eric30 a écrit:Hé bien : Je te sonne une fois sur ton g = je te téléphone sur ton gsm
A mon avis ça il a compris. C'est l'autre qui est incompréhensible.

Modérateurs: Garion, Silverwitch
eric30 a écrit:Hé bien : Je te sonne une fois sur ton g = je te téléphone sur ton gsm
sccc a écrit:Vive Leterrme II.
eric30 a écrit:Hé bien : Je te sonne une fois sur ton g = je te téléphone sur ton gsm
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
f1pronostics a écrit:]Tu parles de ma question, là?
Si c'est le cas je comprends pas trop, je me disais juste ce matin sur le chemin pour aller bosser que valoriser un flammand serait peut-être une bonne chose pour la belgique, qui est assez symbolique comme tu le soulignes d'une division communautaire assez profonde.
Et je me demandais ce qu'en pensaient les belges -a priori tous wallons?- du forum.
Ghinzani a écrit:f1pronostics a écrit:Tu parles de ma question, là?Ghinzani a écrit:Franchement si nous somme risibles avec nos conneries communautaires, quand les français tentent de parler de la Belgique, le silence serait leur meilleure intervention possible.
Si c'est le cas je comprends pas trop, je me disais juste ce matin sur le chemin pour aller bosser que valoriser un flammand serait peut-être une bonne chose pour la belgique, qui est assez symbolique comme tu le soulignes d'une division communautaire assez profonde.
Et je me demandais ce qu'en pensaient les belges -a priori tous wallons?- du forum.
Si tu as un réel intérêt sur le sujet, certes complexe, je me ferais un plaisir de tenter une explication corrigée si nécessaire par d'autres belges postant sur ce forum.
f1pronostics a écrit:Les avis de belges éclairés (les illuminés aussiGhinzani a écrit:Si tu as un réel intérêt sur le sujet, certes complexe, je me ferais un plaisir de tenter une explication corrigée si nécessaire par d'autres belges postant sur ce forum.) sur la question m'intéressent.
J'en comprends ce que la RTBF et quelques amis amis immigrés en france peuvent m'en dire.
Ren a écrit:f1pronostics a écrit:Les avis de belges éclairés (les illuminés aussiGhinzani a écrit:Si tu as un réel intérêt sur le sujet, certes complexe, je me ferais un plaisir de tenter une explication corrigée si nécessaire par d'autres belges postant sur ce forum.) sur la question m'intéressent.
J'en comprends ce que la RTBF et quelques amis amis immigrés en france peuvent m'en dire.
Illuminé je le suis suivant certains, mais le problème belge, je l'ai pas mal étudiéUn sac de noeud historique...
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
DCP a écrit:Ren a écrit:f1pronostics a écrit:Illuminé je le suis suivant certains, mais le problème belge, je l'ai pas mal étudiéUn sac de noeud historique...
Je suis aussi intéressé par un topic sur ce sujet, cela me permettrait d'apprendre beaucoup sur la Belgique.
Didier
Ren a écrit:
Pour faire simple, la Belgique en tant que peuple n'existe pas. En tant que construction géo-politique datant du 19ème, oui.
Je remercie encore mon prof d'histoire de l'athénée![]()
L'idée de la Belgique que l'on se fait depuis Louix XI, c'est la principauté de Liège et les vassaux qui en dépendent. Et depuis 1830, la première construction européenne. Avant cela, la Belgique n'existait que dans les esprits. Pas pour rien que nous sommes le royaume du surréalisme
Note sur les Belges
Les préjugés nationaux portent souvent la trace de vérités anciennes, progressivement estompées par la constitution d’une classe moyenne mondiale de culture nord-américaine (dont les comportements et les représentations s’imposent même comme norme aux pays où une part importante de la population survit au bord de la famine).
Un Français en visite touristique pourra ainsi facilement repérer ce qui a permis de qualifier l’Allemand de “ponctuel, discipliné et travailleur”, ou l’Italien de “séducteur, chaleureux et malhonnête”. Il pourra retrouver ces traits, plus ou moins atténués suivant que les natifs du pays, plus ou moins satisfaits de leur propre cliché, souhaitent ou non lui donner une prolongation au moins ironique.
