Modérateurs: Garion, Silverwitch
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Cortese a écrit:Irlandais, ouais, pourquoi pas, du point de vue du caractère.
Bon, Turc à 50%, c'est à peu près vrai, ethniquement parlant, et Français à 50% aussi (surtout pour ce qui est de traverser au feu rouge)
Rainier a écrit:Cortese a écrit:Irlandais, ouais, pourquoi pas, du point de vue du caractère.
Bon, Turc à 50%, c'est à peu près vrai, ethniquement parlant, et Français à 50% aussi (surtout pour ce qui est de traverser au feu rouge)
J'ai une cousine qui est partie vivre au Maroc. (vers Casablanca)
Là bas, elle passe ses journées à engueuler les automobilistes qui brûlent le feu rouge ou qui ne respectent pas les passages cloutés ...
En général, ils lui répondent en rigolant "On n'est pas en France, ici ..."
Rainier a écrit:Cortese a écrit:Irlandais, ouais, pourquoi pas, du point de vue du caractère.
Bon, Turc à 50%, c'est à peu près vrai, ethniquement parlant, et Français à 50% aussi (surtout pour ce qui est de traverser au feu rouge)
J'ai une cousine qui est partie vivre au Maroc. (vers Casablanca)
Là bas, elle passe ses journées à engueuler les automobilistes qui brûlent le feu rouge ou qui ne respectent pas les passages cloutés ...
En général, ils lui répondent en rigolant "On n'est pas en France, ici ..."
Stéphane a écrit:http://quizfarm.com/test.php?q_id=198104
Which European nationality should you have
Belgian 100%
German 75%
Irish 63%
Italian 63%
Swiss 50%
French 50%
Dutch 50%
Russian 50%
Turkish 50%
Polish 38%
Danish 38%
Spanish 38%
Molvanian 38%
British 38%
Cortese a écrit:Un bouquin égyptien !
Pas à dire, on ne fera jamais de nous des Chinois.
C'est Paul Lafargue (gendre de Karl Marx et co fondateur du Parti Socialiste avec Jules Guesde) qui serait fier de nous, lui qui méprisait les races industrieuses (Chinois, Auvergnats, Ecossais, etc...)
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:A y est, on a un nouveau traité, y'a plus qu'à ratifier.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:A y est, on a un nouveau traité, y'a plus qu'à ratifier.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Maverick a écrit:Mais si les gens qui vous gouvernent ont décidé de vous violer, c’est-à-dire de ne plus vous demander votre avis, de remettre le bâillon à la victime, eh bien elle ne peut plus crier. On ne nous demande plus notre avis, là. Pourquoi les gens se mobiliseraient dans ce cas ? Les visites sur mon site n’ont pas augmenté pour le moment. Mais je compte sur les journalistes pour être les sentinelles du peuple et l’alerter.
Nicklaus a écrit:Ca démonte surtout que les gens sont des cons parce que voter non et puis voter pour les partisans du oui, c'est de la connerie pure.
Phil a écrit:Nicklaus a écrit:Ca démonte surtout que les gens sont des cons parce que voter non et puis voter pour les partisans du oui, c'est de la connerie pure.
parce que tu ne crois pas qu'au moins la moitité des "non" c'était des non à Chirac ?
L'extrême droite européenne au bord de l'implosion
Rédaction en ligne
jeudi 08 novembre 2007, 18:08
Le parti Romania Mare (Grande Roumanie) a annoncé le retrait de ses cinq eurodéputés du groupe parlementaire Identité, Tradition et Souveraineté (ITS, extrême droite), menaçant ainsi la pérennité et le financement de ce groupe politique au sein du Parlement européen.
Cette démission collective fait suite aux récentes déclarations dans la presse roumaine de l'eurodéputée italienne d'extrême droite, Alessandra Mussolini. S'exprimant sur la polémique née de la présence massive de Roumains en Italie, la petite fille de l'ancien dictateur avait notamment déclaré que les "Roumains ont fait de l'infraction un mode de vie". Des déclarations jugées "anti-roumaines" par la direction de Romania Mare.
"En signe de protestation face à cette attitude xénophobe et aux insultes, le parti Grande Roumanie se retire d'ITS" a ainsi annoncé jeudi dans un communiqué le président du parti, Corneliu Vadim Tudor. "Le parti Grande Roumanie ne veut plus avoir le moindre rapport avec Alessandra Mussolini qui se permet un tel sacrilège envers notre peuple".
