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de **Stéphane** le 12 Déc 2014, 18:53

y avait Estella aussi

Puis madame Burton, aussi

de **Ouais_supère** le 12 Déc 2014, 20:24

heow a écrit:
Dawn of the Planet of the Apes là aussi c'est loin d'être à chier j'ai trouvé. L'antagonisme complet entre les deux singes est pénible, le premier film avait réussi à faire une histoire sans véritable "méchant", là c'est relou (particulièrement le combat final), mais bonnnnnnnnnnnnnnnnnn. Au delà de ça c'est bien foutu, les singes qui parlent ça fait toujours son effet.

Ben je ne sais pas, moi j'ai trouvé le récit hyper convenu, avec des loooooongueurs interminables. On voit bien l'effet recherché, une tension extrême entre deux peuples, avec une sorte d'émissaire (le personnage principal humain) qui joue le rôle du diplomate en équilibre sur une corde dont les deux bouts sont tirés, chaque camp comporte ses terroristes, c'est cool sur le principe, enfin ça me va, mais ça ne fonctionne pas vraiment (sur moi) parce que c'est trop prévisible dans les faits.

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de **sheon** le 14 Déc 2014, 13:15

J'ai vu Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées.

Mon dieu que c'est mal écrit. On a l'impression que Peter Jackson a voulu faire un pastiche de tous les clichés hollywoodiens possibles et imaginables. En plus, pour un film dont le titre évoque une bataille, on a droit à une baston beaucoup moins mémorable que Les Deux Tours et Le Retour du Roi. Quel gâchis. Même si le 1 et le 2 n'étaient pas irréprochables, ils sont à des kilomètres au-dessus de celui-ci. Peut-être que, tout simplement, Peter Jackson est meilleur en adaptation de roman qu'en inventant une histoire originale...

de **DCP** le 14 Déc 2014, 13:26

Ah mince, je voulais aller le voir, cela ne vaut donc pas la peine....

de **Owp** le 14 Déc 2014, 16:54

sheon a écrit:J'ai vu Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées.

Mon dieu que c'est mal écrit. On a l'impression que Peter Jackson a voulu faire un pastiche de tous les clichés hollywoodiens possibles et imaginables. En plus, pour un film dont le titre évoque une bataille, on a droit à une baston beaucoup moins mémorable que Les Deux Tours et Le Retour du Roi. Quel gâchis. Même si le 1 et le 2 n'étaient pas irréprochables, ils sont à des kilomètres au-dessus de celui-ci. Peut-être que, tout simplement, Peter Jackson est meilleur en adaptation de roman qu'en inventant une histoire originale...

L'indigence du scénario est le plus gros problème de cette saga.

de **Shoemaker** le 14 Déc 2014, 18:57

Bilbo est un superbe livre fantastique pour enfants.
Pour préparer au choc ultime du Seigneur des anneaux.
En faire une saga en 3 films, c'est du foutage de gueule.

de **sheon** le 14 Déc 2014, 20:11

DCP a écrit:Ah mince, je voulais aller le voir, cela ne vaut donc pas la peine....

Ah mais vas-y, tu auras peut-être une opinion différente de la mienne, et puis c'est un peu bête de s'arrêter au 5e des 6 films sans voir la fin

de **Aym** le 14 Déc 2014, 20:18

sheon a écrit:J'ai vu Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées.

Mon dieu que c'est mal écrit. On a l'impression que Peter Jackson a voulu faire un pastiche de tous les clichés hollywoodiens possibles et imaginables. En plus, pour un film dont le titre évoque une bataille, on a droit à une baston beaucoup moins mémorable que Les Deux Tours et Le Retour du Roi. Quel gâchis. Même si le 1 et le 2 n'étaient pas irréprochables, ils sont à des kilomètres au-dessus de celui-ci. Peut-être que, tout simplement, Peter Jackson est meilleur en adaptation de roman qu'en inventant une histoire originale...

Mais euh, comment dire... C'est une adaptation de roman.

