Cortese a écrit:Oui, oui, on sait. Quand tu ne trouves rien à dire tu sors ton Flagada sauteur, c'est d'un monotone.
Ceci n'est pas un point godwin.
Mais parce que tu racontes n'importe quoi. T'es en train de tenir exactement le même discours d'Hitler au sujet des Juifs et des puissances de l'argent contre l'Allemagne. C'est même pas la peine de lire Mein Kampf en fait. Parce que tu pourrais l'écrire. Si l'Allemagne a été battue en 18, c'est la faute des Juifs. Si l'Allemagne a été malheureuse, c'est la faute des Juifs. Si on a empêché les Autrichiens et les Allemands de se réunir (au nom de quoi, dans leur histoire ? Le Saint Empire Romain Germanique ?), c'est la faute des Juifs. Et puis en plus, après chaque pogrom, et bin, à chaque fois il remettent ça. Ouais, je sais. T'as des amis juifs. Goering aussi, il en avait. Hein ? Quoi ? Ah non, t'en n'as plus ?
Dis, quand est-ce que tu nous ressors la solution finale, pour qu'on en finisse quoi ?!
Alors effectivement, à ce sujet, j'ai plus grand chose à te dire. Sinon, toujours la même chose. Encore et encore. Jump Jump Jump et rerejump.
Israel, 20.000 km² de cailloux, sans aucune richesses naturelles, c'est du néocolonialisme occidental. Okay, on est d'accord, le problème des Palestos, c'est un vrai problème et il faut trouver une solution viable pour eux. Mais on n'essaie pas de penser une solution intermédiaire en raisonnant sur le long terme. Non. On ne dit pas : "hey, les Israéliens, bon, maintenant, vous arrétez la déconne aussi un peu au lieu d'exciter les pauvres diables qui subissent dans leurs camps et leurs territoires. Mais non. C'est où Israel disparait, de fait avec sa spécificité, même si ça ne fait que 10m². Ou vous devenez une communauté minoritaire de plus de dhimis en puissance". On déblatère des tombereaux d'insinuations toutes plus dégoulinantes de haine les unes que les autres. Et chaque jour, ça devient de pire en pire.
Non, Non. Te donnes pas la peine. Je sais. C'est pas toi. C'est nous les Occidentaux. On avait compris.Alors okay, la pillule de Saddam sur son échafaud, le coup de 2003, ça t'es passé de travers. Je comprends. Mais là, bon, ça devient un peu trop cyclique dans ton quotidien. Va falloir envisager une thérapie. Parce que je veux bien qu'on ait de la sympathie pour les boches qui savaient se bagarrer en 39, seuls contre le monde entier, okay, moi aussi, j'étais comme ça à 15 ans. Les Chars Tigre, les PanzerGrenadier et tout ça, dans les bocages normands ou aux marches de la Pologne, en 44, avec la chevauchée des Walkyries en musique de fond et des divisions blindées entières de rosbeefs ou de popovs en flammes, okay, c'est cool, c'est romantique. Et il est indéniable que les panzers des doryphores avient de la gueule. Mais bon, l'adolescence, ça se finit un jour et on devient adulte. Hein ? On devient un homme et on fait la part des choses. Ce sur quoi on peut peser. Et ce sur quoi on ne peut pas peser
au risque de devenir pesant. Hein ? Bref, on mène sa vie d'individu au lieu de toujours vivre entre les larmes et les diatribes.
Bon, te casse pas la tête. Je sais. Je suis un néo-nazi, ancien membre de l'OAS. Oué. J'ai du l'être dans les couilles de mon père, certainement. Nan c'est vrai coua. Après tout, en 40, et à 4 ans, ne lui faisait-on pas chanter "Maréchal nous voilà", hein ?