Rien de tout cela ne sera possible en Belgique. Le cliché associé aux Belges est si grossier, si caricatural que toute personne dotée d’un minimum d’éducation le rejettera avec horreur, avec cette conséquence que les Belges, dépourvus de tout cliché distinctif, se voient dénier la moindre spécificité. Ma thèse au contraire est que si les Français se sont contentés d’un cliché aussi grossier, aussi méprisant sur les Belges, c’est d’abord qu’ils ne les comprenaient absolument pas. Plus que les Allemands, plus que les Italiens, plus même que les Anglais, les Belges restent impénétrables aux Français - ainsi, d’ailleurs, qu’aux autres Européens.
Une déviation linguistique implantée depuis plusieurs générations, dépassant le phénomène de mode, a me semble t-il forcément un sens (je serai obligé faute de compétences de limiter au wallon ; il serait bien sûr intéressant d’examiner les déformations qu’a pu subir le flamand par rapport à la langue néerlandaise).
Lorsque le Belge dit : “ça va”, il signifie que la conversation avec son interlocuteur a permis de déboucher sur un accord opérationnel ; qu’il sait maintenant, sans ambiguïté, ce qu’on attend de lui, et qu’il va s’employer à le faire. Il l’emploie en somme exactement dans les circonstances où l’Américain dirait : “OK”. Là ou le garçon de café d’Allemagne du Nord, par son : “Alles klar”, semble figé dans la contemplation esthétique d’un accord parfait client-serveur, le garçon de café belge, par son : “ça va”, nous paraît déjà engagé dans l’exécution de la commande. Il est intéressant que, seul parmi les Européens, le Belge ait spontanément traduit, dans sa propre langue, cette formation linguistique étrangère.
Le célèbre “une fois” semble rebuter l’analyse par sa polysémie même ; mais il me paraît justement intéressant d’examiner les mots que les Belges ont choisi de prononcer avec une telle fréquence, et dans des configurations de phrase si variables, qu’ils en ont perdu toute signification. “Une fois” s’oppose certes à “jamais” ou à “toujours” ; mais il s’oppose surtout à “quelquefois” ou à “un jour ou l’autre”. Réfractaire aux assertions absolues, le Belge l’est plus encore aux assertions vagues. Il souhaite ancrer son discours dans une certitude qui doit moins à la preuve théorique qu’à l’attestation expérimentale du fait, du fait effectivement, “une fois” survenu. Il manifeste, là encore, ces qualités de pragmatisme qui sont classiquement associées au peuple américain.
On voit maintenant où je veux en venir : dit rapidement, les Belges sont les Américains de l’Europe. Une confirmation intéressante pourra en être trouvée dans les jugements diamétralement opposés que les deux plus grands poètes français ont porté sur la Belgique. Par sympathie fraternelle pour Edgar Poe, Baudelaire ne pouvait que détester l’Amérique, “la grande barbarie éclairée au gaz”, le déclin des valeurs aristocratiques qu’elle symbolisait ; on sait le jugement que Baudelaire a porté sur la Belgique. Victor Hugo par contre ne cesse de saluer ce “petit peuple chaleureux et travailleur” ; il n’est pas interdit, même, de penser que ce soit son séjour en Belgique qui lui ait donné l’idée des “états-Unis d’Europe”.
Cette comparaison jette en outre un éclairage supplémentaire - et assez déplaisant - sur le mépris avec lequel les Français, depuis longtemps, traitent les Belges. Par rapport aux Américains, les Français ont développé ce que Brückner appelle le complexe du roquet ; ne pouvant les mépriser - puisqu’ils sont très évidemment les plus forts - ils ont développé à leur égard une jalousie et une hargne impuissantes, et de plus condamnées à rester muettes. Ainsi ont-ils choisi, de manière assez mesquine, de se rattraper sur les Belges, dont ils ressentent, sans pouvoir la formuler clairement, la proximité mentale avec le peuple américain.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Cortese a écrit:Ren a écrit:
Pour faire simple, la Belgique en tant que peuple n'existe pas. En tant que construction géo-politique datant du 19ème, oui.
Je remercie encore mon prof d'histoire de l'athénée![]()
L'idée de la Belgique que l'on se fait depuis Louix XI, c'est la principauté de Liège et les vassaux qui en dépendent. Et depuis 1830, la première construction européenne. Avant cela, la Belgique n'existait que dans les esprits. Pas pour rien que nous sommes le royaume du surréalisme
Houellebecq compare la Belgique aux Etats-Unis. Ça te semble pertinent ?
Note sur les Belges
Les préjugés nationaux portent souvent la trace de vérités anciennes, progressivement estompées par la constitution d’une classe moyenne mondiale de culture nord-américaine (dont les comportements et les représentations s’imposent même comme norme aux pays où une part importante de la population survit au bord de la famine).
