Modérateurs: Garion, Silverwitch
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Aiello a écrit:Porcaro56 a écrit:Tarod a écrit::cry:
Je l'avais vu en concert à l'âge de 11 ans avec mon père. Un des plus grand violoniste de jazz dans la lignée de Stéphane Grapelli et Jean-Luc Ponty (toujours en activité d'ailleurs! )
Je déteste le jazz. Une musique qu apprecient les pseudo s intello branchouilles
Punaise, les a priori... T'es grave quand même.
Porcaro56 a écrit:Et le jazz vient d où ?
Porcaro56 a écrit:Et le jazz vient d où ?
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Porcaro56 a écrit:Aiello a écrit:Porcaro56 a écrit:Tarod a écrit::cry:
Je l'avais vu en concert à l'âge de 11 ans avec mon père. Un des plus grand violoniste de jazz dans la lignée de Stéphane Grapelli et Jean-Luc Ponty (toujours en activité d'ailleurs! )
Je déteste le jazz. Une musique qu apprecient les pseudo s intello branchouilles
Punaise, les a priori... T'es grave quand même.
Je pense la même chose d ailleurs de l art contemporain
Cyril a écrit:Porcaro56 a écrit:Et le jazz vient d où ?
Bref, sans jazz, pas de rock.
sheon a écrit:
Par contre, il manque le rock progressif.
Ouais_supère a écrit:sheon a écrit:
Par contre, il manque le rock progressif.
Sur une vue satellite, tu indiques rarement les chiottes.
Porcaro56 a écrit:Ouais_supère a écrit:sheon a écrit:
Par contre, il manque le rock progressif.
Sur une vue satellite, tu indiques rarement les chiottes.
Pourquoi etre vulgaire et grossier ? Pour faire peuple ?
Magma le groupe de fachos decerebres
Rainier a écrit:Et King Crimson, c'est les chiottes du rock ?
OS et Porcaro, même combat
Ouais_supère a écrit:sheon a écrit:
Par contre, il manque le rock progressif.
Sur une vue satellite, tu indiques rarement les chiottes.
Aiello a écrit:Rainier a écrit:Et King Crimson, c'est les chiottes du rock ?
OS et Porcaro, même combat
Sauf qu'il y en a un qui fait de l'humour.
Faut vraiment tout leur expliquer, aux vieux.
Aiello a écrit:Rainier a écrit:Et King Crimson, c'est les chiottes du rock ?
OS et Porcaro, même combat
Sauf qu'il y en a un qui fait de l'humour.
Faut vraiment tout leur expliquer, aux vieux.
Rainier a écrit:Aiello a écrit:Rainier a écrit:Et King Crimson, c'est les chiottes du rock ?
OS et Porcaro, même combat
Sauf qu'il y en a un qui fait de l'humour.
Faut vraiment tout leur expliquer, aux vieux.
C'est toi qui te trompes (ton théorème serait il erroné ?) :
Porcaro est un grand comique Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
Rainier a écrit:Aiello a écrit:Rainier a écrit:Et King Crimson, c'est les chiottes du rock ?
OS et Porcaro, même combat
Sauf qu'il y en a un qui fait de l'humour.
Faut vraiment tout leur expliquer, aux vieux.
C'est toi qui te trompes (ton théorème serait il erroné ?) :
Porcaro est un grand comique Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
Aiello a écrit:Rainier a écrit:Et King Crimson, c'est les chiottes du rock ?
OS et Porcaro, même combat
Sauf qu'il y en a un qui fait de l'humour.
Faut vraiment tout leur expliquer, aux vieux.
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Porcaro56 a écrit:Aiello a écrit:Rainier a écrit:Et King Crimson, c'est les chiottes du rock ?
OS et Porcaro, même combat
Sauf qu'il y en a un qui fait de l'humour.
Faut vraiment tout leur expliquer, aux vieux.
Être vieux cela t arrivera (peut-être ?) un jour. La jeunesse n est pas forcément synonyme d intelligence
Toma a écrit:Un article que personne ne comprend sur un réalisateur que personne ne connait.
Quel bel hommage.
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Toma a écrit:Un article que personne ne comprend sur un réalisateur que personne ne connait.
Quel bel hommage.
Le cinéaste argentin Hugo Santiago est mort mardi à Paris, à l’âge de 78 ans. On lui doit une filmographie très singulière, marquée par un goût de l’expérimentation narrative et nourrie de musique et de littérature. Son chef-d’œuvre restera Invasión (1969), sans doute le film le plus important de l’histoire du cinéma argentin. En 1958, Santiago se lie d’amitié avec Jorge Luis Borges alors qu’il est l’un de ses étudiants en littérature. Grâce à une bourse du Fondo Nacional de las Artes, il part à Paris en 1959 où il fait une autre rencontre décisive en devenant l’assistant de Robert Bresson pour Procès de Jeanne d’Arc (1962).
[...]
Puis il propose à ce dernier et à Adolfo Bioy Casares, auteur du génial l’Invention de Morel, de développer avec lui une idée de scénario. Ce sera Invasión, un conte politique situé dans la ville imaginaire d’Aquilea, où se prépare une mystérieuse invasion contre laquelle lutte un petit groupe de résistants organisés en société secrète.
Outre son fascinant récit, le film vaut pour le génie de sa mise en scène, son utilisation étonnante du son, sa manière de chorégraphier les gestes et les actions, la musicalité de son montage. Le baroque argentin allié à une précision bressonienne, telle pourrait être une définition de l’art de Santiago. Enthousiaste, Borges écrira : «Invasión est un film qui ne ressemble à aucun autre et pourrait bien être le premier exemple d’un nouveau genre fantastique». Lors de la dictature militaire en Argentine, le film est non seulement interdit, mais huit bobines de son négatif sont détruites. On le croit définitivement perdu, avant qu’en 1999 Santiago et son chef opérateur Ricardo Aronovich parviennent à le reconstituer à partir de copies restantes. En 1974, Santiago s’installe définitivement à Paris. Il y réalise son second film, les Autres, également écrit avec Borges et Bioy Casares. L’histoire d’un libraire enquêtant sur le suicide de son fils et pris dans un étrange réseau de personnages et de métamorphoses. Dans ce film à la structure complexe, il pousse encore plus loin que dans Invasión le formalisme et l’abstraction, si bien qu’il divisera violemment la critique lors de sa présentation à Cannes. [...]
Invasion a été écrit en collaboration avec Borges et son vieux complice Adolfo Bioy Casares, tous les deux grands amateurs de culture populaire et de roman policier. Dans une ville imaginaire qui transfigure les signes d’identité de Buenos Aires, une bande de résistants à l’allure désuète tente de repousser des envahisseurs qui se distinguent à peine par l’utilisation plus fréquente d’imperméables. L’argument sert de prétexte à une mise en scène éblouissante par son utilisation du noir et blanc et des éclairages, des cadrages inattendus, d’une interprétation à l’apparence décontractée, qui ménage l’émotion et la surprise. Aucun film de cette époque aux radicalités militantes ne ressemble à Invasion, qui tient un discours sur l’honneur et le courage sous ses airs de polar expressionniste légèrement fantastique. Film allégorique sans doute, politique à sa manière, mais à la sensibilité unique.
Nicklaus a écrit:Bah il l'aura pas au final.
Tchuss !
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