Hob a écrit:von Rauffenstein a écrit:
Du poulet elevé au grain, en plein air, et avec du beurre salé, s'il vous plait
Ah, le beurre sur la cacahouette...![]()
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glissant oui, c'est le cas de le dire

Je déteste voir les gens souffrir.

Modérateurs: Garion, Silverwitch
Hob a écrit:von Rauffenstein a écrit:
Du poulet elevé au grain, en plein air, et avec du beurre salé, s'il vous plait
Ah, le beurre sur la cacahouette...![]()
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von Rauffenstein a écrit:Je déteste voir les gens souffrir.
Petite libertine !Hob a écrit:von Rauffenstein a écrit:Je déteste voir les gens souffrir.
monseigneur est trop bon ( j'espère ?)
von Rauffenstein a écrit:raymane a écrit:Hob a écrit:sérieux je vois vraiment pas ce que vous lui trouvez à la Rolex... elle est moche et franchement banale à mon gout !
Je suis bien d'accord. Et elle est vulgaire en plus.
Franchement pas la plus réussie chez Rollex.
Ce n'est pas une montre vulgaire en soi. Peut-être que la lunette bleue/rouge effectivement, de la GMT (I et II), fait un peu tape à l'oeil pour certains. Mais c'est le dessin original Rolex, qui a ensuite été repris un peu partout dans le monde par une quantité astronomique d'horlogers.
Cortese a écrit:Il a pas grandi le chat ?
von Rauffenstein a écrit:Cortese a écrit:Il a pas grandi le chat ?
C'est le petit fils.
Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:Cortese a écrit:Il a pas grandi le chat ?
C'est le petit fils.
De Jean Marais ?
von Rauffenstein a écrit:
L'homme au cocteau entre les dents ?
ça me rapelle une copine qu'on appelait le taille crayon...Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:
L'homme au cocteau entre les dents ?
Sans les dents
Non non, elle avait une grande bouche...Bak broa a écrit:elle tétait que des bite fines ?
sccc a écrit:Solal,
Quelle race tes chats (oreilles aplaties)?
SoLaL a écrit:sccc a écrit:Solal,
Quelle race tes chats (oreilles aplaties)?
Scottish Fold, on a l'impression qu'il est méchant sur les photos alors qu'en fait c'est une véritable crème![]()
Maverick a écrit:Tiens Von Rauff, toi qui t'y connait en montre, ça vaut le coup Piaget ?
Xave a écrit:'Faudra que je demande à un pote photographe d'en faire une belle photo.
Xave a écrit:je la trouve par moments un peu bling-bling
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Xave a écrit:Rhooo de suite les insultes ! Quelle grosièreté !
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Cyril a écrit:Xave a écrit:Rhooo de suite les insultes ! Quelle grosièreté !
Tu préfères peut être la variante :
ESPÈCE DE BRIATORE !!!
Xave a écrit:Cyril a écrit:Xave a écrit:Rhooo de suite les insultes ! Quelle grosièreté !
Tu préfères peut être la variante :
ESPÈCE DE BRIATORE !!!
'Me demande laquelle est la pire...
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Aym a écrit:Je crois que je préfère être un sarkozy qu'un briatore.
Gwenael a écrit:Sarko ou Briatore ou comment choisir entre la peste et le cholera
LE MONDE a écrit:
21.03.09 | 14h04
"Marie-Antoinette", l'affaire de la montre
Breguet 160 ou "Marie-Antoinette" : pour les passionnés d'horlogerie, cette montre est une légende. Plus encore que la "sympathique" ou le pistolet-montre, eux aussi volés au Musée des arts islamiques de Jérusalem.
C'est un officier des gardes de la reine qui en fait la commande, en 1783, à Louis-Abraham Breguet. S'agit-il d'un soupirant, comme il le fut dit ? Ou d'un prête-nom, Marie-Antoinette la destinant secrètement à Louis XVI, comme d'autres l'ont affirmé ? Les archives Breguet n'en disent rien.
On connaît en revanche l'immense complexité de cette pièce d'horlogerie. Après avoir rivalisé sur la précision, les horlogers pimentent la compétition, à la fin du XVIIIe, en tentant de multiplier les prouesses techniques. "Cette montre est une sorte de formule 1. Elle résume, à elle seule tout le savoir-faire de Breguet", explique l'horloger Vincent Daveau. L'artisan mettra vingt-quatre ans à achever cette merveille. Elle est livrée en 1817. Autant dire que la reine a cessé depuis longtemps de se préoccuper du temps qui passe.