Par contre, comme l'a dit Shoemaker, c'est crétin d'en avoir fait une trilogie.

de **sheon** le 14 Déc 2014, 20:25

Bah non, le roman se termine dans le premier quart d'heure du film. Le reste, c'est du remplissage à partir des annexes de Tolkien.

de **Aym** le 14 Déc 2014, 22:55

Vu tout ce qu'il reste à traiter du bouquin à la fin du deuxième film, s'il plie tout en un quart d'heure, il est super fort, le mec.

de **sheon** le 15 Déc 2014, 00:24

Bah dans le bouquin, Bilbo tombe dans les pommes et la bataille qui donne son nom au film n'est donc pas racontée.

de **Hugues** le 15 Déc 2014, 23:05

2 ans et demi après son dernier film à Venise, un chef d'oeuvre méconnu, voici le dernier film de celui qui est peut-être le plus grand cinéaste contemporain vivant, dont les images ont été dévoilées voilà 15 minutes.

Knight of Cups (Le Cavalier de Coupe)

avec Christian Bale, Cate Blanchett, Natalie Portman,
Brian Dennehy, Antonio Banderas, Freida Pinto, Wes Bentley,
Isabel Lucas, Teresa Palmer, Imogen Poots, Armin Mueller.
Et la voix de Ben Kingsley.

Compatible plein écran

Vision possible et recommandée en plein écran.

Téléchargement HQ (ou presque)

Le film fut tourné entre avril et août 2012, et sort donc de presque deux ans et demi de post-production.

Hugues

de **Stéphane** le 15 Déc 2014, 23:29

Il va bientôt nous en sortir un tous les 15 jours.

de **Cortese** le 16 Déc 2014, 00:48

Bah, un mélo sentimental, c'est pas compliqué à faire, y'a pas besoin de scénario, il suffit d'alterner les gros plans sur les yeux de merlan (- morue, alterner aussi) frit et des clips de pub pour station balnéaire (- dancing a la mode et toutes ces sortes de choses).

de **Hugues** le 16 Déc 2014, 01:26

Cortese a écrit:Bah, un mélo sentimental, c'est pas compliqué à faire, y'a pas besoin de scénario, il suffit d'alterner les gros plans sur les yeux de merlan (- morue, alterner aussi) frit et des clips de pub pour station balnéaire (- dancing a la mode et toutes ces sortes de choses).

M'enfin ce n'est pas un mélo Cortese.
Mais un film en quelque sorte sur le fils prodigue (un des sens du cavalier de coupe).

Un homme qui perd l'enfant, l'homme qu'il était, dans la célébrité à Hollywood. Avant de retrouver qui il est vraiment.

En somme, toujours le même film. Trouver le chemin pour rentrer chez soi, entrevoir rien qu'un instant de nouveau le paradis perdu.

Hugues

de **Hugues** le 16 Déc 2014, 02:25

Je ne croyais pas si bien dire..
Le distributeur français a publié un synopsis, avant même que ce ne soit fait en langue anglaise.
Et c'est exactement ça :

Il était une fois un jeune prince que son père, le roi de l’Est, envoya en Egypte à la recherche d’une perle. Mais quand le prince arriva, on lui présenta une coupe. Il but son contenu et oublia qu’il était le fils d’un roi, oublia la perle et tomba dans un profond sommeil. Le père de Rick (C. Bale) lui racontait cette histoire quand il était enfant.

La route de l’Est se déploie devant lui.

Va-t-il aller de l’avant ?

Hugues

de **Hugues** le 16 Déc 2014, 07:46

J'ai mis à jour, plus haut, la vidéo avec une version sous-titrée en français et pour ne rien gâcher de meilleure qualité.
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Par ailleurs, la version anglaise du synopsis a été dévoilée à son tour.
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Hugues

de **Aym** le 16 Déc 2014, 08:28

sheon a écrit:Bah dans le bouquin, Bilbo tombe dans les pommes et la bataille qui donne son nom au film n'est donc pas racontée.

