La séquence du spectateur - TOPIC CINEMA

[BWT]

L'émotion au cinéma, c'est souvent une prise d'otage du cerveau. Tout est putassier, de la larme filmée en gros plan à la musique dramatique qui appuie la séquence. C'est de l'émotion forcée, loin de celle qu'on peut ressentir devant un couché de soleil. Le cinéma n'a pas d'autre choix que d'usurper l'émotion de la nature, de se l'approprier. Mais filmer un arbre dans une clairière un soir d'été, c'est du factice.

[Xave]

On progresse, on avait les larmes, on a droit au rire maintenant ! C'est normal de trouver "facile" les émotions les plus basiques.

[Ouais_supère]

...


Tu peux te fiche de moi, ça m'est presque égal, il n'en demeure pas moins que je ne crois pas que le cinéma ait pour but l'émotion.

[Rainier]

Avant, ce topic était un peu chiant. Maintenant, c'est au-delà de casse-couilles. C'est puant, illisible, imbuvable, à vous dégoûter du cinéma.

Dans un entretien radiophonique, Céline s'était exclamé :
" Dans les Ecritures, il est écrit : "Au commencement était le Verbe." Non ! Au commencement était l'émotion. Le Verbe est venu ensuite pour remplacer l'émotion, comme le trot remplace le galop, alors que la loi naturelle du cheval est le galop ; on lui fait avoir le trot. On a sorti l'homme de la poésie émotive pour le faire entrer dans la dialectique, c'est-à-dire le bafouillage, n'est-ce pas ? "

Le cinéma, c'est l'émotion.
Tout ce que des pseudos spécialistes, qui ont tout compris, tartinent ensuite sur des pages et des pages, ce n'est que du bafouillage.

En gros, un film qui fait pleurer est un excellent film, un chef d'oeuvre? Titanic, le meilleur film de l'histoire?

C'est quoi ce raisonnement simpliste.
L'émotion c'est uniquement rire ou pleurer ?
Je crois qu'il faudrait déjà définir ce qu'est l'émotion.

Moi je ressens plus d'émotion devant une superbe analyse mathématique, économique ou artistique ... ou tout d'un coup j'ai l'impression que tout est simple et que tout s'organise dans une logique idéale,
plutôt qu'à regarder le Titanic, ou j'ai surtout baillé devant des ficelles grossières pour vous tirer des larmes.

Pour d'autres ce sera l'inverse, ou autre chose encore.

[Rainier]

...


Tu peux te fiche de moi, ça m'est presque égal, il n'en demeure pas moins que je ne crois pas que le cinéma ait pour but l'émotion.

Quel serait le but du cinéma ? (de l'art en général)


...à part enrichir un tas de feignants

[Xave]

Je ne me "fiche" pas de toi. J'essaie de te faire comprendre que les émotions sont multiples, et si certaines sont effectivement "faciles", toutes ne le sont pas. Et il y a également la manière de filmer qui peut changer beaucoup de choses, dans ces émotions, et dans la manière de les obtenir.

Même le rire est bien plus complexe qu'une simple peau de banane.

[Silverwitch]

Je proteste votre méchanceté honneur, quand l'accusée ici présente (juge et partie, c'est du joli!) avait répliqué pareille chose à mon client, mon client parlait bien de la financiarisation du cinéma (où le film est vu comme un simple investissement spéculatif destiné à la plus grande rentabilité et à donner à ces sociétés de quoi nourrir actionnaires en dividendes, et à ce titre est dans tous les domaines contraints vers une forme de pornographie). Il parlait même, soyons précis, pour témoigner de l'exactitude de ma protestation, de l'agravation de cette financiarisation au cours du tournant des années 80. Bien évidemment que dans l'absolu il n'y a pas de corrélation entre un budget et la valeur d'un film. Mais mon client a toujours parlé du lien entre médiocrité et conditions de production (financiarisation à l'extrême des studios etc..)
A ce titre, nous demandons réparation d'un greensmiley symbolique

Overruled ! Tu fais une généralisation, quand j'examine des cas particuliers, à savoir le box-office 2012...

[Silverwitch]

Le plus souvent, il y a un lien.

T'es pas très loquace pour une nana dis donc !

Alors ? Quel est ce lien ?

Tiens, elle me rappelle quelqu'un.

Si c'est à Stéphane, j'en suis bien aise ! Stéphane, c'est mon modèle. Concision, clarté, densité, humour.

