denifumi a écrit:Genie a écrit:denifumi a écrit:Cortese a écrit:Si on ne veut pas se soumettre à la justice de l'étranger, on n'y va pas, à l'étranger. C'est quoi cette mentalité coloniale.
c'est ce que je dis souvent aux etrangers qui viennnent en france et qui ne veulent pas respecter nos lois.
En même temps, en France on laisse en liberté les pédophiles, les drogués et les récidivistes. Certains font même partie du gouvernement. C'est un vrai coin de paradis ce pays. Pas sûr cependant que les droits soient les mêmes pour tous...
je suis d'accord avec toi,beaucoup de gens qui approchent ou bossent pour la politique sont a gerber.
Dit-il, en piquant le boulot d'un chômeur alors qu'il est pensionné par l'État Français.
Remarque du coup t'es bien placé pour taper sur tous ces cumulards de la politique !
les parents de la ministre ont racheté, en sa présence, les parts de la société civile immobilières de l'homme d'affaires tunisien.
En plein voyage controversé de la ministre des Affaires étrangères en Tunisie, le 30 décembre, les parents de Michèle Alliot-Marie ont racheté des parts appartenant à l'homme d'affaires Aziz Miled dans une société, révèle Le Canard enchaîné, mardi 15 février.
Les révélations sur ce séjour controversé s'accélèrent. Mediapart dévoile ainsi mardi soir que, en pleine révolution tunisienne, Michèle Alliot-Marie a eu une conversation téléphonique avec le président Ben Ali.
Cette révolution n'a pourtant pas freiné le sens des affaires du clan Alliot-Marie. Selon le Canard enchaîné, Bernard Marie et son épouse étaient déjà associés minoritaires (avec environ 13% du capital) dans la société civile immobilière (SCI) Ikram dont étaient propriétaires Aziz Miled et son fils Karim.
Toujours selon Le Canard enchaîné, les Miled ont vendu, le 30 décembre, à l'hôtel Sentido Beach à Tabarka, toutes leurs parts de cette SCI à Bernard et Renée Marie, qui sont âgés de 94 et de 92 ans, en présence d'employés de la commune de Tabarka. La ministre était alors présente dans l'hôtel, selon le journal.
On ignore pour le moment quels sont les biens détenus par la SCI.
"Michèle Alliot-Marie n'a pas à commenter"
"Les éventuelles transactions de ses parents ne concernent en rien Michèle Alliot-Marie et elle n'a pas à les commenter", a déclaré son conseiller de communication, Guillaume Didier.
Sans enfant, Michèle Alliot-Marie a perdu sa soeur en 2004. Sa nièce, Ludivine, travaille avec elle. La ministre l'a choisie "avant tout pour ses compétences".
Selon le journal, qui est à l'origine des précédentes révélations sur les vols de la ministre et de sa famille à bord de l'avion privé d'Aziz Miled, le montant exact de la transaction des époux Marie n'est pas connu.
L'acte reçu par ceux-ci ne mentionne, selon les usages locaux, que la valeur nominale des parts, soit 755.000 dinars, environ 325.000 euros, relève l'hebdomadaire.
Une transaction préparée de longue date
Le Canard explique que cette transaction était appelée à rester secrète mais qu'elle était "forcément préparée de longue date": il fallait l'accord du gouverneur du secteur, lui-même sous tutelle du ministère de l'Intérieur.
Michèle Alliot-Marie a dû faire face à des appels à sa démission pour avoir utilisé par deux fois, durant ses vacances de Noël en Tunisie, l'avion de son ami tunisien Aziz Miled, présenté comme un proche du beau-frère du président déchu, alors que la révolution de jasmin avait débuté.
Le président Nicolas Sarkozy avait pris la défense de sa ministre, affirmant que "pas un centime d'argent public n'a été détourné", mais reconnu que "ce n'était pas la meilleure idée que d'aller en Tunisie" à cette période.
Raaaah ces journalistes ! Quels ingrats !

Internet ne rend pas plus con, mais rend la connerie plus visible.