Modérateurs: Garion, Silverwitch
Maschum a écrit:Moi qui ne suis pas forcément plus voileux que ça, ça fait quand même quelque chose de pouvoir toucher ce bateau qui a fait le tour du monde et qui plus est gagné la course la plus célèbre du monde de la voile.
Superbe mécanique. Grand. Large, surtout. Se dire qu'un homme seul a manœuvré cet engin pendant 3 mois... C'est dingue.
Maschum a écrit:Moi qui ne suis pas forcément plus voileux que ça, ça fait quand même quelque chose de pouvoir toucher ce bateau qui a fait le tour du monde et qui plus est gagné la course la plus célèbre du monde de la voile.
Superbe mécanique. Grand. Large, surtout. Se dire qu'un homme seul a manœuvré cet engin pendant 3 mois... C'est dingue.
Bob Williams a écrit:Maschum a écrit:Moi qui ne suis pas forcément plus voileux que ça, ça fait quand même quelque chose de pouvoir toucher ce bateau qui a fait le tour du monde et qui plus est gagné la course la plus célèbre du monde de la voile.
Superbe mécanique. Grand. Large, surtout. Se dire qu'un homme seul a manœuvré cet engin pendant 3 mois... C'est dingue.
Et ce n'est "qu'un" monocoque de 18 mètres. Regarde la performance cet hiver de Thomas Coville qui a pulvérisé le record du tour du monde en solo sur un trimaran de 30 mètres !
DCP a écrit:Maschum a écrit:Moi qui ne suis pas forcément plus voileux que ça, ça fait quand même quelque chose de pouvoir toucher ce bateau qui a fait le tour du monde et qui plus est gagné la course la plus célèbre du monde de la voile.
Superbe mécanique. Grand. Large, surtout. Se dire qu'un homme seul a manœuvré cet engin pendant 3 mois... C'est dingue.
La course la plus célèbre, vraiment ? En France, oui, mais globalement, la coupe de l'America est peut-être plus célèbre, non ?
Maschum a écrit:DCP a écrit:Maschum a écrit:Moi qui ne suis pas forcément plus voileux que ça, ça fait quand même quelque chose de pouvoir toucher ce bateau qui a fait le tour du monde et qui plus est gagné la course la plus célèbre du monde de la voile.
Superbe mécanique. Grand. Large, surtout. Se dire qu'un homme seul a manœuvré cet engin pendant 3 mois... C'est dingue.
La course la plus célèbre, vraiment ? En France, oui, mais globalement, la coupe de l'America est peut-être plus célèbre, non ?
Comme dit Bob, la course de l'américa c'est de la régate. Le Vendée Globe c'est une course sur 85-90 jours... Seul.
Mondialement oui, la course de l'américa ça a de la retombée car c'est les bateaux les plus rapides du monde.
Mais le tour du monde, seul... Le Vendée Globe a une saveur unique.
C'est dans les sous-sols du Palais de Tokyo, décorés par des artistes de street art, que le Gitana Team avait convié la presse jeudi matin pour présenter les grandes lignes du futur Maxi Edmond de Rothschild (ou Gitana 17), en présence - fait rare - d'Ariane de Rothschild, présidente du comité exécutif du Groupe Edmond de Rothschild, mais aussi de l'architecte Guillaume Verdier, du skipper Sébastien Josse, de Cyril Dardashti, directeur général du team, et de Pierre Tissier, directeur technique. Que retenir de cette présentation ?
"L'ambition de voler autour du monde".
