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Modérateurs: Garion, Silverwitch
de Rainier le 07 Juil 2013, 07:59
Shoemaker a écrit:Silver a ramené moult épices incantatoires, grimoires invaincunables et autre bretzels liquides para-sucubes.
de Aym le 07 Juil 2013, 08:35
de Ponpondu le 07 Juil 2013, 08:45
Rainier a écrit:Shoemaker a écrit:Silver a ramené moult épices incantatoires, grimoires invaincunables et autre bretzels liquides para-sucubes.
Juste pour ma culture perso, histoire de ne pas mourir idiot, que signifie "invaincunable" ?
je connais les incunables, les invincibles mais pas les invaincunables.
Moi aussi je veux devenir snob, coquet et élitiste
de Silverwitch le 07 Juil 2013, 10:33
Shoemaker a écrit:Mais non. Elle est en train d'enquêter avec Panzer au Panthéon. Des rumeurs parlent d'étranges phénomènes vaudou en ce vénérable lieu. Il semblerait que des morts y font la grève de la mort. Certains ont cru reconnaître Hugo et Rousseau devisant ensemble.
Silver a ramené moult épices incantatoires, grimoires invaincunables et autre bretzels liquides para-sucubes. Alors que Panzer mise plutôt sur un équipements high tech, dont une mitrailleuse de type Cortese 666-modifiée en mode Doucette, un lance mini-nukes à charge creuse (toujours), et une Machine-gun Ibanez DMG (destruction massive globale) au cas où Voltaire serait du nombre des zombies rebelles.
On en est là.
de Rainier le 07 Juil 2013, 10:42
Aym a écrit:référence à la BD du concombre :
http://neuviemeart.citebd.org/spip.php? ... artsuite=2
de Hugues le 10 Juil 2013, 21:37
Francetvinfo.fr a écrit:L'accordéoniste André Verchuren est mort à l'âge de 92 ans
Le célèbre accordéoniste français est décédé mercredi à Chantilly.
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 10/07/2013 | 22:31 , publié le 10/07/2013 | 22:23
Le roi de l'accordéon André Verchuren est mort d'un arrêt cardiaque à l'âge de 92 ans, a annoncé sa famille, mercredi 10 juillet. Membre de la Résistance durant la Seconde guerre mondiale, il avait passé treize mois dans le camp de concentration de Dachau (Allemagne). André Verchuren était commandeur de l'ordre national du Mérite.
L'interprète de tubes tels que Les Fiancés d'Auvergne, Le Chouchou de mon coeur ou La Saint-Hubert, fils et petit-fils d'accordéonistes, avait arrêté de faire des galas à 91 ans", a précisé son fils, Harry Williams Verchuren.
de von Rauffenstein le 10 Juil 2013, 22:03
de Cortese le 10 Juil 2013, 22:21
de Capet le 11 Juil 2013, 07:15
Cortese a écrit:Halevi Halevi, elles me rendent marteau.
Voilà c'est fait.
de denim le 13 Juil 2013, 11:24
de Feyd le 13 Juil 2013, 12:09
de Aiello le 15 Juil 2013, 07:58
denim a écrit:Le grand luthier Etienne Vatelot est décédé dans la nuit de vendredi à samedi à son domicile de Neuilly-sur-Seine, apprend-on de sources concordantes. Il avait 88 ans.
Il avait notamment travaillé sur les instruments de Yehudi Menuhin, Isaac Stern ou Mistlav Rostropovitch.
Il avait créé la Fondation Marcel Vatelot afin de venir en aide aux jeunes luthiers et archetiers désireux de porter leur métier au plus haut niveau.
denim a écrit:la question que je me pose...est ce que david Guetta sait ce que c'est qu'un "luthier" ?
de Feyd le 15 Juil 2013, 09:55
de Aiello le 15 Juil 2013, 10:13
Feyd a écrit:Exact, et celui qui fabrique des violons est un "lutteur".
de Shoemaker le 15 Juil 2013, 10:18
denim a écrit:Le grand luthier Etienne Vatelot est décédé dans la nuit de vendredi à samedi à son domicile de Neuilly-sur-Seine, apprend-on de sources concordantes. Il avait 88 ans.
de Aiello le 15 Juil 2013, 10:31
Shoemaker a écrit:Paix à son......... âme.
de Shoemaker le 15 Juil 2013, 11:01
Aiello a écrit:Shoemaker a écrit:Paix à son......... âme.
