Ouais_supère a écrit:sheon a écrit:Hugues a écrit:Enfin ça c'est un peu du blabla quand même.
Quand il met cette numérotation, c'est surtout pour suggérer.. "c'est part d'une plus grande histoire".. au spectateur, mais une histoire dont lui même Lucas n'a aucune idée ... et dont il n'aura pas idée pendant longtemps..
Bref c'est plus de l'esbrouffe que quelque chose de pensé ou réfléchi
Il n'a même pas idée si les 3 premiers épisodes racontent la vie de Vador ou un autre récit quand il met cette numérotation.
T'as une source pour ce que tu affirmes là ? Parce qu'au contraire on a su assez rapidement que les épisodes 1/2/3, s'ils sortaient un jour, parleraient de la jeunesse de Vador.
Y a pas de source à ça, mais j'avoue que j'y ai pensé aussi, ce n'est pas impossible connaissant le bonhomme qui a été assez roublard pour avoir "franchisé" le bazar, flairant le bon coup.
En cela il est assez visionnaire.
J'ai cru sans doute quelque temps brièvement au narratif, mais j'ai vite douté.
Et j'ai lu des témoignages qui vont en ce sens.. (oui j'essaie de retrouver ça...)
Et pour répondre à Ouais_supère c'est pas forcément pour franchiser... mais pour légendariser... mettre des petits détails qui indique un univers plus grand mais juste pour indiquer, évoquer... (sans rien formaliser derrière)
Un peu comme les Star date dans Star Trek dont personne ne comprend pendant des années à quoi ça correspond avant que des auteurs décident de formaliser tout ça.. Ca tombe bien car c'était incohérent pour quelqu'un qui les note tous... Preuve que les auteurs eux mêmes n'en avaient rien à faire des dates (genre j'invente, mais il existe des incohérences telle que celle ci: on passe de 9800 à 1238 entre deux épisodes de la première série).
Ou le langage Klingon qui est pendant des années du n'importe quoi (à part certains mots importants qui reviennent d'épisode en épisode)... et puis on décide d'en faire un langage grammatisé et vocabularisé et tout..
Là c'est pareil, par coquetterie, ils met épisode 5 puis 6. Mais c'est juste pour donner l'impression (évoquer, indiquer) que c'est plus large.
Comme si Conan Doyle débutait son premier roman par "Sherlock, adepte des décomptes, débutait là sa 345e enquête..." (ça marche aussi avec Hercule Poirot et Agatha Christie )
Conan Doyle n'a aucune idée des 344, mais il donne un passé (une évocation, une indication de ce passé) à son bidule ...
Hugues