
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Sylphus a écrit:Shimon Peres hospitalisé...
Ghinzani a écrit:S. Peres, père fondateur de l'état d'Israël et prix Nobel de la paix s'en est allé.
Maverick a écrit:J'ai cru que ça parlait de Al Baghdadi quand j'ai entendu qu'un dirigeant qui avait commis des actes terroristes dans le but de créer un état religieux était mort.
Feyd a écrit:C'est nul !![]()
Marlaga a écrit:Quand on l'a mis dans le corbillard, on a pu entendre un petit "en voiture Shimon"...
porcaro77 a écrit:Ghinzani a écrit:S. Peres, père fondateur de l'état d'Israël et prix Nobel de la paix s'en est allé.
...
Tu es prié de cesser de faire des sous entendus douteux constamment.
a6gcs a écrit:Apparemment il n'y a pas beaucoup de golfeurs sur le forum , personne pour signaler le dernier putt d'Arnold Palmer 87, une légende du golf et l'initiateur avec Mc Cormack de la starisation des sportifs.
Feyd a écrit:a6gcs a écrit:Apparemment il n'y a pas beaucoup de golfeurs sur le forum , personne pour signaler le dernier putt d'Arnold Palmer 87, une légende du golf et l'initiateur avec Mc Cormack de la starisation des sportifs.
Clair, j'attendais que Nicklaus nous l'apprenne mais non. Je suis déçu.![]()
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ghinzani a écrit:Beau geste de M. Abbas de venir aux funérailles de S. Peres.
Dans le monde arabe, l’hostilité des peuples et le mutisme des dirigeants après la mort de Shimon Pérès
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a été le seul président arabe présent aux funérailles vendredi de l’ex-chef d’Etat israélien.
LE MONDE | 30.09.2016 à 13h34 • Mis à jour le 30.09.2016 à 16h02 | Par Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant)
Pour beaucoup de Libanais, le nom de Shimon Peres reste attaché au bombardement par Tsahal d’un centre de l’ONU dans le sud du pays, à Cana, qui avait tué 106 réfugiés en 1996. JOSEPH BARRAK / AFP
La cascade d’hommages qu’a suscité dans les pays occidentaux le décès de l’ancien président israélien Shimon Peres, inhumé vendredi 30 septembre à Jérusalem, contraste avec les réactions dans le monde arabe, qui oscillent entre mutisme embarrassé et franche hostilité.
Au Liban, la presse, pourtant à couteaux tirés sur la plupart des sujets, a titré de façon quasi-unanime sur la disparition du « boucher de Cana » (Al-Akhbar, quotidien de gauche) ou de « l’assassin de Cana » (An-Nahar, quotidien de droite). Une référence au massacre de 106 civils libanais, dans un village du sud du pays, sous des obus tirés par l’armée israélienne, en 1996, à l’époque où M. Pérès était premier ministre, en représailles à des actions de guérilla du Hezbollah.
L’Orient Le Jour, un quotidien francophone, est revenu en détail sur ce drame, qui éclipse, dans l’esprit de tous les Libanais, l’investissement de l’ex-leader travailliste dans le processus de paix – inabouti – avec les Palestiniens. Le journal, lu par l’élite économique libanaise, a notamment publié un entretien avec Timor Goksel, qui était alors le porte-parole de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul). C’est dans l’une de ses bases, où elles s’étaient réfugiées en pensant être à l’abri, que les victimes de Cana ont trouvé la mort.
Les Israéliens « savaient qu’il n’y avait que des civils et des militaires de la Finul dans la zone. Ils avaient les cartes de la zone. En outre, un drone ainsi que plusieurs hélicoptères israéliens survolaient la zone. (…) Dire que c’était une erreur [comme l’ont fait les autorités israéliennes] n’est qu’un mensonge », assène l’ancien porte-parole des casques bleus.
