Marlaga a écrit:Un des 3 rhinocéros de Thoiry a été abattu de 3 balles dans la tête par des braconniers avant qu'on lui coupe la défense à la tronçonneuse.
Je réclame la peine de mort par tronçonnage de la gueule pour les enfoirés qui ont fait ça.



Modérateurs: Garion, Silverwitch
Marlaga a écrit:Un des 3 rhinocéros de Thoiry a été abattu de 3 balles dans la tête par des braconniers avant qu'on lui coupe la défense à la tronçonneuse.
Je réclame la peine de mort par tronçonnage de la gueule pour les enfoirés qui ont fait ça.
Marlaga a écrit:Un des 3 rhinocéros de Thoiry a été abattu de 3 balles dans la tête par des braconniers avant qu'on lui coupe la défense à la tronçonneuse.
Je réclame la peine de mort par tronçonnage de la gueule pour les enfoirés qui ont fait ça.
Nuvo a écrit:Marlaga a écrit:Un des 3 rhinocéros de Thoiry a été abattu de 3 balles dans la tête par des braconniers avant qu'on lui coupe la défense à la tronçonneuse.
Je réclame la peine de mort par tronçonnage de la gueule pour les enfoirés qui ont fait ça.
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En France, dans un zoo. Dingue...
Shoemaker a écrit:Marlaga a écrit:Un des 3 rhinocéros de Thoiry a été abattu de 3 balles dans la tête par des braconniers avant qu'on lui coupe la défense à la tronçonneuse.
Je réclame la peine de mort par tronçonnage de la gueule pour les enfoirés qui ont fait ça.
Etant contre la peine de mort, je propose l'émasculation par le même procédé. (je parie qu'il n'y avait que des mecs).
(puisque c'est entre autre, pour servir de Viagra archaïques, pour de vieux mandarins, qu'on tue des Rhino)
Cortese a écrit:Concours de beauté en Kabylie (en Algérie). Les organisateurs ont décidé de garder l'ancien nom de ce village colonial, Michelet (aujourd'hui Aïn el Hammam "La source du bain"), ces révisionnistes![]()
Une vingtaine de personnes étaient réunies hier devant le 59 allées de Bellefontaine, un foyer d'accueil où le jeune Abdel Saiah, 15 ans, a connu une fin tragique dans la nuit de vendredi à samedi. Quelques jeunes, des connaissances, des parents choqués, étaient venus soutenir Deborah Fromentin, la maman de l'adolescent, qui a été entendue par la police, hier ainsi que son autre fils, témoin du drame. Cette mère effondrée avait scotché un mot sur la façade du foyer. «Je souhaite que tout le monde se rassemble devant le foyer pour que cet accident n'arrive plus et que des mesures de sécurité soient prises». Il y avait aussi d'autres mots tracés d'une écriture enfantine : «Abdel, Inch'Allah tu vas au paradis, on t'aime». «C'était mon meilleur ami, il était adorable. Il voulait devenir pâtissier» dit Felicité une camarade de classe d'Abdel, en 3e avec lui au collège des Chalets. «J'ai du mal à réaliser. Lundi on s'habille tous en noir dans la classe».
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l'accident. «Une voisine est venue cogner à ma porte», relate la maman. «Je suis descendue, j'ai vu la police et les pompiers autour d'Abdel qui était par terre dans la cour» raconte la maman, qui n'a pas assisté à l'accident. «Mon fils aîné Mehdi m'a raconté qu'ils jouaient à lancer un paquet de pâtes dans des jardinières du premier étage. Ils ont fait la courte échelle à Abdel pour qu'il rattrape le paquet et la jardinière en béton à laquelle il s'est agrippé a cédé. Elle ne devait pas être scellée. Sa tête a cogné par terre, la jardinière est tombée sur ses jambes. Son frère a fait ce qu'il a pu pour le sauver, Abdel est mort devant lui. Je n'ai pas pu revoir mon fils, lui dire adieu. Il faut attendre l'autopsie. Je voudrais avoir le droit de voir mon bébé» dit la maman en sanglotant. Cette mère de quatre enfants, en rupture conjugale, était arrivée de Perpignan en septembre. Au début Abdel et sa famille ont vécu à l'hôtel, à Compans-Caffarelli. La famille est hébergée depuis janvier au foyer Bellefontaine, un établissement géré par le 115. «Le seul logement qu'on m'ait proposé est ce foyer insalubre. Il y a d'énormes cafards, beaucoup de bruit. La vie est insupportable, on vit entassés dans un studio», dit la mère du jeune garçon. «Près de 200 familles vivent ici dans la misère». Proche de la place de Bellefontaine, le foyer où a eu lieu l'accident doit fermer en juin et être réhabilité en maison de retraite.
