Shoemaker a écrit:Mufasa a bien résumé le gros de ce que j'en pense.
J'ajouterai :
- Oui, autant Hamilton est charismatique sur la piste, au volant d'une authentique légende du sport auto (Mercedes), et cela constitue un "tout" (la F1, la marque, le pilote, la légende...), autant il est proprement détestable avec ses comportements sociétaux de m... ! Encore que ça doit être plus compliqué que ça, puisqu'il a été recardé par la Komandantur (??) wokiste après avoir tancé son petit neveu qui voulait porter une robe, ou je ne sais quoi ; au lieu d'envoyer ch... ces abrutis, il a obtempéré à l'injonction, et s'est couché gentiment, ce qu'il ne fait pourtant jamais sur le circuit.
- Verstapen, c'est le sale gosse incarné !

Mais il est impossible de nier ses qualités. Combatif, hargneux, sale coup si

nécessaire (au risque de payer cash...), etc. Ca me rappelle un peu MS, et ça, ce n'est pas pour me déplaire

(bah oui, la course, c'est un combat, pas un jeu de récré : on y risque sa vie). Par contre, mon Dieu, que je hais sa voiture ! La quintessence du viol du sport auto par le marketing capitaliste dans toute sa splendeur : une voiture, certes extraordinaire par ses performances, mais peinturlurée aux couleurs de la boisson hype par excellence ! Buerk !!!! Ca charrie trop de trucs que je déteste... C'est niet pour moi. Et encore, j'aurais pu, la mort dans l'âme, accepter ce mauvais goût impardonnable... sauf que cette voiture est extraordinaire certainement à cause de la présence de mon pire ennemi personnel dans la F1 : le démon Newey, créature malfaisante et sataniquement intelligente, issue de la 7eme sphère des enfers mécaniques !
Bon, bref, voilà, mon cœur balance entre les deux pilotes...
La bonne nouvelle, c'est que ce match au sommet donne un sacré coup de sel à un sport bouffé peu à peu par le champignon de l'ennui.
Rendons donc grâce à ces deux pilotes.
