Modérateurs: Garion, Silverwitch

metomoll a écrit:Et bien entendu vous continuez à regarder ces trucs...
Et après ça vient raconter que c'est tombé par hasard sur la vidéo de l'exécution de Daniel Pearl.
Vous me foutez la gerbe là.


Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant






Feyd a écrit:Pffff, je l'ai aussi en divx !

Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...



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Cyril a écrit:Je l'ai acheté (au rabais). J'essayais d'avoir tous les films de "sport auto" en DVD.

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Cyril a écrit:Perso, je croise les doigts pour "Rush", qui devrait sortir début 2013.
Feyd a écrit:Sinon je conseille le film "3" qui retrace la vie de Dale Earnhardt joué par Barry Pepper


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denim a écrit:idem…notamment un GP de Monaco sous la pluie.98 je crois, où schum part en pneus pluie et Villo la breloque en pneus pour le sec.
en gros,villo s'est fourvoyé…il pensait que la pluie allait cesser alors que ce fut tout le contraire…au bout d'un tour schum avait déjà une dizaine de secondes.




Feyd a écrit:denim a écrit:idem…notamment un GP de Monaco sous la pluie.98 je crois, où schum part en pneus pluie et Villo la breloque en pneus pour le sec.
en gros,villo s'est fourvoyé…il pensait que la pluie allait cesser alors que ce fut tout le contraire…au bout d'un tour schum avait déjà une dizaine de secondes.
C'était en 97. En 98 Schum avait abandonné.
Puis fallait bien qu'il se rattrape puisque l'année précédente il avait déjà 40 secondes de retard au premier tour.

Quatre citadins décident de s'offrir un week-end dans la nature sauvage. Lewis, l'adepte de sports extrêmes, Ed, le père de famille responsable, Drew, le musicien sensible et Bobby, le bon vivant, se retrouvent au fin fond de la Géorgie pour descendre en canoë la rivière Cahulawassee, condamnée à disparaître par la construction prochaine d'un barrage. Après avoir trouvé, après moult difficultés, des autochtones disposés à convoyer leurs voitures jusqu'à destination, les quatre amis s'élancent avec enthousiasme sur les rapides. Mais l'osmose avec la nature ne va pas durer longtemps et ils vont devoir faire face à des dangers autrement plus périlleux.
Á la recherche d'une nature un peu moins domestiquée que les terrains de golf qu'ils ont l'habitude de fréquenter, les quatre aventuriers amateurs, tout d'abord un peu condescendants avec les autochtones, vont rapidement perdre de leur superbe. Arrivés à une station-service délabrée, ils tombent sur une famille qu'ils traitent avec un mépris peu dissimulé. Pourtant, un contact s'établit entre Drew, le musicien de la bande et le jeune fils dégénéré de la famille. Le temps d'un duo banjo-guitare, un instant d'harmonie surgit miraculeusement entre les deux mondes, réunis par la musique. Mais cela sera de courte durée : à peine le morceau terminé, le jeune garçon refuse la main tendue de Drew, comme pour lui signifier que lui et ses amis restent irrémédiablement étrangers. C'est un monde voué à la destruction dans lesquels ils viennent de pénétrer. Un univers hostile, violent même, où les moments de joie peuvent basculer d'un instant à l'autre vers l'horreur. Confrontés à leur propre animalité, ayant perdu tous leurs repères, les quatre héros vont devoir aller au-delà de leurs limites pour espérer survivre. Loin du mythe de la nature bienveillante et du conte initiatique, Délivrance est avant tout une plongée dans les noirceurs de l'âme humaine.
(Etats-Unis, 1972, 104mn)
Acteurs :
Jon Voight
Burt Reynolds
Ned Beatty
Réalisateur :
John Boorman


Sylex a écrit:Hier soir il y avait "delivrance" sur Arte. http://videos.arte.tv/fr/videos/delivra ... 75854.html
Je n'avais jamais vu, mais c'est rude, et terrible![]()
Je ne crois pas qu'il soit rediffusé tout prochainement, mais si vous avez l'occasion . ...
Le privé
(The long goodbye)
Film de Robert Altman (États-Unis, 1973, 2h01mn)
Scénario : Leigh Brackett, d’après le roman de Raymond Chandler
Avec : Elliott Gould (Philip Marlowe), Nina Van Pallandt (Eileen Wade), Sterling Hayden (Roger Wade), Mark Rydell (Marty Augustine), Henry Gibson (le Dr Verringer), David Arkin (Harry), Warren Berlinger (Morgan), Jo Ann Brody (Jo Ann Eggenweiler), Jim Bouton (Terry Lenox)
Image : Vilmos Zsigmond, Musique : John Williams
Robert Altman est aux commandes dans un film noir détourné mais somptueux. Elliott Gould, le trublion potache de M.A.S.H., personnifie Philip Marlowe. Un régal absolu.
Philip Marlowe ne croit pas à la culpabilité de son ami Terry Lenox, accusé d'avoir sauvagement assassiné sa femme avant de se suicider de l'autre côté de la frontière, au Mexique. Le détective privé décide de mener son enquête. Il est parallèlement engagé par la belle Eileen Wade, qui le charge de retrouver son mari. Puis il est menacé par Marty Augustine, un maffioso à qui Lenox aurait dérobé 350 000 dollars...
La séquence d'ouverture est mémorable : Marlowe rentre chez lui à 3 heures du matin. Son chat réclame sa pâtée. Pendant de longues minutes, il cherche dans sa cuisine de quoi nourrir son unique compagnon, puis ressort pour lui trouver sa marque favorite. Peine perdue, il doit se contenter d'une sous-marque. Pour tromper l'animal, il met la pâtée délictueuse dans une boîte de la bonne marque. Mais le stratagème est éventé : le chat tourne le dos dédaigneusement et s'en va. En quelques minutes, Altman a campé l'atmosphère et y a imprimé sa marque. Vingt-cinq ans après Le grand sommeil, il redonne vie à Marlowe sous les traits iconoclastes d'Elliott Gould, et c'est un vrai régal. Mais Le privé n'est pas un pastiche au mauvais sens du terme : même si Altman se plaît à jouer avec les codes du film noir pour les détourner, il nous entraîne dans une intrigue passionnante (quoique chandlerienne, donc fort embrouillée, pour ne pas dire incompréhensible), dont ni l'ambiance ni les personnages ne sont des caricatures. Cynique et désabusé, comme il se doit, Marlowe est aussi doué d'un puissant code de l'honneur et d'un sens aigu de l'amitié. Elliott Gould fait merveille : complètement décalé au milieu d'un Los Angeles très seventies (ses voisines font du yoga en petite tenue, tout le monde a les cheveux longs), il trimballe sa silhouette anachronique, cravate et complet noir, au volant d'une Lincoln Continental 1948 et multiplie les bons mots. À ses côtés, Sterling Hayden est impressionnant en écrivain alcoolique tonitruant, et on appréciera tout particulièrement la première apparition à l'écran de la magnifique Nina van Pallandt, qui rejouera par la suite avec Altman. Ne pas manquer non plus, dans une figuration de (très) gros bras, le musculeux Arnold Schwarzenegger !







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