Modérateurs: Garion, Silverwitch
sccc a écrit:Hugurd ?
Hugues a écrit:sccc a écrit:Hugurd ?
Ouirg et alodz £a te podr un problèlz sccd ?
Hugurd
Shoemaker a écrit::good
Merci pour ces précisions, et s'il ne faut pas trop espérer, espérons au moins que l'Allemagne plie genoux. Possible ? Pas possible ? Cela provoquera-t-il à terme l'implosion de l'UE sous sa forme actuelle ?... Qui vivra verra...
Lordon, ça a le mérite d'être très très clair : Si on veut vraiment s'en sortir, ON SORT DU CAPITALISME, quitte à en payer un certain prix assumé en toute responsabilité (et non un prix imposé et non contrôlable).
Tel est aussi mon dogme, s'il faut vraiment en avoir un.
Le reste, ce n'est souvent juste qu'aimable bavardage.
Hugues a écrit:........ça va faire sans doute de l'inflation en revanche... mais bon c'est le prix à payer (entre guillemets, puisque les salaires vont augmenter parallèlement).
Ca sera pas non plus des 1000% de taux d'inflation.
Hugues a écrit:Ou peut-être la société devrait faire en sorte que tout le monde puisse subsister en faisant en sorte qu'une minorité ne s'accapare pas tant de richesse
Car par quoi sont fixés les salaires sinon par la concurrence et par le choix des plus riches de la part qu'il leur revient, et de la part de plus en plus minuscule en proportion qui revient à la masse laborieuse, à leur main d'oeuvre, celle qui accomplit réellement la création de richesse.
Pourquoi tel travail vaudrait-il moins qu'un autre... En quoi est-il moins utile à la société?
Qui a dit qu'un enseignant, une infirmière ou un agent de propreté urbaine (éboueur) valait beaucoup moins pour la société qu'un trader ou un dentiste ?
Silverwitch a écrit:Ghinzani a écrit:Il faut quand garder une motivation au travail, à l'initiative...réussir ce n'est pas une honte.
Débat périmé: combien de fois plus que la moyenne faut-il avoir sur son compte en banque pour être motivé ? Dix fois, cent fois ? Une infirmière, un prof, un juge ils n'ont pas réussi ?
L'argent ne mesure pas la réussite, pas plus que la valeur: c'est un présupposé idéologique que tu entretiens.
Shoemaker a écrit:Cela dit, moi je suis pour que la santé, l'industrie pharmaceutique comprise, dans un pays riche et peinard, doit être totalement relevant de l'Etat. Cela n'empêche absolument pas que les opérateurs (du dentiste au chercheur en passant par l'infirmière) puissent être "bien payés", vu tout de même la nature très spéciale de leur job : nous éviter la douleur et l'indignité de la maladie.
Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
———— Assemblée constituante, 26 aout 1789 dans ... l'article 1 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen
Alfa a écrit:Hugues a écrit:........ça va faire sans doute de l'inflation en revanche... mais bon c'est le prix à payer (entre guillemets, puisque les salaires vont augmenter parallèlement).
Ca sera pas non plus des 1000% de taux d'inflation.
Tu vois ca pour quand Hugues l'inflation? en septembre? Parce que j'en ai un peu de coté de l'argent, faut que je le dépense avant
DCP a écrit:Shoemaker a écrit::good
Merci pour ces précisions, et s'il ne faut pas trop espérer, espérons au moins que l'Allemagne plie genoux. Possible ? Pas possible ? Cela provoquera-t-il à terme l'implosion de l'UE sous sa forme actuelle ?... Qui vivra verra...
Lordon, ça a le mérite d'être très très clair : Si on veut vraiment s'en sortir, ON SORT DU CAPITALISME, quitte à en payer un certain prix assumé en toute responsabilité (et non un prix imposé et non contrôlable).
Tel est aussi mon dogme, s'il faut vraiment en avoir un.
Le reste, ce n'est souvent juste qu'aimable bavardage.
ça veut dire quoi, concrètement, sortir du capitalisme ?
Hugues a écrit:Il y a de l'espoir, déjà ils ont compris (jusqu'au prochain tête à queue, qui arrivera très vite je n'ai aucun doute) qu'une caissière, une infirmière ou un prof mérite plus que ce que la société leur offre.
Hugues
Shoemaker a écrit:DCP a écrit:Shoemaker a écrit::good
Merci pour ces précisions, et s'il ne faut pas trop espérer, espérons au moins que l'Allemagne plie genoux. Possible ? Pas possible ? Cela provoquera-t-il à terme l'implosion de l'UE sous sa forme actuelle ?... Qui vivra verra...
Lordon, ça a le mérite d'être très très clair : Si on veut vraiment s'en sortir, ON SORT DU CAPITALISME, quitte à en payer un certain prix assumé en toute responsabilité (et non un prix imposé et non contrôlable).