Oui, effectivement. Mais Avec ce qu'ilreste du bouquin, y'a quand même de quoi faire au moins 1h30 de film. Après, je suppose qu'il était totalement hors de question pour un réalisateur de faire un film qui parle de bataille sans montrer la bataille en question. Histoire de pouvoir ajouter tout plein d'effets spéciaux à la con et des situations improbables.

Déjà, dans le 2, toute la scène de la bataille le long de la rivière, ça m'a gonflé. Comment ajouter des éléments à la con à un récit qui était simple et cohérent.

de **Silverwitch** le 16 Déc 2014, 13:39

Hugues a écrit:2 ans et demi après son dernier film à Venise, un chef d'oeuvre méconnu, voici le dernier film de celui qui est peut-être le plus grand cinéaste contemporain vivant, dont les images ont été dévoilées voilà 15 minutes.

En tout cas un des plus grands.

Hugues a écrit:Knight of Cups (Le Cavalier de Coupe)

avec Christian Bale, Cate Blanchett, Natalie Portman,
Brian Dennehy, Antonio Banderas, Freida Pinto, Wes Bentley,
Isabel Lucas, Teresa Palmer, Imogen Poots, Armin Mueller.
Et la voix de Ben Kingsley.

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Vision possible et recommandée en plein écran.

Téléchargement HQ (ou presque)

Le film fut tourné entre avril et août 2012, et sort donc de presque deux ans et demi de post-production.

Hugues

Fuck yeah !

de **Shoemaker** le 16 Déc 2014, 14:29

de **Hugues** le 18 Déc 2014, 14:00

Extrait des Actes apocryphes de l'Apôtre Thomas, acte gnostique* chrétien
ce qui suit est un poème iranien (ou parfois vu comme syrien) écrit, comme le reste des Actes en langue syriaque, dont seule la traduction grecque nous l'a transmise complète (à quelques mots non lisibles près):

Le Chant de la Perle (ou Hymne à la Perle | Hymne de l'âme )

« Encore petit enfant, j'habitais dans mon royaume, la maison de mon Père,
et l’abondance des richesses de mes parents me comblaient de joie,
lorsqu’ils m’envoyèrent loin de l’Orient notre région, après m’avoir équipé ;
et avec la richesse de notre trésor ils firent un paquet qu’ils m’attachèrent ;
il était gros et pourtant si léger qu’à moi seul je pouvais le porter.
C’était de l’or du pays d’Ellaye, de l’argent du grand royaume de Gasak,
des chalcédoines d’Inde, des pierres chatoyantes du pays de Kushân.
Ils me ceignirent du diamant qui taille le fer.

Ils m’enlevèrent le vêtement resplendissant que, dans leur amour, ils m’avaient fait,
et de mon manteau de pourpre, tissé et ajusté à ma mesure.
Ils conclurent un pacte avec moi et le gravèrent dans mon cœur, afin que je ne l’oublie pas :
« Si tu descends au fond de l’Égypte, et que tu rapportes la perle, l'unique
qui est au milieu de la mer, près du serpent sifflant,
tu revêtiras de nouveau ton vêtement resplendissant et ton manteau qui le recouvre,
et avec ton frère, notre Second, tu seras héritier de notre royaume. »

Je quittai donc l’Orient. Je descendis et avec moi deux compagnons
car le chemin était difficile et semé d’embûches, et j’étais encore jeune pour un tel voyage.
Je franchis les frontières de la Mésène, le point de rencontre des marchands de l’Orient.
J'atteignis le pays de Babel et passai les murs de Sarbug.
Je descendis au fond de l’Egypte et mes compagnons me quittèrent.
Je me dirigeai directement vers le serpent et j'habitai aux alentours de sa demeure,
attendant qu’il s’endorme et se repose afin de lui enlever la perle.
Alors qu’ainsi j'étais seul, isolé, je fus un étranger par rapport aux habitants.

