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de **Cortese** le 20 Avr 2015, 18:53

J'avais lu dans "Salut les Copains" (une revue de jeunes australopithèques dont seuls se souviennent denim, Rainier, Shoe et A6GCS) qu'il ne faisait pas de tournée à cause qu'il n'avait pas de voix. Remarque, avec Moustaki et Guy Béart, il n'aurait manqué que Jean Sablon (un pré-hominien) pour composer le groupe vocal le plus reposant du monde.

de **denim** le 20 Avr 2015, 18:54

une sorte de "boy's band" avant l'heure...

il savait parler 6 langues,richard Anthony.
certainement celles, concernant chaque "paradis fiscal"...putain que je suis mauvaise langue.

sinon...21 tubes en chansons.

chapeau bas...

bon d'accord,pas mal de "pompage"...mais bon,c'est de bonne guerre.

qui n'a pas pompé dans sa vie ??...

de **a6gcs** le 21 Avr 2015, 18:15

Et qui n'a pas rêvé parmi les vétustes comme dirait Cortese de "la petite MG"

de **denim** le 21 Avr 2015, 18:27

bravo...c'est ma préféré de Richard Anthony..."nouvelle vague".
une reprise.
Jerry Leiber, créateur avec son compère Stroller de l'original "Three cool cats", interprété pour la première fois par The Coasters, et repris notamment par les Beatles à leurs débuts.

de **Cortese** le 22 Avr 2015, 15:25

Il avait pas une MG mais deux Ferrari.

de **Cortese** le 22 Avr 2015, 15:27

Laquelle MG était une Austin-Healey 100

de **Hugues** le 24 Avr 2015, 17:52

Richard Corliss, 71 ans, critique cinéma en chef de TIME Magazine depuis 35 ans (et donc à ce titre un des plus influents critiques anglo-saxons)

Annonce de TIME: http://time.com/3834371/richard-corliss-staff-note/
Rétrospective: http://time.com/richard-corliss/
25 Great Movie Reviews by Richard Corliss (c'est vite dit..) : http://time.com/3833969/richard-corliss-movie-reviews/

de **Feyd** le 24 Avr 2015, 22:03

Sacré Hugues.

de **iceman46** le 25 Avr 2015, 22:15

mon lezard favori,celui qui se dorlotait au soleil toujours sur sa tuile favorite,c'etait son hamac je n'y ai jamais touché,je m'approchais il bougeait pas comme s'il savait que je venais juste le saluer.
paix a ton ame mon petit Barry Sheene. :cry:

de **denim** le 25 Avr 2015, 22:56

l'autre jour,dans ma tournée,j'étais arrêté à un feu alterné,machinalement je tourne la tête sur la droite et je vois dans l'herbe un magnifique lézard vert et 3 lézards qui apparemment cherchaient à faire respecter leur territoire.
c'est jolie ces petites bébêtes à voir faire.

de **Silverwitch** le 28 Avr 2015, 14:22

Le cinéaste français René Féret, 69 ans.

«Je filme surtout pour recréer, pour rendre la vie à ce qui a disparu.»

La découverte de Baptême puis de Promenades d'été avait été un éblouissement, prolongé par la vision de La Communion solennelle. C'était un cinéaste suivant son petit bonhomme de chemin, un chemin singulier qui ne ressemblait qu'à lui.

http://www.lemonde.fr/cinema/article/2015/04/28/disparition-de-rene-feret-realisateur-de-la-communion-solennelle_4623939_3476.html#

Il y a des jours où la fonction nécrologique du critique de cinéma est un crève-cœur. Il sera dit, écrit, signé et consigné que celui qui vit mourir René Féret – une nuit, en fait, du 27 au 28 avril, après une longue lutte avec la maladie – est de ceux-là. Il avait 69 ans. Avec ce cinéaste disparaît non seulement un homme chaleureux et passionné, non seulement un réalisateur à l’œuvre remarquable, mais encore une idée et une pratique du cinéma aussi rares qu’admirables dans le cinéma français, du moins dans la durée à laquelle est parvenu à les perpétuer René Féret.