Tel était le sous-titre de cette présentation d'un engin à 10 millions d'euros (construit chez Multiplast et mis à l'eau en juillet), censé marquer "une rupture technologique forte", dixit Ariane de Rothschild. "On aurait pu partir d'un bateau archimédien puis essayer de le sustenter, on a choisi la démarche inverse : faire voler le bateau et de le rendre sage autant que possible", explique Guillaume Verdier. L'architecte s'est notamment appuyé sur sa collaboration avec Team New Zealand pour dessiner ce Gitana 17 qu'il considère comme 'le projet d'une vie". Cyril Dardashti explicite : "Les carènes, assez carrées et très plates, comme sur les bateaux de la Coupe, sont là pour aider les foils à soulager davantage encore la plateforme". Prévu pour voler 1,5 mètre au-dessus de l'eau grâce à ses trois safrans en T et ses deux foils, le Maxi Edmond de Rothschild repassera en mode archimédien dès que les vagues dépasseront 2,5 mètres, selon Guillaume Verdier. "C'est avant tout un bateau marin, fait pour le tour du monde, avec un turbo qu’il faut utiliser de temps en temps", résume Sébastien Josse
Dans le cadre du collectif Ultim.
Après avoir envisagé (voir Tip & Shaft #3) de construire un trimaran en dehors du cadre réglementaire du collectif Ultim (32 mètres de long par 23 de large), le Gitana Team a décidé de jouer le jeu. "Nous sommes passés de 33 à 32 mètres en coupant la jupe il y a dix jours parce que nous sommes en discussions constructives avec le collectif, confirme Cyril Dardashti. Nous ne sommes pas tout à fait d’accord sur une certaine philosophie de l’asservissement, mais l’idée était de montrer notre ouverture et qu'il fallait compter sur nous pour le tour du monde 2019". En clair, le Gitana Team souhaite que l'asservissement des appendices (système d'auto-régulation sans intervention manuelle, installé au niveau des flaps des safrans sur Gitana 17) soit autorisé, tandis que certains au sein du collectif s'y opposent... mais pas tous.
Les foils restent cachés.
Sur les images 3D d'Edmond de Rothschild présentées jeudi, les formes des foils ne correspondent volontairement pas à la réalité. Pourquoi tant de secret ? "Nous avons constaté, en essayant plusieurs formes de foils sur Gitana XV, qu'il y avait des écarts monstrueux de vitesse et de contrôle. Une photo suffit pour comprendre la voie dans laquelle nous sommes allés et nous n'avons pas envie de donner cette information à la concurrence", explique Sébastien Josse. Qui vise surtout le futur Sodebo en phase de conception. Il faudra attendre la mise à l'eau en juillet pour avoir un aperçu...
Une déco street art.
Ariane de Rothschild a souhaité que soient mises en avant sur le nouveau Gitana non seulement "l’audace et la volonté d’être en rupture technologique", mais aussi "la beauté esthétique." D'où la collaboration avec le Palais de Tokyo et avec l'artiste de street art américain Cleon Peterson qui a imaginé une création originale adaptée par Jean-Baptiste Epron.
Solitaire, double et équipage.
Mis à l'eau en juillet, l'Ultime Edmond de Rothschild sera aligné cette année au départ de la Transat Jacques-Vabre (Thomas Rouxel accompagnera Sébastien Josse), avant la Route du Rhum 2018, la course autour du monde en solitaire en 2019 et probablement le Trophée Jules-Verne en 2020. "Nous partirons sans doute sur un équipage de six personnes, Francis Joyon nous a servi d’exemple là-dessus", explique Cyril Dardashti. Qui conclut : "Avec ce bateau, nous sommes partis pour dix ans".
Des safrans en T pour l’ex-Mod70 de Sébastien Josse
"L’idée n’est pas de faire voler le trimaran. en tous cas pas pour l’instant !"
Lundi 12 mai marquait la sortie de chantier et le retour dans le grand bain du Multi70 Edmond de Rothschild. Le trimaran avec lequel Sébastien Josse s’alignera au départ de la Route du Rhum Destination Guadeloupe dans un peu moins de six mois, le 2 novembre prochain. Face aux géants de la Classe Ultime, le bateau armé par le Baron Benjamin de Rothschild sera l’un des plus petits trimarans de sa catégorie.