Joli !
de Feyd le 15 Juil 2013, 11:14
Aiello a écrit:Feyd a écrit:Exact, et celui qui fabrique des violons est un "lutteur".
Non, un violeur.
de Aiello le 15 Juil 2013, 13:07
Feyd a écrit:Aiello a écrit:Feyd a écrit:Exact, et celui qui fabrique des violons est un "lutteur".
Non, un violeur.
Faux, un violeur, est un joueur de Viole de Gambe.
de denim le 15 Juil 2013, 15:23
Shoemaker a écrit:denim a écrit:Le grand luthier Etienne Vatelot est décédé dans la nuit de vendredi à samedi à son domicile de Neuilly-sur-Seine, apprend-on de sources concordantes. Il avait 88 ans.
Mon père avait fait expertiser un de ses violns chez lui. Et une fois, je l'avais accompagné dans le temple du Maître.
Paix à son......... âme.
de Aiello le 15 Juil 2013, 15:42
denim a écrit:Cortése dans la joaillerie...Shoemaker dans le Stradivarius...y a pas à dire,en France,on aime pleurer.
de Shoemaker le 15 Juil 2013, 18:38
Aiello a écrit:denim a écrit:Cortése dans la joaillerie...Shoemaker dans le Stradivarius...y a pas à dire,en France,on aime pleurer.
Pisser aussi. Dans un violon.
de Shoemaker le 15 Juil 2013, 18:40
denim a écrit:Shoemaker a écrit:denim a écrit:Le grand luthier Etienne Vatelot est décédé dans la nuit de vendredi à samedi à son domicile de Neuilly-sur-Seine, apprend-on de sources concordantes. Il avait 88 ans.
Mon père avait fait expertiser un de ses violns chez lui. Et une fois, je l'avais accompagné dans le temple du Maître.
Paix à son......... âme.
putain...même lui.
Cortése dans la joaillerie...Shoemaker dans le Stradivarius...y a pas à dire,en France,on aime pleurer.
de Cortese le 15 Juil 2013, 19:01
de Hugues le 16 Juil 2013, 17:04
Décès de Jacques Ramade, humoriste et ex-chroniqueur de Laurent Ruquier
Laurent Ruquier, sur son compte Twitter, rend hommage à Jacques Ramade. L'humoriste et acteur français nous a quittés à l'âge de 84 ans.
Laurent Ruquier vient d'annoncer la nouvelle sur son compte Twitter : son ancien chroniqueur, Jacques Ramade, est décédé. L'animateur a rendu hommage à son ancien collègue avec ce message très court : "Jacques Ramade nous a quitté. Rien a Cirer, on va se gêner sans oublier Jacques Martin... Merci de m'avoir accompagné, Jacques!"
Jacques Ramade est un humoriste, chansonnier et acteur français, né le 11 novembre 1928 et décédé dans la nuit de lundi à mardi à cause d'une maladie. Ce chansonnier a été connu par sa voix haut perchée et facilement réconnaissable.
Sur les planches Jacques Ramade avait débuté en 1954 au Théâtre de l'Atelier dans L'Oeuf de Félicien Marceau, auteur qu’il a beaucoup joué, de même que Sacha Guitry, sous la direction de Jean-Claude Brialy. Il a été l'un des metteurs en scène d'une pièce de théâtre La Facture de Françoise Dorin, au Théâtre du Palais-Royal à Paris en 1968. Au cinéma, Jacques Ramade avait tourné avec Michel Audiard, Claude Berri, Yves Boisset ou encore Georges Lautner dans Le guignolo avec Jean-Paul Belmondo.
Jacques Ramade avait aussi joué les chansonniers au Théâtre des deux Anes et au Caveau de la république et c'était dans ce dernier que Laurent Ruquier l'avait rencontré. L'animateur avait ensuite entrainé Jacques Ramade à le suivre dans plusieurs émissions télé et radio. Leur première collaboration commune remonte à 1990. Jacques Ramade avait été chroniqueur de l'émission Ferme la fenêtre pour les moustiques, diffusée sur la radio publique France Inter, avec Laurent Ruquier à la présentation. L'émission avait changé de nom en 1991 et était devenue Rien à cirer. Jacques Ramade est devenu célèbre un peu plus tard grâce à ses brèves dans l'émission On va s'gêner sur Europe 1.
