaire en tenant compte de la réelle demande?
Shoemaker a écrit:Je viens d'apprendre que Inna Shevshenko, la gourou du mouvement Femen (qui a fermé ses portes, je crois), a donné des cours à Science-Po Paris, un des temples qui forment les futurs dirigeants et autres décideurs de la France.
Je suis consterné. Pas d'autre mot.
Feyd a écrit:Explosion à la centrale de Flamanville.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/ ... nville.php
http://www.ouest-france.fr/normandie/fl ... es-4790646
Alfa a écrit:Eh oui parce que faire face a la demande actuelle c'est une chose mais faut prévoir demain aussi.
Quand il y au 3 milliards de personnes supplémentaire, a moins d'avoir 3 milliards de nord coréen supplémentaire, y a du boulot en perspective.
Sylphus a écrit:Le premier des boulots est de régulier la population mondiale. Je ne cesse de le dire. Ce devrait être l'objectif de tout gouvernement car on résout ainsi tous les problèmes majeurs (chômage, insécurité, paupérisation, environnement, énergie, conflits géopolitiques etc.)
Il ne sert strictement à rien de faire des bâtiments économes en énergie (ce qui n'est pas le cas dans les faits) puisqu'en volume l'explosion est gigantesque.
Garion a écrit:Sylphus a écrit:Le premier des boulots est de régulier la population mondiale. Je ne cesse de le dire. Ce devrait être l'objectif de tout gouvernement car on résout ainsi tous les problèmes majeurs (chômage, insécurité, paupérisation, environnement, énergie, conflits géopolitiques etc.)
Je ne vois pas en quoi l'augmentation de la population est un problème en dehors de l'impact environnemental.
En terme de chomage par exemple, un système avec 1 million de personnes ou 1 millard de personnes, ça ne change rien. La demande
Maschum a écrit:En pourcentage en effet, si je suis ton raisonnement , mais en nombre de gens sur le carreau c'est pas pareil....
Faut trouver à réduire ce nombre de personne au chom'.
Sylphus a écrit:Alfa a écrit:Eh oui parce que faire face a la demande actuelle c'est une chose mais faut prévoir demain aussi.
Quand il y au 3 milliards de personnes supplémentaire, a moins d'avoir 3 milliards de nord coréen supplémentaire, y a du boulot en perspective.
Le premier des boulots est de régulier la population mondiale. Je ne cesse de le dire. Ce devrait être l'objectif de tout gouvernement car on résout ainsi tous les problèmes majeurs (chômage, insécurité, paupérisation, environnement, énergie, conflits géopolitiques etc.)
On ne soigne pas un arbre malade en taillant les branches mais en s'attaquant aux racines.
Il ne sert strictement à rien de faire des bâtiments économes en énergie (ce qui n'est pas le cas dans les faits) puisqu'en volume l'explosion est gigantesque.
Garion a écrit:Maschum a écrit:En pourcentage en effet, si je suis ton raisonnement , mais en nombre de gens sur le carreau c'est pas pareil....
Faut trouver à réduire ce nombre de personne au chom'.
Si le pourcentage de gens de gens au chômage est stable et que la population augmente, il y a plus de gens au chômage, mais il y a aussi plus de gens au travail.
Le nombre absolu ne me semble pas le plus important, sinon, on pourrait dire que tant qu'il existe une seule personne au chômage c'est un problème, et finalement, le jour où cette personne trouve du travail, le taux devient aussi zéro.
Garion a écrit:Sylphus a écrit:Le premier des boulots est de régulier la population mondiale. Je ne cesse de le dire. Ce devrait être l'objectif de tout gouvernement car on résout ainsi tous les problèmes majeurs (chômage, insécurité, paupérisation, environnement, énergie, conflits géopolitiques etc.)
Je ne vois pas en quoi l'augmentation de la population est un problème en dehors de l'impact environnemental.
En terme de chomage par exemple, un système avec 1 million de personnes ou 1 millard de personnes, ça ne change rien. La demande augmente autant que la population. Il faut donc plus d'emploi pour produire plus.
Idem pour le reste, sauf l'impact environnemental.
En ce qui concerne l'impact environnemental, il faudrait faire en effet quelque chose. Ce n'est pas une nouveauté, mais cela crée le problème du financement des retraites et de l'age de départ à la retraite.
Les choses ne sont jamais simple, surtout qu'avec les progrés de la médecine, on peut vivre très très longtemps sans pouvoir pour autant travailler aussi longtemps.
Garion a écrit:Si le pourcentage de gens de gens au chômage est stable et que la population augmente, il y a plus de gens au chômage, mais il y a aussi plus de gens au travail.
Le nombre absolu ne me semble pas le plus important, sinon, on pourrait dire que tant qu'il existe une seule personne au chômage c'est un problème, et finalement, le jour où cette personne trouve du travail, le taux devient aussi zéro.
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