Tel est aussi mon dogme, s'il faut vraiment en avoir un.
Le reste, ce n'est souvent juste qu'aimable bavardage.
ça veut dire quoi, concrètement, sortir du capitalisme ?
vaste question !!!!!
Sans aller jusqu'à la révolution, laquelle de toute façon, je le répète toujours, arrive quand elle veut, et se déroule comme elle veut, et qui chamboule radicalement un système (actuellement, le capitalisme dans sa forme transnationale, en gros) pour le remplacer par un autre (souvent dans le sang et la douleur : la révolution qui a permis à la bourgeoisie en France en 1789 de prendre le pouvoir à la place du féodalisme, a laissé un souvenir brûlant, dans la mémoire historique Française), sans aller jusqu'à la révolution disais-je (remplacer par exemple la dictature de la bourgeoisie par celle du prolétariat ... te sauve pas ! ça a peu de chance d'arriver avec à la clef un système de type bolchévique ... aïe ! pas sur la tête !...), sans arriver jusqu'à ces extrémités re-disais-je, on pourrait revenir au moins à l'ancienne forme du capitalisme, de type national, ce qui rejoint la fameuse revendication dite "souverainiste".
Après, la discussion est sans fin, entre ceux qui pensent que le retour à la "nation puissante et souveraine" (comme avant) peut favoriser un retour aux formes de luttes qui peuvent régénérer le rêve "socialiste" en très piteux état (pas PS, hein, le vrai Socialisme !), avec des vrais syndicats, des partis d'avant garde, etc., et ceux qui pensent au contraire que les nations, c'est vraiment fini, surtout à l'heure d'Internet, des transports rapides et faciles, etc, et qu'il faut justement surfer sur "l'internationale capitaliste" (l'actuel capitalisme, transnational), pour la remplacer au niveau mondial, par "l'internationale prolétarienne", etc. (je sais, c'est désuet, mais on n'a pas trouvé mieux encore).
Avec, par exemple, un gouvernement mondial, une seule armée, etc, seul moyen sérieux de gérer des problèmes actuellement insolubles, tels l'écologie en perdition, la démographie galopante, la toute puissance anti démocratique de la finance, et par exemple, une pandémie mondiale...
Bon, tout ça, actuellement, encore une fois, c'est de la théorie : un retour au bon vieux capitalisme des nations, ça serait déjà sympa... vu que l'actuel système va droit dans le mur.
Pour conclure, les communistes (les vrais) ont ce slogan pour l'Humanité : ça sera le Socialisme ou la barbarie. Pas de 3eme choix : Il est certain que si l'actuel capitalisme devenu un peu fou, sent sa fin approcher, il y a un risque qu'il entraîne tout le monde dans sa perte. C'est un classique, des grandes guerres.
Je n'ai pas répondu à la question : qu'est ce que le Socialisme ? C'est ça, la vraie vaste question !
DCP a écrit:Donc, on parle plutôt de passer d'un "capitalisme ultra-libéral" à un "capitalisme d'Etat" ou à une autre forme de capitalisme, pas vraiment sortir de toute forme de capitalisme....
Le gouvernement mondial, je n'y crois guère, de mon vivant en tout cas, à moins que l'on ne devienne tous Chinois.....
... C'est moi qui parle."on parle"
DCP a écrit:Hugues a écrit:Il y a de l'espoir, déjà ils ont compris (jusqu'au prochain tête à queue, qui arrivera très vite je n'ai aucun doute) qu'une caissière, une infirmière ou un prof mérite plus que ce que la société leur offre.
Hugues
Ils ont vraiment compris ou ils n'ont pas eu le choix, vu les circonstances, de tenir un discours et de faire quelques petits gestes dans ce sens ?
L’étude publiée le 27 mars 2020 n’entrait pas dans le cadre juridique d’une RIPH (Recherche Impliquant la Personne Humaine)
L’étude “Clinical and microbiological effect of a combination of hydroxychloroquine and azithromycin in 80 COVID-19 patients with at least a six-day follow up: an observational study » publiée le 27 mars 2020 par le Professeur Didier Raoult et son équipe était rétrospective observationnelle et n’entrait pas dans le cadre d’une Recherche Impliquant la Personne Humaine (RIPH) (Article L1121-1 1° du Code de la Santé Publique). En effet, aucune procédure additionnelle aux soins courants n’a été pratiquée sur ces quatre-vingt patients. Les données issues de leurs dossiers cliniques ont été analysées a posteriori. L’hypothèse que l’étude serait une intervention sur la personne non justifiée par sa prise en charge habituelle est fausse car il n’y a eu aucune autre intervention que celles justifiées par les soins courants.
