Le salon francophone est dédié aux sujets n'ayant pas de lien avec la F1 ni autres sports mécaniques. C'est un salon pour se détendre en refaisant le monde.
metomoll a écrit:Je suis allé voir Django Unchained hier soir.
Je n'ai pas retrouvé autant la patte de Tarantino comme dans ses autres films, hormis dans les scènes violentes, voire carrément sanguinolentes, et certains gros plans. Mais c'est un très bon film, quoiqu'un peu long sur la fin. Le choix des acteurs est je trouve magistral, aussi bien dans les rôles principaux que pour les seconds et troisièmes couteaux. Difficile de faire mieux. Mention particulière à Christoph Waltz que j'ai trouvé encore plus fabuleux que dans Inglorious Bastards. Avez vous reconnu Tom Wopat (Luke Duke de la série Dukes of Hazzard) dans le rôle d'un shérif ? clin d'oeil volontaire de Tarantino ? Je suis par contre légèrement déçu par Samuel L Jackson qui je trouve a trop "surjoué" son rôle (en revanche son grimage est génial, je ne l'avais pas reconnu au premier regard) Par contre, j'ai quand même du mal à faire le rapprochement avec le style western spaghetti qu'on cherche à lui coller...
J'ai enfin pu voir Django hier.
Peu de choses à rajouter sur ce que tu as dit. Le film dans l'ensemble est agréable, les acteurs vraiment bien. Contrairement à toi, un peu dérouté au début par Samuel L. Jackson, mais moi j'ai plutôt aimé son rôle volontairement caricatural.
Le film parle est sur fond d'esclavage mais n'en rajoute pas, avec parfois quelques petits "flashes" quand même pour qu'on se rende compte de la réalité de l'époque, le tout avec une belle dose d'humour.
Après, le tout reste relativement classique au niveau des personnages: le gentil blanc, le héros noir qui est prêt à tout pour retrouver sa bien aimée, et en face, le méchant blanc, etc...
Et les 10-15 dernières minutes de la fin gâchent un peu le film, car là, on se retrouve avec un fin de film d'action américain banal, avec le gentil qui éclate tout à la fin, et qui repart triomphant.
C'est pas Foxx ?
Quoi Foxx?
"La citoyenneté réduite au droit du sang consiste à dire que la République est génétique et non pas spirituelle", Waddle, 2013.
On a parlé de me trainer au ciné pour voir "Django unchained" parce qu'on a adoré en mp4, mais j'espère bien échapper à ce pensum. Je crois que fais une allergie radicale à Tarantino. "Pulp Fiction" m'avait laissé de marbre, "Kill Bill" m'a paru ridicule, "Inglorious B'sterds" répugnant, "Reservoir Dogs" complaisamment racoleur dans la violence gratuite (ce qui est le fond de commerce de Tarantino). De plus les yeux trop écartés de Samuel L. Jackson m'agacent. Il faut reconnaitre que le cinéma de Tarantino est surement le cinéma le plus révélateur de la culture de notre époque : un cinéma de merde pour une époque de merde.
sheon a écrit:Donc, ce qui est drôle, c'est que c'est un mauvais film qui est à la Une des Cahiers du Cinéma ?
Ouais, genre le truc de fou qui mérite 8 smileys, quand même .
Euh... reprenons..
Ca...
Hugues a écrit: Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
.. ça veut pas dire drôle... Enfin je crois !
Par contre ça...
silverwitch a écrit:
... ça veut dire drôle.. (total: 1)
Hugues
Est-ce que tu te rends compte que ce que tu écris est complètement incompréhensible ? Que ce soit le message de départ avec la une des cahiers du cinéma ou tes "explications" suivantes. Si c'était juste une blague pour silver, un MP serait plus approprié non ?
Non non c'est bien à destination de tout le monde. Tu sais tu pouvais m'envoyer un MP d'ailleurs. Par contre, je m'inquiète un peu et te conseille de consulter, tu sais, les maladies neurologiques du système cognitif ça peut arriver tôt. Je sais bien que tu te sens tout à fait normal, que tu n'en ressens pas les symptômes, c'est d'ailleurs pour ça que tu fais de ton cas une généralité, mais bon c'est classique l'agnosie dans ce genre de maladie.
Tu as sans doute raison. C'est pas comme si Maverick t'avait demandé ce que voulait dire ton message ou si sheon se demandait ce qui était drôle là-dedans. Oh wait...
