sheon a écrit:À 13h30, aussi, y avaitCaptain FlirtLe Corsaire Rouge.
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Que j'ai enregistré, hein, je suis pas retraité.
Irrésistible, comme de nombreux films de Burt Lancaster dans les années 50 !
Modérateurs: Garion, Silverwitch
sheon a écrit:À 13h30, aussi, y avaitCaptain FlirtLe Corsaire Rouge.
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Que j'ai enregistré, hein, je suis pas retraité.
denim a écrit:oh punaise..."le 7e juré" sur ARTE.
avec mes préférés,Blier,Dalban,Delorme,Blanche,Monod,Barsacq,Biraud...
un bon Lautner.
denim a écrit:y a aussi deux bons films américains sur ARTE.
Hugues a écrit:Et ce soir, un inestimable doublé à s'offrir...
[...]
Mais surtout, plus précieux peut-être encore, parce que beaucoup plus rare à la télévision...
Nous parlions la semaine dernière de duos dont la contribution à l'oeuvre était parfois indissociable... et plus particulièrement nous avions cité Mikhaïl Kalatozov et son chef opérateur Sergueï Ouroussevski
Eh bien à 0h55 sur France 2...
Soy Cuba (1964) de Mikhaïl Kalatazov
Soy Cuba - Bande-annonce US 1995
Soy Cuba - Les cinq premières minutes
Vous avez bien vu! Et vous ne rêvez pas, je vous confirme que la steadicam n'existait pas en 1964 .. Ouroussevski est simplement un génie.
Et encore vous n'avez rien vu ! :
Soy Cuba - Funérailles
Il manque malheureusement le merveilleux début sur le visage du mort, du premier plan qui débute l'extrait..
Hugues
Hugues a écrit:Décidément, la barque du temps s'engage parfois dans des rapides, entre le temps où je vis sa programmation et aujourd'hui, je n'aurais eu le temps de l'évoquer..
C'est, je crois, le premier film que je vis en VHS, en vidéo (c'était une location, et malheureusement, il fallut le rendre)
Le Bal des Vampires est diffusé ce soir sur Arte à 20h50.
Et comme Arte, a visiblement entrepris depuis plusieurs mois, de se faire dicter sa programmation par l'acquisition des restaurations récentes, nous allons le voir comme le film n'a pas été visible depuis un bon moment.
Et ce d'autant plus que la restauration se dévoile ce soir en avant-première, elle n'a été montrée nulle part ailleurs.
(La résolution étant importante, vous pouvez le mettre en plein écran)
La bande-annonce américaine d'époque, territoire où le film avait été, sans l'accord de Roman Polanski à la fois remonté par la MGM pour le rendre plus "loufoque et cartoonesque", pour selon les propres mots de la monteuse en chef de MGM. ce que reflète la bande annonce. Afin de le promouvoir comme une farce le film avait, toujours sans l'accord du cinéaste été retitré 'The Fearless Vampire Killers, or Pardon Me, But Your Teeth Are in My Neck' (Les tueurs de vampires sans peur, ou Pardonnez-moi, mais vos dents sont dans mon cou) en lieu et place du titre original anglais Dance of the Vampires.
Le professeur Abronsius parcourt la Transylvanie avec son jeune assistant Alfred afin de démontrer l'existence des vampires. Les deux compagnons arrivent dans une auberge farcie de gousses d'ail. Persuadés d'être sur la bonne piste, ils interrogent les villageois, plutôt réticents. Mais le lendemain, la fille de l'aubergiste, Sarah, est enlevée par un vampire alors qu'elle prenait son bain. Son père, parti à sa recherche, est retrouvé gelé et vampirisé à son tour. Les efforts de sa femme pour lui enfoncer un pieu dans le cœur s'avéreront vains. Commence alors une chasse effrénée qui mène les deux héros au château du comte von Krolock, gardé par le bossu Koukol...
Ail, ail, ail
Dans cette parodie des films d'épouvante, Roman Polanski détourne avec brio les clichés du genre. Il conserve l'art jouissif du suspense horrifique mais le ponctue de grands éclats de rire libérateurs. C'est ainsi que le vampire juif déteste toujours l'ail, mais s'avère parfaitement indifférent aux crucifix ! La splendide héroïne rousse - Sharon Tate, alors l'épouse du cinéaste - semble passer la majeure partie de son temps à prendre des bains, tandis que le jeune premier - Roman Polanski lui-même - est un grand peureux. Une auberge peu reluisante, un château poussiéreux et funèbre donnent le ton à cette comédie à la fois grandiose et kitsch. On se croirait dans un long métrage de la Hammer, qui produisait des films de Dracula et de Frankenstein à la chaîne dans les années 50 et 60. La différence se joue dans la qualité. Roman Polanski dépasse le simple pastiche et soigne les images. Jack Mac Gowran et Ferdy Mayne incarnent de façon très convaincante les personnages d'Abronsius et du comte. Un régal.
(Arte)
Rainier a écrit:C'est peut être bien le film de Polanski qui a le plus mal vieilli
Maschum a écrit:Sur quoi ?
Maschum a écrit:De quoi tu parles ?
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