[Aym]

Si c'est à Stéphane, j'en suis bien aise ! Stéphane, c'est mon modèle. Concision, clarté, densité, humour.

T'as encore beaucoup de boulot, quand même.

[Silverwitch]

...


Tu peux te fiche de moi, ça m'est presque égal, il n'en demeure pas moins que je ne crois pas que le cinéma ait pour but l'émotion.

Moi je ressens plus d'émotion devant une superbe analyse mathématique, économique ou artistique ... ou tout d'un coup j'ai l'impression que tout est simple et que tout s'organise dans une logique idéale,
plutôt qu'à regarder le Titanic, ou j'ai surtout baillé devant des ficelles grossières pour vous tirer des larmes.

Pour d'autres ce sera l'inverse, ou autre chose encore.

L'émotion, c'est-à-dire au sens large l'ensemble des réactions du corps, tout ce qui appartient au registre affectif plutôt qu'au registre cognitif est un moyen, et non une fin. Si le cinéma provoque des réactions sensibles et intelligibles, des effets, ces effets sont des moyens de connaissance, de compréhension. La compréhension dans une relation esthétique ne passe pas par le concept ou par la théorie, mais par des formes d'identification, à un personnage, à des situations qui allées avec une prise de distance permettent de mieux comprendre les autres, le monde et nous-mêmes. Les émotions sont intimes, singulières, difficiles à communiquer et ne sont pas nécessairement reliées au film, tous les effets ne sont pas des effecteurs (qui appellent une réaction plus ou moins automatique du corps, comme un pétard qui explose, par exemple).

On appréciera donc les effets en fonction non pas tant de ce qu'ils provoquent ou non en nous, mais de ce qu'ils servent à exprimer, à montrer, à raconter, à représenter.

[Silverwitch]

Si c'est à Stéphane, j'en suis bien aise ! Stéphane, c'est mon modèle. Concision, clarté, densité, humour.

T'as encore beaucoup de boulot, quand même.

J'y travaille !

[Waddle]

Le plus souvent, il y a un lien.

T'es pas très loquace pour une nana dis donc !

Alors ? Quel est ce lien ?

Tiens, elle me rappelle quelqu'un.

Si c'est à Stéphane, j'en suis bien aise ! Stéphane, c'est mon modèle. Concision, clarté, densité, humour.

Non je pensais plutôt à Maverick, à qui je reproche souvent des messages expéditifs, mais sans la qualité de concision.

Ce n'était pas le cas de ton message, mais j'ai trouvé çà marrant que la plainte vienne de Maverick lui même.

[Waddle]

Avant, ce topic était un peu chiant. Maintenant, c'est au-delà de casse-couilles. C'est puant, illisible, imbuvable, à vous dégoûter du cinéma.

Dans un entretien radiophonique, Céline s'était exclamé :
" Dans les Ecritures, il est écrit : "Au commencement était le Verbe." Non ! Au commencement était l'émotion. Le Verbe est venu ensuite pour remplacer l'émotion, comme le trot remplace le galop, alors que la loi naturelle du cheval est le galop ; on lui fait avoir le trot. On a sorti l'homme de la poésie émotive pour le faire entrer dans la dialectique, c'est-à-dire le bafouillage, n'est-ce pas ? "

Le cinéma, c'est l'émotion.
Tout ce que des pseudos spécialistes, qui ont tout compris, tartinent ensuite sur des pages et des pages, ce n'est que du bafouillage.

En gros, un film qui fait pleurer est un excellent film, un chef d'oeuvre? Titanic, le meilleur film de l'histoire?

C'est quoi ce raisonnement simpliste.
L'émotion c'est uniquement rire ou pleurer ?
Je crois qu'il faudrait déjà définir ce qu'est l'émotion.

Moi je ressens plus d'émotion devant une superbe analyse mathématique, économique ou artistique ... ou tout d'un coup j'ai l'impression que tout est simple et que tout s'organise dans une logique idéale,
plutôt qu'à regarder le Titanic, ou j'ai surtout baillé devant des ficelles grossières pour vous tirer des larmes.

Pour d'autres ce sera l'inverse, ou autre chose encore.

Personne n'a dit que l'émotion est mauvaise en soi. D'ailleurs, quand Hugues va voir un film de Malick, il y ressent beaucoup d'émotions.

Le problème, est que tu déclares que le BUT est de produire de l'émotion. Ce n'est pas vrai. Le but est de nous montrer du vrai, du beau, de la clarté, ce qu'il y a d'universel en l'homme, et parfois, cela procure de l'émotion. Mais l'émotion n'en est pas le but.

