Modérateurs: Garion, Silverwitch
Feyd a écrit:D'ailleurs, où peut on trouver la fameuse photo de Pluton en HR ?
Feyd a écrit:D'ailleurs, où peut on trouver la fameuse photo de Pluton en HR ?
Nicklaus a écrit:Feyd a écrit:D'ailleurs, où peut on trouver la fameuse photo de Pluton en HR ?
T'as regardé dans on cul ?
Nicklaus a écrit:Feyd a écrit:D'ailleurs, où peut on trouver la fameuse photo de Pluton en HR ?
T'as regardé dans on cul ?
Garion a écrit:M'enfin, je croyais que c'était un hoax le voyage sur la lune
Une neuvième planète pourrait se trouver dans la partie la plus éloignée du système solaire, ont annoncé mercredi des astronomes américains qui se sont lancés à sa recherche pour confirmer cette prédiction.
Cet objet, baptisé "Neuvième planète", aurait une masse d'environ dix fois celle de la Terre et serait sur une orbite vingt fois plus éloignée que celle de Neptune, qui évolue autour du Soleil à une distance moyenne de 4,5 milliards de kilomètres.
En fait cette planète effectuerait une orbite elliptique complète autour du Soleil entre 10.000 et 20.000 ans, précisent ces chercheurs Konstantin Batygin et Mike Brown de l'Institut de technologie de Californie (Caltec).
Ces scientifiques n'ont jamais observé la planète directement mais ont fait cette découverte avec des modèles mathématiques et des simulations par ordinateur.
L'existence de cette neuvième planète permettrait d'expliquer l'évolution mystérieuse d'objets dans cette zone éloignée du soleil restée largement inexplorée, expliquent ces scientifiques.
Si l'existence de cet objet était confirmée, cela serait "la neuvième planète", a relevé Mike Brown, un professeur d'astronomie planétaire. "Il n'y a eu jusqu'à présent que deux planètes découvertes dans notre système solaire depuis l'antiquité et ce serait dans ce cas la troisième".
"Il y a encore une grande partie de notre système solaire qui reste à être exploré et cela est très exaltant", a poursuivi l'astronome.
Selon lui, vu que la masse de cet objet serait 5.000 fois celle de Pluton, il n'y aura pas de débat sur son statut de planète.
Pluton, qui a longtemps était considéré comme la neuvième planète, a perdu ce statut en 2006 vu sa trop petite taille pour être classée désormais comme une planète naine. Mike Brown, dont le compte Twitter s'appelle @plutokiller, avait lui-même oeuvré à ce que Pluton perde son statut de "planète".
- "Rien de définitif" -
Cette neuvième planète domine par sa force gravitationnelle son voisinage dans le système solaire, une région plus vaste que celles influencées par les planètes connues, notent ces astronomes, dont les travaux sont publiés dans l'Astronomical Journal.
Ils ont montré comment l'existence de cette planète permet d'expliquer l'évolution mystérieuse d'objets glacés et de débris qui se trouvent loin dans le système solaire, au-delà de Neptune, dans la ceinture de Kuiper.
Cette zone abrite notamment les planètes naines Pluton, Eris, Makémaké et Hauméa.
"Bien que nous ayons été sceptiques initialement nous sommes de plus en plus convaincus de son existence en poursuivant notre recherche", explique Konstantin Batygin, professeur adjoint de science planétaire à Caltech.
"Pour la première fois depuis 150 ans, nous avons de solides indications que l'inventaire du système solaire est incomplet", ajoute-t-il.
La présence de cette neuvième planète ne contribue pas seulement à expliquer l'alignement des objets dans la ceinture de Kuiper mais aussi le comportement étrange de certains corps comme Sedna.
Découvert par Mike Brown en 2003, cet objet, à la différence de la plupart des autres dans la ceinture de Kuiper, ne s'approche jamais très près de Neptune, ce qui indique l'influence gravitationnelle d'une autre planète.
Ces deux astronomes continuent à peaufiner leurs simulations afin d'en apprendre davantage sur l'orbite de la neuvième planète et sur son influence sur la partie éloignée du système solaire.