« L’équipe a fait un travail remarquable en ne comptant pas ses heures car le timing était serré avec la livraison tardive du bateau au retour du Brésil. En trois mois, nous savions que nous ne pouvions pas nous lancer dans un grand chantier de transformation où le bateau aurait par exemple été rallongé. L’idée était donc de partir de la base existante du 70 pieds en conservant le meilleur du potentiel du bateau puis en optimisant ce qui pouvait l’être dans ce délai pour une transatlantique en solitaire » déclarait Cyril Dardashti, le team manager du Gitana.
Le gain de poids a occupé une place de choix dans la « job list » de l’équipe menée par David Boileau, l’objectif étant de rendre le Multi70 Edmond de Rothschild plus léger et par conséquent plus polyvalent. Cette traque du moindre gramme a notamment occasionné l’installation d’un nouveau moteur, la suppression des aménagements intérieurs ainsi que la réalisation d’une nouvelle garde robe signée par la voilerie North Sails.
L’ergonomie a également été au cœur des préoccupations pour permettre à Sébastien Josse de tirer toute la quintessence de sa machine dans le jeu d’équilibriste qu’il jouera sur l’Atlantique :
« Le rhum est un sprint de 10 jours en solitaire. Sur ces bateaux, on ne peut jamais être très loin des postes de barre car la sortie de route est très vite arrivée. C’est pourquoi il a été décidé de déplacer la table à cartes (téléphones, ordinateurs, feux de navigation.) qui se trouvait dans la coque centrale et de la remonter sur le pont, sous la casquette. Cette dernière a été réduite en taille mais augmentée en volume pour me permettre d’y vivre pendant toute la traversée » expliquait Sébastien Josse.
Pour découvrir l’une des grandes nouveautés de ce chantier hivernal, il faut observer l’arrière des flotteurs de Gitana XV (cf photo). Le Multi70 Edmond de Rothschild est désormais équipé de safrans en T ; un dispositif tout aussi imposant que pointu dont Sébastien Josse nous détaillait l’utilité :
« L’objectif de ces nouveaux safrans de flotteurs est de diminuer le tangage du bateau dans la mer. Cette plus grande stabilité devrait nous permettre un gain significatif sur la vitesse moyenne ainsi que dans la conduite du bateau. L’idée n’est pas de faire voler le trimaran. en tous cas pas pour l’instant ! » souriait le skipper.
« Le temps dont nous disposions cet hiver était trop court pour réaliser l’ensemble des modifications imaginées à l’origine : safrans, foils, travail sur le plan de voilure . Ces nouveaux appendices ne sont qu’une première étape dans ce que nous souhaitons mettre en place par la suite. Le but est bien de faire encore évoluer la plateforme de Gitana XV » précisait Antoine Koch, le responsable du bureau d’études Gitana.
Ces nouveaux safrans sont le fruit d’une étroite collaboration entre Antoine Koch, l’architecte Guillaume Verdier et le néo-zélandais Jamie France, l’americain Bobby Kleinschmit ainsi que la société Pure Design, tous étant membres de Team New Zealand. Les précieuses pièces qui composent les safrans - pelle et plan porteur - ont été fabriquées aux antipodes dans le chantier Core Builder, basé dans le Nord d’Auckland, et ont regagné l ’Europe il y a quelques semaines afin que les membres du Gitana Team les adaptent aux casques réalisés en interne.
« Je suis très impatient de pouvoir naviguer pour observer sur l’eau les modifications apportées. Je vais y aller crescendo dans ma préparation pour le Rhum avec des navigations en équipage réduit pour commencer avant de rentrer dans le vif du sujet en solo. Six mois c’est assez court pour préparer un tel rendez-vous mais j’ai la chance de pourvoir m’y consacrer pleinement » concluait le skipper d’Edmond de Rothschild ravi de retrouver sa monture amarrée dans son port d’attache lorientais.
Bob Williams a écrit:Nouveau sponsor pour Jérémie Beyou: Charal.
