Modérateurs: Garion, Silverwitch
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Stéphane a écrit:C'est plus serré qu'annoncé au départ, visiblement. Encore sous les 30% pour le moment. (sans Ciotti, oui je sais)
Fouad a écrit:Feyd a écrit:Je préfère le choléra à la peste en effet.
Tu as bien raison au propre comme au figuré car sans traitement la peste c est un taux de léthalité proche de 100%, comme le virus de la rage.
Le choléra sans traitement je crois que 30 ou 40% des malades survivent.
Hugues a écrit:Nicklaus a écrit:Edité par la modération : insulte à caractère relgieuse
Je ne vote pas LFI, mais es-tu obligé de discourir comme ça..
Regarde la qualité débat de Dervi avec Silverwitch, et comment, ce genre de remarque avilit tout de suite la discussion.
Tu peux dire la même chose sans utiliser ce langage.
Hugues
Maverick a écrit:
Source : BFM.Nicklaus a écrit:Maverick a écrit:
Ce mec n'est pas un journaliste , c'est une pourriture à la sauce bouhaf. N'importe quel demeuré peut se dire journaliste
C'est surtout un antisémite notoire
Sacrée référence.
Feyd a écrit:Quelle baffe, le RN devrait normalement plus que doubler ses sièges mais sans avoir la majorité absolue (tant mieux d'ailleurs). Il y a pas mal de rnistes déjà élus au premier tour.Fouad a écrit:Feyd a écrit:Je préfère le choléra à la peste en effet.
Tu as bien raison au propre comme au figuré car sans traitement la peste c est un taux de léthalité proche de 100%, comme le virus de la rage.
Le choléra sans traitement je crois que 30 ou 40% des malades survivent.
C'est surtout que le choléra est dû à l'insalubrité des eaux. C'est bien plus facile de remédier à ce problème que de créer un vaccin.
Quoique pour la Seine, ils y arrivent toujours pas.
Nicklaus a écrit:oui oui, cette technique de rabaissement des électeurs de droite est vieille comme le monde et reprise par des merdes de ce genre qui se disent journaliste mais qui sont des militants. Dans un charter tout ça.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
D'extrême droite. Source : le ministère de l'intérieur.Nicklaus a écrit:oui oui, cette technique de rabaissement des électeurs de droite est vieille comme le monde et reprise par des merdes de ce genre qui se disent journaliste mais qui sont des militants. Dans un charter tout ça.
Maverick a écrit:Source : BFM.Nicklaus a écrit:Maverick a écrit:
Ce mec n'est pas un journaliste , c'est une pourriture à la sauce bouhaf. N'importe quel demeuré peut se dire journaliste
C'est surtout un antisémite notoire
Sacrée référence.
Nicklaus a écrit:oui oui, cette technique de rabaissement des électeurs de droite est vieille comme le monde et reprise par des merdes de ce genre qui se disent journaliste mais qui sont des militants. Dans un charter tout ça.
B.Verkiler a écrit:Maverick a écrit:Source : BFM.Nicklaus a écrit:Maverick a écrit:
Ce mec n'est pas un journaliste , c'est une pourriture à la sauce bouhaf. N'importe quel demeuré peut se dire journaliste
C'est surtout un antisémite notoire
Sacrée référence.
Ca en dit long sur l'EN.
De Gaulle a été un grand Français certes, mais laisser les clés de l'education Nationale aux communistes, ça fait pas partie de ses sages décisions. Alors certes il était difficile de prévoir en quoi les cocos allaient transmuter. Mais on en paye malgre tout le prix 60 ans après, ça et d'autres choses encore.
Ceci dit, pour qu'il se soit fait dégager par la CIA à la fin des années 60, c'est qu'il avait majoritairement des bons côtés. Ce qui n'a plus été le cas par la suite.
Nicklaus a écrit:A voir au second tour ce que ça donnera mais là on assiste à une alliance macron/melenchon mine de rien....... Ce taré va aider des pourritures comme boyard.
Après, à voir si une fois le second tour passé, les socialos ne vont pas lâcher meluche et s'allier avec macron et une partie LR pour avoir la majorité. On est pas à une dinguerie près.
Maverick a écrit:
Nicklaus a écrit:Au fait, leur bonne conscience mbappé qu'on nous présente comme un type intelligent ( ce qui est loin d'être évident quand on s'impose le supplice d'écouter cet attardé), il a quoi comme diplôme ? Nada après le bac. Il est donc con.
