Modérateurs: Garion, Silverwitch
Capet a écrit:Tiens merci d'avoir abordé le Qi, je pensais pas que ça fonctionnait sur le GS4 !
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
Tarod a écrit:denim a écrit:t'aurais dû acheter çà...
Moi qui suis du genre à conserver les portables assez longtemps c'est type de projet qui m'intéresse vraiment
FranceTVInfo.fr a écrit:Rachat de SFR : Vivendi ouvre des négociations exclusives avec Numericable
Le conseil de surveillance de Vivendi a décidé, vendredi 14 mars, d'ouvrir des négociations exclusives avec Numéricable, pour le rachat de sa filiale SFR.
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 14/03/2014 | 14:25 , publié le 14/03/2014 | 14:16
Numericable a bel et bien pris le dessus sur Bouygues. Le conseil de surveillance de Vivendi a décidé, vendredi 14 mars, d'ouvrir des négociations exclusives avec Altice, maison-mère de Numericable, pour le rachat de sa filiale SFR. La période de négociations exclusives s'étalera sur de trois semaines, à l'issue desquelles le conseil de surveillance du groupe de télécoms et de divertissement se réunira à nouveau.
"Il (le conseil) estime que cette offre est la plus pertinente pour les actionnaires et les salariés du groupe et qu'elle offre la meilleure sécurité d'exécution", précise le communiqué. Dans le document, Vivendi précise qu'Altice lui propose 11,75 milliards d'euros, ainsi qu'une participation de 32% dans la nouvelle entité Numericable-SFR, en vue de prendre le contrôle du numéro deux français du mobile.
LeFigaro.fr avec AFP a écrit:SFR: Vivendi ne prend pas de décision ce vendredi soir
Par Lefigaro.fr avec AFP
Mis à jour le 04/04/2014 à 20:52 Publié le 04/04/2014 à 20:34
Le groupe a annoncé vendredi soir qu'il suspendait ses travaux, sans être parvenu à une décision quant à la cession de l'opérateur. L'étude des offres d'Altice et de Bouygues se prolonge ce week-end.
Vivendi ne prendra pas de décision ce vendredi soir quant à la cession de SFR. Le groupe suspend ses travaux mais continuera à étudier les offres ce week-end.
Vivendi était en négociations exclusives avec Altice, propriétaire de Numericable, pour lui céder SFR. Mais Bouygues, qui était en compétition avec Altice pour récupérer l'opérateur, a récemment surenchéri, offrant à Vivendi une nouvelle alternative.
LeFigaro.fr avec AFP a écrit:Bouygues sort l'artillerie lourde pour emporter SFR contre Numericable
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Par Elsa BembaronMis à jour le 04/04/2014 à 20:53 Publié le 04/04/2014 à 11:42
VIDÉO - Bouygues met 15 milliards sur la table et mobilise des poids lourds du capitalisme français pour soutenir sa proposition, qui sera étudiée ce week-end par Vivendi. Le groupe n'a pas souhaité prendre de décision dès ce vendredi soir.
Cette fois, il sera difficile de passer outre. À quelques heures du conseil de surveillance de Vivendi qui doit statuer sur l'offre de rachat d'Altice-Numericable, Bouygues fait une démonstration de force pour le faire plier. En pleine séance de Bourse, le groupe de Martin Bouygues dévoile une nouvelle offre, avec un volet en numéraire qui passe à 15 milliards d'euros et une participation réduite 10% de Vivendi dans le nouvel ensemble SFR-Bouygues Telecom. C'est 1,85 milliard d'euros de plus en cash que celle datant du 20 mars. C'est aussi 3,25 milliards d'euros de plus qu'Altice-Numericable qui offre 11,75 milliards d'euros en numéraire et 32 % de l'ensemble SFR-Numericable à Vivendi.
La nouvelle offre de Bouygues valorise SFR à 16 milliards d'euros avant synergies et «à 16,5 milliards d'euros en intégrant les 5 milliards d'euros de synergies sécurisées grâce aux économies résultant de la cession du réseau à Free», précise Bouygues. Les 500 millions d'euros de synergies supplémentaires correspondent aux 10 % de participation de Vivendi dans le nouvel ensemble. Cette offre est valable jusqu'au 25 avril.