Je vis là, venu d’Orient, un fils de ma race, un homme libre,
un homme jeune, beau et gracieux,
un fils de l’onction qui vint s'attacher à moi ;
et je fis de lui mon confident, mon compagnon à qui je confiai mon affaire ;
suivi d'une mise en garde contre les Égyptiens et le contact avec les êtres impurs ;

et je revêtis leurs vêtements, afin que personne ne me soupçonnât d’être un étranger venu
pour s’emparer de la perle, et pour que les Égyptiens ne réveillent pas le serpent contre moi.
Mais pour une raison ou pour une autre, ils remarquèrent que je n’étais pas de leur pays;
et par leurs ruses perfides ils me prirent au piège et me donnèrent à manger de leur nourriture.
J’oubliai que j’étais fils de roi et je fus l’esclave de leur roi.
J’oubliai la perle pour laquelle mes parents m’avaient envoyé
et à cause de la lourdeur de leur nourriture, je tombai dans un profond sommeil.

Mais mes parents surent tout ce qui m’était arrivé, et en furent affligés.
Un message fut proclamé dans notre royaume, ordonnant à tous de venir à notre porte,
les rois et les chefs de Parthie, tous les grands de l’Orient,
Et ils décidèrent de ne pas m’abandonner en Égypte.
Ils m’écrivirent alors une lettre, que chaque grand signa de son Nom :
« De ton Père, le Roi des Rois, de ta Mère, la souveraine de l’Orient,
et de ton Frère, notre second, à toi, notre Fils en Égypte, paix !
Lève-toi, sors de ton sommeil et entends les paroles de notre lettre.
Souviens-toi que tu es fils de roi. Vois dans quel esclavage tu es tombé.
Souviens-toi de la perle pour laquelle tu as été envoyé en Égypte.
Rappelle-toi ton vêtement resplendissant, pense au manteau glorieux
que tu revêtiras et dont tu te pareras, lorsque dans le livre des héros ton nom sera écrit
et qu’avec ton frère, notre Second, tu hériteras de notre royaume.»

Le Roi avait scellé la lettre de sa main droite
loin de la méchanceté des fils de Babel et des démons furieux de Sarbug.
Elle s’envola comme l’aigle, le roi de tous les oiseaux;
elle vola, se posa près de moi et devint toute parole.
À sa voix et au son de son cri je m'éveillais, et je me levai de mon sommeil.
Je la pris contre moi, l’embrassai, défis son sceau et lus.
Les paroles de la lettre étaient celles-là mêmes qui étaient gravées dans mon cœur.
Je me souvins alors que j’étais fils de roi, et que ma naissance libre aspirait à son origine.
Je me souvins de la perle pour laquelle j’avais été envoyé en Égypte,

Et je commençais à charmer le terrifiant serpent sifflant.
Je le plongeai dans le sommeil en prononçant sur lui le nom de mon Père,
le nom de notre Second et celui de ma Mère, la reine de l’Orient.
Je m'emparais alors la perle, et je me retournai vers la maison de mon Père.
Leur vêtement souillé et impur, je m’en dépouillai et le laissai dans leur pays ;
je pris le chemin vers la lumière de l’Orient, notre région.
Ma lettre, qui m’avait tiré hors du sommeil, me précédait sur le chemin ;
de même qu’elle m’avait éveillé par sa voix, elle me guidait maintenant par sa lumière:
l’éclat resplendissant de la soie de Séleucie m’éclairait.
Par sa voix et par sa direction, elle encourageait ma hâte
et m’attirait dans son amour.
Je sortis (d’Égypte), passai Sarbug, laissai Babel sur ma gauche
et parvins à la grande Mésène, le port des marchands
qui se trouve sur le bord de la mer.

Mon vêtement resplendissant que j’avais quitté, et mon manteau qui le recouvrait,
mes parents les avaient envoyés là-bas, depuis les hauteurs d'Hyrcanie,
par leurs trésoriers, à qui on les avait confiés à cause de leur fidélité.

