Nicklaus a écrit:Bah il l'aura pas au final.
Tchuss !
Il se serait suicidé.
Le tchuss est indispensable ?
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Nicklaus a écrit:Bah il l'aura pas au final.
Tchuss !
Nicklaus a écrit:C'est un synonyme d'au revoir.
Toma a écrit:Je n'ai pas dit qu'il n'était personne, mais que personne ne le connait, c'est différent.
Porcaro56 a écrit:Nicklaus a écrit:C'est un synonyme d'au revoir.
ou a la tienne !
sheon a écrit:Toma a écrit:Je n'ai pas dit qu'il n'était personne, mais que personne ne le connait, c'est différent.
Toma ne le connaît pas, donc personne ne le connaît ?
Étrange vision des choses.
Silverwitch a écrit:S'il serait stupide de revendiquer sa fierté de connaître des personnalités publiques méconnues, clamer sa fierté de connaître uniquement ceux qui sont célébrés en première page des grands médias le serait tout autant, sinon plus.
Cortese a écrit:C'est juste une question de maladresse dans la présentation à mon avis, si c'était du snobisme il serait facile d'en rire. Chacun d'entre nous est sans doute capable d'être très pointu dans un domaine particulier. Si un décès concernant ce domaine le touche et qu'il désire nous en faire part, il n'est pas seulement utile, il est nécessaire d'expliquer en deux mots ce que ce personnage représente pour lui, de façon à inviter les gens dans cette relation. Communiquer c'est d'abord donner envie de savoir.
Shoemaker a écrit:Cortese a écrit:C'est juste une question de maladresse dans la présentation à mon avis, si c'était du snobisme il serait facile d'en rire. Chacun d'entre nous est sans doute capable d'être très pointu dans un domaine particulier. Si un décès concernant ce domaine le touche et qu'il désire nous en faire part, il n'est pas seulement utile, il est nécessaire d'expliquer en deux mots ce que ce personnage représente pour lui, de façon à inviter les gens dans cette relation. Communiquer c'est d'abord donner envie de savoir.
Pour cela, il serait peut-être préférable de humblement demander d'en savoir plus (ou se taire, d'ailleurs), plutôt que sortir le sempiternel sarcasme du ricanement fatigué que l'on sait, devenu d'ailleurs tellement prévisible...
Cortese a écrit:C'est juste une question de maladresse dans la présentation à mon avis, si c'était du snobisme il serait facile d'en rire. Chacun d'entre nous est sans doute capable d'être très pointu dans un domaine particulier. Si un décès concernant ce domaine le touche et qu'il désire nous en faire part, il n'est pas seulement utile, il est nécessaire d'expliquer en deux mots ce que ce personnage représente pour lui, de façon à inviter les gens dans cette relation. Communiquer c'est d'abord donner envie de savoir.
Silverwitch a écrit:Cortese a écrit:C'est juste une question de maladresse dans la présentation à mon avis, si c'était du snobisme il serait facile d'en rire. Chacun d'entre nous est sans doute capable d'être très pointu dans un domaine particulier. Si un décès concernant ce domaine le touche et qu'il désire nous en faire part, il n'est pas seulement utile, il est nécessaire d'expliquer en deux mots ce que ce personnage représente pour lui, de façon à inviter les gens dans cette relation. Communiquer c'est d'abord donner envie de savoir.
Avant de donner envie de savoir, il faut donner à voir (voir et savoir c'est à peu près la même chose, en fait, mais n'allons pas trop loin). Il y a différentes manières, la pédagogie à laquelle tu fais allusion: je transmets par amour de la chose transmise (et non par amour de la personne à qui je transmets), l'ironie, le doute. Pour le dire autrement, comment éveiller chez nous et en l'autre, en miroir, la passion de connaître ? D'abord, strictement, en faisant voir un autre monde, une autre réalité. La culture s'éprouve sous cette forme, conscience non de la beauté, de la compassion ou de l'imagination, mais présence d'une altérité. Quelque chose d'autre que soi.