Mobilisation générale
Pour formuler cette nouvelle offre, Bouygues a sonné à la mobilisation générale. AXA, la Caisse des Dépôts, GIMD (famille Dassault (propriétaire du Figaro, ndlr), JC Decaux Holding (famille Decaux), GIC (Fonds souverain de Singapour), Ontario Teachers'Pension Plan Board, la famille Pinault et Reuben Brothers Ltd, font notamment partie du tour de table et apportent 2,85 milliards d'euros de cash au projet de Bouygues. Ce qui permet aussi à ce dernier de ne pas recourir davantage à l'endettement et de conserver son précieux statut «investment grade», indispensable pour accéder à des financements à des taux avantageux.
Bouygues apporte 850 millions d'euros en complément de l'apport de sa participation dans Bouygues Telecom, et restera l'actionnaire de contrôle du nouvel ensemble, avec 51 % du capital de la nouvelle entité, aux côtés de Vivendi (10 %) et des autres partenaires industriels et institutionnels (39 %). L'introduction en Bourse du nouvel ensemble est prévue dès la réalisation de la fusion. Compte tenu des délais réglementaires, cette introduction en Bourse aurait lieu à la mi-2015, au mieux.
«Aucun licenciement économique collectif, plan social ou plan de départ volontaire»
Les engagements de Bouygues.
Bouygues renouvelle aussi ses engagements sur l'emploi, s'engageant à le procéder à «aucun licenciement économique collectif, plan social ou plan de départ volontaire» pendant une durée de 36 mois, à compter de la signature d'un accord de rapprochement. Un peu plus tôt, dans la journée, le syndicat FO avait ouvertement pris parti pour l'offre de Bouygues.
Contactés par Le Figaro, Vivendi et Altice-Numericable n'ont pas encore réagi à cette nouvelle offre. Néanmoins une partie de la discussion devrait porter sur la valorisation de SFR, qui varie proportionnellement à la part en cash qu'elle comporte. En effet, plus la part est cash est importante, moins la participation de Vivendi dans le nouvel ensemble l'est ce qui diminue mécaniquement la participation que Vivendi tirera des bénéfices futurs de la nouvelle entité, bénéfices aussi liés aux synergies escomptées. Ainsi, l'offre qui comporte 15 milliards de cash valorise SFR 16,5 milliards, tandis que celle avec 11,3 milliards d'euros de cash valorise SFR a près de 20 milliards d'euros en prenant en compte l'intégralité des synergies.
Seb a écrit:Je vais bientôt devoir choisir le mien. Vous me conseillez quoi dans les smartphones haut de gamme, exception faite de l'iPhone ? Galaxy S5 ou Sony Xperia Z2 ? Ou autre chose encore ?
LeMonde.fr a écrit:SFR : Vivendi choisit l'offre de Numericable
Le Monde.fr avec AFP | 05.04.2014 à 16h08 • Mis à jour le 05.04.2014 à 16h22
Le Conseil de surveillance de Vivendi a choisi, samedi 5 avril, « à l'unanimité », de retenir l'offre de Numericable et sa maison mère Altice au détriment de celle de Bouygues.
« Au terme de débats approfondis, le Conseil de surveillance a décidé, à l'unanimité, de retenir l'offre d'Altice-Numericable, qui correspond au projet industriel le plus porteur de croissance, le plus créateur de valeur pour les clients, les salariés et les actionnaires, et répondant le mieux aux objectifs de Vivendi, a déclaré le groupe dans un communiqué. Cette décision met un terme au projet de mise en Bourse de SFR. »
« Le Conseil de surveillance a entendu le rapport du Comité spécial mis en place pour étudier les différentes options offertes à Vivendi. Ce Comité, assisté de ses propres conseils, a analysé les offres d'Altice-Numericable ainsi que celles du groupe Bouygues au cours de huit séances de travail tenues tant à huis clos qu'en présence de l'ensemble des conseils [banquiers et avocats] », a-t-il poursuivi.
LUTTE ACHARNÉE
Bouygues et Altice-Numericable mènent depuis début mars une lutte acharnée pour convaincre Vivendi de leur céder SFR, deuxième opérateur français. Alors que Numericable était en pourparlers avec Vivendi depuis de longs mois, Bouygues a publiquement annoncé son intérêt pour SFR, ce qui a amené Numericable à renchérir.
Mais, le 14 mars, Vivendi a tout de même annoncé qu'il entrait en négociations exclusives avec le câblo-opérateur avec comme date butoir le 4 avril, sur la base d'une offre qui prévoit un paiement de 11,75 milliards d'euros pour Vivendi, ainsi que l'attribution de 32 % du capital de la nouvelle entité.