Cette idée, cette pratique, étaient celles d’un cinéma libre et artisanal, expressément interprété par des anti-vedettes de grand talent (Valérie Stroh, Jean-François Stévenin, Antoine Chappey…). Soit l’expression d’un auteur contrôlée, tant sur le plan artistique qu’économique, par nul autre que lui-même. Peut-être que cette manière-là, si audacieuse et usante à tenir dans un contexte de moins en moins favorable, ne destinait pas René Féret à tenir davantage qu’il n’a tenu. Il aurait eu, en tout état de cause, 70 ans, le 26 mai prochain.

La bande-annonce de son dernier film, en salles:

http://www.reneferet.com/tchekhov/

de **Hugues** le 28 Avr 2015, 17:30

Hugues

de **Rainier** le 29 Avr 2015, 14:49

Serge Koolen, Il était une fois.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/04 ... -mort.html

de **Rainier** le 29 Avr 2015, 14:50

...et François Michelin.

de **Feyd** le 29 Avr 2015, 15:08

Jean Lescot pour les cinéphiles avertis :

http://www.lefigaro.fr/cinema/2015/04/2 ... ncaise.php

de **Hugues** le 30 Avr 2015, 21:44

Et Patachou..

ici dans le rôle de la chanteuse (et actrice) Yvette Guibert dans French Cancan de Jean Renoir:

Pour nos générations, elle ressemblait plutôt à cela:

ou ceci:

Hugues (condoléances, denim)

de **Rainier** le 01 Mai 2015, 09:42

Hugues a écrit:Et Patachou..

Hugues (condoléances, denim)

Condoléances surtout à tous les amoureux des chansons de Georges Brassens.

de **denim** le 01 Mai 2015, 09:50

tout à fait...

et de çà aussi...

miam miam miam...avec un petit coulis de chocolat par dessus...miam miam miam...

de **a6gcs** le 01 Mai 2015, 11:23

Pendant que tu y es, fourre les avec de la glace à la vanille.

de **denim** le 01 Mai 2015, 16:15

Le chanteur américain Ben E. King, interprète du célèbre hit "Stand by me", est mort jeudi, a annoncé aujourd'hui son porte-parole.

Le chanteur avait 76 ans.

de **Hugues** le 01 Mai 2015, 16:45

Hugues

de **Shoemaker** le 01 Mai 2015, 16:51

On le critiquait à l'époque pour n'être pas assez funk et trop gnan-gnan...
Pour prouver le contraire, il a fait un p... de morceau qui restera dans les annales du genre ! Super Natural thing ! Enjoy it....

de **Hugues** le 01 Mai 2015, 17:08

Et je ne sais pas vous mais moi..

Stand by Me

ça me fait penser chaque fois aussi à....

Stand by Me

L'occasion de retrouver la petite bande de River Phoenix, Wil Wheaton, Corey Feldman et Jerry O'Connell...
Et même le méchant Kiefer Sutherland (oui Jack Bauer a rencontré Westley Crusher et Quinn Mallory! Rien que cette dernière phrase va donner l'occasion à Silverwitch de me facepalmer à mon tour)

La sortie du film avait fait revenir à la chanson de Ben E. King en haut des ventes.
Coïncidence, le souvenir de 1959 conté dans le film se déroule le jour de la Fête du Travail (qui certes aux USA est au début septembre)

L'occasion donc d'un double hommage, un deux en un (oui la chanson est dans la vidéo si vous avez des doutes)

Compatible plein écran

Hugues

de **Owp** le 01 Mai 2015, 17:39

Stand by Me. A mes oreilles, son meilleur morceau.

