Modérateurs: Garion, Silverwitch
ArsTechnica a écrit:Not just oil: US hit peak water in 1970 and nobody noticed
By John Timmer
The concept of peak oil, where the inaccessibility of remaining deposits ensures that extraction rates start an irreversible decline, has been the subject of regular debate for decades. Although that argument still hasn't been settled—estimates range from the peak already having passed us to its arrival being 30 years in the future—having a better sense of when we're likely to hit it could prove invaluable when it comes to planning our energy economy. The general concept of peaking has also been valuable, as it applies to just about any finite resource. A new analysis suggests that it may be valuable to consider applying it to a renewable resource as well: the planet's water supply.
The analysis, performed by staff at the Pacific Institute, recognizes that there are some significant differences between petroleum and water. For oil, using it involves a chemical transformation that won't be reversed except on geological time scales. Using water often leaves it in its native state, with a cycle that returns it to the environment in a geologic blink of an eye. Still, the authors make a compelling argument that, not only can there be a peak water, but the US passed this point around 1970, apparently without anyone noticing.
They make their case based on three ways in which water can run up against limits on its use. The first is peak renewable water, for sources that rapidly replenish, like river basins or snow melt. The classic example here is the Colorado River where, for most years since 1960, essentially no water has reached the ocean. Although actual water use is governed by a series of interstate and international agreements, these simply serve to allocate every drop of water. Similar situations are taking place in other river basins, such as the Jordan.
The second is what they term peak nonrenewable water, as exemplified by the use of aquifers that replenish on time scales that make them closer to a finite resource. (This issue is so well recognized that it has a Wikipedia entry.) At the moment, the Ogallala and Central Valley Aquifers in the US, along with a number in China and India, are being drained at a rate that far exceeds their recharge. Ultimately, usage will necessarily peak and start dropping, as it gets harder to get access to the remainder. Eventually, these water supplies will tail off to something in the neighborhood of their recharge rate.
The final issue the authors consider is peak ecological water. The gist here is that we've accepted the elimination of the Colorado near its terminus. For a wide variety of other water sources—think the Hudson or the Rhine—we'll never tolerate the equivalent. This is because of the potential economic impact of eliminating the use of the waterway, and because we're no longer likely to accept wiping out species that rely on the habitats created by the rivers.
Combined, these three peaks set a hard limit on the sustainable water use. We can exceed them for a while, but we will eventually have to drop down to something near the limit, unless we're willing to start paying substantially more for our water supply.
There are really two ways to do this. The first is to simply make more of the water accessible that's currently off limits. So, for example, there are a lot of areas where we could change our habits of dumping industrial and municipal waste into the environment, and clean up the existing watershed in order to make that supply available for other uses.
The authors consider this analogous to what economists have termed a "backstop" technology for other finite resources. For example, renewable energy acts as a backstop for fossil fuels. Although some forms of renewable energy are currently expensive in comparison with fossil fuels, the latter's scarcity will ultimately cause its price to rise until some the renewable backstops become competitive; further scarcity will ultimately bring more backstops into play until use of the nonrenewable resource becomes negligible.
In an analogous manner, cleaning up existing renewable water sources acts as one backstop for the post-peak water scenario. But, as the authors note, "the ultimate water backstop is still water." Long distance transport is still possible, as is large-scale desalinization, which currently is largely confined to island nations and the Mideast.
Is large-scale desalinization inevitable? The authors make the case that it's not, based on the US. Although they caution that water-use figures, which are notoriously fragmented, aren't entirely reliable, they use them to suggest that US water use roughly paralleled GDP growth for most of the 20th century. The two separated around 1970, as water use tailed off, peaking around 1975. After a short period of decline, water use has remained stable even as both GDP and population have continued to climb.
This pattern, the authors suggest, is a lot like what they expect peak water to look like. And, if that really was the peak, the experience of the US might provide valuable lessons for economic planning.
Ozone: la Région Paca est la plus polluée de France
ON EST LES CHAMPIONS. La région Provence-Alpes-Côte d'Azur a enregistré en 2009 trente jours d'épisodes de pollution à l'ozone, ce qui la place loin devant les autres régions de France, a annoncé lundi l'association de surveillance de la qualité de l'air Atmo Paca. Lire la suite
« Dans l'ensemble, on observe une tendance à la baisse du nombre de pics », a nuancé Carole Génévé, directrice adjointe de la structure, lors d'une conférence de presse.