Alors que je ne me souvenais plus de son arrangement, car j’étais encore enfant lorsque je l’avais laissé dans la maison de mon Père,
soudainement, lorsque je le rencontrais, tel un miroir, le vêtement resplendissant me ressembla.
Tout entier, je le vis en moi-même, comme moi-même je me retrouvai en lui,
car deux nous avions été dans la division, et à nouveau, nous étions un en une forme unique.
Il en fut de même pour les trésoriers qui me l’avait apporté, je vis aussi
qu’ils étaient deux en une seule forme, car unique était le sceau gravé sur eux, celui du roi,
qui, par leurs mains, me rendait le gage de ma richesse,
mon vêtement resplendissant, magnifique, orné d’éclatantes couleurs,
d’or, de béryles, de chalcédoines et de pierres chatoyantes,
et de teintes variées ; il était achevé conformément à sa grandeur,
toutes ses coutures bien cousues, rehaussées de diamants.
L’image du Roi des rois le recouvrait tout entier
et des pierres de saphir avaient été fixées dans sa partie haute.

Je vis qu'en lui tout entier des mouvements de connaissance palpitaient,
et comme à parler, je vis aussi qu’il s’apprêtait ;
j’entendis le son des mélodies qu’il murmurait en descendant :
« Je suis le plus dévoué des serviteurs, j’ai été taillé au service de mon Père ;
j’ai senti que ma taille croissait avec ses œuvres. »
Dans son émotion royale, il se tendait vers moi de tout son être
et me poussait à le recevoir des mains de ceux qui le présentaient.
Mon amour me pressait aussi à courir à sa rencontre et à le recevoir.
Je me tendis vers lui et le reçus. Je me parai de la beauté de ses couleurs,
et m’enveloppai tout entier de mon manteau aux teintes éclatantes.
Ainsi revêtu, je remontai à la porte du salut et de la prosternation.
Je penchai la tête, et je me prosternai devant la splendeur de mon Père qui m’avait envoyé ce vêtement,
dont j’avais suivi les ordres et qui avait accompli ce qu’il avait promis.
Et, aux portes du palais qui existait depuis le début, je me mêlai à ses princes.

Il se réjouit à mon sujet et me reçut, et je fus avec lui dans son royaume.
Tous ses serviteurs le louaient devant son [trône] en l’invoquant.
Il me promit que j’irai aussi avec lui à la porte du Roi des rois,
et que je paraîtrai en même temps que lui devant notre Roi, avec l’offrande de ma perle.

L'âme est un esprit perdu dans un monde de matière, qui a oublié sa véritable origine divine. Mais un salut lui est possible, un message révélatoire délivré par un messager*

C'est justement toute la pensée gnostique: elle diffère des religions d'Abraham par le fait que quand ce sont des religion de la voie du salut (la foi en la divinité est la clé du salut), la Gnose comme le Bouddhisme ou l'Hindouisme poursuit la voie de l'illumination : nous sommes des êtres divins, qui l'avons oublié. Cette révélation, cette illumination permet de retrouver le Divin, nous pouvons tous être le Christ .
*: le messager étant le Christ dans la Gnose chrétienne

Ce texte est d'ailleurs aussi considéré comme un trésor dans le Manichéisme (Gnose non-chrétienne née en Iran) et a suscité l'admiration de biens des penseurs du Christianisme Orthodoxe.

Hugues

*: la Gnose est antérieure aux religions judéo-chrétienne, et semble-t-il d'inspiration orientale ; la Gnose est probablement le terreau culturel du judaïsme et du christianisme, les similarités entre Jésus, le Messie et le Bouddha naissent de cette parenté (la Gnose est-elle d'inspiration Bouddhique, ou descend-elle d'un ancêtre commun à celle-ci et au Bouddhisme?) ; et la Gnose a vu dans le Christ l'incarnation du message gnostique et s'est rattachée au christianisme avant d'être déclarée au VIe siècle comme hérétique. C'est donc un miracle que les Actes de Thomas nous soient parvenus, même si la partie la plus gnostique, non-orthodoxe du texte syriaque a été perdue ou modifiée dans la censure pratiquée par le Christianisme naissant puis l'Eglise (la version grecque permettant toutefois de connaitre ces passages), contrairement à la plupart des Evangiles et Actes gnostiques. Le tirage au sort avait réservé à l'Apôtre Thomas l'évangilisation de l'Inde (ou plus précisément ce qui était alors le royaume indo-parthe de Taxila, aujourd'hui le Pakistan)

de **Sylex** le 21 Déc 2014, 11:16

"Le trou" (1960) passait ce matin sur cine polar. Superbe.