Maschum a écrit:Cortese a écrit:Concours de beauté en Kabylie (en Algérie). Les organisateurs ont décidé de garder l'ancien nom de ce village colonial, Michelet (aujourd'hui Aïn el Hammam "La source du bain"), ces révisionnistes![]()
Autant Miss Michelet ça fait pas rêver... Autant elles sont très belles![]()
Il y a du cuisseau, là, j'adore
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Bon par contre il va falloir faire un effort hein. elle est où la noire ? La chinoise ? La blonde ? La rousse ? La pas belle pour qu'une partie des femmes qui regarde le concours ait de quoi se moquer ?
Je vais faire appel à la haute autorité de la mixité !!
Aym a écrit:Suite de l'article que j'ai posté sur le topic "présidentielles" hier : le téléphone s'est transformé en paquet de pâtes.
http://www.ladepeche.fr/article/2017/03 ... taine.htmlUne vingtaine de personnes étaient réunies hier devant le 59 allées de Bellefontaine, un foyer d'accueil où le jeune Abdel Saiah, 15 ans, a connu une fin tragique dans la nuit de vendredi à samedi. Quelques jeunes, des connaissances, des parents choqués, étaient venus soutenir Deborah Fromentin, la maman de l'adolescent, qui a été entendue par la police, hier ainsi que son autre fils, témoin du drame. Cette mère effondrée avait scotché un mot sur la façade du foyer. «Je souhaite que tout le monde se rassemble devant le foyer pour que cet accident n'arrive plus et que des mesures de sécurité soient prises». Il y avait aussi d'autres mots tracés d'une écriture enfantine : «Abdel, Inch'Allah tu vas au paradis, on t'aime». «C'était mon meilleur ami, il était adorable. Il voulait devenir pâtissier» dit Felicité une camarade de classe d'Abdel, en 3e avec lui au collège des Chalets. «J'ai du mal à réaliser. Lundi on s'habille tous en noir dans la classe».
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l'accident. «Une voisine est venue cogner à ma porte», relate la maman. «Je suis descendue, j'ai vu la police et les pompiers autour d'Abdel qui était par terre dans la cour» raconte la maman, qui n'a pas assisté à l'accident. «Mon fils aîné Mehdi m'a raconté qu'ils jouaient à lancer un paquet de pâtes dans des jardinières du premier étage. Ils ont fait la courte échelle à Abdel pour qu'il rattrape le paquet et la jardinière en béton à laquelle il s'est agrippé a cédé. Elle ne devait pas être scellée. Sa tête a cogné par terre, la jardinière est tombée sur ses jambes. Son frère a fait ce qu'il a pu pour le sauver, Abdel est mort devant lui. Je n'ai pas pu revoir mon fils, lui dire adieu. Il faut attendre l'autopsie. Je voudrais avoir le droit de voir mon bébé» dit la maman en sanglotant. Cette mère de quatre enfants, en rupture conjugale, était arrivée de Perpignan en septembre. Au début Abdel et sa famille ont vécu à l'hôtel, à Compans-Caffarelli. La famille est hébergée depuis janvier au foyer Bellefontaine, un établissement géré par le 115. «Le seul logement qu'on m'ait proposé est ce foyer insalubre. Il y a d'énormes cafards, beaucoup de bruit. La vie est insupportable, on vit entassés dans un studio», dit la mère du jeune garçon. «Près de 200 familles vivent ici dans la misère». Proche de la place de Bellefontaine, le foyer où a eu lieu l'accident doit fermer en juin et être réhabilité en maison de retraite.
oui. À 14 ans, dehors, la nuit à 01:20 du matin. En escaladant des immeubles. Le zoo quoi.Waddle a écrit:Aym a écrit:Suite de l'article que j'ai posté sur le topic "présidentielles" hier : le téléphone s'est transformé en paquet de pâtes.