Silverwitch a écrit:J’ai été obligée de modérer certains messages, des échanges orduriers et des injures. D’autres messages vont également être modérés de manière plus chirurgicale. Pour éviter ce genre de désagréments, j’invite fermement tous les participants à tourner leurs doigts plusieurs fois au-dessus du clavier avant de poster, d’éviter les injures, les provocations, et si possible de faire un effort de civilité.
Rainier a écrit:Nicklaus a écrit:Au fait, leur bonne conscience mbappé qu'on nous présente comme un type intelligent ( ce qui est loin d'être évident quand on s'impose le supplice d'écouter cet attardé), il a quoi comme diplôme ? Nada après le bac. Il est donc con.
Si, dans 30 minutes, il nous fait gagner contre la Belgique ce sera le type le plus intelligent de la planète et je souhaite qu'on lui donne la Légion d'Honneur (comme l'aurait souhaité Napoléon 1er) ...par contre si on perd contre les Belges ce sera vraiment un gros con sans diplôme comme dit Kamil Bidule
Silverwitch a écrit:Dervi a écrit:Un premier paragraphe liminaire. Mon discours s'inscrit dans la situation actuelle de la France et initialement en évaluant uniquement les sources de financement et de dépenses des retraites. Ton discours, auquel je souscris (sisi !), va au-delà de mon analyse première limitée aux retraites seules et s'inscrit dans une France qui n'existe pas aujourd'hui et qu'il faudrait construire sur les ruines actuelles avec pêle-mêle reprendre la maîtrise d'un financement souverain hors marché, construire une industrie de pointe attractive qui autorise la mise en place de salaires élevés et décorrélés du reste du monde et malgré cela conserver des garanties marchandes permettant de s'approvisionner en matières premières indisponibles en France et d'exporter. Liste à compléter. En l'absence de cette nouvelle structure préalable qui sous-tend une révolution copernicienne de notre économie et de nos moyens de financement (quel que soit le vocabulaire utilisé, l'argent doit rentrer dans les caisses avant de le distribuer), tes propositions sont selon moi aujourd'hui inapplicables, bien que je rêverais d'assister à l'avènement de cet Etat réellement social.
Sur la forme, tu renvoies mon propos a une sorte d’utopie généreuse et rêveuse. Très bien, prenons ton propos au sérieux: quel est le besoin de financement des retraites ? Entre 0,3 et 0,5 points de PIB dans les dix prochaines années, soit entre 10 et 15 millards d’euros. Et tu assènes que ce demi point de PIB ne se trouverait que dans une France qui n’existe pas aujourd’hui ? Allons donc, une révolution copernicienne pour trouver 10 milliards quand le rétablissement de l’ISF et la suppression de la flat tax suffiraient à combler très très largement ce besoin de financement ?
Silverwitch a écrit:Dervi a écrit:OK, j'entends ton point de vue et aussi le mien. Cette bataille de vocabulaire ne financera cependant pas les retraites.
Il n’y a pas de problème de financement des retraites, les excédents des dernières années ont gonflé des réserves qui couvrent au rythme actuel 20 ans de besoin de financement sans avoir à se revenir sur les exonérations délirantes accordées sous François Hollande, il n’y a pas plus dix ans…
Silverwitch a écrit:Dervi a écrit:Charges ou cotisations, peu importe. Ce n'est pas le sujet de mon paragraphe qui est que les choix de la France l'ont mené à participer à une économie mondialisée dans laquelle peu importe où tu prélèveras de l'argent, la variable d'ajustement se fera par le salaire soit directement (sur le salaire brut), soit différé si cela touche à la valeur ajoutée.
Au contraire, ça importe beaucoup. Crois-tu que je fasse la distinction pour le plaisir ? C’est une différence fondamentale, les retraites comme l’assurance-chômage ne sont pas des systèmes d’assistance ou de charité, mais avant tout des logiques d’assurance et de droits conquis et ouverts par le travail, contre le capital.
À défaut tu tombes dans le piège qui fait des cotisations une charge, alors qu’elles constituent des revenus socialisés et différés, opérés sous formes de transferts et de prélèvement sur la richesse produite au profit des travailleurs, en activité, en maladie ou en retraite. Pour donnée une idée, un ordre de grandeur la part de l’assistance représente moins de 5% de l’ensemble des dépenses de protection sociale.
Silverwitch a écrit:Dervi a écrit:OK, belle pirouette philosophique pour le premier point qui repose sur une responsabilité morale.