« Satan sera très heureux d’accueillir son homologue »
Dans le pays du cèdre, l’antagonisme anti-israélien est nourri non seulement par une forme de solidarité avec les Palestiniens, comme dans le reste du monde arabe, mais aussi par le souvenir traumatisant de l’occupation du sud-Liban par Tsahal, entre 1982 et 2000. « Maudite soit son âme, je lui aurais préféré une mort plus en phase avec ses crimes contre les Arabes et les Palestiniens, a ainsi lâché Waël Bou Faour, le ministre de la santé. Notre seule consolation est que Satan sera très heureux d’accueillir son homologue. »
A l’unisson de ses confrères libanais et à rebours de la presse occidentale, plus encline à mettre en valeur les aspects positifs du personnage, le quotidien Al-Charq Al-Awsat, propriété de la famille royale saoudienne, s’est concentré sur le côté « faucon » de M. Pérès. Il est qualifié dans les colonnes du journal de « père du projet nucléaire » en référence à son rôle dans l’acquisition par Israël de l’arme nucléaire ; de « héros de l’agression tripartite », une allusion à sa contribution à la piteuse attaque franco-anglo-israélienne de 1956, à Suez, contre l’Egypte de Nasser ; et, encore une fois, de « responsable du massacre de Cana ».
Sur les réseaux sociaux, les réactions sont encore plus nettement négatives. « Pérès a trompé les Arabes avec sa rhétorique de paix empoisonnée, qui a mis nos stupides leaders sur le chemin d’Oslo » – du nom du processus de paix signé en 1993 et entravé dès 1995 avec l’assassinat de Yitzhak Rabin, alors premier ministre –, a vitupéré sur Twitter Abdel Bari Atwan, un célèbre éditorialiste d’origine palestinienne.
Une vidéo qui a beaucoup circulé sur Facebook, postée par le site Middle East Panorama, montre une hajja (femme âgée) palestinienne, en robe traditionnelle brodée, en train d’éreinter Mahmoud Abbas, le président palestinien, pour s’être rendu aux funérailles à Jérusalem. « Honte à toi, tu n’es jamais allé aux funérailles d’un martyr et tu vas aux enterrements de ceux qui tuent tes enfants ? Est-ce qu’ils sont venus aux funérailles d’Abou Ammar [le surnom de Yasser Arafat, mort en 2004] ? Que tous les leaders arabes aillent au diable ! »
Dans L’Orient Le Jour, Leïla Chahid, l’ancienne ambassadrice de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Paris et à Bruxelles, apporte quelques nuances. « Abbas a eu le courage d’avoir défendu les accords d’Oslo jusqu’au bout, explique-t-elle. C’est l’œuvre de sa vie. Il est difficile pour lui de renier ce rêve de voir Pérès comme son partenaire de paix. Emotionnellement, il ne peut pas se dire que le processus de paix est mort, ça le tuerait. »
Aucune nouvelle de Riyad
Le dédain et la colère de la rue arabe tranchent avec le silence de la plupart de leurs dirigeants. L’agence de presse officielle saoudienne n’a publié aucun communiqué sur le sujet, alors que le royaume a fait quelques petits pas, ces derniers temps, en direction de l’Etat juif, en raison d’une aversion commune pour la République islamique d’Iran. Le compte Twitter du porte-parole du ministère des affaires étrangères égyptien est resté lui aussi muet, alors que le chef de la diplomatie égyptienne, Sameh Choukri, a participé à la cérémonie de Jérusalem.
Le roi Abdallah de Jordanie, qui entretient pourtant des relations diplomatiques avec Israël depuis 1994, s’est contenté d’envoyer une lettre de condoléances.
Ce profil bas s’explique par le fait que le rapprochement avec Israël, qu’il soit officiel, comme dans le cas de l’Egypte et de la Jordanie, ou plus secret et embryonnaire, comme dans le cas de l’Arabie saoudite et des Emirats arabes unis, reste très mal vu par les opinions publiques arabes.
