Modérateurs: Garion, Silverwitch

Nuvo a écrit:Parce que j'adore Romy Schneider, j'avais vu "L'important c'est d'aimer" de Zulawski.
A part une première scène très forte, incroyablement jouée par Romy, je n'ai pas aimé puisque je n'ai pas compris le message et où le réalisateur voulait en venir.
C'est un film pour les hauts lecteurs de Télérama et les gens qui voient ce que le spectateur lambda avec sa culture moyenne ne peut pas comprendre.




Silverwitch a écrit:Nuvo a écrit:Parce que j'adore Romy Schneider, j'avais vu "L'important c'est d'aimer" de Zulawski.
A part une première scène très forte, incroyablement jouée par Romy, je n'ai pas aimé puisque je n'ai pas compris le message et où le réalisateur voulait en venir.
C'est un film pour les hauts lecteurs de Télérama et les gens qui voient ce que le spectateur lambda avec sa culture moyenne ne peut pas comprendre.
Je ne veux pas être désagréable, surtout que je n'aime pas non plus le film, mais ne t'es-tu jamais dit que si tu ne l'avais pas compris, c'était peut-être aussi ta faute et pas uniquement celle du film ?

Nuvo a écrit:Je suis un mec issus de la classe moyenne, le ventre mou de la société. Donc pas inculte mais pas intello Saint-Germain des Prés non plus.
Tu vois j'ai un égo surdimensionné. Mais bien sûr, comme le disait Descartes selon Coluche, j'utilise mon propre jugement pour estimer ce qui élitiste.
Je vois le monde de l'endroit où je me trouve.
Je n'interviens pas beaucoup sur les débats de fond sur ce forum car justement, comme il est par endroit élitiste, je n'ai pas le niveau de débattre.
Modestement, je pense être en capacité de comprendre certaines choses. Mais pas Zulawski.
Pour ce film, j'en suis sortie en me disant : mais c'est quoi le message bordel ? Alors que la critique de Télérama m'avait laissé pensé que c'était génial.
C'est donc certainement un film facilement accessible pour ta classe sociale, les gens qui ont lu toute la Pléiade et la rive gauche. Bref tout ceux pour lesquels les grands sentiments humains n'ont plus aucun mystère.



von Rauffenstein a écrit:Tiens, voilà 10 boules et va voir un Monte Helmman ou un Losey au Saint André des Arts.

Nuvo a écrit: "la captive du dessert" avec Sandrine Bonnaire.

Aym a écrit:Nuvo a écrit: "la captive du dessert" avec Sandrine Bonnaire.
terrible, ce film.
Elle était enfermée dans une pâtisserie.
désolé

Rainier a écrit:Feyd a écrit:On s'en fout qu'Arte l'avance vu que que le film est médiocre.
Ouais, enfin l'avis de Hughes n'engage que lui même.
Le Nom de la Rose est un excellent film et un excellent roman.
Merci à JJ Annaud de m'avoir fait découvrir l'oeuvre d'Umberto Eco.

Ouais_supère a écrit:Qu'est-ce que c'est que ce misérabilisme ?
Pourquoi tu pourrais pas comprendre ?
Et ça dépendrait de ton statut social ?!
Il manquerait plus que ça.

Nuvo a écrit:
Donc oui je me considère dans le ventre mou. Pour certains je suis un mec cultivé. Mais ici, pas franchement.


Ouais_supère a écrit:Sinon, Douglas Slocombe, chef opérateur sur... Ouah, plein de trucs ! est mort.

Ouais_supère a écrit:Sinon, Douglas Slocombe, chef opérateur sur... Ouah, plein de trucs ! est mort.



Silverwitch a écrit:Ouais_supère a écrit:Sinon, Douglas Slocombe, chef opérateur sur... Ouah, plein de trucs ! est mort.
![]()
http://communaute.f1-express.net/viewtopic.php?f=2&t=2343&start=9480#p1990312
Né quelque part a écrit:Ouais_supère a écrit:Sinon, Douglas Slocombe, chef opérateur sur... Ouah, plein de trucs ! est mort.
Et Marcel Gloudusse, le perchman attitré de Fernand Cabrignole, réalisateur célèbre pour son remarquable "Ma vie vu des 5 arrêtes du cube irisé" (avec la sublime Rita Escarpole), hein, quel tenue de perche !
Ouais_supère a écrit:Non mais tu prends un constat statistique pour en faire un principe absolu lié à l'essence même du "pauvre".
Non, je suis pas d'accord, c'est TA responsabilité que de tenter de t'élever, t'as pas le droit de te poser en victime de ta condition pour justifier tes insuffisances.

Né quelque part a écrit:Ouais_supère a écrit:Sinon, Douglas Slocombe, chef opérateur sur... Ouah, plein de trucs ! est mort.
Et Marcel Gloudusse, le perchman attitré de Fernand Cabrignole, réalisateur célèbre pour son remarquable "Ma vie vu des 5 arrêtes du cube irisé" (avec la sublime Rita Escarpole), hein, quel tenue de perche !


Né quelque part a écrit:Et Marcel Gloudusse, le perchman attitré de Fernand Cabrignole, réalisateur célèbre pour son remarquable "Ma vie vu des 5 arrêtes du cube irisé" (avec la sublime Rita Escarpole), hein, quel tenue de perche !

Ouais_supère a écrit:D'après, euh...
Bourdieu ?!