Malgré ce camouflet, Bouygues, opiniâtre, n'a pas baissé les armes et a, au contraire, amélioré peu à peu son offre pour atteindre 15 milliards d'euros en numéraire, et 10 % du nouvel ensemble pour Vivendi, dans une dernière offre annoncée vendredi matin et valable jusqu'au 25 avril.
Kadoc a écrit:T'as le choix: achete un sac ou dis adieu a tes burnes a cause des ondes.
DCP a écrit:As-tu vraiment besoin d'internet ? Car sinon, reviens à un téléphone portable basique, tu peux en trouver des plus petits que les smartphones.
Xave a écrit:Mon Xperia Mini pro commence à déconner. L'utilisation internet est de plus en plus lente et certaines touches tactiles répondent une fois sur deux avec retard.
Je suis normalement sur un abonnement avec téléphone, que je viens de changer.
Je n'ai pas envie de mettre beaucoup de pognon dedans et surtout, je veux éviter de me trimballer un truc trop encombrant. Je sens qu'il ne va bientôt plus y avoir le choix, mais mettre un téléphone dans une poche de jean, c'est quand même pratique. Pas envie non plus de me retrouver coincé par les mises à jour Android, du coup pas une version trop ancienne...
Bref, c'est la loose !
En gros, chez Orange, j'ai :
- Samsung Galaxy Lite
- Sony Xperia E1
- Sony Xperia M
Sinon, 'faut de suite se délester de 130 € pour un Galaxy 4S que je trouve déjà grand...
Qu'est-ce que ça donne côté qualité/performances sur ceux-là ? Y a d'autres choses modèles de taille "raisonnable" qui existent ?
Xave a écrit:"Bien moins cher", c'est 5 euros par mois, sur 24 au prix de la plupart des mobiles c'est pas déterminant, je trouve.
Bon, je suis passé voir et j'ai constaté par moi-même que pour un smartphone, c'était hopeless de trouver quelque chose de vraiment compact comme l'était mon Xperia, donc tant qu'à faire, j'ai cassé la tirelire pour le S4mini.
Light is right, pas envie de me taper une housse. L'écran est fragile côté rayures ? Y a vraiment besoin ou pas de mettre un film ?
Xave a écrit:"Bien moins cher", c'est 5 euros par mois, sur 24 au prix de la plupart des mobiles c'est pas déterminant, je trouve.
Les deux répresentants du groupe Bouygues n'ont pas mis pas longtemps à dépeindre une situation inquiétante pour l’opérateur rétrogradé au quatrième rang :
"Nous sommes confrontés à un problème de taille critique. Pour faire face à nos coûts fixes, c’est-à-dire à l’extension du réseau, il nous faut plus de clients, d’où notre offre de rachat de SFR, qui a échoué. Les résultats en matière de 4G n’ont pas été à la hauteur de nos espérances, l’un de nos concurrents ayant décidé en décembre dernier de galvauder la 4G en proposant un abonnement à 20 euros. "
Le projet de Bouygues Télécom est de continuer de réduire "de façon drastique" ses coûts de fonctionnement. Au programme des économies de "300 millions supplémentaires après avoir réduit nos coûts de fonctionnement de 600 millions d’euros en deux ans. Notre objectif est d’économiser un milliard par an d’ici trois ans."
Les deux dirigeants de Bouygues confirment également que l’emploi au sein de l’opérateur sera concerné par ces réductions de coûts : Un comité exceptionnel se réunira le 11 juin : "nous annoncerons des réductions d’emplois, condition pour continuer à vivre dans un monde à quatre opérateurs."
Orange ayant manifesté son intérêt, le ministère de l’Economie, du redressement productif plaidant pour un retour à trois opérateurs, beaucoup conviennent à annoncer que c’est Bouygues Télécom qui est sur un siège éjectable. Mais pour les deux dirigeants l’opérateur ne veulent pas abdiquer sans se battre "nous ne voulons dépendre de personne pour restaurer notre rentabilité et pouvoir réaliser les investissements dont nous avons besoin."
Bouygues Télécom affiche ainsi un discours pessimiste sur une situation qu’il estime "ubuesque" : "nous estimons que le bon sens ne va pas l’emporter, et que nous ne pouvons plus guère espérer une intervention des pouvoirs publics." C’est donc le chantage à l’emploi qui est de mise :
"Nous avons donc décidé, chez Bouygues Telecom, de nous organiser par nous-mêmes pour survivre avec moins de revenus, en réduisant sensiblement la taille de l’entreprise, ce qui aura donc des conséquences sur l’emploi, hélas."