Hormis Mahmoud Abbas, le seul haut responsable arabe à s’être exprimé ouvertement sur la disparition de l’ancien Prix Nobel de la paix est le ministre des affaires étrangères du Bahreïn, Khaled Ben Ahmed Al-Khalifa. « Repose en paix, Pérès, homme de guerre et homme de la toujours insaisissable paix au Proche-Orient », a-t-il écrit sur Twitter. Une déclaration qui lui a valu, dans les minutes qui suivent, un flot de critiques indignées, en provenance de tout le Proche-Orient.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/art ... bUlQMXf.99
Cortese a écrit:Dans le monde arabe, l’hostilité des peuples et le mutisme des dirigeants après la mort de Shimon Pérès
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a été le seul président arabe présent aux funérailles vendredi de l’ex-chef d’Etat israélien.
LE MONDE | 30.09.2016 à 13h34 • Mis à jour le 30.09.2016 à 16h02 | Par Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant)
Pour beaucoup de Libanais, le nom de Shimon Peres reste attaché au bombardement par Tsahal d’un centre de l’ONU dans le sud du pays, à Cana, qui avait tué 106 réfugiés en 1996. JOSEPH BARRAK / AFP
La cascade d’hommages qu’a suscité dans les pays occidentaux le décès de l’ancien président israélien Shimon Peres, inhumé vendredi 30 septembre à Jérusalem, contraste avec les réactions dans le monde arabe, qui oscillent entre mutisme embarrassé et franche hostilité.
Au Liban, la presse, pourtant à couteaux tirés sur la plupart des sujets, a titré de façon quasi-unanime sur la disparition du « boucher de Cana » (Al-Akhbar, quotidien de gauche) ou de « l’assassin de Cana » (An-Nahar, quotidien de droite). Une référence au massacre de 106 civils libanais, dans un village du sud du pays, sous des obus tirés par l’armée israélienne, en 1996, à l’époque où M. Pérès était premier ministre, en représailles à des actions de guérilla du Hezbollah.
L’Orient Le Jour, un quotidien francophone, est revenu en détail sur ce drame, qui éclipse, dans l’esprit de tous les Libanais, l’investissement de l’ex-leader travailliste dans le processus de paix – inabouti – avec les Palestiniens. Le journal, lu par l’élite économique libanaise, a notamment publié un entretien avec Timor Goksel, qui était alors le porte-parole de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul). C’est dans l’une de ses bases, où elles s’étaient réfugiées en pensant être à l’abri, que les victimes de Cana ont trouvé la mort.
Les Israéliens « savaient qu’il n’y avait que des civils et des militaires de la Finul dans la zone. Ils avaient les cartes de la zone. En outre, un drone ainsi que plusieurs hélicoptères israéliens survolaient la zone. (…) Dire que c’était une erreur [comme l’ont fait les autorités israéliennes] n’est qu’un mensonge », assène l’ancien porte-parole des casques bleus.
« Satan sera très heureux d’accueillir son homologue »
Dans le pays du cèdre, l’antagonisme anti-israélien est nourri non seulement par une forme de solidarité avec les Palestiniens, comme dans le reste du monde arabe, mais aussi par le souvenir traumatisant de l’occupation du sud-Liban par Tsahal, entre 1982 et 2000. « Maudite soit son âme, je lui aurais préféré une mort plus en phase avec ses crimes contre les Arabes et les Palestiniens, a ainsi lâché Waël Bou Faour, le ministre de la santé. Notre seule consolation est que Satan sera très heureux d’accueillir son homologue. »
A l’unisson de ses confrères libanais et à rebours de la presse occidentale, plus encline à mettre en valeur les aspects positifs du personnage, le quotidien Al-Charq Al-Awsat, propriété de la famille royale saoudienne, s’est concentré sur le côté « faucon » de M. Pérès. Il est qualifié dans les colonnes du journal de « père du projet nucléaire » en référence à son rôle dans l’acquisition par Israël de l’arme nucléaire ; de « héros de l’agression tripartite », une allusion à sa contribution à la piteuse attaque franco-anglo-israélienne de 1956, à Suez, contre l’Egypte de Nasser ; et, encore une fois, de « responsable du massacre de Cana ».