La description technique est édifiante. Le boîtier en or et le cadran en cristal de roche abritent une montre perpétuelle, donc automatique, à "répétition minute". Cette dernière expression signifie que sur la simple pression d'un bouton, elle offre une succession de sons qui indiquent l'heure.
OFFRE DE 1 MILLION DE DOLLARS
Cinq heures vingt-cinq ? Elle fera entendre cinq fois le son des heures, une fois celui des quarts d'heure et dix fois celui des minutes. Le dispositif permet au propriétaire de ne pas sortir sa montre en société, ce qui est mal vu.
Mais la bête ne s'arrête pas là. Elle propose un calendrier perpétuel complet, une équation de temps (lever et coucher du soleil), une réserve de marche et un thermomètre métallique. Elle est munie, en outre, d'une réserve de temps (combien de temps avant qu'elle ne s'arrête), d'une "grande seconde indépendante" et d'une petite trotteuse. Le tout était entouré de saphirs.
Après sa livraison, la montre apparaît dans les registres Breguet, en 1838, pour une révision. Mais son propriétaire, le marquis de la Groye, ne viendra jamais la chercher. Revendue, elle entre ensuite dans les collections de Sir David Salomons. Grande philanthrope, sa fille qui en hérite, en fera don au Musée des arts islamiques.
Nicolas Hayek, le très médiatique patron de Breguet, avait entrepris pendant plusieurs années de la reconstituer. Faute de schémas, il ne pouvait s'appuyer que sur les descriptions et quelques mauvaises photos. Ses artisans en achevèrent la reconstitution. Il avait aussi annoncé être prêt à offrir 1 million de dollars à qui permettrait de retrouver cette pièce légendaire. A-t-il envoyé la récompense à la veuve du voleur ? La légende, cette fois, ne le dit pas.
Nathaniel Herzberg
LE MONDE a écrit:
21.03.09 | 14h04
Le butin retrouvé d'"Arsène Lupin"
Dans le salon d'honneur de l'ambassade d'Israël à Paris, le commissaire Avi Roif pèse ses mots. Physique de lutteur, sourire malin, il savoure le moment. "Cette cérémonie marque la dernière étape d'une aventure fascinante." Le divisionnaire de la police de Jérusalem attend un instant, comme s'il mesurait le temps passé. Puis poursuit : "Nous avons réussi à faire aboutir une enquête importante pour nous. Je tiens à remercier nos collègues français." Il a un regard pour le colonel Tabel, patron de l'office central de lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC). Puis son regard glisse sur la table. "Cet instant est émouvant."
Sur deux plateaux reposent une série d'objets. Deux montres Breguet, un petit mouvement de pendule, une boîte sertie de diamants en forme de papillon, ou encore l'enveloppe en or massif d'une horloge, représentant une vieille femme, un fichu sur la tête, une merveille. Deux petits sacs en plastique ont aussi été posés là. A l'intérieur, des montres Leroy, datant du XIXe siècle, en partie démontées. "C'est dans cet état que nous avons trouvé les pièces, glisse le colonel Tabel. Nous montrons ça mais il y en a deux sacs pleins derrière." Ce vendredi 20 mars, la France rend officiellement une partie du butin d'un des plus grands et des plus longs mystères du banditisme israélien, sans doute le vol de montres le plus célèbre du monde.
Les objets ont été dérobés dans la nuit du 15 au 16 avril 1983, au musée des arts islamiques de Jérusalem. Cent six pièces de grande valeur, parmi lesquelles une série de montres "inestimables". Ce qui n'empêchera pas les enquêteurs de chiffrer les pertes à plusieurs dizaines de millions de dollars. Parmi les oeuvres volées se trouve la collection de montres, pendules et horloges de Sir David Lionnel Salomons, premier maire juif de Londres. Sa fille Vera, une des fondatrices du musée, en a fait don à l'établissement.
Des pièces exceptionnelles, réalisées par les plus grands horlogers des XVIIIe et XIXe siècles, et notamment la Breguet 160. Trésor de beauté et de complexité, "la Marie-Antoinette", comme certains la nomment aussi - elle a été réalisée par Abraham Louis Breguet pour la reine -, est considérée comme "la Joconde des montres".