Ainsi, 2009 n'est pas une année de forte pollution, comparée aux 44,7 jours comptabilisés en moyenne sur les dix dernières années (2000-2009), avec un record de 80 jours lors de l'été caniculaire de 2003.
« Néanmoins, a-t-elle ajouté, la région Paca se situe toujours en tête du palmarès national, soit deux fois plus qu'en Rhône-Alpes et quatre fois plus qu'en Ile-de-France. »
Depuis début 2010, l'ozone a dépassé la moyenne horaire de 180 microgrammes par mètre cube d'air à quatre reprises, les 25 et 28 avril et les 23 et 24 mai.
L'ozone est un polluant secondaire qui résulte de la transformation, sous l'effet des rayons solaires, des émissions des transports et des activités industrielles.
Selon Atmo Paca, « il faut plus de 1 000 réactions chimiques pour fabriquer » ce gaz.
Ces épisodes se déclenchent le plus fréquemment en été, en cours d'après-midi, lors de journées ensoleillées et peu ventées.
A lui seul, le département des Bouches-du-Rhône, qui concentre de grands centres urbains et le pôle industriel de Fos-sur-Mer, est « responsable de plus de 50% des émissions polluantes de Paca », a précisé Madame Génévé.
L'an dernier, 18 pics y ont été recensés et des mesures d'urgence (réduction de vitesse, limitation des rejets polluants, interdiction de certains travaux de peinture, etc.) y ont été déclenchées par le préfet dans quinze cas.
L'ozone et les autres composés qui l'accompagnent en cas de pic sont agressifs et irritants pour les voies respiratoires. Ils peuvent provoquer l'apparition de nombreux symptômes comme l'inflammation des bronches, l'irritation de la gorge et des yeux ou encore des crises d'asthme. (AFP)
Kôôl-x a écrit:Pour remettre les pendules régionales à l'heure :Ozone: la Région Paca est la plus polluée de France
ON EST LES CHAMPIONS. La région Provence-Alpes-Côte d'Azur a enregistré en 2009 trente jours d'épisodes de pollution à l'ozone, ce qui la place loin devant les autres régions de France, a annoncé lundi l'association de surveillance de la qualité de l'air Atmo Paca. Lire la suite
« Dans l'ensemble, on observe une tendance à la baisse du nombre de pics », a nuancé Carole Génévé, directrice adjointe de la structure, lors d'une conférence de presse.
Ainsi, 2009 n'est pas une année de forte pollution, comparée aux 44,7 jours comptabilisés en moyenne sur les dix dernières années (2000-2009), avec un record de 80 jours lors de l'été caniculaire de 2003.
« Néanmoins, a-t-elle ajouté, la région Paca se situe toujours en tête du palmarès national, soit deux fois plus qu'en Rhône-Alpes et quatre fois plus qu'en Ile-de-France. »
Depuis début 2010, l'ozone a dépassé la moyenne horaire de 180 microgrammes par mètre cube d'air à quatre reprises, les 25 et 28 avril et les 23 et 24 mai.
L'ozone est un polluant secondaire qui résulte de la transformation, sous l'effet des rayons solaires, des émissions des transports et des activités industrielles.
Selon Atmo Paca, « il faut plus de 1 000 réactions chimiques pour fabriquer » ce gaz.
Ces épisodes se déclenchent le plus fréquemment en été, en cours d'après-midi, lors de journées ensoleillées et peu ventées.
A lui seul, le département des Bouches-du-Rhône, qui concentre de grands centres urbains et le pôle industriel de Fos-sur-Mer, est « responsable de plus de 50% des émissions polluantes de Paca », a précisé Madame Génévé.
L'an dernier, 18 pics y ont été recensés et des mesures d'urgence (réduction de vitesse, limitation des rejets polluants, interdiction de certains travaux de peinture, etc.) y ont été déclenchées par le préfet dans quinze cas.