Sur les réseaux sociaux, les réactions sont encore plus nettement négatives. « Pérès a trompé les Arabes avec sa rhétorique de paix empoisonnée, qui a mis nos stupides leaders sur le chemin d’Oslo » – du nom du processus de paix signé en 1993 et entravé dès 1995 avec l’assassinat de Yitzhak Rabin, alors premier ministre –, a vitupéré sur Twitter Abdel Bari Atwan, un célèbre éditorialiste d’origine palestinienne.
Une vidéo qui a beaucoup circulé sur Facebook, postée par le site Middle East Panorama, montre une hajja (femme âgée) palestinienne, en robe traditionnelle brodée, en train d’éreinter Mahmoud Abbas, le président palestinien, pour s’être rendu aux funérailles à Jérusalem. « Honte à toi, tu n’es jamais allé aux funérailles d’un martyr et tu vas aux enterrements de ceux qui tuent tes enfants ? Est-ce qu’ils sont venus aux funérailles d’Abou Ammar [le surnom de Yasser Arafat, mort en 2004] ? Que tous les leaders arabes aillent au diable ! »
Dans L’Orient Le Jour, Leïla Chahid, l’ancienne ambassadrice de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Paris et à Bruxelles, apporte quelques nuances. « Abbas a eu le courage d’avoir défendu les accords d’Oslo jusqu’au bout, explique-t-elle. C’est l’œuvre de sa vie. Il est difficile pour lui de renier ce rêve de voir Pérès comme son partenaire de paix. Emotionnellement, il ne peut pas se dire que le processus de paix est mort, ça le tuerait. »
Aucune nouvelle de Riyad
Le dédain et la colère de la rue arabe tranchent avec le silence de la plupart de leurs dirigeants. L’agence de presse officielle saoudienne n’a publié aucun communiqué sur le sujet, alors que le royaume a fait quelques petits pas, ces derniers temps, en direction de l’Etat juif, en raison d’une aversion commune pour la République islamique d’Iran. Le compte Twitter du porte-parole du ministère des affaires étrangères égyptien est resté lui aussi muet, alors que le chef de la diplomatie égyptienne, Sameh Choukri, a participé à la cérémonie de Jérusalem.
Le roi Abdallah de Jordanie, qui entretient pourtant des relations diplomatiques avec Israël depuis 1994, s’est contenté d’envoyer une lettre de condoléances.
Ce profil bas s’explique par le fait que le rapprochement avec Israël, qu’il soit officiel, comme dans le cas de l’Egypte et de la Jordanie, ou plus secret et embryonnaire, comme dans le cas de l’Arabie saoudite et des Emirats arabes unis, reste très mal vu par les opinions publiques arabes.
Hormis Mahmoud Abbas, le seul haut responsable arabe à s’être exprimé ouvertement sur la disparition de l’ancien Prix Nobel de la paix est le ministre des affaires étrangères du Bahreïn, Khaled Ben Ahmed Al-Khalifa. « Repose en paix, Pérès, homme de guerre et homme de la toujours insaisissable paix au Proche-Orient », a-t-il écrit sur Twitter. Une déclaration qui lui a valu, dans les minutes qui suivent, un flot de critiques indignées, en provenance de tout le Proche-Orient.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/art ... bUlQMXf.99
Shoemaker a écrit:si ! On en fait toute une histoire.
Kadhafi : BHL et Sarkozy (et l'OTAN... manquaient plus que les Martiens) faisait trop de mal à son peuple. Alors, on a transformé le pays de ce peuple en pays de cauchemar, pour punir le dictateur, qu'on a fait empaler pour le punir comme il le mérite.
Saddam Husseyn : Très méchant. Alors, pour sauver son peuple qu'il tyrannisait, on a transformé le pays de ce peuple en champs d'horreur pour hordes sauvages Baghdadistes, payées par les gentils Qatari et les sympathiques Saoudiens. Et on a fait pendre, comme dans un bon vieux western, ce méchant dictateur.