Un Français en visite touristique pourra ainsi facilement repérer ce qui a permis de qualifier l’Allemand de “ponctuel, discipliné et travailleur”, ou l’Italien de “séducteur, chaleureux et malhonnête”. Il pourra retrouver ces traits, plus ou moins atténués suivant que les natifs du pays, plus ou moins satisfaits de leur propre cliché, souhaitent ou non lui donner une prolongation au moins ironique.
Rien de tout cela ne sera possible en Belgique. Le cliché associé aux Belges est si grossier, si caricatural que toute personne dotée d’un minimum d’éducation le rejettera avec horreur, avec cette conséquence que les Belges, dépourvus de tout cliché distinctif, se voient dénier la moindre spécificité. Ma thèse au contraire est que si les Français se sont contentés d’un cliché aussi grossier, aussi méprisant sur les Belges, c’est d’abord qu’ils ne les comprenaient absolument pas. Plus que les Allemands, plus que les Italiens, plus même que les Anglais, les Belges restent impénétrables aux Français - ainsi, d’ailleurs, qu’aux autres Européens.
Une déviation linguistique implantée depuis plusieurs générations, dépassant le phénomène de mode, a me semble t-il forcément un sens (je serai obligé faute de compétences de limiter au wallon ; il serait bien sûr intéressant d’examiner les déformations qu’a pu subir le flamand par rapport à la langue néerlandaise).
Lorsque le Belge dit : “ça va”, il signifie que la conversation avec son interlocuteur a permis de déboucher sur un accord opérationnel ; qu’il sait maintenant, sans ambiguïté, ce qu’on attend de lui, et qu’il va s’employer à le faire. Il l’emploie en somme exactement dans les circonstances où l’Américain dirait : “OK”. Là ou le garçon de café d’Allemagne du Nord, par son : “Alles klar”, semble figé dans la contemplation esthétique d’un accord parfait client-serveur, le garçon de café belge, par son : “ça va”, nous paraît déjà engagé dans l’exécution de la commande. Il est intéressant que, seul parmi les Européens, le Belge ait spontanément traduit, dans sa propre langue, cette formation linguistique étrangère.
Le célèbre “une fois” semble rebuter l’analyse par sa polysémie même ; mais il me paraît justement intéressant d’examiner les mots que les Belges ont choisi de prononcer avec une telle fréquence, et dans des configurations de phrase si variables, qu’ils en ont perdu toute signification. “Une fois” s’oppose certes à “jamais” ou à “toujours” ; mais il s’oppose surtout à “quelquefois” ou à “un jour ou l’autre”. Réfractaire aux assertions absolues, le Belge l’est plus encore aux assertions vagues. Il souhaite ancrer son discours dans une certitude qui doit moins à la preuve théorique qu’à l’attestation expérimentale du fait, du fait effectivement, “une fois” survenu. Il manifeste, là encore, ces qualités de pragmatisme qui sont classiquement associées au peuple américain.
On voit maintenant où je veux en venir : dit rapidement, les Belges sont les Américains de l’Europe. Une confirmation intéressante pourra en être trouvée dans les jugements diamétralement opposés que les deux plus grands poètes français ont porté sur la Belgique. Par sympathie fraternelle pour Edgar Poe, Baudelaire ne pouvait que détester l’Amérique, “la grande barbarie éclairée au gaz”, le déclin des valeurs aristocratiques qu’elle symbolisait ; on sait le jugement que Baudelaire a porté sur la Belgique. Victor Hugo par contre ne cesse de saluer ce “petit peuple chaleureux et travailleur” ; il n’est pas interdit, même, de penser que ce soit son séjour en Belgique qui lui ait donné l’idée des “états-Unis d’Europe”.
Cette comparaison jette en outre un éclairage supplémentaire - et assez déplaisant - sur le mépris avec lequel les Français, depuis longtemps, traitent les Belges. Par rapport aux Américains, les Français ont développé ce que Brückner appelle le complexe du roquet ; ne pouvant les mépriser - puisqu’ils sont très évidemment les plus forts - ils ont développé à leur égard une jalousie et une hargne impuissantes, et de plus condamnées à rester muettes. Ainsi ont-ils choisi, de manière assez mesquine, de se rattraper sur les Belges, dont ils ressentent, sans pouvoir la formuler clairement, la proximité mentale avec le peuple américain.