Mono ou cata ? La Volvo Ocean Race joue sur les 2 tableaux
Après l'annonce du nouvel architecte de la flotte de la Volvo Ocean Race - Guillaume Verdier - on en sait plus sur le bateau qui sera utilisé. L'organisation se posait la question de savoir si elle resterait au monocoque ou si elle passerait au multicoque. La réponse est "les deux " avec un monocoque à foils de 60 pieds pour les étapes au large et un catamaran volant de 32 à 50 pieds pour les étapes inshore.
La prochaine génération de monotypes de la Volvo Ocean Race sera lancée en 2019 et conçue pour durer au moins 6 ans. C'est lors événement spécial au Musée Volvo à Göteborg en Suède tenu ce jeudi 18 mai 2017 que Mark Turner, Président de la Volvo Ocean Race a dévoilé les (car il n'y aura pas un, mais deux bateaux) bateaux utilisés pour les prochaines éditions. L'édition 2017 se déroulera encore sur les monotypes VO 65, lancés 2014-2015.
Les équipages navigueront au large sur des monocoques à foils de 60 pieds (18,29 mètres) et auront des catamarans volants ultra-rapide de 32 à 50 pieds pour les régates in-port.
"Nous avons beaucoup débattu sur le choix entre multicoque et monocoque, avec des arguments forts dans chacune des directions. Nous avons finalement décidé d'opter pour trois coques : un monocoque plus un catamaran ! Cette nouvelle formule pour la Volvo Ocean Race testera pour la première fois des marins de très hauts niveaux issus des deux disciplines sur des étapes de large, qui reste notre ADN, en monocoques à foils, mais aussi lors des escales sur des manches inshore à bord de multicoques volants basés sur les toutes dernières technologies", a révélé Mark Turner, Président de la Volvo Ocean Race.
C'est l'architecte Guillaume Verdier qui sera chargé de concevoir ce nouveau monotype à foils, sorte "d'IMOCA à turbo." Le bateau sera d'ailleurs convertible, relativement rapidement et à moindres coûts, en un bateau conforme à la jauge IMOCA pour participer aux grandes épreuves du circuit, en solitaire ou en double, comme le Vendée Globe ou la Barcelona World Race.
"Je suis extrêmement heureux que l'on m’ait confié la tâche de concevoir la prochaine génération de bateaux pour la Volvo Ocean Race. Les marins de la Volvo Ocean Race ont la réputation d'être très endurants et de repousser sans cesse les limites. Le design du prochain bateau reflète ces spécificités", a déclaré Guillaume Verdier, qui termine actuellement les plans des futurs monocoques avec son équipe de designers.
"Voilà pourquoi il est important de retenir un certain niveau de sécurité dans le design. C'est primordial pour les endroits que va traverser la flotte, comme le Grand Sud. Nous savons que les coureurs de la Volvo Ocean Race ne remonteront sans doute pas les foils et contrairement aux coureurs en solitaire qui auraient tendance à lever le pied, eux ne le feront pas. À partir de ces éléments, concevoir une machine qui soit à la fois sure et extraordinaire à naviguer était un immense défi" poursuit l'architecte.
Appel d'offres pour construire les catamarans
Un processus d'appel d'offres s'ouvre aujourd'hui pour le design et la construction des catamarans de 32 à 50 pieds (10 à 15 m), qui seront conçus dans les règles de la monotypie, comme les monocoques, pour intégrer la haute technologie des foils, mais à coût réduit.
"L'America's Cup, l'une des autres épreuves reines de notre sport, sera toujours au sommet en terme de développement, avec les incroyables avancées technologiques que nous verrons la semaine prochaine aux Bermudes", explique Mark Turner. "Nous avons assisté aux mêmes évolutions dans la classe IMOCA avec l'introduction des foils dans le dernier Vendée Globe. Notre objectif avec la Volvo Ocean Race est de monter la barre le plus haut possible dans les limites des budgets actuels, et dans le cadre de la monotypie, où nous sommes obligés de figer le niveau de technologie pour chaque cycle de course."