Une superbe analyse mathématique t'émeut, et moi aussi. Voir le corps de Jack Dawson dans Titanic somber dans les eaux profondes de l'océan m'a ému presque aux larmes. Pour autant, les deux ont-ils la même valeur, parce qu'ils procuré un degré équivalent d'émotion?

[Hugues]

...


Tu peux te fiche de moi, ça m'est presque égal, il n'en demeure pas moins que je ne crois pas que le cinéma ait pour but l'émotion.

Moi je ressens plus d'émotion devant une superbe analyse mathématique, économique ou artistique ... ou tout d'un coup j'ai l'impression que tout est simple et que tout s'organise dans une logique idéale,
plutôt qu'à regarder le Titanic, ou j'ai surtout baillé devant des ficelles grossières pour vous tirer des larmes.

Pour d'autres ce sera l'inverse, ou autre chose encore.

L'émotion, c'est-à-dire au sens large l'ensemble des réactions du corps, tout ce qui appartient au registre affectif plutôt qu'au registre cognitif est un moyen, et non une fin. Si le cinéma provoque des réactions sensibles et intelligibles, des effets, ces effets sont des moyens de connaissance, de compréhension. La compréhension dans une relation esthétique ne passe pas par le concept ou par la théorie, mais par des formes d'identification, à un personnage, à des situations qui allées avec une prise de distance permettent de mieux comprendre les autres, le monde et nous-mêmes. Les émotions sont intimes, singulières, difficiles à communiquer et ne sont pas nécessairement reliées au film, tous les effets ne sont pas des effecteurs (qui appellent une réaction plus ou moins automatique du corps, comme un pétard qui explose, par exemple).

On appréciera donc les effets en fonction non pas tant de ce qu'ils provoquent ou non en nous, mais de ce qu'ils servent à exprimer, à montrer, à raconter, à représenter.

Comment c'est tout copié sur ma réponse à Rainier...

Bon ok



Hugues

[heow]

Et au delà de l'émotion, ça vous arrive d'aller au cinéma et de le prendre comme un divertissement (quitte à ce que celui-ci ne soit qu'un business et non pas forcément un art) ?
On aura compris que les blockbusters ne peuvent pas trouver grâce ici. Soit.
Mais je réitère ma question, quel film vous a fait rire dernièrement, par exemple.

[Silverwitch]

Et au delà de l'émotion, ça vous arrive d'aller au cinéma et de le prendre comme un divertissement (quitte à ce que celui-ci ne soit qu'un business et non pas forcément un art) ?
On aura compris que les blockbusters ne peuvent pas trouver grâce ici. Soit.
Mais je réitère ma question, quel film vous a fait rire dernièrement, par exemple.

Il y en a plein ! L'avant-dernier film des frères Farrelly, par exemple:



Ou même les gags les plus éculés:

[Maverick]

Le plus souvent, il y a un lien.

T'es pas très loquace pour une nana dis donc !

Alors ? Quel est ce lien ?

Tiens, elle me rappelle quelqu'un.

Si c'est à Stéphane, j'en suis bien aise ! Stéphane, c'est mon modèle. Concision, clarté, densité, humour.

Non je pensais plutôt à Maverick, à qui je reproche souvent des messages expéditifs, mais sans la qualité de concision.

Ce n'était pas le cas de ton message, mais j'ai trouvé çà marrant que la plainte vienne de Maverick lui même.

Que veux-tu...on peut pas tous avoir ton immense qualité d'écriture et de clarté mais je fais des efforts.

[Ouais_supère]

Allez...

Faites vous un bisou, tous les deux.

[Maverick]

Attends. T'as compris ce que j'ai dit ?! C'est que mes efforts paient alors.

[BWT]

[Rainier]

Le but est de nous montrer du vrai

Tu parles des documentaires ?

De même que la peinture a été révolutionnée par l'invention de la photographie, le but du cinéma n'est certainement pas de nous montrer "le vrai".
Eventuellement, nous aider à comprendre la vérité (enfin, la vérité du réalisateur).

[Waddle]

Que veux-tu...on peut pas tous avoir ton immense qualité d'écriture et de clarté mais je fais des efforts.

Ce n'est pas une question de qualité d'écriture.

[Maverick]

Oh là là mais quel lourdingue...

[Shoemaker]

Allez...

Faites vous un bisou, tous les deux.

