sccc a écrit:Régis joue au con.
Mrde...![]()
Regis c'est...euh...Michael....![]()
![]()
http://www.abrutis.com/video.php?id=1364
c'est en 1996
Nicol Larini sur une Fiat Bravo GT
Eddie Irvine sur une Ferrari 550 Maranello
Michael Schumacher sur une Ferrari F310

Modérateurs: Garion, Silverwitch
sccc a écrit:Régis joue au con.
Mrde...![]()
Regis c'est...euh...Michael....![]()
![]()
http://www.abrutis.com/video.php?id=1364
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Cyril a écrit:Non, c'était 1997, mais avec une Ferrari F310 de 1996...
Voici l'extrait de Turbo, que j'ai rippé :
http://dijon.prenois.free.fr/videos/DuelFerrari.avi
Régis, un jeune étudiant turc vise le zéro pointé
Tandis que ses camarades transpiraient à grosses gouttes, un étudiant turc, tout aussi tendu, s'est appliqué dimanche à donner une mauvaise réponse à chacune des 180 questions posées à l'examen d'entrée à l'université d'Ankara en guise de protestation.
A l'issue de l'épreuve, le jeune homme, Régis, était plutôt satisfait : "J'ai confiance. Il y a une très grande probabilité que je termine avec zéro bonne réponse", a-t-il déclaré à l'agence de presse Anatolie.
Régis, qui est déjà étudiant en génie civil, avait part de son projet à la presse le mois dernier, expliquant qu'il voulait protester contre le système de sélection, extrêmement compliqué, en vigueur dans les universités turques.
Le jeune homme a souligné que, contrairement à ce que l'on pourrait penser, sont but n'était pas si facile à atteindre : "J'ai dû travailler dur car, pour être sûr de donner toutes les mauvaises réponses, il fallait d'abord connaître toutes les bonnes".
Pour corser encore l'épreuve, Régis vise un total de moins 45 points, en sachant que le règlement universitaire prévoit que quatre mauvaises réponses en font sauter une bonne...
Après plusieurs années de bachotage intensif, seulement un jeune sur quatre est admis dans les universités turques.
The Consumerist - Shoppers bite back a écrit:AOL Wants to Sell "Internet" to the Dead
Can we say... zombies? We promise we're not going to turn this into the AOL horror story blog, but we gotta post this.
This is low. Very, very low. AOL doesn't even care if your mom is a corpse. They still want to proposition her for access to the magical walled garden world of America Online. Perhaps she was just unhappy with the service? Perhaps we can just reduce the hours to make it softer on the ol' wallet?
No. She's dead. Mom is dead. They don't do AOL in heaven. Up there, they have free wireless broadband.
By the by, National Geographic's caption for the photo above reads, "Body louse taking a blood meal from a person."
Read Brenda's horrifying letter, after the jump...
Brenda writes:
"Hi! I'm writing after hearing the phone conversation between Vincent and AOL. I was curious about this because I had a similar conversation with AOL back in February.
My mom had AOL, but on February 21st, she was killed in a car accident. On February 23rd, I called AOL to cancel her service. I wish I could have recorded the conversation for you. It was unbelievable. After explaining that my mother was killed in the accident, the rep told me that he was sorry that my mom was unhappy with the service. He then suggested lowering the number of hours per month to reduce the bill. I said "she was killed." The rep then said, "I understand what you are saying, I'm just trying to come up with a solution." He actually got snippy with me. AOL finally told me that my mom would have to call and cancel the service herself (even after I provided the coroner's ID number for the incident, etc.). I told them that if they could reach her that they should let me know how they did it. I told them that in the meanwhile, all credit cards, etc. were being canceled as a result of her death.
I had to go back to my mom's in April (I live in Ohio and she lived in CA). I checked the connection and sure enough - AOL hadn't canceled. I bet if I tried to connect again from her house it will still be connected."
Stef a écrit:Ah non, il les gagne vraiment, apparemment.
Xave a écrit:Pour faire rapide, en gros, pour les lieux de commerces, les noms de marques sont assimilés à des noms de famille, on dit donc "chez", tandis que pour les noms génériques, on dit "à".
On dit également "chez" quand on parle de la personne exerçant une profession.
Exemple :
Je vais à la quincaillerie
Je vais chez le quincailler
Je vais chez Leroy-Merlin
![]()
Miaplacidus a écrit:Xave a écrit:Pour faire rapide, en gros, pour les lieux de commerces, les noms de marques sont assimilés à des noms de famille, on dit donc "chez", tandis que pour les noms génériques, on dit "à".
On dit également "chez" quand on parle de la personne exerçant une profession.
Exemple :
Je vais à la quincaillerie
Je vais chez le quincailler
Je vais chez Leroy-Merlin
![]()
Aujourd'hui, Régis et compagnie donnent des cours de français.![]()
On va chez une personne.
Je vais à la quincaillerie.
Je vais chez le quincailler.
Je vais à Leroy-Merlin.
Je vais à Carrefour.
Je vais à Leclerc.
On peut accepter "aller chez Leclerc" si l'on considère que le magasin est chez M. Leclerc, le fondateur de la chaine.