Ces démissions devraient normalement être officialisées lundi soir dès l'ouverture de la session du Parlement européen à Strasbourg, a indiqué jeudi l'attaché parlementaire de Viorica Moisuc, l'une des cinq députés roumaines concernées.
Comptant jusqu'ici 23 membres, le groupe ITS devrait retomber avec cette défection roumaine à dix-huit membres, soit sous la barre des 20 membres, seuil minimal pour être reconnu par le Parlement comme "groupe politique" et bénéficier à ce titre d'importants moyens financiers et techniques.
Contacté jeudi, l'eurodéputé français Bruno Gollnisch, président d'ITS, déplorait l'annonce faite par le partie Grande Roumanie, et la "diminution importante de moyens" que cela impliquerait pour son groupe, "en termes financiers mais aussi de collaborateurs et de visibilité".
Condamnant les propos d'Alessandra Mussolini, M. Gollnisch qualifiait jeudi toute l'affaire de "malentendu". Celui-ci était d'ailleurs en contact avec les députés roumains concernés pour tenter de les garder dans son groupe. D'autres contacts étaient également en cours pour intégrer d'autres députés aujourd'hui non-inscrits, et rester ainsi au-delà du seuil fatidique des 20 membres.
Certains au sein du groupe ITS mettaient la nervosité des députés roumains sur le compte des prochaines élections européennes, organisées le 25 novembre prochain en Roumanie.
Le groupe ITS s'est formé au début de cette année pour pouvoir profiter d'un soutien financier et logistique accru du Parlement européen. Il regroupe plusieurs personnalités d'extrême droite, dont les eurodéputés du Front National français, ainsi que les trois élus du Vlaams Belang.
Vu son statut de groupe politique, ITS bénéficie cette année 2007 d'un financement du Parlement à hauteur de 1,3 million d'euros. En cas de disparition de leur groupe, les eurodéputés concernés devraient perdre quelque 10% de leur moyens, selon une source parlementaire.
(D’après Belga)
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Dr Renard a écrit:Cette histoire nous montre bien les limites de notre système démocratique.
Car depuis le référendum, il y a eu des élections nationales en France. Et malgré le non significatif au référendum, les partisants du non représentent une proportion infime des élus au niveau national.
Xave a écrit:Dr Renard a écrit:Cette histoire nous montre bien les limites de notre système démocratique.
Car depuis le référendum, il y a eu des élections nationales en France. Et malgré le non significatif au référendum, les partisants du non représentent une proportion infime des élus au niveau national.
Oui, mais est-ce que cela montre les limites de notre système démocratique, ou bien les limites de la réflexion (ou de la cohérence) politique des électeurs ?
Xave a écrit:Dr Renard a écrit:Cette histoire nous montre bien les limites de notre système démocratique.
Car depuis le référendum, il y a eu des élections nationales en France. Et malgré le non significatif au référendum, les partisants du non représentent une proportion infime des élus au niveau national.
Oui, mais est-ce que cela montre les limites de notre système démocratique, ou bien les limites de la réflexion (ou de la cohérence) politique des électeurs ?
Les 27 chefs d’Etat ou de gouvernement de l’Union européenne, ou leurs représentants, ont signé ce jeudi à Lisbonne le traité réformateur qui remplace la défunte constitution.
*
EPA
Le Premier ministre britannique Gordon Brown a signé ce jeudi en milieu d'après-midi à Lisbonne le Traité réformateur de l'UE, déjà signé par ses pairs au cours d'une cérémonie officielle à la mi-journée.
M. Brown a apposé sa signature au bas du traité, en présence du président en exercice de l'UE, le Premier ministre portugais José Socrates, du président de la Commission européenne José Manuel Barroso, et du président du Parlement européen Hans-Gert Pöttering.
A la mi-journée le document avait été déjà été signé, pendant la cérémonie officielle, par le ministre britannique des Affaires étrangères David Miliband.
Downing Street avait invoqué pour expliquer l'absence de M.
Brown son obligation de répondre aux questions d'une commission parlementaire qui l'interroge tous les six mois.
Mais cette incompatibilité dans l'emploi du temps n'a guère convaincu et M. Brown a été accusé par une partie de la presse de céder à la pression des eurosceptiques.
Le traité de Lisbonne est très controversé en Grande-Bretagne, où ses critiques le considèrent comme la réplique du projet de Constitution européenne, rejeté en 2005 par les Français et les Néerlandais.
