Modérateurs: Garion, Silverwitch
Ghinzani a écrit:sccc a écrit:Ghinzani a écrit:Le Général éliminé n'est pas un enfant de coeur. il préparait une attaque d'envergure visant à éliminer un nombre conséquent d'américains.
Mais oui.
Suivant radio Netanyahu.
Et bien prouve moi que je me trompe.
Ghinzani a écrit:Et bien prouve moi que je me trompe.
Maverick a écrit:Ghinzani a écrit:sccc a écrit:Ghinzani a écrit:Le Général éliminé n'est pas un enfant de coeur. il préparait une attaque d'envergure visant à éliminer un nombre conséquent d'américains.
Mais oui.
Suivant radio Netanyahu.
Et bien prouve moi que je me trompe.
WASHINGTON — In the chaotic days leading to the death of Maj. Gen. Qassim Suleimani, Iran’s most powerful commander, top American military officials put the option of killing him — which they viewed as the most extreme response to recent Iranian-led violence in Iraq — on the menu they presented to President Trump.
They didn’t think he would take it. In the wars waged since the Sept. 11, 2001, attacks, Pentagon officials have often offered improbable options to presidents to make other possibilities appear more palatable.
After initially rejecting the Suleimani option on Dec. 28 and authorizing airstrikes on an Iranian-backed Shiite militia group instead, a few days later Mr. Trump watched, fuming, as television reports showed Iranian-backed attacks on the American Embassy in Baghdad, according to Defense Department and administration officials.
By late Thursday, the president had gone for the extreme option. Top Pentagon officials were stunned.
[...] some officials voiced private skepticism about the rationale for a strike on General Suleimani, who was responsible for the deaths of hundreds of American troops over the years. According to one United States official, the new intelligence indicated “a normal Monday in the Middle East” — Dec. 30 — and General Suleimani’s travels amounted to “business as usual.”
That official described the intelligence as thin and said that General Suleimani’s attack was not imminent because of communications the United States had between Iran’s supreme leader, Ayatollah Ali Khamenei, and General Suleimani showing that the ayatollah had not yet approved any plans by the general for an attack. The ayatollah, according to the communications, had asked General Suleimani to come to Tehran for further discussions at least a week before his death.
[...]
On Capitol Hill, Democrats voiced growing suspicions about the intelligence that led to the killing. At the White House, officials formally notified Congress of a war powers resolution with what the administration said was a legal justification for the strike.
General Suleimani, who was considered the most important person in Iran after Ayatollah Khamenei, was a commanding general of a sovereign government. The last time the United States killed a major military leader in a foreign country was during World War II, when the American military shot down the plane carrying the Japanese admiral Isoroku Yamamoto.
But administration officials are playing down General Suleimani’s status as a part of the Iranian state, suggesting his title gave him cover for terrorist activities. In the days since his death, they have sought to describe the strike as more in line with the killing of Abu Bakr al-Baghdadi, the Islamic State leader, who died in October in an American commando raid in Syria.
But the Iranians viewed the strikes as out of proportion to their attack on the Iraqi base and Iraqis, largely members of Iranian-backed militias, staged violent protests outside the American Embassy in Baghdad. Mr. Trump, who aides said had on his mind the specter of the 2012 attacks on the American compound in Benghazi, Libya, became increasingly angry as he watched television images of pro-Iranian demonstrators storming the embassy. Aides said he worried that no response would look weak after repeated threats by the United States.
When Mr. Trump chose the option of killing General Suleimani, top military officials, flabbergasted, were immediately alarmed about the prospect of Iranian retaliatory strikes on American troops in the region. It is unclear if General Milley or Mr. Esper pushed back on the president’s decision.
Iran Ends Commitment to Landmark Nuclear Deal: Live Updates
Jan. 5, 2020, 1:41 p.m. ET The announcement followed a vote in Iraq's Parliament to expel American troops, in response to the killing of Maj. Gen. Qassim Suleimani, a top Iranian commander, in Baghdad. Right Now Tehran said in a statement that its nuclear program would "have no limitations" on enriching uranium.
Hugues a écrit:Au fait, quelqu'un devait pas nous argumenter ses propres affirmations ou je fais erreur ?
Hugues
Hugues a écrit:Je viens de le faire, boire de l'eau, mais rien n'est survenu
Ghinzani a écrit:A quoi bon? Autant prêcher dans le désert. Une seule pensée est bonne ici ( et sans explication, ni besoin d’argumenter).
Les faits ont été exposés par le Premier ministre irakien intérimaire Adil Abdul-Mahdi, au cours d'une session parlementaire extraordinaire et historique à Bagdad, dimanche.
Le général de division Qasem Soleimani était arrivé à Bagdad sur un vol normal, muni d'un passeport diplomatique. Il avait été envoyé par Téhéran pour délivrer, en personne, une réponse à un message de Riyad sur la désescalade au Moyen-Orient. Ces négociations avaient été demandées par l'administration Trump.
Bagdad servait donc officiellement de médiateur entre Téhéran et Riyad, à la demande de Trump. Et Soleimani était un messager. Adil Abdul-Mahdi devait rencontrer Soleimani à 8 h 30, heure de Bagdad, vendredi dernier. Mais quelques heures avant l'heure prévue, Soleimani est mort en étant l'objet d'un assassinat ciblé à l'aéroport de Bagdad.