Cortese a écrit:Ren a écrit:
Pour faire simple, la Belgique en tant que peuple n'existe pas. En tant que construction géo-politique datant du 19ème, oui.
Je remercie encore mon prof d'histoire de l'athénée![]()
L'idée de la Belgique que l'on se fait depuis Louix XI, c'est la principauté de Liège et les vassaux qui en dépendent. Et depuis 1830, la première construction européenne. Avant cela, la Belgique n'existait que dans les esprits. Pas pour rien que nous sommes le royaume du surréalisme
Houellebecq compare la Belgique aux Etats-Unis. Ça te semble pertinent ?
Note sur les Belges
Les préjugés nationaux portent souvent la trace de vérités anciennes, progressivement estompées par la constitution d’une classe moyenne mondiale de culture nord-américaine (dont les comportements et les représentations s’imposent même comme norme aux pays où une part importante de la population survit au bord de la famine).
Un Français en visite touristique pourra ainsi facilement repérer ce qui a permis de qualifier l’Allemand de “ponctuel, discipliné et travailleur”, ou l’Italien de “séducteur, chaleureux et malhonnête”. Il pourra retrouver ces traits, plus ou moins atténués suivant que les natifs du pays, plus ou moins satisfaits de leur propre cliché, souhaitent ou non lui donner une prolongation au moins ironique.
Rien de tout cela ne sera possible en Belgique. Le cliché associé aux Belges est si grossier, si caricatural que toute personne dotée d’un minimum d’éducation le rejettera avec horreur, avec cette conséquence que les Belges, dépourvus de tout cliché distinctif, se voient dénier la moindre spécificité. Ma thèse au contraire est que si les Français se sont contentés d’un cliché aussi grossier, aussi méprisant sur les Belges, c’est d’abord qu’ils ne les comprenaient absolument pas. Plus que les Allemands, plus que les Italiens, plus même que les Anglais, les Belges restent impénétrables aux Français - ainsi, d’ailleurs, qu’aux autres Européens.
Une déviation linguistique implantée depuis plusieurs générations, dépassant le phénomène de mode, a me semble t-il forcément un sens (je serai obligé faute de compétences de limiter au wallon ; il serait bien sûr intéressant d’examiner les déformations qu’a pu subir le flamand par rapport à la langue néerlandaise).
Lorsque le Belge dit : “ça va”, il signifie que la conversation avec son interlocuteur a permis de déboucher sur un accord opérationnel ; qu’il sait maintenant, sans ambiguïté, ce qu’on attend de lui, et qu’il va s’employer à le faire. Il l’emploie en somme exactement dans les circonstances où l’Américain dirait : “OK”. Là ou le garçon de café d’Allemagne du Nord, par son : “Alles klar”, semble figé dans la contemplation esthétique d’un accord parfait client-serveur, le garçon de café belge, par son : “ça va”, nous paraît déjà engagé dans l’exécution de la commande. Il est intéressant que, seul parmi les Européens, le Belge ait spontanément traduit, dans sa propre langue, cette formation linguistique étrangère.
Le célèbre “une fois” semble rebuter l’analyse par sa polysémie même ; mais il me paraît justement intéressant d’examiner les mots que les Belges ont choisi de prononcer avec une telle fréquence, et dans des configurations de phrase si variables, qu’ils en ont perdu toute signification. “Une fois” s’oppose certes à “jamais” ou à “toujours” ; mais il s’oppose surtout à “quelquefois” ou à “un jour ou l’autre”. Réfractaire aux assertions absolues, le Belge l’est plus encore aux assertions vagues. Il souhaite ancrer son discours dans une certitude qui doit moins à la preuve théorique qu’à l’attestation expérimentale du fait, du fait effectivement, “une fois” survenu. Il manifeste, là encore, ces qualités de pragmatisme qui sont classiquement associées au peuple américain.
On voit maintenant où je veux en venir : dit rapidement, les Belges sont les Américains de l’Europe. Une confirmation intéressante pourra en être trouvée dans les jugements diamétralement opposés que les deux plus grands poètes français ont porté sur la Belgique. Par sympathie fraternelle pour Edgar Poe, Baudelaire ne pouvait que détester l’Amérique, “la grande barbarie éclairée au gaz”, le déclin des valeurs aristocratiques qu’elle symbolisait ; on sait le jugement que Baudelaire a porté sur la Belgique. Victor Hugo par contre ne cesse de saluer ce “petit peuple chaleureux et travailleur” ; il n’est pas interdit, même, de penser que ce soit son séjour en Belgique qui lui ait donné l’idée des “états-Unis d’Europe”.