Ce n’est pas une « pirouette », il s’agit au contraire de faire réfléchir et souvenir que c’est la société construite par ceux qui te précèdent qui te permet ensuite de cotiser. L’école que tu fréquentas enfant, les routes, tout cela a été payé par la richesse produite collectivement par des travailleurs devenus vieux et qui ont mérité le droit de se reposer sans être punis et sans être considérés comme une charge ou un poids. C’est d’abord nous qui sommes en dette et pas les retraités. Tu me pardonneras cette vision moralisante sans la considérer comme une pirouette.
Silverwitch a écrit:Dervi a écrit:Ma seule démonstration, c'est que donner plus à ceux qui ont déjà plus est questionnable. Sachant que ce sont les retraités qui ont le plus. Je ne dis rien de plus.
Prenons l’exemple de l'assurance chômage. En cas de besoin de financement temporaire, penses-tu qu’il est de bonne guerre de considérer le travailleur privé d’emploi mais indemnisé comme une charge et un assisté et qu’il conviendrait de remettre en cause ses droits acquis au prétexte que certains travailleurs en emploi sont plus pauvres que lui ?
Écrire que « ce sont les retraités qui ont le plus » est inexact. Le taux de remplacement est bien inférieur au revenu en activité. Il faut prendre en compte le caractère contingent de notre existence. Dans toutes les classes d’âge, la vieillesse est la plus dépourvue, étant la seule à ne plus pouvoir compter sur l’avenir, sinon le plus immédiat. Dépourvus de la force de travailler encore, soumis aux contraintes de la santé qui ne tarde pas à vaciller (la faute au coût du capital qui ne veut d’une retraite que pour les morts), et désormais soumis aux caprices des actifs qui voudraient changer les termes du contrat pour pouvoir accaparer des richesses qui creuseront encore plus l’inégalité devant la vieillesse, la maladie, le chômage ?
Silverwitch a écrit:Dervi a écrit:Et ? Cela ne remet pas en cause ce que j'écris. Il n'y a aucune confusion. Je sais bien que la pension d'un retraité sera inférieure aux revenus du travail de la vie active. Ce qui ne signifie pas pour autant que le niveau de la pension n'est jamais trop élevée eu égard aux pensions les plus faibles et aux autres composantes de trésorerie du retraité, qui pour certains n'ont plus le poids de la dette de leur résidence principale, d'autres éléments de rente, etc. Inutile de me réécrire qu'il suffirait d'imposer davantage le capital, j'ai bien compris et je l'ai déjà proposé. L'un empêche pas l'autre cependant.
J’ajoute que je ne vois pas la raison qui justifie que l’ouvrier qui aura eu un salaire moindre toute sa vie qu’un cadre supérieur reçoive à la retraite une pension inférieure, parfois insuffisante. La retraite, c’est le bon moment pour dire : « anticipons d’être tous égaux avant d’être six pieds sous terre rongés par les vers, donc redistribuons ».
Et encore, ce ne serait qu’une égalité au niveau de la pension retraite, les inégalités de patrimoine seraient toujours existantes et tolérables dans une certaine mesure.
Trop importante par rapport à quel étalon, Dervi ? Si tu ne mesures pas la retraite à partir d’un taux de remplacement (droits ouverts et acquis), ton point de vue est arbitraire ou punitif, la retraite devient une variable d’ajustement parmi d’autres, exit la logique d’assurance, retour à la charité. Et tu renforces l’inégalité que tu combats: en attaquant les pensions de retraites tu renforces le poids de la rente, du capital ou de l’héritage chez les retraités. Tout cela n’est pas sérieux et devient à chaque message un peu plus un caprice.
J’ai déjà répondu trois fois, face à l’inégalité dans la distribution des revenus et des pensions (tout ensemble), la République sociale corrige par l’impôt afin de réduire cette inégalité de manière plus ou moins massive, à travers des transferts directs ou indirects.
J’ajoute enfin que « le poids de la dette de leur résidence principale » est pour les actifs qui peuvent acquérir cette résidence principale une dette qui s’efface puisqu’elle se transforme en capital immobilier. C’est un patrimoine escompté. Et il est bien normal que le retraité ne paye pas plusieurs fois cette dette, puisqu’il sait que sa pension sera en générale bien inférieure à ses revenus d’activité. Quant à ce slogan « tous égaux », je lui trouve ici presque un caractère parodique sinon cynique, quand tu n’as de cesse d’opposer la « réalité comptable », la « charge des retraites pour les actifs ». Je pense que tu méconnais, au moins partiellement, la dimension des droits acquis par les retraités et que le très faible besoin de financement, lié directement aux cadeaux faits par l’État converti au néo-libéralisme, ne saurait justifier de s’attaquer au taux de remplacement des retraités les plus aisés, ce que tu sembles refuser de faire par l’impôt qui a pourtant l’immense mérite de s’attaquer partout à l’inégalité.