de **denim** le 03 Mai 2015, 12:06

La grande ballerine russe Maïa Plissetskaïa est décédée en Allemagne à l'age de 89 ans des suites d'une crise cardiaque, a annoncé samedi le directeur général du théâtre Bolchoï de Moscou, Vladimir Ourine.
"Elle est morte d'une crise cardiaque. Les médecins ont tout essayé, mais ils n'ont rien pu faire", a indiqué M.Ourine, précisant avoir été informé par l'époux de la ballerine, le compositeur russe Rodion Chtchedrine.
"Les grands personnages du XXe siècle s'en vont. Maïa Plissetskaïa — une grande ballerine, une grande femme et une personnalité exceptionnelle — occupe une place à part parmi les plus grands. Elle a été un symbole du ballet russe du XXe siècle et on le comprend en Russie et dans le monde entier", a ajouté M.Ourine.

Considérée comme l'une des plus grandes ballerines et surnommée la "Diva de la danse", Maïa Plissetskaïa a éte la prima ballerina assoluta du Bolchoï où elle a travaillé de 1943 à 1990. De nombreux chorégraphes dont Maurice Béjart, Roland Petit, Youri Grigorovitch et Alberto Alonso ont créé des ballets spécialement pour elle. Maïa Plissetskaïa a signé la chorégraphie de trois ballets d'après des œuvres de Léon Tolstoï et d'Anton Tchekhov sur des partitions de son mari Rodion Chtchedrine. Elle a quitté la scène à l'âge de 65 ans.

Maïa Plissetskaïa a été lauréate de nombreux prix russes et étrangers, Chevalier dans l'ordre des Arts et Lettres (1984) et Chevalier de la Légion d'honneur (1986), docteur honoris causa de l'Université de Moscou et de la Sorbonne.

ben dis donc...un sacré CV la dame...respect.

et pour le talent c'est ici...

https://youtu.be/SC0XLmowi2o

même le signe ne bouge pas aussi bien ses ailes...très jolie.
paix à votre âme.

et merci à madame Fleur Pellerin de lui avoir rendu hommage.

de **Aiello** le 04 Mai 2015, 09:21

Les écrivains Michael Blake (Danse avec les loups) et Ruth Rendell.

de **Cortese** le 04 Mai 2015, 14:19

Patachou pour moi c'était ça.

Boîte à outils !

de **denim** le 04 Mai 2015, 17:29

françois Hollande en était fan...d'ailleurs pour çà...la boite à outils.

sinon...belle chanson d'antan.

de **Aiello** le 07 Mai 2015, 08:46

Errol Brown :

de **denim** le 07 Mai 2015, 19:06

arf...je dirais,qu'il avait presque la moustache "d'Errol" Flynn et la façon de chanter de james "Brown".

de **Baloo** le 09 Mai 2015, 01:10

Rutger Gunnarsson, le bassiste du groupe ABBA, est mort à l'âge de 69 ans.

R.I.P.

Facebook a écrit:Our friend, the bass player, guitarist, arranger and producer Rutger Gunnarsson (born 1946) has suddenly passed away in his home in Stockholm at the age of 69.

His unique way of playing his bass, his beautiful string arrangements and thorough work as a producer for countless Swedish and foreign artists and musicians have colored pop music from the early 70s up until today.

Rutger got the most attention through his long and intimate cooperation with Björn Ulvaeus, Benny Andersson and ABBA, participating in all of their albums, numerous singles, tours, movies and musicals. Here at the museum we are so grateful for having him here not to long ago, walking around with that special smile of his.

Rutger’s three children, Rickard, Mimmi and Joanna, all mourn their father along with a music world that suffers the loss of a great musician, colleague and a dear, dear friend.
Keep plying your magic bass where ever you are Rutger..
Rest in peace!

de **Feyd** le 12 Mai 2015, 18:38

Holala, j'en connais qui vont être en deuil aujourd'hui. Rezo Tchkeïdzé, cinéaste géorgien très connu de sa famille est mort.