Edit : et pour les MP, si c'est pour ne jamais avoir de réponse, ça ne vaut pas le coup, hein. Au moins, en public, tu réponds. Tu n'as pas autant de couilles en privé.
Marlaga a écrit:Tu as sans doute raison. C'est pas comme si Maverick t'avait demandé ce que voulait dire ton message ou si sheon se demandait ce qui était drôle là-dedans. Oh wait...
Edit : et pour les MP, si c'est pour ne jamais avoir de réponse, ça ne vaut pas le coup, hein. Au moins, en public, tu réponds. Tu n'as pas autant de couilles en privé.
Faut savoir, il répond ou il répond pas en public? Car il a pas répondu à Mav et Sheon selon toi
"La citoyenneté réduite au droit du sang consiste à dire que la République est génétique et non pas spirituelle", Waddle, 2013.
Cortese a écrit:On a parlé de me trainer au ciné pour voir "Django unchained" parce qu'on a adoré en mp4, mais j'espère bien échapper à ce pensum. Je crois que fais une allergie radicale à Tarantino. "Pulp Fiction" m'avait laissé de marbre, "Kill Bill" m'a paru ridicule, "Inglorious B'sterds" répugnant, "Reservoir Dogs" complaisamment racoleur dans la violence gratuite (ce qui est le fond de commerce de Tarantino). De plus les yeux trop écartés de Samuel L. Jackson m'agacent. Il faut reconnaitre que le cinéma de Tarantino est surement le cinéma le plus révélateur de la culture de notre époque : un cinéma de merde pour une époque de merde.
ce n'est pas Jamie Foxx dans ce film ? Ah bon. Comme quoi, ce que je lis de Tarentino, c'est vraiment d'un derrière distrait.
Par contre Jamie Foxx, ça, c'est un putain d'acteur. mais il est pas dans ce film (ah bon !)
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
Une image et une représentation par des icônes censées représenter l'étonnement ou l'abassourdissement, l'incompréhension, l'alcoolisme, l'abassourdissement désespré et une volonté de se mutiler, c'était vraiment hors d'atteinte. Il est vrai qu'il n'y avait plus qu'une seule question à se poser, pourquoi l'image provoque-t-elle cette réaction..
Mais c'était trop compliqué je ne le referais plus.
En même temps c'est pas comme si Maverick était habitué à poser des questions sur des faits au sujet desquels il y a parfois la réponse dans la même page.
Quant à sheon, je n'y peux rien si il a pensé que mes smileys d'automutilation voulait dire "drôle".. Ou qu'il m'a attribué le smiley vert, qui lui, oui, voulait dire drôle mais n'était mien, et s'amusait de mon désir d'automutilation.
Quant à ma liberté de te répondre, j'en use avec toute la latitude qui me sied, et on ne doit quelque chose qu'à ceux qu'on respecte. J'essaie, vraiment, j'essaie de te respecter, j'oublie vite, je suis de bonne volonté, je crois tout le temps que rien n'est insurmontable, que rien n'est définitif mais tu ne facilites pas la tâche Et puis il faudra croire que je n'ai pas de courage non plus lorsque je ne prends pas le temps de répondre à Aym qui partage une nouvelle heureuse, et à tant d'autre tel que DCP, Waddle et j'en passe..
Pfiou, vraiment promis, je ne le referai plus, une image, quelques smileys, je ne pensais pas que c'était si offensant
Cortese a écrit:On a parlé de me trainer au ciné pour voir "Django unchained" parce qu'on a adoré en mp4, mais j'espère bien échapper à ce pensum. Je crois que fais une allergie radicale à Tarantino. "Pulp Fiction" m'avait laissé de marbre, "Kill Bill" m'a paru ridicule, "Inglorious B'sterds" répugnant, "Reservoir Dogs" complaisamment racoleur dans la violence gratuite (ce qui est le fond de commerce de Tarantino). De plus les yeux trop écartés de Samuel L. Jackson m'agacent. Il faut reconnaitre que le cinéma de Tarantino est surement le cinéma le plus révélateur de la culture de notre époque : un cinéma de merde pour une époque de merde.
ce n'est pas Jamie Foxx dans ce film ? Ah bon. Comme quoi, ce que je lis de Tarentino, c'est vraiment d'un derrière distrait.