Mike Brown et d'autres astronomes ont commencé à scruter le ciel avec des télescopes à la recherche de la planète, encourageant la communauté astronomique à les imiter.
Pour Robert Massey, directeur adjoint de la Royal Astronomical Society à Londres, qui n'a pas participé à cette recherche, ces travaux "sont vraiment intéressants". Mais a-t-il souligné dans un communiqué, "il n'y a encore rien de définitif...car il s'agit d'un modèle mathématique".
Il y a eu des cas similaires dans le passé où des astronomes avaient prédit la présence d'une planète qui n'a jamais été trouvée, rappelle le scientifique.
"Ce serait vraiment excitant de faire une telle découverte mais pour le moment cela reste seulement une prédiction", résume-t-il.
Mais Alessandro Morbidelli, un astronome à l'Observatoire de la Côte d'Azur à Nice en France, a estimé dans le magazine New Yorker que "ces travaux fournissent pour la première fois une preuve tangible de l'existence d'une autre planète?.
Hugues a écrit:Ou bien qu'il y aurait quand même 10 gros corps massifs (en sus du soleils) dans le système solaire en comptant Pluton... (et encore je ne compte pas certaines lunes).
Hugues a écrit:Cela signifierait qu'on aurait perdu une planète, Pluton, pour en gagner une autre...
Ou bien qu'il y aurait quand même 10 gros corps massifs (en sus du soleils) dans le système solaire en comptant Pluton... (et encore je ne compte pas certaines lunes).
Hugues
sccc a écrit:Quand je pense qu'on s'amuse à détecter des exoplanètes dans des systèmes solaires lointains et qu'on n'a même pas été foutus de détecter une planète dans notre propre système solaire...
Garion a écrit:Ça s'explique, on détecte les exoplanètes car elles passent devant leur étoile et la masque partiellement, c'est comme ça qu'on les détecte. Dans le cas de cette hypothétique planète, on est placé du mauvais coté pour la voir
Cela dit, cette dixième planète n'est qu'une hypothèse, on est très loin d'être sûr qu'elle existe.
Ouais_supère a écrit:Il me semble que c'est précisément la matière qui n'est pas absorbée (parce que trop loin et/ou trop rapide) par le trou noir, qui rayonne.
FranceTVInfo avec AFP a écrit:Trois planètes "potentiellement habitables" ont été découvertes par des chercheurs de l'université de Liège, en Belgique
L'étude a été publiée dans la revue "Nature", lundi 2 mai.
Francetv info avec AFP
Mis à jour le 02/05/2016 | 18:02, publié le 02/05/2016 | 17:37
Trois exoplanètes "potentiellement habitables" ont été découvertes en orbite d'une petite étoile à 40 années-lumière de la Terre, rapporte une étude publiée dans la revue Nature, lundi 2 mai. Cette découverte des chercheurs de l'université de Liège en Belgique a été réalisée dans le cadre du programme européen prototype nommé Speculoos. Et cela, grâce au télescope robotique de l’Université de Liège, Trappist, installé depuis 2010 à l’ Observatoire européen austral de La Silla, au Chili, relaie La Libre.
Ces planètes offrent pour la première fois la possibilité "de trouver des traces chimiques de vie en dehors de notre système solaire", selon les chercheurs. L'importance de la découverte, c'est qu'il s'agit de "planètes de taille similaire à la Terre, potentiellement habitables et propices aux études atmosphériques détaillées avec la technologie actuelle", a déclaré à l'AFP Michaël Gillon , coauteur de l'étude.
Hugues a écrit:FranceTVInfo avec AFP a écrit:Trois planètes "potentiellement habitables" ont été découvertes par des chercheurs de l'université de Liège, en Belgique
L'étude a été publiée dans la revue "Nature", lundi 2 mai.
Francetv info avec AFP
Mis à jour le 02/05/2016 | 18:02, publié le 02/05/2016 | 17:37
Trois exoplanètes "potentiellement habitables" ont été découvertes en orbite d'une petite étoile à 40 années-lumière de la Terre, rapporte une étude publiée dans la revue Nature, lundi 2 mai. Cette découverte des chercheurs de l'université de Liège en Belgique a été réalisée dans le cadre du programme européen prototype nommé Speculoos. Et cela, grâce au télescope robotique de l’Université de Liège, Trappist, installé depuis 2010 à l’ Observatoire européen austral de La Silla, au Chili, relaie La Libre.