Il avait reçu le prix de la meilleure fiction à Cannes en 1956 pour L'Ane de Magdana.

Il est auteur de Le Père du soldat en 1964, film qui connut la consécration en renouvelant le genre du film de guerre soviétique mais y donnant une touche géorgienne.

Mettez en ligne toutes les vidéos que vous pourrez trouver de ce grand cinéaste ! :-D

de **Ouais_supère** le 12 Mai 2015, 18:41

Feyd a écrit:iRezo Tchkeïdzé, cinéaste géorgien très connu de sa famille

C'est minable.

Mais tu le sais.

de **Feyd** le 12 Mai 2015, 18:42

Saloperie de correcteur automatique, je voulais pas mettre ça !

de **Silverwitch** le 12 Mai 2015, 18:59

Avec Irina Skobtseva et Liliana Alyoshnikova

Feyd a écrit:Holala, j'en connais qui vont être en deuil aujourd'hui. Rezo Tchkeïdzé, cinéaste géorgien très connu de sa famille est mort.

Il avait reçu le prix de la meilleure fiction à Cannes en 1956 pour L'Ane de Magdana.

Il est auteur de Le Père du soldat en 1964, film qui connut la consécration en renouvelant le genre du film de guerre soviétique mais y donnant une touche géorgienne.

Mort du cinéaste Rezo Tchkheïdzé

À 11 ans, Revaz (dit Rezo) Tchkheïdzé voit son père, écrivain et directeur du théâtre de Koutaïssi, fusillé lors la grande répression stalinienne de 1937. Considéré comme le « fils d’un ennemi du peuple », mais protégé par quelques amis de son père, il entre à l’Institut d’art dramatique de Tbilissi en 1943, le quitte avant la fin de ses études en 1946 et part à Moscou avec Tenguiz Abouladzé (Eisenstein, à qui ils ont écrit pour lui dire leur admiration, les pousse à persévérer et à se former) pour suivre au VGIK, la grande école de cinéma soviétique, les cours de Sergueï Youtkevitch et Mikhaïl Romm.
Il en sort diplômé en 1953 et débute comme metteur en scène en cosignant en 1955 avec son ami Abouladzé le film L’Âne de Magdana. Mal accueilli localement, car les deux réalisateurs abordent un matériau paysan géorgien influencés par le néoréalisme italien, le film obtient cependant un grand succès et est envoyé à Cannes où il remporte le « Prix du film de fiction – courts-métrages » en 1956.

Abouladzé et Tchkheïdzé vont rapidement devenir les principaux artisans de la Nouvelle Vague géorgienne qui se déploie durant le Dégel khrouchtchévien. Après Dans notre cour, en 1956 (qui relate la vie d’une cour d’immeuble à Tbilissi, avec pour son premier rôle à l’écran Sofiko Tchiaoureli qui interprétera treize ans plus tard Sayat Nova de Paradjanov) , Tchkheïdzé s’attaque, en 1959, à une fresque historique, Maïa de Tskhneti (pour échapper à la justice, une femme se déguise en homme et devient une sorte de Robin des bois).
Mais c’est avec Le Père du soldat (1964) qu’il connaît la consécration. Il renouvelle le genre du film de guerre soviétique, pourtant très large, en livrant une version géorgienne : un paysan part au front à la recherche de son fils ; il suit l’Armée rouge jusqu’à Berlin où il le retrouve pour un dernier adieu. Le film, primé dans les festivals de Cork, de Thessalonique, de San Francisco, de Rome, montre, comme L’Âne de Magdana, le chemin psychologique parcouru par le personnage principal, transformé par les événements filmés de manière très réaliste, loin du pathos de nombreux films soviétiques des années 1940.