Que cela reste dans les annales de la diplomatie du XXIe siècle. Une fois de plus : peu importe que l'ordre d'assassinat ait été donné par le président Trump, par le Deep State américain ou par les suspects habituels - ou quand. Après tout, le Pentagone a longtemps eu Soleimani dans sa ligne de mire, mais a toujours refusé de se lancer dans le coup final, craignant des conséquences dévastatrices.
Maintenant, le fait est que le gouvernement des Etats-Unis - sur le sol étranger, en tant que nation invitée - a assassiné un envoyé diplomatique qui était en mission officielle et qui avait été demandé par le gouvernement des Etats-Unis lui-même.
Bagdad va dénoncer formellement ce comportement aux Nations Unies. Cependant, il serait vain de s'attendre à ce que l'ONU s'indigne de l'assassinat d'un envoyé diplomatique par les États-Unis. Le droit international était déjà mort avant les événements de 2003.
Tarod a écrit:
Du haut niveau, peut être que la fin de l'empire est plus proche qu'on l'imagine
Shoemaker a écrit:A propos de la présence du Général Iranien, à ce moment du meurtre, à l'aéroport de Baghdad (traduction d'un article en anglais)
https://www.asiatimes.com/2020/01/artic ... s-oil-war/Les faits ont été exposés par le Premier ministre irakien intérimaire Adil Abdul-Mahdi, au cours d'une session parlementaire extraordinaire et historique à Bagdad, dimanche.
Le général de division Qasem Soleimani était arrivé à Bagdad sur un vol normal, muni d'un passeport diplomatique. Il avait été envoyé par Téhéran pour délivrer, en personne, une réponse à un message de Riyad sur la désescalade au Moyen-Orient. Ces négociations avaient été demandées par l'administration Trump.
Bagdad servait donc officiellement de médiateur entre Téhéran et Riyad, à la demande de Trump. Et Soleimani était un messager. Adil Abdul-Mahdi devait rencontrer Soleimani à 8 h 30, heure de Bagdad, vendredi dernier. Mais quelques heures avant l'heure prévue, Soleimani est mort en étant l'objet d'un assassinat ciblé à l'aéroport de Bagdad.
Que cela reste dans les annales de la diplomatie du XXIe siècle. Une fois de plus : peu importe que l'ordre d'assassinat ait été donné par le président Trump, par le Deep State américain ou par les suspects habituels - ou quand. Après tout, le Pentagone a longtemps eu Soleimani dans sa ligne de mire, mais a toujours refusé de se lancer dans le coup final, craignant des conséquences dévastatrices.
Maintenant, le fait est que le gouvernement des Etats-Unis - sur le sol étranger, en tant que nation invitée - a assassiné un envoyé diplomatique qui était en mission officielle et qui avait été demandé par le gouvernement des Etats-Unis lui-même.
Bagdad va dénoncer formellement ce comportement aux Nations Unies. Cependant, il serait vain de s'attendre à ce que l'ONU s'indigne de l'assassinat d'un envoyé diplomatique par les États-Unis. Le droit international était déjà mort avant les événements de 2003.
Hugues a écrit:Que tu défendais surement à l'époque..
Hugues
Iran Fires Missiles at Two U.S. Bases in Iraq: Live Updates
The Asad and Erbil bases were targeted by Iran in retaliation for the killing of a top Revolutionary Guards commander in Baghdad. [Right Now] American military officials said that Iran had launched more than a dozen ballistic missiles against United States military and coalition forces.
President Trump walked back his threat to strike Iranian cultural targets.
President Trump on Tuesday told reporters he would avoid targeting cultural sites in military attacks, walking back a threat he made against Iran days earlier.
Following a bipartisan and international uproar, Mr. Trump conceded that striking such sites would amount to a war crime. “If that’s what the law is, I like to obey the law,” he said in the Oval Office as he hosted the visiting prime minister of Greece, Kyriakos Mitsotakis.
His remarks to reporters came a day after Mark T. Esper, the secretary of defense, said striking Iranian cultural sites with no military value would be a war crime. That appeared to put him at odds with his boss.
“We will follow the laws of armed conflict,” the defense secretary said at a news briefing at the Pentagon on Monday when asked if cultural sites would be targeted.
On Saturday, Mr. Trump declared that the United States had identified 52 potential targets in Iran, some “important to Iran & the Iranian culture.”
None of them qualified as cultural sites, according to an administration official who asked not to be identified.
But the president’s threats and his initial refusal to back down in the face of criticism generated condemnation at home and abroad while deeply discomfiting American military leaders.
Nono a écrit:Bon apparemment ça chie un peu.
l'Iran a attaqué deux bases américaines et un 737 ukrainien bien de s'écraser....
Nono a écrit:Bon apparemment ça chie un peu.
l'Iran a attaqué deux bases américaines et un 737 ukrainien bien de s'écraser....
sccc a écrit:Nono a écrit:Bon apparemment ça chie un peu.
l'Iran a attaqué deux bases américaines et un 737 ukrainien bien de s'écraser....
Un 737 MAX au décollage, ça me rappelle quelque chose...
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