BWT a écrit:Shoemaker a écrit:Seb a écrit:DCP a écrit:Du vol organisé par l'Etat...remarque, je comprends que les gens vident leurs comptes, on sait pas s'ils vont remettre la compresse plus tard...
Le vol organisé, ce sont les taux d'imposition dans nos pays, très loin de ceux que tu trouves chez eux, même en y rajoutant un petit dix pourcents.
Les impôts que tu payes "ici", c'est aussi ce qui te permet d'avoir un niveau de vie bien supérieur au leur. Jusqu'à preuve du contraire, tes impôts ne vont pas dans les poches des banquiers.
En fait, si. Les recettes de l'impôt sur le revenu en France sert dans sa totalité à payer les intérêts de la dette. Intérêts de la dette qui vont directement dans les poches des banques puisqu'elles sont "créancières" dans cette affaire.
Oui oui... Mais moi tu sais, si j'étais Maître du monde, c'est directe la révolution. Vois-tu, j'essaye d'être "consensuel".
Les gars qui ont fait que la France emprunte aux banques, ils sont là (leurs rejetons politiques en tout cas), avec leurs partis, UMP, PS, Centre... Et les gens ICI continuent à voter pour eux. En Mille neuf cent prout, ces bonnes gens qui votent pouvaient prétendre qu'ils ne savaient pas que Pompidou avait vendu leur souveraineté aux banques avec l'aval de tous les PArtis (personne à l'époque n'avait moufeté, pas même le PC, à ma connaissance).
MAis maintenant, tout le monde sait. Tout le monde sait qu'on emprunte aux banques, qu'on paye des impôts AUSSI pour rembourser la dette, etc. Ok. On le sait.
MAIS on continue à voter pour ces gens là. Donc on ne pleurniche pas et on reste droit dans ses bottes. Mais les Chypriotes, eux, ils ne savaient pas que telle funeste nuit sans lune, fixée par les gangsters de Bruxelles, on allait faire main basse sur une partie de leur fric.
je ne dis pas que c'est la belle vie ailleurs. Mais là, on atteint un niveau de n'importe quoi qui laisse ce choix : la révolution ou le silence. Définitivement. Parce que je ne vois pas trop où il est, le parti qui propose de nationaliser les banques. Qu'on me le montre ce parti. Je voterai pour lui, la prochaine fois.