Toma a écrit:
Silverwitch a écrit:il faut donner à voir (voir et savoir c'est à peu près la même chose, en fait, mais n'allons pas trop loin)
Cortese a écrit:C'est un peu hors sujet mais peut-être pas tellement, mais cette remarque me ramène à mon quotidien actuel, une petite BD historique en quelques pages. On me donne un scénario découpé et dialogué et je m'arrache les cheveux devant les difficultés parfois insurmontables que la scénariste m'inflige régulièrement en toute ingénuité. Genre "On voit tel personnage déplacer le corps inerte de l'homme et prendre sa place, pendant que le garde-chiourme et le capitaine échangent des regards de stupéfaction". Facile en une phrase, mais donner à voir la même chose en une case dessinée de 10cm2 sans dialogue ? On a au final deux fois la même chose, sauf que dans un cas c'est aussi facile et spontané que bonjour et dans l'autre c'est du crayonnage dans l'incertitude : une répartition dans l'espace, un ordre de lecture, des ellipses dans le dessin, un angle de perspective, des proportions anatomiques, des gestes techniques à imaginer, des expressions, de la documentation d'époque et enfin un trait sans trembler ni déborder. La sérénité de la tâche rapidement et justement remplie en 2 minutes d'un côté, de l'autre un vrai cauchemar de plusieurs jours parfois.
Je m'échine en conséquence à suggérer, bien entendu sans froisser la susceptibilité du donneur d'ordre et de la scénariste (c'est forcément la tâche la plus "noble", le dessin n'a aucune chance face à l'écriture) qu'ils fassent l'effort de se représenter ce que je dois représenter. Ça ne passe pas
DCP a écrit:
Quel intérêt de faire ce genre de remarques, d'ailleurs...à part critiquer/attaquer l'auteur du message...personne ne nous oblige à lire le message et les articles cités si on ne s'intéresse pas au défunt.
Cortese a écrit:Silverwitch a écrit:il faut donner à voir (voir et savoir c'est à peu près la même chose, en fait, mais n'allons pas trop loin)
C'est un peu hors sujet mais peut-être pas tellement, mais cette remarque me ramène à mon quotidien actuel, une petite BD historique en quelques pages. On me donne un scénario découpé et dialogué et je m'arrache les cheveux devant les difficultés parfois insurmontables que la scénariste m'inflige régulièrement en toute ingénuité. Genre "On voit tel personnage déplacer le corps inerte de l'homme et prendre sa place, pendant que le garde-chiourme et le capitaine échangent des regards de stupéfaction". Facile en une phrase, mais donner à voir la même chose en une case dessinée de 10cm2 sans dialogue ? On a au final deux fois la même chose, sauf que dans un cas c'est aussi facile et spontané que bonjour et dans l'autre c'est du crayonnage dans l'incertitude : une répartition dans l'espace, un ordre de lecture, des ellipses dans le dessin, un angle de perspective, des proportions anatomiques, des gestes techniques à imaginer, des expressions, de la documentation d'époque et enfin un trait sans trembler ni déborder. La sérénité de la tâche rapidement et justement remplie en 2 minutes d'un côté, de l'autre un vrai cauchemar de plusieurs jours parfois.
Je m'échine en conséquence à suggérer, bien entendu sans froisser la susceptibilité du donneur d'ordre et de la scénariste (c'est forcément la tâche la plus "noble", le dessin n'a aucune chance face à l'écriture) qu'ils fassent l'effort de se représenter ce que je dois représenter. Ça ne passe pas
Silverwitch a écrit:Heureusement, les morts en ont vu d'autres.
Shoemaker a écrit:Cortese a écrit:Silverwitch a écrit:il faut donner à voir (voir et savoir c'est à peu près la même chose, en fait, mais n'allons pas trop loin)
C'est un peu hors sujet mais peut-être pas tellement, mais cette remarque me ramène à mon quotidien actuel, une petite BD historique en quelques pages. On me donne un scénario découpé et dialogué et je m'arrache les cheveux devant les difficultés parfois insurmontables que la scénariste m'inflige régulièrement en toute ingénuité. Genre "On voit tel personnage déplacer le corps inerte de l'homme et prendre sa place, pendant que le garde-chiourme et le capitaine échangent des regards de stupéfaction". Facile en une phrase, mais donner à voir la même chose en une case dessinée de 10cm2 sans dialogue ? On a au final deux fois la même chose, sauf que dans un cas c'est aussi facile et spontané que bonjour et dans l'autre c'est du crayonnage dans l'incertitude : une répartition dans l'espace, un ordre de lecture, des ellipses dans le dessin, un angle de perspective, des proportions anatomiques, des gestes techniques à imaginer, des expressions, de la documentation d'époque et enfin un trait sans trembler ni déborder. La sérénité de la tâche rapidement et justement remplie en 2 minutes d'un côté, de l'autre un vrai cauchemar de plusieurs jours parfois.
