Feyd a écrit:Ha le bâtard.![]()
C'est censé être de l'humour ?
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Feyd a écrit:Ha le bâtard.![]()
Feyd a écrit::lol:
Il a touché une corde sensible.
Feyd a écrit:Pas malin. Déjà que cette fondation fait polémique, l'attaquer ne fait que donner du grain à moudre à Nethanyahou. Mais bon, Hamas et réflexion ça fait deux.
Ouais_supère a écrit:On peut rire de tout mais pas avec tout le monde.
Xavier Gorce a choisi de rire avec les gros bourrins xénophobes, et c'est son droit.
Feyd a écrit:Pas malin. Déjà que cette fondation fait polémique, l'attaquer ne fait que donner du grain à moudre à Nethanyahou. Mais bon, Hamas et réflexion ça fait deux.
https://www.franceinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/guerre-a-gaza-l-organisation-ghf-denonce-un-attentat-contre-un-de-ses-centres-de-distribution-d-aide-deux-humanitaires-americains-blesses_7358751.html
Waddle a écrit:Feyd a écrit::lol:
Il a touché une corde sensible.
Pas du tout. Mais ça ressemble à une opération de propagande anti palestinienne déguisé sous de l'humour qu'autre chose. Et ce n'est objectivement pas drôle puisque c'est du 1er degré alors que c'est censé être de l'humour.
rozz a écrit:Feyd a écrit:Pas malin. Déjà que cette fondation fait polémique, l'attaquer ne fait que donner du grain à moudre à Nethanyahou. Mais bon, Hamas et réflexion ça fait deux.
relis le dernier paragraphe....... et comme toujours "cui bono?"
Feyd a écrit:rozz a écrit:Feyd a écrit:Pas malin. Déjà que cette fondation fait polémique, l'attaquer ne fait que donner du grain à moudre à Nethanyahou. Mais bon, Hamas et réflexion ça fait deux.
relis le dernier paragraphe....... et comme toujours "cui bono?"
Venant de quelqu'un incapable de comprendre quoi que ce soit même en répétant une demi-douzaine de fois les choses. Mouais...
Hugues a écrit:C'est pas plus drôle...
Mais au moins ça ne vomit pas sur une victime mais tente de la défendre..
Et en plus c'est mieux dessiné (il a une infirmité Gorce ou quoi..; ou peut-être on tient là l'un des plus grand cas d'imposture...)
Hugues
Y'a des humoristes qui ont choisi de se moquer de tout le monde et ceux qui ont choisi un camp. Lui a choisi un camp.Feyd a écrit::lol:
Il a touché une corde sensible.
Maverick a écrit:Y'a des humoristes qui ont choisi de se moquer de tout le monde et ceux qui ont choisi un camp. Lui a choisi un camp.Feyd a écrit::lol:
Il a touché une corde sensible.
Hugues a écrit:
Et en plus c'est mieux dessiné (il a une infirmité Gorce ou quoi..; ou peut-être on tient là l'un des plus grand cas d'imposture...)
Hugues
Hugues a écrit:Oui le camp c'est pas trop le problème..
Le problème c'est que c'est pas de l'humour en fait
Par exemple, Sophia Aram, présentée partout comme de humoriste, c'est pas de l'humour... c'est de l'ironie, du sarcasme... le sarcasme relevant du décalage entre ses propres convictions et ce qu'on dit, on comprend que c'est pas vrai ... mais ça ne peut être drôle (et souvent le sarcasme n'est pas fait pour être drôle et n'y parvient pas), que si on est conscient voire comprend le point de vue éthique, moral, idéologique de celui qui émet le sarcasme, voire le partage...
Or Aram, son point de vue qui le partage... Les Vallsistes? Le Printemps "Républicain" (ne pas oublier les guillemets), quelques racistes aussi...
Là c'est pareil, le point de vue qui le partage...
Ok c'est mordant, cynique, donc on dit "il y va fort", c'est peut-être ça qui me ferait sourire, du genre "il y a pas été avec le bout de la cuillère"... mais est-ce que c'est drôle en lui même ? Non c'est du sarcasme...
Et en fait tu dis, anthropomorphisme des pingouins ou manchots. .c'est pas exactement ça.. c'est plus languedeputerisation des manchots, le gars ose pas dire ses saloperies lui-meme alors il trouve un porte parole;.
C'est du bon mot de bistrot en fait... C'est de la brève de connard de bistrot sauf qu'il le fait en publiant un "dessin", et que de la presse lui accorde de l'importance...
Il a plus de talent il faut avouer dans les sarcasmes que dans le dessin mais en même temps c'est pas si difficile... et c'est ce sarcasme qui plait à ceux qui l'emploie...
Encore une fois le sarcasme est un point de vue (puisqu'il nécessite d'être conscienct de la distance entre l'énoncé et les opinions du locuteurs, qu'on est censé partager pour apprécier),
non un humour...