Jacques Ramade et Laurent Ruquier avaient travaillé ensemble également pour l'émission de télévision Ainsi font, font, font de Jacques Martin. "C’était mon fidèle chansonnier, mon complice de toujours", a dit Laurent Ruquier, "Il était fait pour faire de la radio car sa voix était tout de suite reconnaissable. C’était avant tout également un auteur. Il a écrit de très nombreuses chansons parodiques".
de denim le 16 Juil 2013, 17:19
de lovecraft le 16 Juil 2013, 18:52
de denim le 17 Juil 2013, 20:50
de Alfa le 17 Juil 2013, 21:14
Feyd a écrit:A mon avis Etienne Vatelot ne savait même pas qui est David Guetta. Quel tristesse, car ce dernier et qd même bien plus connu.
de Cortese le 18 Juil 2013, 11:21
Henri Alleg, auteur de "La Question", est mort
Le Monde.fr | 18.07.2013 à 11h54 • Mis à jour le 18.07.2013 à 12h11
Connu sous le nom d'Henri Alleg, qu'il avait pris lors de son passage dans la clandestinité pendant la guerre d'Algérie, Harry Salem est mort le 17 juillet en région parisienne trois jours avant son quatre-vingt-douzième anniversaire. Dans son livre La Question qui reste un document majeur sur la torture, il avait témoigné sur les sévices qu'il avait subis, en 1957, entre les mains des parachutistes français.
Il faut imaginer la scène : Alleg recroquevillé contre le mur, à moitié groggy. Le para a fait le "boulot" : gégène, étouffement par l'eau, brûlures... L'équipe des "spécialistes" lui a balancé une rafale de grossièretés : "On te niquera la gueule " ; de menaces : "On va faire parler ta femme", "Tes enfants arrivent de Paris". Il répond calmement : "Vous pouvez revenir avec votre magnéto [générateur d'électricité], je vous attends : je n'ai pas peur de vous."
On est en juin 1957, à El Biar, un quartier d'Alger, dans un immeuble désaffecté transformé en centre de torture. La guerre d'Algérie bat son plein d'horreurs. Moins on la nomme par son nom – il faudra attendre 1999 pour cela – plus la sauvagerie se donne libre cours et déborde parfois d'un camp sur l'autre.
DIRECTEUR D'"ALGER RÉPUBLICAIN"
La réplique lancée au soldat devenu bourreau n'est pas une bravade. Journaliste depuis 1950, Alleg connaît son Algérie où depuis longtemps, selon les mœurs coloniales, on torture dans les commissariats et les gendarmeries jusqu'à de petits délinquants qui ne veulent pas "avouer". A l'automne 1955, un an après le déclenchement de l'insurrection le 1er novembre 1954, il plonge dans la clandestinité quand le quotidien Alger républicain, dont il est le directeur, est interdit et le Parti communiste algérien (PCA), dont il est membre, dissous.
Le 12 juin 1957, les parachutistes l'attendent au domicile de Maurice Audin. Celui-ci, jeune assistant en mathématiques, lui aussi militant du PCA, a été arrêté. Il mourra le 21 juin, sous la torture. Le scandale de sa "disparition" aura vraisemblablement sauvé du pire son camarade.
Rien, hormis un mental d'acier qui apparaîtra au fil des épreuves, ne prédisposait Henri Alleg à devenir un héros, un mot qui n'était pas dans son vocabulaire. Parmi les nombreux ouvrages qu'il a écrits, deux sont de nature très différente mais se complètent admirablement : La Question (Editions de Minuit, 1958), le plus connu, et Mémoire algérienne, plus récent (Stock 2005). Le premier est un récit circonstancié écrit à la prison Barberousse d'Alger, où il a été transféré après son "séjour" à El Biar en juin 1957.
INTERDIT, AUSSITÔT RÉÉDITÉ
Léo Matarasso, son avocat, lui a suggéré de raconter ce qu'il a vécu aux mains des parachutistes : "Fais ce que les autres, le plus souvent analphabètes, ne peuvent faire." Les petits bouts de papiers sortent au compte-gouttes, Gilberte l'épouse, à Paris, les tape à la machine. Jérôme Lindon, qui dirige les Editions de Minuit, publie l'ouvrage en février 1958. La Question fait l'effet d'une bombe : soixante mille exemplaires vendus en quelques semaines. Le non-dit qui, en dépit des premières révélations, continuait de régner sur la torture, vole en éclats.