Les enquêteurs reconstituent facilement le mode opératoire. Le ou les bandits sont entrés par une petite fenêtre, à l'arrière du musée, dont ils ont tordu les barreaux. Pour ne pas se faire repérer, ils ont bouché la vue au moyen d'un camion, garé contre la croisée. A l'intérieur, les gardiens n'ont rien vu, rien entendu. Leurs mouvements semblaient parfaitement connus des cambrioleurs. Pendant vingt-trois ans, les recherches ne donnent rien. Les policiers tâtonnent. La direction du musée espère recevoir une demande de rançon. Les pièces sont en effet parfaitement répertoriées. Pas un amateur, de ceux capables de dépenser des dizaines de milliers d'euros pour une tocante, ne peut ignorer leur provenance. Dans ce type de cas, les voleurs finissent parfois par se tourner vers leur victime pour proposer un deal.
NÉGOCIATION SECRÈTE
Fin 2006, le musée est finalement contacté par une avocate. Elle lui indique que son client dispose de certains des objets volés. Une quarantaine de pièces, parmi lesquelles le clou de la collection. Une négociation secrète commence. L'établissement finit par les récupérer contre une somme presque ridicule : 150 000 shekels, soit 27 000 euros. La police n'est pas prévenue. Elle apprendra la transaction par un article de presse.
Les enquêteurs sont furieux. Mais une autre lumière s'allume. A Los Angeles, une Israélienne a fait estimer une des pièces. L'expert a averti la police. En découvrant son nom, les enquêteurs israéliens comprennent. Nili Shomrat n'est autre que la veuve de Na'aman Diller, alias Lidor, gangster de légende, mort en 2004. "L'Arsène Lupin israélien", résume Pierre Tabel.
Le parcours de Diller est, il est vrai, exceptionnel. Né en 1939 dans un kibboutz de la plaine côtière, le jeune homme a tout pour réussir. Beau comme un dieu, intelligent, il est admis dans ce qui constitue l'aristocratie militaire israélienne : la formation de pilotes de chasse. Mais deux semaines avant sa sortie, il commet l'irréparable : pour voir son kibboutz, il passe largement sous le plafond autorisé. Il est emprisonné, puis écarté de la session.
Une autre vie commence. Au kibboutz, il cambriole une maison pendant un enterrement. Confondu, il est expulsé de la communauté. Installé chez sa tante à Tel Aviv, il commet des petits larcins, vole des voitures, dévalise des boutiques. En 1967, il réussit sa première opération sophistiquée en cambriolant une banque. Vêtu d'un uniforme de postier, il simule une longue opération d'entretien et creuse pendant cinq mois, en plein jour, un tunnel qui aboutit dans la salle des coffres.
Entre-temps, il a combattu pendant la guerre des Six-Jours. Après être entré dans la banque, ce maniaque de la propreté est rentré se doucher. C'est d'ailleurs en effaçant les traces de son passage qu'il s'est fait pincer. Il est condamné à quatre ans d'emprisonnement. A sa sortie, on diagnostique chez lui un cancer de la peau. Il multiplie les cambriolages, 23 officiellement, dont un important vol de peintures. Cette fois, il écope de sept ans. A la sortie, il part aux Pays-Bas étudier la médecine naturelle. Mais se fait à nouveau prendre pour le vol d'une bijouterie. Emprisonné puis expulsé vers Israël, il commettra encore un vol avant d'interrompre, croit-on, ses activités illicites. En 2004, il meurt des suites de son cancer. Dans son pedigree, manque juste son "grand oeuvre", le vol du Musée des arts islamiques.
Aux Etats-Unis, la perquisition chez sa veuve porte ses fruits. De nombreuses oeuvres volées sont retrouvées, dont six montres. Les Américains découvrent des documents bancaires qui conduiront les policiers israéliens vers un coffre aux Pays-Bas et deux en France, à la BNP et la Société générale. C'est là que, en novembre 2008, l'OCBC, saisi par une commission rogatoire internationale, retrouve des dizaines d'objets, plus ou moins gros, dont 42 montres en pièces détachées.
Pour les Israéliens, l'essentiel est fait. Dix montres manquent encore, dont quatre après lesquelles courent les policiers suisses. Les Israéliens attendent l'extradition de la veuve. "Elle affirme avoir tout ignoré, mais nous savons qu'il n'en est rien", confie Avi Roif. Il ne devrait pas avoir trop de mal à le démontrer.
Nathaniel Herzberg
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:La montre officielle de la F1
http://www.formula1.com/news/headlines/ ... 10675.html
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