OK.

smak... smak....
- Moi c'est 2
- oui mais moi c'est 4
- Un bisou, c'est 2, c'est connu. 4, il faut préciser.
- Ah oui ? Qui a dit que c'est 2 et pas 4 ?
- Bisou... Bi... Ca veut dire 2 chez moi, et moi je suis précis.
- Ok ! Mais alors tu fais quoi de "sou" dans "bisou", si "bi" c'est 2, petit malin ?
- Sou ? les sous ? ça n'a rien à voir. On parle argent ou baiser, faut savoir ! Quand tu ne sais pas, tu détournes la discussion.
- Hé, tes arguments à 4 sous, tu sais ce que j'en fais moi ? Mais franchement, je me demande pourquoi je persiste à discuter avec un relou pareil.
- Attends, tu prétends que mon bisou ne vaut pas 4 sous ? Alors pourquoi tu veux en faire 4 ? Hein ? Allo ? Hein ? Tu me reçois ?
- Mais t'es vieux, toi ! Tu sais quoi, quand tu ne fais pas 4 bises pendant un bisou, c'est comme si ... euh... tu embrasses une fille sans la langue.
- Monsieur Einstein ! Explique moi comment tu peux faire UN bisou (c'est toi qui l'a écrit hein), et en même temps, tu en fais 4 ? Hein ? Explique ! Allo ?...
- ....

Bon
(pour ma défense, je l'ai écrit d'une traite sans réfléchir ! alors camembert ! )

[Cortese]

Les pires c'est les "3 bises". Tu en fais deux, normal, mais tu vois que le mouvement continue. Alors tu lances une deuxième fournée de deux, distraitement, et soudain en plein revers alors que tu visais soigneusement la bande, le terrain disparait ! T'es trop lancé pour t'arrêter sur place, alors du coup l'autre essaye de te rattraper, mais c'est trop tard, tu as encore eu l'air ridicule.

[DCP]

Le pire, c'est en Allemagne: les nanas ne te font pas la bise, elles te serrent broyent la main et les mecs te prennent dans les bras pour te faire un "hug".

[Waddle]

Oh là là mais quel lourdingue...

Excuse moi de te répondre.

[Waddle]

Allez...

Faites vous un bisou, tous les deux.

OK.

smak... smak....
- Moi c'est 2
- oui mais moi c'est 4
- Un bisou, c'est 2, c'est connu. 4, il faut préciser.
- Ah oui ? Qui a dit que c'est 2 et pas 4 ?
- Bisou... Bi... Ca veut dire 2 chez moi, et moi je suis précis.
- Ok ! Mais alors tu fais quoi de "sou" dans "bisou", si "bi" c'est 2, petit malin ?
- Sou ? les sous ? ça n'a rien à voir. On parle argent ou baiser, faut savoir ! Quand tu ne sais pas, tu détournes la discussion.
- Hé, tes arguments à 4 sous, tu sais ce que j'en fais moi ? Mais franchement, je me demande pourquoi je persiste à discuter avec un relou pareil.
- Attends, tu prétends que mon bisou ne vaut pas 4 sous ? Alors pourquoi tu veux en faire 4 ? Hein ? Allo ? Hein ? Tu me reçois ?
- Mais t'es vieux, toi ! Tu sais quoi, quand tu ne fais pas 4 bises pendant un bisou, c'est comme si ... euh... tu embrasses une fille sans la langue.
- Monsieur Einstein ! Explique moi comment tu peux faire UN bisou (c'est toi qui l'a écrit hein), et en même temps, tu en fais 4 ? Hein ? Explique ! Allo ?...
- ....

Bon
(pour ma défense, je l'ai écrit d'une traite sans réfléchir ! alors camembert ! )

[DCP]

Oh là là mais quel lourdingue...

Excuse moi de te répondre.

Certaines fois, Waddle, les plus courtes sont les meilleures...

[Kadoc]

Il peut pas comprendre, il est black.

[Shoemaker]

Il peut pas comprendre, il est black.

[Rainier]

Allez...

Faites vous un bisou, tous les deux.