http://www.ladepeche.fr/article/2017/03 ... taine.htmlUne vingtaine de personnes étaient réunies hier devant le 59 allées de Bellefontaine, un foyer d'accueil où le jeune Abdel Saiah, 15 ans, a connu une fin tragique dans la nuit de vendredi à samedi. Quelques jeunes, des connaissances, des parents choqués, étaient venus soutenir Deborah Fromentin, la maman de l'adolescent, qui a été entendue par la police, hier ainsi que son autre fils, témoin du drame. Cette mère effondrée avait scotché un mot sur la façade du foyer. «Je souhaite que tout le monde se rassemble devant le foyer pour que cet accident n'arrive plus et que des mesures de sécurité soient prises». Il y avait aussi d'autres mots tracés d'une écriture enfantine : «Abdel, Inch'Allah tu vas au paradis, on t'aime». «C'était mon meilleur ami, il était adorable. Il voulait devenir pâtissier» dit Felicité une camarade de classe d'Abdel, en 3e avec lui au collège des Chalets. «J'ai du mal à réaliser. Lundi on s'habille tous en noir dans la classe».
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l'accident. «Une voisine est venue cogner à ma porte», relate la maman. «Je suis descendue, j'ai vu la police et les pompiers autour d'Abdel qui était par terre dans la cour» raconte la maman, qui n'a pas assisté à l'accident. «Mon fils aîné Mehdi m'a raconté qu'ils jouaient à lancer un paquet de pâtes dans des jardinières du premier étage. Ils ont fait la courte échelle à Abdel pour qu'il rattrape le paquet et la jardinière en béton à laquelle il s'est agrippé a cédé. Elle ne devait pas être scellée. Sa tête a cogné par terre, la jardinière est tombée sur ses jambes. Son frère a fait ce qu'il a pu pour le sauver, Abdel est mort devant lui. Je n'ai pas pu revoir mon fils, lui dire adieu. Il faut attendre l'autopsie. Je voudrais avoir le droit de voir mon bébé» dit la maman en sanglotant. Cette mère de quatre enfants, en rupture conjugale, était arrivée de Perpignan en septembre. Au début Abdel et sa famille ont vécu à l'hôtel, à Compans-Caffarelli. La famille est hébergée depuis janvier au foyer Bellefontaine, un établissement géré par le 115. «Le seul logement qu'on m'ait proposé est ce foyer insalubre. Il y a d'énormes cafards, beaucoup de bruit. La vie est insupportable, on vit entassés dans un studio», dit la mère du jeune garçon. «Près de 200 familles vivent ici dans la misère». Proche de la place de Bellefontaine, le foyer où a eu lieu l'accident doit fermer en juin et être réhabilité en maison de retraite.
Mince, quelle horreur...
Un banal jeu d'enfants qui a mal tourné
Rainier a écrit:Shoemaker a écrit:Marlaga a écrit:Un des 3 rhinocéros de Thoiry a été abattu de 3 balles dans la tête par des braconniers avant qu'on lui coupe la défense à la tronçonneuse.
Je réclame la peine de mort par tronçonnage de la gueule pour les enfoirés qui ont fait ça.
Etant contre la peine de mort, je propose l'émasculation par le même procédé. (je parie qu'il n'y avait que des mecs).
(puisque c'est entre autre, pour servir de Viagra archaïques, pour de vieux mandarins, qu'on tue des Rhino)
Je crois qu'on tue 300 rhinocéros sauvages par an alors que la population totale mondiale ne doit plus dépasser 2 ou 3000 individus.
Autant dire que l'extinction de cette espèce dans un délai de quelques années est inéluctable.
Personnellement, je suis dix fois plus choqué de cette extermination, du fait de la race humaine, que, par exemple, de la destruction totale du site de Palmyre : ce que l'homme a construit, l'homme pourra le reconstruire. Mais il n'arrivera pas à recréer des rhinocéros... (peut être dans 1000 ans avec les progrès de la science. Mais dans quel environnement ? )
von Rauffenstein a écrit:Chez les Zaouas ?
Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:Chez les Zaouas ?
Chez les Zouaouas (Zwawa = Zouave). Les gens qui reprochent aux arabes de faire les zouaves devraient se poser des questions
Fatcap a écrit:
On hésite toujours entre optimisme et désespoir...
Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:Chez les Zaouas ?
Chez les Zouaouas (Zwawa = Zouave). Les gens qui reprochent aux arabes de faire les zouaves devraient se poser des questions
Shoemaker a écrit:Fatcap a écrit:
On hésite toujours entre optimisme et désespoir...
Un bon résumé lapidaire de la condition humaine.
Nuvo a écrit:Ce matin, vers 8h40 je partais au boulot.