Cette comparaison jette en outre un éclairage supplémentaire - et assez déplaisant - sur le mépris avec lequel les Français, depuis longtemps, traitent les Belges. Par rapport aux Américains, les Français ont développé ce que Brückner appelle le complexe du roquet ; ne pouvant les mépriser - puisqu’ils sont très évidemment les plus forts - ils ont développé à leur égard une jalousie et une hargne impuissantes, et de plus condamnées à rester muettes. Ainsi ont-ils choisi, de manière assez mesquine, de se rattraper sur les Belges, dont ils ressentent, sans pouvoir la formuler clairement, la proximité mentale avec le peuple américain.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:On l'a déjà dit ça, scc, mais ça rentre pas.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
sccc a écrit:Cortese a écrit:Non.
Parce que la Belgique c'est des flamands, des wallons, des bruxellois (le "une fois" c'est pas belge c'est bruxellois) et des germanophones. Trois langues différentes.
Les français qui imitent les belges imitent en réalité les bruxellois, pas les wallons ni les flamands, à fortiori pas les germanophones.
Marlaga a écrit:Y a pas un topic sur la Belgique pour vos conneries ?
Sans attendre, Van Rompuy a commencé à poser ses marques, en entamant une tournée des capitales. Il a aussi prévu de convoquer un conseil extraordinaire en février prochain afin de « dégager une stratégie économique claire », comme il l’a expliqué : « Le thème majeur de mon mandat, mais aussi celui de la Commission sera l’économie. Il ne suffira pas d’augmenter notre croissance économique de 1 %, il faudra au moins la doubler pour que notre système social soit financé de manière adéquate. Nous y tenons, c’est l’“European way of life”, c’est notre modèle social grâce à une base économique et une infrastructure économique pour le soutenir et le financer ». Des enjeux autrement plus importants que les batailles procédurales retardatrices menées par l’Espagne…
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2009/12/lisbonne-le-conseil-europ%C3%A9en-nouveau-est-arriv%C3%A9-.htmlSans attendre, Van Rompuy a commencé à poser ses marques, en entamant une tournée des capitales. Il a aussi prévu de convoquer un conseil extraordinaire en février prochain afin de « dégager une stratégie économique claire », comme il l’a expliqué : « Le thème majeur de mon mandat, mais aussi celui de la Commission sera l’économie. Il ne suffira pas d’augmenter notre croissance économique de 1 %, il faudra au moins la doubler pour que notre système social soit financé de manière adéquate. Nous y tenons, c’est l’“European way of life”, c’est notre modèle social grâce à une base économique et une infrastructure économique pour le soutenir et le financer ». Des enjeux autrement plus importants que les batailles procédurales retardatrices menées par l’Espagne…
Comme quoi, l'Europe sociale, avec la "constitution", ça aurait peut-être été plus vite.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:Tuons les bébé. Régulons les naissances.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Tu parles desquels?Stéphane a écrit:Nos envies, oui. Nos besoins, les vrais, ça va pas être possible.
Stéphane a écrit:Nos envies, oui. Nos besoins, les vrais, ça va pas être possible.
f1pronostics a écrit:Tu parles desquels?Stéphane a écrit:Nos envies, oui. Nos besoins, les vrais, ça va pas être possible.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Dans quelle quantité?Stéphane a écrit:f1pronostics a écrit:Tu parles desquels?Stéphane a écrit:Nos envies, oui. Nos besoins, les vrais, ça va pas être possible.
Peu importe, mais si ce sont des besoin, par définition, on en a ... besoin.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
f1pronostics a écrit:Dans quelle quantité?
(...)
Je veux dire par là que les besoins sont à relativiser.
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
f1pronostics a écrit:]Dans quelle quantité?
J'ai besoin d'électricité mais pas de 500 watts pour m'éclairer.
J'ai besoin de manger mais pas de cerises en hiver.
J'ai besoin de manger de la protéines mais pas un steack de boeuf par jour.
J'ai besoin d'une voiture pour me déplacer mais rarement pour faire 1 ou 2 kilomètre.
Je veux dire par là que les besoins sont à relativiser.
Cyril a écrit:Sauf que Maslow ne fait pas la différence entre désir et besoin... Sa pyramide manque d'humanité, elle est trop théorique.
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
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