C'est la tout le problème de Gorce, c'est un éditorialiste, pas un humoriste.
(Mais on peut être les deux, Coluche était les deux, éditorialiste et pourtant humoriste.... mais il se moquait de quelque chose pour le dénoncer, se moquer de l'absurde situation d'un pauvre pour montrer l'insupportable à être pauvre etc..
Là on se moque de gens, pour les déshumaniser.. c'est tout à fait différent.
Hugues
Ghinzani a écrit:Hugues a écrit:Oui le camp c'est pas trop le problème..
Le problème c'est que c'est pas de l'humour en fait
Par exemple, Sophia Aram, présentée partout comme de humoriste, c'est pas de l'humour... c'est de l'ironie, du sarcasme... le sarcasme relevant du décalage entre ses propres convictions et ce qu'on dit, on comprend que c'est pas vrai ... mais ça ne peut être drôle (et souvent le sarcasme n'est pas fait pour être drôle et n'y parvient pas), que si on est conscient voire comprend le point de vue éthique, moral, idéologique de celui qui émet le sarcasme, voire le partage...
Or Aram, son point de vue qui le partage... Les Vallsistes? Le Printemps "Républicain" (ne pas oublier les guillemets), quelques racistes aussi...
Là c'est pareil, le point de vue qui le partage...
Ok c'est mordant, cynique, donc on dit "il y va fort", c'est peut-être ça qui me ferait sourire, du genre "il y a pas été avec le bout de la cuillère"... mais est-ce que c'est drôle en lui même ? Non c'est du sarcasme...
Et en fait tu dis, anthropomorphisme des pingouins ou manchots. .c'est pas exactement ça.. c'est plus languedeputerisation des manchots, le gars ose pas dire ses saloperies lui-meme alors il trouve un porte parole;.
C'est du bon mot de bistrot en fait... C'est de la brève de connard de bistrot sauf qu'il le fait en publiant un "dessin", et que de la presse lui accorde de l'importance...
Il a plus de talent il faut avouer dans les sarcasmes que dans le dessin mais en même temps c'est pas si difficile... et c'est ce sarcasme qui plait à ceux qui l'emploie...
Encore une fois le sarcasme est un point de vue (puisqu'il nécessite d'être conscienct de la distance entre l'énoncé et les opinions du locuteurs, qu'on est censé partager pour apprécier),
non un humour...
C'est la tout le problème de Gorce, c'est un éditorialiste, pas un humoriste.
(Mais on peut être les deux, Coluche était les deux, éditorialiste et pourtant humoriste.... mais il se moquait de quelque chose pour le dénoncer, se moquer de l'absurde situation d'un pauvre pour montrer l'insupportable à être pauvre etc..
Là on se moque de gens, pour les déshumaniser.. c'est tout à fait différent.
Hugues
Je me demande si tu écrirais la même chose si il
Etait de « l autre camps « ?
L’humour véritable est un art inclusif : il invite au rire par une pirouette inattendue, détend l’atmosphère et crée un espace commun où chacun peut se reconnaître. L’ironie, subtilement, installe un contraste entre la forme et le fond, sans jamais perdre de vue la complicité avec le public. Le sarcasme éditorial, lui, agit comme un scalpel poli : derrière une courtoisie feinte, il décoche un trait acerbe dont l’objectif n’est pas tant de faire éclater un rire universel que de conforter une conviction partagée et, souvent, de déconsidérer la personne ou le groupe visé.
Dans ce registre, l’économie du mot — cette « brève de comptoir » soignée — accentue la morsure : la visée n’est plus le divertissement, mais l’exclusion de l’adversaire moral. On ne cherche pas à rassembler en riant, mais à affirmer sa propre juste indignation. C’est ainsi qu’un chroniqueur graphique, traquant l’hypocrisie, peut en venir à déshumaniser un être déjà accablé, transformant la satire en arme réservée à son cercle de convaincus.
À l’inverse, des artistes tels que Desproges, Coluche, Chaplin ou Carlin ont su métamorphoser la douleur sociale en souffle comique, en insufflant à leur satire une profonde empathie. Leur mot n’était jamais un poignard : il se posait comme un miroir tendu, invitant chacun à reconnaître l’autre dans sa fragilité. Même en dénonçant l’injustice ou la misère, ils cherchaient à célébrer la condition humaine, faisant du rire un ciment de solidarité plutôt qu’un fossé de certitudes.
Cette double tension — entre l’humour qui fédère et la pique qui exclut — définit la frontière entre le véritable humoriste et l’éditorialiste sarcastique. L’un offre un banquet de rire partagé, où la critique s’insinue dans la liesse ; l’autre renouvelle la « riposte de zinc », mordante et sélective, dont le sel n’éveille l’enthousiasme qu’auprès de ceux déjà prêts à l’adopter.[/Quote]
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