Très attaché à la terre, au labeur, le cinéaste retourne ensuite vers des thèmes plus agrestes (Les Plants, 1973 ; Voici ton fils, la Terre, 1980), mais c’est en s’éloignant de la caméra et en prenant la tête du studio Grouzia-Film, le studio d’État géorgien, de 1973 à 2006, qu’il va permettre à nombre de jeunes et moins jeunes cinéastes de faire leurs armes dans cette république foisonnante: Eldar Chenguelaïa y tourne Les Montagnes bleues ; Otar Iosseliani, Pastorale ; Sergueï Paradjanov, La Légende de la forteresse de Souram et Achik Kerib, malgré sa réputation sulfureuse et ses années de prison ; Tenguiz Abouladzé, dont Le Repentir remportera le Grand Prix du festival de Cannes en 1987 et marquera le tournant de la perestroïka.
Après vingt ans de silence cinématographique, il adapte en 2008 une nouvelle de Selma Lagerlöf, Le Cierge du tombeau du Seigneur, sans retrouver le style qui marqua la décennie 1955-1965. Farouche opposant à l’ex-président géorgien Saakachvili, contempteur de la politique américaine et œuvrant sans cesse à un rapprochement avec la Russie, Rezo Tchkheïdzé est non seulement l’auteur de quelques films magnifiques, mais a aussi permis à quelques chefs-d’œuvre, malgré les risques encourus, d’exister.

Le Père du soldat est un grand succès public, des dizaines de millions de spectateurs l'ont vu, dans le monde entier. Exceptionnellement:

Le Père du soldat

Le Père du soldat (couleur)

L'Ane de Magdana

de **Feyd** le 12 Mai 2015, 19:00

Voilà ! C'est qd même plus constructif que la remarque hautaine de Monsieur ouais super.

Heureusement que certains savent apprécier les belles choses.

de **Silverwitch** le 12 Mai 2015, 19:25

Malheureusement, pour les curieux uniquement en raison de la très médiocre qualité de la vidéo sur internet:

Maia Tskneteli

Grand film d'aventures, avec l'actrice géorgienne Leila Abashidze, resplendissante comme dans ce grand classique du cinéma géorgien, Chrichina:

Chrichina

de **Né quelque part** le 12 Mai 2015, 19:48

Feyd a écrit:Holala, j'en connais qui vont être en deuil aujourd'hui. Rezo Tchkeïdzé, cinéaste géorgien très connu de sa famille est mort.

Il avait reçu le prix de la meilleure fiction à Cannes en 1956 pour L'Ane de Magdana.

Il est auteur de Le Père du soldat en 1964, film qui connut la consécration en renouvelant le genre du film de guerre soviétique mais y donnant une touche géorgienne.

Mettez en ligne toutes les vidéos que vous pourrez trouver de ce grand cinéaste !

Bof, c'est le chef-opérateur qui fait tout le boulot... :oops:

de **Silverwitch** le 12 Mai 2015, 19:59

Né quelque part a écrit:
Feyd a écrit:Holala, j'en connais qui vont être en deuil aujourd'hui. Rezo Tchkeïdzé, cinéaste géorgien très connu de sa famille est mort.

Il avait reçu le prix de la meilleure fiction à Cannes en 1956 pour L'Ane de Magdana.

Il est auteur de Le Père du soldat en 1964, film qui connut la consécration en renouvelant le genre du film de guerre soviétique mais y donnant une touche géorgienne.

Mettez en ligne toutes les vidéos que vous pourrez trouver de ce grand cinéaste !

Bof, c'est le chef-opérateur qui fait tout le boulot...

Le Père du soldat, éclairé par Lev Sukhov qui signe la lumière d'un autre classique du cinéma géorgien, Le Mamelouk en 1958:

de **Ouais_supère** le 12 Mai 2015, 20:01

Fallait pas la gonfler !

de **Né quelque part** le 12 Mai 2015, 20:06

Ouais_supère a écrit:Fallait pas la gonfler !

Ouais, c'est comme si j'avais mis 100 balles dans le juke-box...

Bon aller... respect à Rezo Tchkeïdzé.