L'ozone et les autres composés qui l'accompagnent en cas de pic sont agressifs et irritants pour les voies respiratoires. Ils peuvent provoquer l'apparition de nombreux symptômes comme l'inflammation des bronches, l'irritation de la gorge et des yeux ou encore des crises d'asthme. (AFP)
schumi84f1 a écrit:
si on était pas emmerdé par tous les touristes qui veulent passer des vacances là où on vit !!!!!
schumi84f1 a écrit:Kôôl-x a écrit:Pour remettre les pendules régionales à l'heure :Ozone: la Région Paca est la plus polluée de France
ON EST LES CHAMPIONS. La région Provence-Alpes-Côte d'Azur a enregistré en 2009 trente jours d'épisodes de pollution à l'ozone, ce qui la place loin devant les autres régions de France, a annoncé lundi l'association de surveillance de la qualité de l'air Atmo Paca. Lire la suite
« Dans l'ensemble, on observe une tendance à la baisse du nombre de pics », a nuancé Carole Génévé, directrice adjointe de la structure, lors d'une conférence de presse.
Ainsi, 2009 n'est pas une année de forte pollution, comparée aux 44,7 jours comptabilisés en moyenne sur les dix dernières années (2000-2009), avec un record de 80 jours lors de l'été caniculaire de 2003.
« Néanmoins, a-t-elle ajouté, la région Paca se situe toujours en tête du palmarès national, soit deux fois plus qu'en Rhône-Alpes et quatre fois plus qu'en Ile-de-France. »
Depuis début 2010, l'ozone a dépassé la moyenne horaire de 180 microgrammes par mètre cube d'air à quatre reprises, les 25 et 28 avril et les 23 et 24 mai.
L'ozone est un polluant secondaire qui résulte de la transformation, sous l'effet des rayons solaires, des émissions des transports et des activités industrielles.
Selon Atmo Paca, « il faut plus de 1 000 réactions chimiques pour fabriquer » ce gaz.
Ces épisodes se déclenchent le plus fréquemment en été, en cours d'après-midi, lors de journées ensoleillées et peu ventées.
A lui seul, le département des Bouches-du-Rhône, qui concentre de grands centres urbains et le pôle industriel de Fos-sur-Mer, est « responsable de plus de 50% des émissions polluantes de Paca », a précisé Madame Génévé.
L'an dernier, 18 pics y ont été recensés et des mesures d'urgence (réduction de vitesse, limitation des rejets polluants, interdiction de certains travaux de peinture, etc.) y ont été déclenchées par le préfet dans quinze cas.
L'ozone et les autres composés qui l'accompagnent en cas de pic sont agressifs et irritants pour les voies respiratoires. Ils peuvent provoquer l'apparition de nombreux symptômes comme l'inflammation des bronches, l'irritation de la gorge et des yeux ou encore des crises d'asthme. (AFP)
si on était pas emmerdé par tous les touristes qui veulent passer des vacances là où on vit !!!!!
Passe ton tour
La pénible prestation des footballeurs français en Afrique du Sud a presque fait oublier le succès enregistré par la Fédération française de football quelques semaines avant le début de ce mondial. La France, en effet, organisera sur son sol le championnat d'Europe des nations 2016. Pour soutenir une candidature qui devait affronter des adversaires aussi sérieux que l'Italie par exemple, il aura fallu mettre le paquet : dans le budget prévisionnel, environ 1,7 milliard d'euros sera investi dans la construction et/ou la rénovation des 12 stades destinés à accueillir la compétition.
Sur cette somme, 600 millions proviennent de fonds privés, 850 font l'objet de financements mixtes et 290 millions seront directement piochés dans les finances publiques. Pas de basse démagogie ici : on sait très bien que de tels investissements appellent des retombées économiques à moyen et long terme. On se permettra juste de relever qu'il est diaboliquement compliqué de trouver 30 millions pour rénover le circuit de Magny-Cours et que le projet de construction d'un complexe automobile à Sarcelles, prévu pour être supporté à la fois par des fonds publics et des investisseurs privés, est aujourd'hui à l'arrêt complet.
Difficile d'oublier les levées de boucliers d'associations écologistes - ou autres - toujours en première ligne en ce qui concerne la défense de l'environnement. On les entend beaucoup moins en cette période de Tour de France. Pourtant, la jolie caravane multicolore qui précède et suit les cyclistes - qui eux ne polluent pas, nous sommes d'accord - compte environ 2400 véhicules. Roulant souvent en première ou seconde dans les cols pyrénéens et alpins. Le Tour déborde de voitures officielles, avec une ou deux personnes à bord, qui se révèlent parfois être un lointain partenaire ou un VIP quelconque.