La sortie a été précédée d'une plainte au procureur de la République dont l'Humanité publiera le texte – aussitôt censuré. La presse, Libération de l'époque, Le Monde, L'Express, France-Observateur, Témoignage chrétien, s'émeuvent également. L'ouvrage interdit dès le mois de mars, quatre grands écrivains s'adressent, en vain, au président René Coty : Malraux, Martin du Gard, Mauriac, Sartre. Il est réédité, en Suisse, avec une postface de Sartre.
CROISEMENT DES CULTURES
Né le 20 juillet 1921 à Londres, de parents juifs russo-polonais, Alleg est un melting-pot à lui tout seul : britannique par sa naissance, il sera français par choix quand sa famille s'installe au nord de Paris, puis algérien par adoption après l'indépendance de 1962. L'envie de bourlinguer le saisit en 1939 au moment où débute la seconde guerre mondiale. Il songe à l'Amérique mais débarque à Alger. Coup de foudre. Il ne quittera plus ce pays.
Son peuple, s'il en faut un, sera le peuple algérien, celui du cireur de chaussures qui l'appelait "rougi" pour ses taches de rousseur. Le moindre geste de fraternité humaine fait fondre ce petit bonhomme aux yeux rieurs, qui raconte des histoires à n'en plus finir : juives ? arabes ? anglaises ? parisiennes ? Ce croisement des origines et des cultures, hors de toute domination de classe et de "race", c'est très exactement l'idée qu'il se fait de l'Algérie et au nom de laquelle il honnit le colonialisme.
DANS LE CAMBOUIS DE L'HISTOIRE
Alger républicain en est le porte-drapeau, ne serait-ce que par deux signatures qui jalonnent son histoire : Albert Camus, le pied-noir, qui veut des Français égaux des deux côtés de la Méditerranée mais ratera la marche suivante, celle de la décolonisation ; Kateb Yacine, le Berbère, qui cultive une Algérie indépendante, multiethnique, multiculturelle, politiquement pluraliste. Cet idéal, Alleg n'hésite pas à le défendre contre l'hégémonisme du FLN quand celui-ci accapare le pouvoir, avec Ben Bella, en juillet 1962. Une nouvelle interdiction d'Alger républicain en 1965, sous Boumediene, provoque son départ pour la France.
Il signera, en 2000, l'Appel des douze "pour la reconnaissance par l'Etat français de la torture", aux côtés de Germaine Tillion, d'une idéologie pourtant sensiblement différente, parce que le texte indique bien que "la torture est fille de la colonisation". Jusqu'au bout, il avait poursuivi sa recherche éperdue d'un monde d'hommes libres, égaux, et associés – qu'il identifiait au communisme.
Refusant de "céder du terrain à l'adversaire", il était resté longtemps, en dépit de tout, solidaire des pays socialistes. En désaccord sur ce plan avec le Parti communiste français, il n'avait pas aimé non plus les "dérives social-démocrates" qui, à ses yeux, dénaturaient le marxisme. Endurci par son combat, Henri Alleg avait mis les mains dans le cambouis de l'histoire. D'autres se flatteront d'avoir les mains pures. Mais, pour reprendre une formule de Péguy, "on peut se demander s'ils ont jamais eu des mains"...
Charles Silvestre, ancien rédacteur en chef de L'Humanité, coordinateur de l'Appel des douze contre la torture
de Cortese le 19 Juil 2013, 11:42
de DCP le 19 Juil 2013, 13:01
de Aiello le 19 Juil 2013, 13:12
de Stéphane le 19 Juil 2013, 13:31
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
de Ghinzani le 19 Juil 2013, 13:46
Cortese a écrit:Ouais et moi je vais demander à Marlaga de me rendre l'or que ses amis ont volé à mon père en 1962 !
de Nicklaus le 19 Juil 2013, 14:21
de von Rauffenstein le 19 Juil 2013, 15:14
Ghinzani a écrit:Cortese a écrit:Ouais et moi je vais demander à Marlaga de me rendre l'or que ses amis ont volé à mon père en 1962 !
Tu es juif?
de Cortese le 19 Juil 2013, 15:28
von Rauffenstein a écrit:Ghinzani a écrit:Cortese a écrit:Ouais et moi je vais demander à Marlaga de me rendre l'or que ses amis ont volé à mon père en 1962 !
Tu es juif?
On est tous des Juifs algériens !
de Aym le 20 Juil 2013, 14:21
de Tarod le 20 Juil 2013, 15:36
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