Tenez : http://www.academie-francaise.fr/langue ... html#achez
Miaplacidus a écrit:Xave a écrit:Pour faire rapide, en gros, pour les lieux de commerces, les noms de marques sont assimilés à des noms de famille, on dit donc "chez", tandis que pour les noms génériques, on dit "à".
On dit également "chez" quand on parle de la personne exerçant une profession.
Exemple :
Je vais à la quincaillerie
Je vais chez le quincailler
Je vais chez Leroy-Merlin
![]()
Aujourd'hui, Régis et compagnie donnent des cours de français.![]()
On va chez une personne.
Je vais à la quincaillerie.
Je vais chez le quincailler.
Je vais à Leroy-Merlin.
Je vais à Carrefour.
Je vais à Leclerc.
On peut accepter "aller chez Leclerc" si l'on considère que le magasin est chez M. Leclerc, le fondateur de la chaine.
Tenez : http://www.academie-francaise.fr/langue ... html#achez
Yahoo ! Actualités a écrit:mardi 27 juin 2006, 15h03
Espace: un Ovni s'approche de l'ISS mais ne représente pas de danger
MOSCOU (AFP) - Un Ovni, identifiée comme une cargaison américaine abandonnée qui pourrait passer à 240 mètres de la station, s'approche de la Station spatiale internationale (ISS), sans que son passage "représente un danger" pour l'ISS, a indiqué mardi le Centre russe de contrôle des vols spatiaux.
"L'objet, qui peut passer à 240 mètres au-dessus de la station, est une cargaison américaine abandonnée, lancée en 1963", a déclaré à l'AFP Vsevolod Latychev, porte-parole du centre spatial russe (Tsoup).
"Mais d'après nos calculs, la probabilité d'une collision avec l'ISS est proche de zéro", a-t-il ajouté, et "il n'y a donc aucune nécessité d'effectuer des changements dans le vol de l'ISS".
Cette cargaison pèse 79 kilos, a précisé M. Latychev.
Le responsable des calculs balistiques du Tsoup, Alexandre Kireïev, avait indiqué plus tôt dans la journée que, d'après la Nasa, un objet volant non identifié "devait passer près de la station à une distance de 2,8 km", et que ce passage représentait peut-être un danger pour l'équipage, risquant de provoquer l'ajournement du lancement de la navette américaine Discovery prévu samedi.
ouest france a écrit:Le spectacle de fin d'année a eu lieu, samedi 17 juin, en fin de matinée, à la salle polyvalente de Peillac, près de Redon. Les enfants de l'école publique « La marelle » sont montés sur scène pour chanter, danser, conter et jouer devant leurs parents. L'événement a son importance. Et cette année, plus encore, avec le départ de trois enseignantes. « Les enfants avaient prévu une surprise, raconte la directrice, Solenn Boussicaud. Je leur ai donné le micro à la fin du spectacle et ils ont commencé à chanter Adieu monsieur le professeur, d'Hugues Aufray, en hommage à leurs maîtresses. »
Fin juin, la directrice reçoit un coup de fil de l'antenne lorientaise de la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique). « On m'a demandé l'adresse exacte de l'école. J'ai voulu en savoir plus. Elle m'a dit que c'était à propos de cette chanson. » Un courrier est arrivé lundi dernier. L'enveloppe comprenait une note de débit de 75 €, ainsi qu'un courrier : « Vous avez utilisé des oeuvres du répertoire de la Sacem sans avoir demandé à notre société l'autorisation préalable, formalité obligatoire prévue par le code de la propriété intellectuelle. » Et l'utilisation de ce répertoire est considérée comme un délit de contrefaçon. Solenn Boussicaud est abasourdie. Faute de paiement, conclut la Sacem, une procédure judiciaire sera intentée. « Notre rôle est d'autoriser la diffusion et de percevoir des rémunérations pour le compte des auteurs. Les écoles le savent. Elles reçoivent des formulaires en début d'année », commente Éric Bourson, responsable de la Sacem dans le Grand Ouest.
C'est en épluchant la presse locale que la Sacem a relevé « la faute ». « L'école n'a pas fait de déclaration préalable. Nous appliquons donc le forfait minimum d'un spectacle d'enfants avec sono, c'est-à-dire 75 € pour utilisation de mélodie musicale. »
Même tarif quand le spectacle est gratuit et réservé aux parents ? « Oui », répond la Sacem. La cour d'appel de Bordeaux avait rendu une décision en ce sens en 1993 estimant « qu'une représentation d'une oeuvre au Noël des enfants est soumise au droit d'auteur », rappelle Me Lamon, spécialiste en droit de la propriété intellectuelle. L'avocat rennais défend l'idée que l'État devrait donner un budget « droits d'auteur » aux écoles pour la musique et les photocopies d'ouvrages.
L'école a expédié une lettre de réclamation, mardi. La directrice y détaille que cette matinée n'avait aucun but lucratif et que les enfants ont juste chantonné une partie d'Adieu... Elle espère être entendue.
Utilisateurs parcourant ce forum: Ghinzani et 1 invité