Je m'échine en conséquence à suggérer, bien entendu sans froisser la susceptibilité du donneur d'ordre et de la scénariste (c'est forcément la tâche la plus "noble", le dessin n'a aucune chance face à l'écriture) qu'ils fassent l'effort de se représenter ce que je dois représenter. Ça ne passe pas
Je devais faire une BD (en tout dilettantisme amateur), avec ce genre de "scénariste" (enfin, un autre genre, mais au final, tout autant "à côté de la plaque").
A la fin, j'ai demandé à cette estimable personne de prendre une feuille A4, de la subdiviser en cases, à sa guise, et dans chaque case, mettre (s'il y en a) les dialogues dans des phyllactères, puis gribouiller même de la plus schématique des manières, sa perception de la scène.
L'aventure s'est terminée illico presto.
Shoemaker a écrit:Mais sinon, Silver et Hugues, pas question de reculer d'un pas, hein !
Cortese a écrit: J'y ai pensé mais tu penses bien que si on passe directement au missile intercontinental ça risque de faire du dégât ! Non, il ne faut pas se faire d'illusion, les artistes sont méprisés, et c'est systématique partout (d'un autre côté il y a beaucoup de gens qui ne devraient pas se croire artistes), je dirais même que les dessinateurs sont bien plus méprisés que les artistes du "bruit" (musiciens, comédiens) : impossible de les ignorer ceux là
Le mieux c'est de faire de la peinture abstraite monumentale, là aussi impossible de t'ignorer, et la frontière entre le génie et la farce y est tellement ténue et fugace (sans parler du rendement énergétique et du rapport signal/bruit) que c'est dans cette activité je crois que tu peux sauter un maximum de nanas.
Silverwitch a écrit:Shoemaker a écrit:Mais sinon, Silver et Hugues, pas question de reculer d'un pas, hein !
Oh non, je voulais seulement comprendre. Toma a donné son explication, il a peut-être raison, d'ailleurs. Un article en espagnol qui parle d'un cinéaste que tu ne connais pas, ça peut faire beaucoup. Ce qui m'interroge, c'est plus l'impression d'un désintérêt assumé. Le côté, si je ne le connais pas, c'est forcément pour de bonnes raisons.
Silverwitch a écrit:Ce qui m'interroge, c'est plus l'impression d'un désintérêt assumé. Le côté, si je ne le connais pas, c'est forcément pour de bonnes raisons.
DCP a écrit:Silverwitch a écrit:Ce qui m'interroge, c'est plus l'impression d'un désintérêt assumé. Le côté, si je ne le connais pas, c'est forcément pour de bonnes raisons.
C'est tout le drame du curling.....
DCP a écrit:Silverwitch a écrit:Ce qui m'interroge, c'est plus l'impression d'un désintérêt assumé. Le côté, si je ne le connais pas, c'est forcément pour de bonnes raisons.
C'est tout le drame du curling.....
Silverwitch a écrit:DCP a écrit:Silverwitch a écrit:Ce qui m'interroge, c'est plus l'impression d'un désintérêt assumé. Le côté, si je ne le connais pas, c'est forcément pour de bonnes raisons.
C'est tout le drame du curling.....
D'un autre côté...
Cortese a écrit:DCP a écrit:Silverwitch a écrit:Ce qui m'interroge, c'est plus l'impression d'un désintérêt assumé. Le côté, si je ne le connais pas, c'est forcément pour de bonnes raisons.
C'est tout le drame du curling.....
Mais avoue qu'on ne vous demandera pas de balayer devant votre porte.
Ouais_supère a écrit:Cortese a écrit:DCP a écrit:Silverwitch a écrit:Ce qui m'interroge, c'est plus l'impression d'un désintérêt assumé. Le côté, si je ne le connais pas, c'est forcément pour de bonnes raisons.
C'est tout le drame du curling.....
Mais avoue qu'on ne vous demandera pas de balayer devant votre porte.
Cette froideur à l'égard du curling le laisse malheureux comme les pierres, tout ne peut pas glisser sous lui.
sheon a écrit:Alors qu'en fait, le curling, c'est simplement une version sportive de la pétanque.
Mais du coup, ça perd son côté pastis-glaçons-soleil-retraités-aimant pour ramasser la boule (parce que bon, se pencher, c'est fatiguant).
Rainier a écrit:Il n'y a pas une version suisse de la pétanque avec des personnes qui balayent devant les boules ou le cochonnet (le petit, comme on dit dans le sud) ?
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