Interrogé jeudi sur l'absence du Premier ministre britannique à la cérémonie, le président français Nicolas Sarkozy a déclaré: "Chacun d'entre nous gère ses problèmes. Moi, je pense qu'on a besoin de la Grande-Bretagne en Europe", avant de lancer, en anglais, à des journalistes britanniques: "We need Gordon"!
Le traité doit encore être ratifié
Les chefs d’Etat ou de gouvernement de l’Union européenne ont signé jeudi à Lisbonne le traité réformateur qui remplace la défunte constitution et une fois ratifié doit notamment faciliter les décisions.
Le document, qui prendra désormais le nom de traité de Lisbonne, a été signé au cours d’une cérémonie solennelle, dans le cloître du monastère des Hiéronymites de style gothique flamboyant.
Les chefs de gouvernement et les ministres des Affaires étrangères de chaque pays ont apposé leur signature sur le document à l’aide d’un stylo en argent offert par la présidence portugaise de l’UE, dans le cadre d’un somptueux bâtiment de pierre du XVI siècle, sculpté comme de la dentelle.
Le traité de Lisbonne, approuvé le 19 octobre dernier dans la capitale portugaise remplace le projet de constitution rejeté par les Français et les Néerlandais en 2005, et devrait entrer en vigueur au 1er janvier 2009, après ratification par les Etats membres.
Si le texte reprend des pans entiers de la Constitution, censés faciliter les décisions dans une Union européenne passée depuis 2004 de 15 à 27 pays, il lui manque le mot Constitution, la référence à un drapeau et hymne européens ou l’intégration in extenso d’une grande Charte des droits fondamentaux des citoyens européens.
Celle-ci a néanmoins été « proclamée » mercredi au Parlement européen à Strasbourg, au cours d’une cérémonie destinée à lui conférer une plus grande visibilité, mais chahutée par des députés eurosceptiques.
En fait, si le traité réformateur n’incorpore plus la charte, il contient une référence qui lui confère une valeur juridique, sauf pour des pays qui, comme le Royaume-Uni, ont négocié une dérogation.
La cérémonie de signature s’est déroulée promptement jeudi midi, simplement précédée des discours du Premier ministre portugais, José Socrates, du président de la Commission, José Manuel Barroso et du président du Parlement européen, Hans-Gert Poettering.
M. Barroso a salué le « courage politique » des dirigeants européens, les invitant « à faire preuve de la même détermination pendant la période de ratification ».
La grande majorité des gouvernements – sauf l’Irlande, tenue par sa constitution d’organiser un référendum – a prévu une ratification par la voie parlementaire pour ne pas s’exposer à un nouveau rejet des électeurs.
Après la cérémonie de signature, les chefs d’Etat et de gouvernement, se sont rendus à bord du traditionnel tramway lisboète jusqu’au musée des Carrosses pour un déjeuner en commun.
Ils devraient ensuite quitter rapidement la capitale portugaise, devant se retrouver dès vendredi matin à Bruxelles pour leur dernier sommet de l’année.
(d’après AFP)
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Marlaga a écrit:Xave a écrit:Dr Renard a écrit:Cette histoire nous montre bien les limites de notre système démocratique.
Car depuis le référendum, il y a eu des élections nationales en France. Et malgré le non significatif au référendum, les partisants du non représentent une proportion infime des élus au niveau national.
Oui, mais est-ce que cela montre les limites de notre système démocratique, ou bien les limites de la réflexion (ou de la cohérence) politique des électeurs ?
Tu veux dire que les électeurs sont incohérents parce qu'ils votent en majorité "non" à un texte puis pour des personnes qui avaient prôné le "oui".
Mais il n'y a incohérence que si ce point est l'élément déterminant lors du vote pour les élections nationales. Ceux qui ont voté "non" peuvent penser qu'il y a d'autres priorités dans les programmes des candidats pour choisir leur vote avant le "oui" ou le "non" à la constitution. Si on vote "non", on n'est tout de même pas obligés de voter pour l'extreme gauche ou l'extreme droite ! Et comme le PS n'a pas voulu mettre Fabius comme candidat, il n'y avait plus personne dans les grands partis pour représenter le "non" aux présidentielles.
C'est trop facile de dire que les électeurs sont incohérents dans leurs choix alors qu'on ne leur propose pas ce qu'ils veulent.
Alfa a écrit:Juste une question, comme ca...
Un electeur qui a voté "non" a référendum européen, après lorsqu'il vote au présidentiel de son pays, il doit forcement voter pour un candidat du "non"? il n'y a que ça qui compte?
Marlaga a écrit:
Bon, maintenant, l'Irlande est notre dernier espoir
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
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