Silverwitch a écrit:Dervi a écrit:Rien d'étrange à estimer que la plage de revenus d'une entreprise privée est de son ressort et d'y voir l'Etat imposer uniquement un salaire minimum.
En revanche, quand l'Etat est décisionnaire, je juge que revenir à davantage d'égalité serait salutaire.
Rien d’étrange, uniquement dans le cadre du raisonnement néo-libéral que tu adoptes bon gré mal gré, où les centaines de milliards d’euros de cadeaux fiscaux, d’aides directes et indirectes, d’exonérations de cotisations, de baisses d’impôts n’entraînent aucun droit de regard public, pourtant c’est bien l’État qui finance directement une part de plus en plus grande de l’activité économique théoriquement privée et sans aucun droit de regard.
Pour résumer quand on verse 100 milliards ou plus au privé, rien à dire, mais si on met 5 milliards pour un besoin de financement temporaire des retraites, alors là…. J’ai essayé de faire au plus court et au plus simple, parce que je suis un peu piquée par la manière dont tu présentes la discussion au début de ton message. Si j’ai insisté sur la dimension philosophique de la question (l’État social c’est d’abord ici une assurance plus qu’une assistance), c’est pour faire comprendre pourquoi tu défends techniquement une logique contestable: le besoin de financement est particulièrement faible au regard de la taille du gâteau de la richesse nationale. Heureusement que les promoteurs de la Sécurité sociale et de l’État social moderne n’ont pas eu de tels scrupules, ils auraient renoncé face à l’importance prise dans la richesse nationale de la part socialisée représentée par la dépense sociale.
Pour l’écrire autrement, la République sociale existe, elle est financée et si elle est attaquée, rien d’étonnant: la lutte qui oppose les travailleurs au coût et au poids du capital est toujours recommencée. J’insiste donc, encore et encore, l’objectif poursuivi par l’État social qui conduit plus ou moins improprement à la nommer État providence implique d’élever collectivement notre niveau de vie et de mieux être à tous les âges de la vie. Ce n’est pas une politique de charité ou d’assistance, mais d’assurance socialisée étendue à tous et qui consiste à prélever une part de la richesse produite par le travail et le capital au profit de tous les travailleurs en emploi, au chômage, malades, victimes d’accidents du travail, en formation ou en reconversion, aux mères de famille qui élèvent de jeunes enfants, aux travailleurs en retraite. Ce n’est pas une utopie, c’est une réalité pratique.
Tout le discours qui consiste à s’attaquer à cette part socialisée, et plus encore en détournant les principes de solidarité et de justice sociale, me hérisse car j’y vois directement la main du capital. Reprenons ta phrase précédente: « Rien d'étrange à estimer que la plage de revenus d'une entreprise privée est de son ressort » et étendons sa logique. Face à l’explosion de l’inégalité dans le partage de la valeur ajoutée et la distribution des revenus, l’État agit en baissant les pensions de retraites des retraités les plus favorisés. Très bien. Concrètement quelle conséquence ? On détruit la logique d’assurance au profit de la logique d’assistance (la charité plutôt que le droit, baisser la tête plutôt que se tenir debout, pour paraphraser encore Jaurès) et ainsi on saborde le principe même de la retraite par répartition, qui plus que jamais apparaît comme une charge et accroît le ressentiment déplacé de certains actifs (je ne vise personne). Pour quel profit ? Celui du capital, du marché, du privé, tu sais celui face auquel l’État n’a rien à dire, vive la capitalisation, les fonds de pension, et les retraites indexées sur les cours de bourse. Le rêve, hein ?
Ce n’est certainement pas ce que tu veux ! Mais d’un autre côté, tu y auras contribué involontairement en alimentant l’idée d’une fracture des générations. Ce n’est vraiment pas mon point de vue, car encore une fois, l’État social est une réalité financée. La retraite par répartition fonctionne sans difficulté majeure ou sérieuse. Si tu veux t’attaquer à l’inégalité des revenus, de patrimoine, d’emploi, d’accès à la santé, au logement, aux études, aux loisirs, alors oui là on doit faire mieux, faire plus. Mais si les seules inégalités qui te préoccupent sont le coût de la retraite par répartition pour les actifs, je ne sais pas si tu parles d’intérêt privé ou d’intérêt général.
Nicklaus a écrit:L'œuvre de gens très éclairés, certainement
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