http://www.critikat.com/panorama/analyse/le-trou.html

Le Trou
réalisé par Jacques Becker

« Le trou », c’est la prison. L’espace, c’est une cellule de la Santé à Paris. Le projet des détenus qui l’occupent, unis par le hasard, c’est l’évasion, le retour à la liberté. « Le trou », c’est ce qu’ils creusent à partir de leur cellule. Tendus vers leur dessein, ils vivent, après la solitude, la solidarité et la confiance. L’amitié naît et grandit aussi. Comme suspendu, le temps qui est la clef de la réussite, grâce à la patience et l’effort, façonne cet univers d’hommes d’honneur en marge des règles du monde judiciaire. Mais comme dans toute aventure humaine, la liberté a un prix.

de **DCP** le 22 Déc 2014, 23:30

Vu le Sel de la Terre, un film sur la vie du photographe Sebastiao Salgado.

Superbe, déjà, rien que pour les images de Salgado. Le rythme, tant au niveau des images que du texte, l'alternance du noir&blanc (d'habitude, je n'aime pas le noir&blanc, mais là) et des passages aux couleurs un peu délavées, cela donne un film qui incite à la réflexion, qui permet au spectateur d'avoir le temps de bien le regarder.

Et c'est une formidable leçon de ce qu'est le travail d'un photographe, qui a une vision, un but, un projet et en même temps le parcours d'un homme, une réflexion sur ce qu'est l'homme dans sa diversité et sur le rapport de l'homme et de la nature.

de **Aym** le 23 Déc 2014, 00:08

Vu Astérix, le domaine des dieux, en famille.
On sent la patte d'Alexandre Astier, et c'est un régal.

de **lovecraft** le 23 Déc 2014, 14:18

J'ai vu avec retard Transformers 4, l'âge de l'extinction. Je n'ai jamais vu un film avec autant de placements produits, et en plus peu subtils.

de **Nuvo** le 23 Déc 2014, 15:04

Vu le Hobbit 3. Un beau nanard. La magie a complétement disparue...

de **palikou** le 24 Déc 2014, 13:14

J'ai été voir "Exodus".
C'est assez distrayant, les images sont bien faites. C'est cependant une production à l'américaine...
Les personnages sont peu présentés et mal mis en scène (en tout cas, pour Ramsès 2, qui hélas est montré sur un très mauvais jour).
J'apprécie très moyennement cette adaptation libre avec l'Histoire.

de **DCP** le 30 Déc 2014, 01:31

Vu Hunger Games: la révolte, partie 1. C'est énervant ces films en deux parties avec une année entre les deux parties. :evil:

J'ai bien aimé l'idée de traiter la révolte comme étant une bataille d'image, de propagande avant tout et de voir le machiavélisme des dirigeants et que finalement les 'héros' sont plutôt manipulés et emportés par le cours des choses sans pouvoir trop agir. Bon, il y a toujours une histoire d'amour un peu nunuche entre deux ados, mais ce n'est pas si grave que cela.

de **palikou** le 30 Déc 2014, 13:11

Aym a écrit:Vu Astérix, le domaine des dieux, en famille.
On sent la patte d'Alexandre Astier, et c'est un régal.

Je l'ai vu hier.
On retrouve avec plaisir l'univers "Astier" et ce qui a fait le succès de Kaamelott.
Le fait de connaître la série d'Astier est un plus, mais même sans l'avoir vu, on peut y prendre goût.