Assad : Le barbare sanguinaire que Fabius à décrété comme indigne de vivre, tant il opprime son peuple. Alors, pour sauver ce peuple, on a aidé les phalanges islamistes internationales à transformer le pays de ce peuple en enfer sur terre. Et l'ophtalmo dément de Damas ne perd rien pour attendre. Fabius prévoit de le faire brûler vif, dit-on (par les gars d'el Nosra, c'dont auxquels Fabius pense qu'ils font du bon boulot).
Gazah : euh.. pardon, j'ai rien dit.
Shoemaker a écrit:Bon, Ok. Les arabes sont des fiottes qui, non contents de l'être, mettent en plus sur le dos des gentils Israéliens et Occidentaux, toutes les causes de leurs malheurs.
J'ai bon, là ?
Ca y est, je pense que c'est rentré dans mon ciboulot au stade Cromagnonesque.
Shoemaker a écrit:Calme toi. Où vois-tu des pleurnicheries ?
Je ne fais que rappeler que Shimon Perez n'est pas la quasi Saint qu'on essaye de "vendre" en ce moment. Quand on fraye avec l'Apartheid, on n'est pas un "humaniste", que l'on soit Juif, Arabe ou Sri Lankais. L'apartheid Sud africain, je le rappelle, a été mis à terre grâce à une mobilisation extraordinaire de l'opinion Occidentale (les pays Arabes modernes étant dès le départ entièrement du côté de Mandela, je le rappelle...), qui a obligé ses propres gouvernants à plier genou et à organiser, la mort dans l'âme, un boycott qui a mis fin à ce régime ignoble.
A méditer.
Et donc, on ne va pas, à chaque fois, refaire l'Histoire de l'Humanité.
C'est d'ailleurs évident que quand une famille Palestinienne se fait détruire sa maison pour voir une colonie juive à la place, c'est un problème parce que celui qui a pris sa place est un Juif. Si c'était un autre Musulman, aucun problème pour voir sa maison détruite et sa famille à la rue !Ghinzani a écrit:Cesse un peu tes pleurnicheries! Les arabes musulmans n'ont de leçon de tolérance à donner à personne! Ils ont colonisé tout autant que les autres. Et que dire de l'apartheid dans les pays où l'islam politique sévi? Et ce qu'il soit chiite ou sunnite?
Sinon, pourquoi donc autant d'entre eux viendraient chercher les joies de la démocratie et de la vie occidentale, y compris toi ! Loin de moi l'idée de faire de chacun des musulmans un terroriste en puissance et je suis d'accord qu'il y a un nombre qui veut vire tranquille chez nous et que le laxisme des politiciens et surtout leur soif de pouvoir les ont poussé à créer une nouvelle classe pauvres à des fins électoralistes ce qui n'a fait que de communautariser les musulmans ( plus que les autres étrangers, pourquoi?)
Alors Israël? Tous les états se sont crées en gagnant sur d'autres. Le prétexte palestinien c'est pour se donner bonne conscience! Si Israël voulait en finir avec eux, avec la puissance et la stratégie militaire qu'ils ont cela serait fait en deux semaines. Faut-il rappeler la guerre du Kippour?
Ce qui vous gène, surtout c'est qu'un appendice de civilisation occidentale existe au moyen orient et Oh horreur! d'une religion différente de l'islam!
Mais, en Israël, les trois religions monothéistes peuvent co existé en paix et cela vous rend malade!
Les pays où l'islam politique sévit, les autres religions souffrent. Demande aux coptes égyptiens, aux sunnites en Iran , aux chiites chez les Saouds etc etc etc
Alors tes leçons et tes gémissements, garde les pour toi.
DCP a écrit:Ghinzani, on parle ici de Peres suite à son décès, non ? On ne va pas refaire l'histoire du monde à chaque fois.....
Et sans nier qu'il n'y a très probablement pas d'hommes et de peuples parfaits, d'une manière générale, je trouve l'argument: oui, mais il y a d'autres qui ont faire pire ou la même chose...
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 6 invités