Pour qu’une étude soit soumise aux contraintes déclaratives et à l’obtention d’une autorisation, il faut qu’il s’agisse d’une RIPH relevant d’un des trois cas visés par l’article L1121-1 du Code de la Santé Publique. L’étude publiée le 27 mars 2020 n’entre dans aucun de ces trois cas ; il n’y a pas eu de RIPH.
Le contexte est celui de l’épidémie de Covid-19 causée par un virus émergent, donc mal connu, dont il s’avère qu’une prise en charge dite « standard » par des soins de support se grève d’une morbidité et mortalité importante. Inévitablement, aucune molécule n’a d’autorisation de mise sur le marché (AMM) dans l’indication du traitement du Covid-19. Alors que les connaissances sur le virus et la maladie qu’il cause évoluent au rythme galopant de l’épidémie, les médecins ont administré à leurs patients, en s’appuyant sur les principes énoncés dans le communiqué de presse du 21 mars, ([i]) ce qui leur a paru être le meilleur traitement possible, en fonction des connaissances scientifiques du moment, et de la présentation clinique et du respect des contrindications de chacun. La pratique clinique normale n’est pas décrite dans le contexte d’une maladie émergente et jusqu’ici inconnue, mais elle doit faire appel aux données de la science dans son intégralité, aux essais cliniques antérieurs, à la pratique médicale internationale ayant déjà fait face à la maladie, au bénéfice des patients sur la responsabilité du médecin, y compris la prescription de médicaments hors AMM. Dans ce sens, le Professeur Jérôme Salomon, Directeur Général de la Santé, par mail en date du 28 février 2020, écrivait au Professeur Raoult.
« …s’agissant d’un accès au traitement par hydroxychloroquine en dehors d’un protocole de recherche, je vous rappelle que tout médecin, dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, est libre de ses prescriptions. Cela relève donc de la responsabilité de chaque médecin ».
L’utilisation de l’hydroxychloroquine a été validée par le décret du 25 mars 2020 (i) pris dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, et son association avec l’azithromycine, dans le cas de suspicion de surinfection de pneumopathie, est un traitement usuel qui n’a rien d’expérimental.
C’est bien a posteriori, dans le cadre d’une étude rétrospective, que les données recueillies anonymement à partir des dossiers de ces patients ont été analysées pour décrire les résultats de la prise en charge et des traitements administrés par les médecins. Il est important d’insister sur le fait qu’il ne s’agissait pas d’un essai thérapeutique (qui relèverait d’une RIPH de catégorie I). Les médecins, toujours en s’appuyant sur les principes énoncés dans le communiqué de presse du 21 mars,(i) ont en effet jugé éthiquement inacceptable de mener un essai thérapeutique, car l’état des connaissances au moment de l’étude permettait de réfuter le principe d’équivalence clinique (équipoise) qui justifierait un essai contrôlé du traitement du Covid-19 par la combinaison hydroxychloroquine-azithromycine, soit vs placebo (ou de simples soins de support), soit vs un traitement n’ayant pas montré efficacité et innocuité.
Contrairement à ce qui a été avancé par certains, dans le respect de la Loi, dite « Loi Jardé » et des modalités de classement des protocoles de recherche médicale selon l’interprétation de cette loi,([ii]) il s’agit bien d’une étude rétrospective sur données médicales, pour laquelle ni l’avis d’un CPP, ni celui de l’ANSM est requis. Le fait de réaliser de façon très rapide – rapidité qui est plus que justifiée par la situation d’urgence épidémique et l’importance d’informer rapidement la communauté médicale pour adapter la prise en charge des patients nouvellement atteints de cette maladie aux connaissances les plus récentes – une étude observationnelle sur l’effet des traitements n’est ni une violation des règles légales ni une remise en cause de la nécessité de solliciter l’avis d’un CPP lorsqu’il s’agit d’une étude impliquant la personne humaine. Ceux qui en ont tiré ces conclusions ont interprété à tort qu’il s’agissait d’une RIPH.
([i]) https://www.legifrance.gouv.fr/affichTe ... rieLien=id
([ii]) Validation d’un outil de classement de la recherche à destination des internes de médecine générale d’après la loi « Jardé » Adeline Jouannin, Emilie Andres, Manon de Fallois, Astrid Chevance, Stéphane Donnadieu, Jean-Michel Reymann, Fabienne Pelé, Katharina Appel, Juliette Pinot, Laurent Brutus, Marie-France Mamzer-Bruneel Exercer #155 septembre 2019
Cortese a écrit:Papy a vécu 50 ans avec sa boule dans le cou, ça serait con qu'il y passe si vite le p'tit.
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Hugues a écrit:Pour la succession, il s'agirait de Kenji Oba qui a fait défection du Japon il y a quelques mois car on lui a promis la construction d'un dragon géant Morox et d'un scaphandre de combat...
Hugues
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