OK.

smak... smak....
- Moi c'est 2
- oui mais moi c'est 4
- Un bisou, c'est 2, c'est connu. 4, il faut préciser.
- Ah oui ? Qui a dit que c'est 2 et pas 4 ?
- Bisou... Bi... Ca veut dire 2 chez moi, et moi je suis précis.
- Ok ! Mais alors tu fais quoi de "sou" dans "bisou", si "bi" c'est 2, petit malin ?
- Sou ? les sous ? ça n'a rien à voir. On parle argent ou baiser, faut savoir ! Quand tu ne sais pas, tu détournes la discussion.
- Hé, tes arguments à 4 sous, tu sais ce que j'en fais moi ? Mais franchement, je me demande pourquoi je persiste à discuter avec un relou pareil.
- Attends, tu prétends que mon bisou ne vaut pas 4 sous ? Alors pourquoi tu veux en faire 4 ? Hein ? Allo ? Hein ? Tu me reçois ?
- Mais t'es vieux, toi ! Tu sais quoi, quand tu ne fais pas 4 bises pendant un bisou, c'est comme si ... euh... tu embrasses une fille sans la langue.
- Monsieur Einstein ! Explique moi comment tu peux faire UN bisou (c'est toi qui l'a écrit hein), et en même temps, tu en fais 4 ? Hein ? Explique ! Allo ?...
- ....

Bon
(pour ma défense, je l'ai écrit d'une traite sans réfléchir ! alors camembert ! )

Pas mal, Shoemaker
T'es peut être passé à côté d'une carrière à la Raymond Devos ! M'enfin il n'est jamais trop tard...

[Stéphane]

Le plus souvent, il y a un lien.

T'es pas très loquace pour une nana dis donc !

Alors ? Quel est ce lien ?

Tiens, elle me rappelle quelqu'un.

Si c'est à Stéphane, j'en suis bien aise ! Stéphane, c'est mon modèle. Concision, clarté, densité, humour.

Ben t'as du boulot, ma vieille.

[Waddle]

Il peut pas comprendre, il est black.

[Waddle]

Oh là là mais quel lourdingue...

Excuse moi de te répondre.

Certaines fois, Waddle, les plus courtes sont les meilleures...

Certes, mais c'est plus fort que moi, je sais pas ne pas répondre quand quelqu'un me parle, c'est une question d'éducation.

[Shoemaker]

Oh là là mais quel lourdingue...

Excuse moi de te répondre.

Certaines fois, Waddle, les plus courtes sont les meilleures...

Certes, mais c'est plus fort que moi, je sais pas répondre quand quelqu'un me parle, c'est une question d'éducation.

Récapitulons : Ton éducation t'a appris à ne pas savoir répondre, quand on te parle. Ah c'est du propre ! Alors NE REPONDS PAS !!

[DCP]

[Waddle]

Oh là là mais quel lourdingue...

Excuse moi de te répondre.

Certaines fois, Waddle, les plus courtes sont les meilleures...

Certes, mais c'est plus fort que moi, je sais pas répondre quand quelqu'un me parle, c'est une question d'éducation.

Récapitulons : Ton éducation t'a appris à ne pas savoir répondre, quand on te parle. Ah c'est du propre ! Alors NE REPONDS PAS !!

Salaud

Note pour moi même: Ne pas "ne pas" oublier.

[Hugues]

Alors c'est vrai que je n'irai probablement pas voir "à la merveille" et j'attendrai, moi aussi, qu'il passe à la TV dans 10 ans (sans doute à 1h00 du matin)

(Bon ça n'est pas pour t'encourager précisément toi, mais pour rebondir ..)

Et pourtant, mesdames et messieurs, jusqu'à mardi soir, je vous fait la place non pas à 8 ou 7 euros..
Non pas à 6 euros..
Non pas à 5 euros..
Même pas à 4,50 euros
Encore moins à 4 euros..

Mais à 3,50 euros.. Vente flash au rayon cinéma.. 3,50 la place... Ca ne va pas durer on se dépêche..

Profitez-en c'est la BNP qui paie la différence.. Faites raquer ces banquiers, faites les tirer la langue.. Faites leur payer la note, profitez-en.. Vengez-vous quoi.

Hugues (tout ça pour dire que c'était le Printemps du Cinéma)

PS: Le défaut c'est que les salles sont pleines, ce qui n'est pas forcément l'idéal, dépendant du respect que certains spectateurs ont du film ou des autres.

[sccc]

Hugues et Silverwitch,

Quelle est votre analyse (j'entends celle que vous développez pour les chefs d’œuvre de Malick) pour un film comme celui-ci (si vous l'avez vu bien sûr):

[von Rauffenstein]

Le pire, c'est en Allemagne: les nanas ne te font pas la bise, elles te serrent broyent la main et les mecs te prennent dans les bras pour te faire un "hug".

Cest vraiment des étrangers, ces gens là.