J'arrive au niveau de la médiathèque et là je vois une altercation sur ma droite, à l'angle rue barbier-rue du port.
Une mère frappe une gamine de 7-8 ans. Ca ne peut pas être sa fille. C'est une mère orientale boulote et la gamine est noire.
Elle la tient par le cou et lui hurle dessus, j'entends le bruit d'une gifle, le petit frère de la gamine assiste à la scène. Je traverse et je m'interpose juste en mettant mon bras. La gamine est en pleurs, la mère reste hystérique, me dit de ne pas la toucher. Que "je ne sais pas ce qu'elle a fait à ma fille, c'est pas mes affaires".
A ce moment là les choses sont allées vite : une autre mère noire a déboulé de la rue d'arcole, visiblement elle connaissait la gamine, elle est venue la défendre. Une mère blanche arrive du côté médiathèque et prend la gamine pour la mettre en sécurité à l'école.
L'agresseuse commence à partir vers la bas de la rue du port mais la mère noire la poursuit et çà hurlait de tous les côtés. Je suis parti du coup.
Rue du port je croise une patrouille de police. Je les arrête pour leur signaler l'incident et éventuellement aller calmer les esprits.
Je passerai ce soir à l'école pour prendre des infos. Il faut que les deux gosses soient pris en charge. Un incident comme çà peut très très fortement les marquer.
J'ai envoyé un mail à la directrice de l'école pour lui raconter et je me tiens à sa disposition.
Aym a écrit:Rainier, t'es le fils caché de Houellebecq ?
Rainier a écrit:Nuvo a écrit:Ce matin, vers 8h40 je partais au boulot.
J'arrive au niveau de la médiathèque et là je vois une altercation sur ma droite, à l'angle rue barbier-rue du port.
Une mère frappe une gamine de 7-8 ans. Ca ne peut pas être sa fille. C'est une mère orientale boulote et la gamine est noire.
Elle la tient par le cou et lui hurle dessus, j'entends le bruit d'une gifle, le petit frère de la gamine assiste à la scène. Je traverse et je m'interpose juste en mettant mon bras. La gamine est en pleurs, la mère reste hystérique, me dit de ne pas la toucher. Que "je ne sais pas ce qu'elle a fait à ma fille, c'est pas mes affaires".
A ce moment là les choses sont allées vite : une autre mère noire a déboulé de la rue d'arcole, visiblement elle connaissait la gamine, elle est venue la défendre. Une mère blanche arrive du côté médiathèque et prend la gamine pour la mettre en sécurité à l'école.
L'agresseuse commence à partir vers la bas de la rue du port mais la mère noire la poursuit et çà hurlait de tous les côtés. Je suis parti du coup.
Rue du port je croise une patrouille de police. Je les arrête pour leur signaler l'incident et éventuellement aller calmer les esprits.
Je passerai ce soir à l'école pour prendre des infos. Il faut que les deux gosses soient pris en charge. Un incident comme çà peut très très fortement les marquer.
J'ai envoyé un mail à la directrice de l'école pour lui raconter et je me tiens à sa disposition.
Bravo !![]()
La patrouille de police intervient et essaye de "calmer" la mère "orientale" et la mère "noire" !
Leurs maris et leurs grands frères interviennent violemment (forcément !)
Les policiers essayent de se dégager, rassemblement hostile dans le quartier, lancé de pavé et de boulons, tirs de mortiers, la police tire ...un mort : un des gentils "grands frères" !
Suite à cela, émeutes dans toute la France, quelques dizaines de morts, Melenchon, Poutou et Besancenot appellent à la révolution contre le fascisme.
...et Marine Le Pen est élu !
Faut un peu réflêchir, Nuvo, avant de faire n'importe quoi
Hugues a écrit:
Voilà, ils font des heurts et ils essaient de nous tuer maintenant...
Je vous le dis moi, c'est une attaque d'une civilisation par une autre infiltrée!
Hugues (bah quoi si on peut plus troller un peu par soi-même)
Feyd a écrit:Il faut croire qu'il a oublié d'où il venait. Typique.
DCP a écrit:Sur cette histoire de jet privé, le chanteur a une autre version...
https://www.hauteculture.com/actu/142/m ... -jet-prive
Waddle a écrit:Feyd a écrit:Il faut croire qu'il a oublié d'où il venait. Typique.
Cette phrase est pleine de sous entendus suspects.
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