Les voix sont très bien choisie. On écoute avec beaucoup de plaisir Alain Chabat et Florence Foresti (très bien!).
Alexandre Astier a très bien choisi son rôle (y a moyen de faire des parallèles avec Kaamelott, encore) et que dire du "retour" de Roger Carel!!!
On peut aussi entendre la voix de Franck Pitiot (Perceval dans Kaamelott) et sa réplique culte "c'est pas faux".

Au niveau des dessins et de l'animation, rien à dire. Les personnages sont très bien reproduits.
Je n'ai pas relu la BD avant d'aller voir le film (pour éviter d'être dérangé par des comparaisons) mais selon mes souvenirs, le scénario est très fidèle. Personnellement, j'aurai aimée voir Obélix insister un peu plus pour recevoir de la potion magique... C'est le gag répétitif qui manque, je trouve.

de **Toma** le 30 Déc 2014, 13:21

Vu Gone Girl: très bon film. Long, mais ça ne se ressent pas.

The Equalizer, un bon Denzel Washington qui tue tout le monde

Reasonnable doubt: pas top. Ça aurait pu être bien, mais pour tenir en 1h30, le film prend des raccourcis.l

de **Kadoc** le 30 Déc 2014, 13:28

J'ai vu le Hobbit, c'est vrai que c'est pas terrible mais bon j'ai un faible pour ce genre de trucs grandiloquents donc ca passe.

de **Silverwitch** le 02 Jan 2015, 17:06

2015:

de **Stéphane** le 03 Jan 2015, 01:41

J'ai regardé Inception, ce soir. J'aurais pas du attendre si longtemps.

de **Aym** le 03 Jan 2015, 16:58

palikou a écrit:Je n'ai pas relu la BD avant d'aller voir le film (pour éviter d'être dérangé par des comparaisons) mais selon mes souvenirs, le scénario est très fidèle.

Non, le scénario est fidèle à l'esprit de la BD, mais pas à la BD : dans la BD, seul un immeuble est construit, et pour faire fuir les romains, les gaulois y installent assurancetourix. Et le village n'est pas déserté par ses habitants.
Mais ça reste quand même tout à fait dans l'esprit de la BD.

de **Stéphane** le 04 Jan 2015, 23:02

Stéphane a écrit:J'ai regardé Inception, ce soir. J'aurais pas du attendre si longtemps.

Hier, il y avait la Soupe aux Choux. J'ai regardé et je sais pas si je m'en remettrait un jour.

de **Aym** le 04 Jan 2015, 23:34

Pourtant y'a une super bande annonce qui est sortie y'a pas longtemps

de **sheon** le 05 Jan 2015, 20:57

Stéphane a écrit:
Stéphane a écrit:J'ai regardé Inception, ce soir. J'aurais pas du attendre si longtemps.

Hier, il y avait la Soupe aux Choux. J'ai regardé et je sais pas si je m'en remettrait un jour.

Je n'ai jamais vu ce film en entier. Difficile de tenir, en même temps.

de **Silverwitch** le 06 Jan 2015, 13:04

Demain au cinéma:

Valentin, Valentin, un film de Pascal Thomas.

de **Ouais_supère** le 06 Jan 2015, 13:10

Noté.

Sinon, tout arrive, j'ai enfin vu Mary Poppins, à la TV, ces vacances.
J'ai pas réussi à jouer les rabat-joie, malgré mes efforts, du coup j'ai beaucoup aimé, comme un con, comme tout le monde.

Chim chiminey
Chim chiminey
Chim chim cher-oo!
Good luck will rub off when
I shake hands with you
Or blow me a kiss
And that's lucky too

de **Maverick** le 06 Jan 2015, 13:13

J'ai vu la famille Bélier et j'ai passé un bon moment.

de **Cortese** le 06 Jan 2015, 13:35

Je suis embêté, j'ai juré de ne jamais accepter de voir un film avec un couple sur l'affiche, mais là ils sont trois. Est ce qu'il est une fois et demi plus chiant qu'une romance sentimentale standard ou chiant à seulement 75% ? Il faudrait que je trouve un asocial qui accepterait de le tester à ma place.