Il nous faut dire, redire et re-redire qu'un week-end de course à Monaco n'est pas plus polluant qu'un week-end « normal» dans la Principauté. Au risque que seule une minorité écoute. Aux conditions actuellement demandées par Bernie Ecclestone pour l'organisation d'un Grand Prix, on n'est pas près de revoir la F1 en France. Sauf à assister à un spectaculaire revirement politique.
Jean-Claude Romec
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Nuvolari a écrit:Je dirais plutôt qu'avec ce genre de raisonnement on aurait pu éviter les essais nucléaires à ciel ouvert ou en mer...
Ce sont juste des prétentieux mégalos et inconscients. Inconscients de leur bêtise et celle de leurs congénères.sccc a écrit:Nuvolari a écrit:Je dirais plutôt qu'avec ce genre de raisonnement on aurait pu éviter les essais nucléaires à ciel ouvert ou en mer...
Non, je pense pas. Quand il s'agit d'être le premier au niveau militaire (ou de répondre à la menace de l'autre camp) c'est la raison d'état qui joue et pas le progrès ni l'écologie ni le développement durable.
Il faut arrêter de croire que ceux qui travaillent dans le nucléaire civil sont des imbéciles, des inconscients ou pire, des salauds (qu'on traite au même titre que des marchands d'arme dans certains milieu qui prétendent financer des institutions ou entreprise à projet "durable").
Toma a écrit:le baril est à 110$ .... le prix de l'essence à la pompe s'envole déjà alors que le petrole qui coute 110$ n'est pas encore arrivé dans les cuves des stations essences ...
les petroliers ont du se frotter les mains en voyant les soulévements et les problemes dans le monde arabe.
Nuvolari a écrit:Les mecs de Grenoble bossent la dessus t'inquiete. On y viendra !
Toma a écrit:le baril est à 110$ .... le prix de l'essence à la pompe s'envole déjà alors que le petrole qui coute 110$ n'est pas encore arrivé dans les cuves des stations essences ...
les petroliers ont du se frotter les mains en voyant les soulévements et les problemes dans le monde arabe.
Ca dépend si les autres producteurs sont réellement en mesure de hausser leur rythme de production. C'est le cas?Garion a écrit:La Libye n'est que le 17eme producteur mondial et ne représente que 2% de la production mondiale. La hausse n'est donc que spéculative, et les compagnies pétrolières vont donc se faire des ... en or.
Nuvolari a écrit:http://maps.google.fr/maps/ms?ie=UTF8&hl=fr&msa=0&msid=204770086983442352659.00049ac4499c4bb46cfac&ll=26.43122
Les animaux meurent en masse partout. Etrange... non ?
Nuvolari a écrit:http://maps.google.fr/maps/ms?ie=UTF8&hl=fr&msa=0&msid=204770086983442352659.00049ac4499c4bb46cfac&ll=26.43122
Les animaux meurent en masse partout. Etrange... non ?
Nuvolari a écrit:http://maps.google.fr/maps/ms?ie=UTF8&hl=fr&msa=0&msid=204770086983442352659.00049ac4499c4bb46cfac&ll=26.43122
Les animaux meurent en masse partout. Etrange... non ?
lovecraft a écrit:Nuvolari a écrit:http://maps.google.fr/maps/ms?ie=UTF8&hl=fr&msa=0&msid=204770086983442352659.00049ac4499c4bb46cfac&ll=26.43122
Les animaux meurent en masse partout. Etrange... non ?
Ce genre de chose arrive tous les ans, mais là, les médias ont décidé d'en parler, surement pour faire peur par rapport à 2012, fin du monde etc.
f1pronostics a écrit:Ca dépend si les autres producteurs sont réellement en mesure de hausser leur rythme de production. C'est le cas?Garion a écrit:La Libye n'est que le 17eme producteur mondial et ne représente que 2% de la production mondiale. La hausse n'est donc que spéculative, et les compagnies pétrolières vont donc se faire des ... en or.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
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