Ces planètes offrent pour la première fois la possibilité "de trouver des traces chimiques de vie en dehors de notre système solaire", selon les chercheurs. L'importance de la découverte, c'est qu'il s'agit de "planètes de taille similaire à la Terre, potentiellement habitables et propices aux études atmosphériques détaillées avec la technologie actuelle", a déclaré à l'AFP Michaël Gillon , coauteur de l'étude.
Hugues
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Maverick a écrit:Y'a trop de pollution à Paris pour voir quoi que ce soit
FranceTVInfo a écrit:
Trois planètes "potentiellement habitables" ont été découvertes par des chercheurs de l'université de Liège, en Belgique
L'étude a été publiée dans la revue "Nature", lundi 2 mai. Ces planètes sont situées à 40 années-lumière de la Terre, donc pour le moment hors de portée de l'être humain.
Francetv info avec AFP
Trois exoplanètes "potentiellement habitables" ont été découvertes en orbite d'une petite étoile à 40 années-lumière de la Terre, rapporte une étude publiée dans la revue Nature, lundi 2 mai. Cette découverte des chercheurs de l'université de Liège en Belgique a été réalisée dans le cadre du programme européen prototype nommé Speculoos. Et cela, grâce au télescope robotique de l’université de Liège, Trappist, installé depuis 2010 à l’ Observatoire européen austral de La Silla, au Chili, relaie La Libre.
Pour rappel, il y aurait plusieurs centaines de milliards de planètes habitables, rien que dans notre galaxie, la Voie lactée. Et les exoplanètes sont tellement lointaines qu'il est quasi-impossible de les observer directement et qu'il est impensable de s'y rendre. En tout cas pour le moment. En attendant, Francetv info liste trois choses à savoir sur cette découverte.
Des planètes de taille similaire à la Terre
Les trois planètes observées, qui transitent autour d'une étoile naine ultra-froide, offrent pour la première fois la possibilité "de trouver des traces chimiques de vie en dehors de notre système solaire", selon les chercheurs. La découverte est importante : il s'agit de "planètes de taille similaire à la Terre, potentiellement habitables et propices aux études atmosphériques détaillées avec la technologie actuelle", a déclaré à l'AFP Michaël Gillon, coauteur de l'étude.
Une possible existence d'eau liquide
Selon les chercheurs, deux des trois planètes sont en orbite près de l'étoile, tandis que la troisième se situe probablement dans la zone habitable de TRAPPIST-1. Cette zone, où il ne fait ni trop chaud ni trop froid pour maintenir l'eau sous une forme liquide, peut permettre le développement d'une forme de vie telle que nous la connaissons sur Terre.
Cette planète peut "potentiellement abriter de la vie sur toute sa surface", explique le chercheur. Les deux autres planètes, plus proches de l'étoile, "sont trop chaudes pour cela, mais pourraient avoir des zones d'habitabilité, avec des températures suffisamment basses pour permettre l'existence d'eau liquide et peut-être de vie".
Bientôt des nouvelles de leur atmosphère
La température, la taille et la composition de ces nouvelles planètes les rapprochent fortement de la Terre. Mais il faudra attendre de définir avec exactitude leur masse, leurs caractéristiques atmosphériques (si elles ont une atmosphère) pour savoir si elles sont réellement propices à la vie.
Des informations que les chercheurs pourraient obtenir "relativement rapidement" grâce à la technologie actuelle, "d'ici cinq à dix ans, notamment avec le télescope spatial James Webb qui sera lancé en 2018", selon Michaël Gillon.
Hugues a écrit: tandis que la troisième se situe probablement dans la zone habitable de TRAPPIST-1. Cette zone, où il ne fait ni trop chaud ni trop froid pour maintenir l'eau sous une forme liquide, peut permettre le développement d'une forme de vie telle que nous la connaissons sur Terre.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
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