L’autre solution trouvée par Bouygues est cet accord de mutualisation avec SFR. L’opérateur annonce ainsi que ce partenariat sera maintenu : "dans la mesure où ce contrat de mutualisation a pour nous un intérêt économique réel, nous avons la volonté de le poursuivre." Pour lui, "les zones où nous intervenons ensemble sont celles où la rentabilité de Bouygues n’est pas avérée et où celle de SFR a beaucoup baissé" soit selon les termes de leur accord, 57 % de la population.
Enfin du côté du déploiement du très haut débit fixe, Bouygues annonce avoir signé un contrat avec SFR pour développer la fibre optique "dans les zones très denses" et "avoir signé une convention avec France Télécom pour cofinancer la fibre dans les zones moyennement denses".
Pour les deux représentants de Bouygues Télécom, l’ensemble de leurs difficultés proviennent de l’arrivée du quatrième opérateur et la liste des accusations à l’égard de Free Mobile est plutôt longue : "nous contestons les conditions financières d’attribution de la licence avec un rabais sur les prix et les conditions d’introduction du quatrième opérateur sur le marché."
Pour Bouygues Télécom, l’accord d’itinérance avec Orange est "une violation manifeste de la concurrence. Ses prix d’abonnement très bas nous ont obligé à nous aligner, détruisant par là même nos capacités d’investissement."
Pour Bouygues Télécom, "l’itinérance est un « cancer » dans les zones très denses" et ce n’est pas la première fois qu’il le dénonce, Free Mobile n’investit pas assez dans le déploiement de son réseau : "Free explique qu’il a beaucoup de mal à déployer son réseau parce qu’il est devenu très difficile de trouver des sites. On sent bien que du côté du régulateur, on a très envie de le croire. Mais je pose la question : Orange vient d’installer 5 000 sites 4G en moins de 20 mois pour rattraper le retard qu’il avait sur Bouygues Telecom, pourquoi Free ne serait pas capable d’installer plus de 2800 sites en cinq ans ? Quand on veut, on peut !"
Mais pour les deux hommes représentant Bouygues Télécoms, concernant Free Mobile, le calcul est simple : "avec des abonnements à 20 euros, il est impossible de couvrir les dépenses d’investissement, sauf à dégrader ses comptes, ce que Free ne veut bien sûr pas faire. Elle est là, l’explication. Mais l’autorité de régulation ne faisant rien, ne réagissant pas, la situation économique des trois opérateurs continue de se dégrader."
Ayant interpelé sur le sujet l’Autorité de la Concurrence, Arnaud Montebourg, l’ARCEP, Bouygues Télécom a ainsi l’impression que ses plaintes sur le sujet n’ont pas été entendues : "j’ai fini par saisir le conseil d’Etat il y a trois semaines" lequel a renvoyé Bouygues Télécom vers l’Autorité de la Concurrence.
Pour lui le calcul de la couverture par l’ARCEP en vue du respect des obligations de Free en matière d’investissement est aussi biaisé : "Ce qui est vérifié par l’Arcep, c’est la couverture théorique par le réseau de Free, mais pas la couverture effective. Quelle est la différence ? Tout simplement le nombre d’antennes dont vous avez besoin pour couvrir effectivement et éponger tout votre trafic quand vous n’avez pas le filet de sécurité d’Orange. [...] Quand le nombre de communications augmente sur un relais de Free, réduisant par la même, la qualité, l’itinérance prend le relais. Tel n’est pas le cas pour nous, qui devons augmenter le nombre de pylônes pour maintenir la qualité de notre réseau. Ces différences de traitement ne sont pas prises en compte par l’Arcep."
Opinion similaire sur le dossier des zones blanches, dossier pour lequel l’ARCEP a ouvert une enquête administrative la semaine passée. Bouygues Télécom s’en prend une nouvelle fois à Free :
"Savez-vous que le dernier opérateur mobile ne paie pas pour les zones blanches ? Alors, pour quelles raisons un Bouygues Telecom appauvri devrait-il couvrir un tiers des dépenses pour installer la 3G sur tout le territoire alors que celui qui a déstabilisé le secteur et qui s’est enrichi n’a rien à payer ? C’est bien sûr scandaleux ! Il faut réviser la convention et s’assurer que les quatre opérateurs investissent. Nous sommes exsangues et devons faire face à une règle du jeu faussée. Nous faire ainsi rouler dans la farine nous tue !"
Ouais_supère a écrit:Stef, t'es chiant
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