Ouais_supère a écrit:Né quelque part a écrit:Ouais_supère a écrit:Sinon, Douglas Slocombe, chef opérateur sur... Ouah, plein de trucs ! est mort.
Et Marcel Gloudusse, le perchman attitré de Fernand Cabrignole, réalisateur célèbre pour son remarquable "Ma vie vue des 5 arrêtes du cube irisé" (avec la sublime Rita Escarpole), hein, quelle tenue de perche !
Imbécile.


Marlaga a écrit:Le pauvre Nuvo, il croit encore que la suffisance snobinarde affichée par certains a un réel fond de culture et d'intelligence alors que ça ne fait que cacher un abîme de vacuité mentale derrière des jolis mots compliqués.

Né quelque part a écrit:Ouais_supère a écrit:Né quelque part a écrit:Ouais_supère a écrit:Sinon, Douglas Slocombe, chef opérateur sur... Ouah, plein de trucs ! est mort.
Et Marcel Gloudusse, le perchman attitré de Fernand Cabrignole, réalisateur célèbre pour son remarquable "Ma vie vu des 5 arrêtes du cube irisé" (avec la sublime Rita Escarpole), hein, quel tenue de perche !
Imbécile.
Connard !![]()
Quand on en est resté à "La fouine" de Charles Monsereau, on la ramène pas !
Ouais_supère a écrit:N'empêche, ma bêtise m'a fait taper ce nom sur Google, et j'ai trouvé un Charles comte de Monsoreau, dont je lis la page Wikipedia.
Merci, grâce à toi, j'aurai appris des trucs.

Silverwitch a écrit:Né quelque part a écrit:Et Marcel Gloudusse, le perchman attitré de Fernand Cabrignole, réalisateur célèbre pour son remarquable "Ma vie vu des 5 arrêtes du cube irisé" (avec la sublime Rita Escarpole), hein, quel tenue de perche !
C'est une obsession chez toi la tenue de perche ?


Né quelque part a écrit:Faire l'apologie du chef-monteur en négligeant la contribution majeure du perchman dans une oeuvre cinématographique relève de la plus profonde ignorance culturelle...![]()

Silverwitch a écrit:Né quelque part a écrit:Faire l'apologie du chef-monteur en négligeant la contribution majeure du perchman dans une oeuvre cinématographique relève de la plus profonde ignorance culturelle...![]()
Ironiser à ce sujet sur un forum consacré notamment à la course automobile, donc à la rencontre entre l'art et la technique m'étonne toujours. Pourquoi s'intéresser aux ingénieurs qui dessinent les voitures ou aux ingénieurs motoristes quand on peut parler des pilotes, des sponsors !
Rainier a écrit:Oui mais tu ne nous parles des chef-monteurs que dans la rubrique nécrologique !

Feyd a écrit:Ouais, enfin l'avis de Hughes n'engage que lui même.
Silverwitch a écrit:
Douglas Slocombe, directeur de la photographie, 103 ans. Il était le doyen des grands. Une riche filmographie, quelques exemples:
[...]
Rencontres du troisième type
Hugues a écrit:
Là, dans le même film, c'est Douglas Slocombe (jusqu'à 1'54") :
Tsss...![]()
Hugues

Silverwitch a écrit:Rainier a écrit:Oui mais tu ne nous parles des chef-monteurs que dans la rubrique nécrologique !
Je ne parle jamais d'un chef monteur (ou d'un ingénieur du son, ou d'un chef déco). D'un chef opérateur, en revanche, oui, ça arrive, parce qu'il est le collaborateur le plus décisif d'un (bon) film, sauf très rare exception, après le réalisateur. D'ailleurs, dans un moins bon film, le directeur de la photographie joue parfois un rôle plus important que le réalisateur, même s'il partage parfois cette insigne responsabilité avec le monteur (ouf).

von Rauffenstein a écrit:Oui, bon, c'est qu'un putain de tékosse. Il mange son plat de nouilles, il prend son quart de pinard syndical et il ferme sa bouche hein.

Silverwitch a écrit:von Rauffenstein a écrit:Oui, bon, c'est qu'un putain de tékosse. Il mange son plat de nouilles, il prend son quart de pinard syndical et il ferme sa bouche hein.
Au tarif syndical, je prendrais bien sa place au technicien (et le pinard avec, d'ailleurs) !

Né quelque part a écrit:Silverwitch a écrit:Né quelque part a écrit:Et Marcel Gloudusse, le perchman attitré de Fernand Cabrignole, réalisateur célèbre pour son remarquable "Ma vie vu des 5 arrêtes du cube irisé" (avec la sublime Rita Escarpole), hein, quel tenue de perche !
C'est une obsession chez toi la tenue de perche ?
Faire l'apologie du chef-monteur en négligeant la contribution majeure du perchman dans une oeuvre cinématographique relève de la plus profonde ignorance culturelle...![]()


En fait, on devrait plutôt dire que chez un mauvais cinéaste, il n'est pas tant question de style, de forme, que de manière ou de maniérisme, d'une outrance formelle, d'un écart entre la représentation et la chose représentée au point d'assister à un dédoublement. La manière tente de dissimuler la forme.
D'ailleurs, dans un moins bon film, le directeur de la photographie joue parfois un rôle plus important que le réalisateur, même s'il partage parfois cette insigne responsabilité avec le monteur (ouf).
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