von Rauffenstein a écrit:Cortese a écrit:Il n'y a pas de mauvais films et des bons films. Il y a les films d'amour (qui sont généralement une addiction de nanas, comme le chocolat noir, le fromage de chèvre et le shopping) et les autres. Mais comme les grands réalisateurs sont des feignasses de première, ils font surtout des films d'amour. 1/ ça leur fait une clientèle captive aux yeux clairs. 2/ Personne n'ose dire du mal d'un film d'amour vu que nous vivons tous plus ou moins à l'ombre des rouleaux à pâtisserie 3/C'est très facile a faire un film d'amour, le scénario tient sur deux lignes, il n'y a pas de scènes d'action difficile, les acteurs actrices ont juste besoin de bouger leurs sourcils de temps en temps, ils n'ont même pas besoin d'apprendre des dialogues, y'en a pas. Saupoudrer de plans de coucher de soleil ou de neige sur les carreaux de la cuisine selon la saison. A oui, touiller très très lentement pour que ça prenne bien, sinon on verrait très trop que tout ça est integralement pompé sur les romans photos de dactylo des années 60.
Oauis mais attends. T'as le chef op de génie aussi.
Justement dans les films d'amour, les plans sont tellement longs sur le coucher de soleil sur le champ de carottes scintillant de myriades de petits cristaux de givre de la rosée du matin, c'est là qu'ils se distinguent les mecs.
Connard.
L'Italien là, super cadreur, superbes idées, il m'a niqué une baionette de Red ! 
était né à Berlin le 6 décembre 1929. Sa mère est issue de la dynastie des Habsbourg. Son père descend d'un Lorrain passé au service de cette même famille qui a longtemps régné sur l'Europe centrale. Rebelle aux académismes, Harnoncourt ne s'est jamais cantonné à un style, enregistrant le répertoire dans toute sa variété, jusqu'aux romantiques et à la musique du XXe siècle.
