Nicklaus a écrit:Mon prof de philo s'appelait navarro aussi.
Ça donne à réfléchir.
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Nicklaus a écrit:Mon prof de philo s'appelait navarro aussi.


Silverwitch a écrit:Nicklaus a écrit:Mon prof de philo s'appelait navarro aussi.
Ça donne à réfléchir.



Garion a écrit:Silverwitch a écrit:Nicklaus a écrit:Mon prof de philo s'appelait navarro aussi.
Ça donne à réfléchir.
Dans un autre style, moi, mon prof de philo s'appelait Joël Levy-Midon. Je m'en souviens surtout pour ses commentaires sur mes bulletins : "Un ricanement à l'égard d'une matière qui le déplace totalement".
Ou bien sur mon dossier d'admission à l'IUT : "Un mépris arrogant pour toute forme de culture, esprit peu ouvert et mercantil"![]()
C'était un taré qui arrivait bourré en cours. Pour mon premier devoir de 8 pages, il m'a mis 1/20, avec une demi page de commentaire qui commençait par "Scandaleusement nul !"
Ceux qui n'avait pas rendu le devoir ont pris 1/20 aussi, du coup, j'ai fait un rapide calcul










Baloo a écrit:Michele Fererro, l'inventeur du Nutella![]()
RIP


Hugues a écrit:Jean Peters qui vaut 100.000 fois mieux en matière de femme forte qu'une certaine reine du désert (j'me comprends)
Hugues





Hugues a écrit:Il y a quelque chose de fascinant dans le cinéma* : quand ce qui est filmé est indépendant de toute mode, quand les coiffures sont intemporelles, ou même les habits ( quand il s'agit d'une reconstitution et que tout comédien de tout autre temps aurait revêti les mêmes),en mot quand n'est pas filmé le temps contemporain, l'écran de cinéma devient une fenêtre hypnotisante, troublante, envoutante à travers le temps.
Car soudain, on ne sait plus d'où viennent les visages à l'écran.. Soudain, le visage devant nous peut être celui d'un contemporain. Soudain il est inimaginable qu'il en soit autrement...
Soudain, des mots, des regards, des gestes venus de loin dans le temps, saisis pour l'éternité en une autre époque, sont ressuscité et sont dans le présent sans distance..., comme un nouveau présent... Comme un lien magique entre le présent et le passé par l'écran, comme si nous assistions à ces gestes le jours où ils étaient filmés, faits pour les première fois, comme si nous étions là bas, pour un instant.
Hugues a écrit:Radha Shri Ram, devenue Radha Burnier, s'est éteinte pourtant, je ne l'ai compris que voilà quelques jours il y a un peu plus d'un an, le dernier jour d'octobre, au bel âge de 90 ans..
Et mieux encore elle a eu une très belle, très riche vie après ce film éternel ... Elle a été une grande figure spirituelle en Inde du bouddhisme et de l'indouisme, étudiant auprès du Dalai Lama pendant plus de trente années et occupant longuement, jusqu'à sa mort, la présidence de la Société Théosophique d'Adyar à laquelle elle a consacré sa vie entière (et ce bien avant Le Fleuve)
Plus de 60 ans d'une longue vie, une belle vie, pour ma contemporaine qui s'échappent comme du sable.. Soudain ma contemporaine, presque tout juste rencontrée, n'est déjà plus..
Comment mieux ressentir ce que l'on a beau savoir, sans jamais le comprendre tout à fait, l'universalité de l'existence humaine, à travers la temporalité... Ce cycle long et court, de la vie..
L'absurdité de l'idée inconsciente mais innée en la jeunesse, que nos existences ne pourront être que différentes, meilleures que celles de nos devanciers, le certain oubli, le certain aveuglement que les âgés ont été jeunes.
Tout ça j'aurais pu l'écrire pour June Duprez, pour John Justin
Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficheret tant tant tant tant tant tant d'autres (Donald O'Connor pour n'en citer qu'un au hasard)
Radha Shri Ram jusque dans ses derniers jours aura gardé sa singulière élégance, comme si les années ne pouvaient effacer un peu de cette éternité captée par les caméras du Fleuve:![]()





Cortese a écrit:J'aimais bien Fade to Grey. J'ai toujours pensé que la chanson évoquait l'attentat de la gare de Bologne de 80.
Ouais_supère a écrit:Cortese a écrit:J'aimais bien Fade to Grey. J'ai toujours pensé que la chanson évoquait l'attentat de la gare de Bologne de 80.
Cette chanson m'a traumatisé.
C'est du Pavlov, dès que je l'entends, j'ai comme un frisson glacé dans le dos, et je me sens atrocement triste.
Jamais compris.
Ghinzani a écrit:Le cycliste belge Claude Criquielion.58ans.

Bob Williams a écrit:Pascal Brunner.
Hugues a écrit:Malgré la médiocrité de la copie (je n'ose imaginer si j'avais vu la restauration dont j'ai l'habitude, où le film semble n'avoir que quelques semaines),
comment ne pas croire quand on la voit danser — ou même seulement interpréter Mélanie en d'autres scènes —
que Radha et son regard vivent avec nous en notre temps:







Silverwitch a écrit:C'est l'éternité. Le spectateur est arraché au présent, le film est arraché au passé et se déploie à la vision devant la fenêtre de notre âme. Rencontre entre l'ordre et la beauté: c'est le monde parfait, celui d'un présent éternel.
Quel merveilleux hommage ! Toucher du doigt l'éternité, n'est-ce pas vivre à son contact, même pendant le temps d'une brève existence mortelle ?
Chère Rumer, c'est peut-être l'effet de Noël qui nous pousse à entrer en contact avec vous ; nous nous apercevons à quel point vous comptez dans notre vie.

Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...

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