Mark Turner a indiqué qu'à long terme, la course pourrait complètement passer au multicoque.
"Après nos longues discussions, nous avons pu constater qu'il n'y a plus aucune barrière conceptuelle à voir la Volvo Ocean Race passer au multicoque océanique dans six ans. C'est une décision qui sera prise dans trois ou quatre ans. Nous étions déjà tout près de choisir cette voie. Dans la décennie à venir, il est tout à fait possible que nous assistions au développement des multicoques de la nouvelle classe Ultime française qui traverseront les océans en volant au-dessus de l'eau plus souvent que dans l'eau, défi bien plus grand que de voler sur un plan d'eau plat dans des régates inshore. Nous avons logiquement pensé qu'il était encore trop tôt pour cette évolution, surtout lorsqu'il s'agit de construire une flotte One-Design. Modifier toute une flotte à chaque avancée technologique n'est pas réaliste."
8 bateaux par type de support
Pour l'instant, le nombre de bateaux construits – en monocoque comme en multicoque – sera de 8. Les équipes pourront dans un premier temps les louer, pour permettre aux équipes qui n'ont pas les moyens de les acheter de se lancer. Les sponsors impliqués sur la prochaine édition 2017-2018 seront les premiers à se voir proposer des options sur ces bateaux. Les premières unités sortiront du chantier en janvier 2019 et toute la flotte sera disponible mi-2019.
Persico Marine à Bergamo en Italie dirigera la construction du nouveau monocoque, dont l'assemblage et les derniers préparatifs seront assurés par l'équipe de spécialistes de la Volvo Ocean Race, au Boatyard de la course. Le lieu sera confirmé dans le cadre d'un appel d'offres des Villes d'Accueil.
Malgré les règles de monotypie, ces nouveaux bateaux auront plusieurs possibilités d'adaptation et d'amélioration dans la manière dont elles sont configurées pour la course. Et la possibilité d'évolution entre les éditions sera intégrée dès le départ dans la conception du bateau.
Des budgets similaires aux budgets actuels
"Les nouveaux bateaux seront livrés sur la base d'une location et les budgets seront similaires à ceux d'aujourd'hui, tout en offrant encore plus d'avantages", explique le président de la course Mark Turner.
Ces budgets sont en moyenne de 10 à 12 millions d’euros sur deux ans, dont plusieurs millions sont habituellement consacrés au démarrage de la campagne.
"Fournir les principaux services et équipements aux marins leur permet de se concentrer sur la course, et évite de répliquer les coûts d'une campagne à l'autre. Les équipes et les sponsors vont devoir agir vite parce que ces nouveaux bateaux sont passionnants et ils vont rapidement être vendus. L'Avis de Course, l'Accord de Partenariat Commercial et le Contrat de Location Bateau pour la prochaine édition seront publiés avant le départ de Volvo Ocean Race 2017-18 en octobre", poursuit Mark Turner.
Des marins expérimentés en mono et en multi
Pour courir la Volvo Ocean Race, présentée par son président comme "l'un des trophées les plus difficiles de la voile", il faudra donc être expert à la fois en monocoque sur les étapes océaniques et en multicoque sur les In-Port Series. Ce seront en effet les mêmes équipages qui navigueront sur ces deux supports.
Les In-Port ne servent aujourd'hui qu'à départager deux équipes à égalité de points à l'arrivée, mais en 2014-2015, elles avaient modifié le classement général pour deux équipes. D'où l'intérêt d'être bon ! À l'avenir, ces épreuves prendront encore plus d'importance, sans pour autant venir impacter les courses au large, en termes de points.
L'équipage sera composé de 5 à 7 personnes, auxquelles s'ajoutera un journaliste embarqué (OnBoard Reporter). Les règles de course continueront de favoriser la mixité homme-femme et les jeunes au sein des équipages.
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