Par contre Jamie Foxx, ça, c'est un putain d'acteur. mais il est pas dans ce film (ah bon !)
Si si, il est dans le film. Je ne savais pas trop c'était quoi ta question.
"La citoyenneté réduite au droit du sang consiste à dire que la République est génétique et non pas spirituelle", Waddle, 2013.
Cortese a écrit:On a parlé de me trainer au ciné pour voir "Django unchained" parce qu'on a adoré en mp4, mais j'espère bien échapper à ce pensum. Je crois que fais une allergie radicale à Tarantino. "Pulp Fiction" m'avait laissé de marbre, "Kill Bill" m'a paru ridicule, "Inglorious B'sterds" répugnant, "Reservoir Dogs" complaisamment racoleur dans la violence gratuite (ce qui est le fond de commerce de Tarantino). De plus les yeux trop écartés de Samuel L. Jackson m'agacent. Il faut reconnaitre que le cinéma de Tarantino est surement le cinéma le plus révélateur de la culture de notre époque : un cinéma de merde pour une époque de merde.
ce n'est pas Jamie Foxx dans ce film ? Ah bon. Comme quoi, ce que je lis de Tarentino, c'est vraiment d'un derrière distrait.
Par contre Jamie Foxx, ça, c'est un putain d'acteur. mais il est pas dans ce film (ah bon !)
Si si, il est dans le film. Je ne savais pas trop c'était quoi ta question.
B je savais pas qu'il y avait Samuel Lee Jackson dedans.
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
Une image et une représentation par des icônes censées représenter l'étonnement ou l'abassourdissement, l'incompréhension, l'alcoolisme, l'abassourdissement désespré et une volonté de se mutiler, c'était vraiment hors d'atteinte. Il est vrai qu'il n'y avait plus qu'une seule question à se poser, pourquoi l'image provoque-t-elle cette réaction..
Mais c'était trop compliqué je ne le referais plus.
En même temps c'est pas comme si Maverick était habitué à poser des questions sur des faits au sujet desquels il y a parfois la réponse dans la même page.
Quant à sheon, je n'y peux rien si il a pensé que mes smileys d'automutilation voulait dire "drôle".. Ou qu'il m'a attribué le smiley vert, qui lui, oui, voulait dire drôle mais n'était mien, et s'amusait de mon désir d'automutilation.
Quant à ma liberté de te répondre, j'en use avec toute la latitude qui me sied, et on ne doit quelque chose qu'à ceux qu'on respecte. J'essaie, vraiment, j'essaie de te respecter, j'oublie vite, je suis de bonne volonté, je crois tout le temps que rien n'est insurmontable, que rien n'est définitif mais tu ne facilites pas la tâche M'enfin il faudra croire que je n'ai pas de courage non plus lorsque je ne prends pas le temps de répondre à Aym qui partage une nouvelle heureuse, et à tant d'autre tel que DCP, Waddle et j'en passe..
Pfiou, vraiment promis, je ne le referai plus, une image, quelques smileys, je ne pensais pas que c'était si offensant
Hugues
Je ne te dis pas de faire un acte de contrition, je te signale juste que tes messages sont parfois incompréhensibles, ce qui devrait te faire penser à comment améliorer l'intelligibilité de tes propos. Je suppose que tu écris sur le forum pour être compris, pas pour être tout seul à saisir le sens de tes messages.
Xave a écrit:
Marlaga a écrit:Oh wait...
Et ça, ça veut dire quoi ?
Quand on vient polémiquer sur le fait que certains ne soient pas très intelligibles, on essaie de l'être soi-même...
Ne t'en fais pas, Hugues et beaucoup d'autres m'ont compris. Tu aurais compris toi-même avec une petit peu de culture et d'humour. Fais une recherche sur les posts de sheon, tu verras qu'il utilises cette formule assez souvent.
Mais fous lui la paix à Hugues, Marlga. Hugues fait du doudou. Bon voilà quoi. Tant que ça gêne personne du genre la page est bourrée de scripts que n'arrive pas à encaisser mon explorer hein...
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
Hugues a écrit:En même temps c'est pas comme si Maverick était habitué à poser des questions sur des faits au sujet desquels il y a parfois la réponse dans la même page.
Hugues
Désolé mais le lien entre le titre d'un film écrit en police "très petite" (Que je n'ai pas lu) et l'affiche d'un magazine où on voit les actrices du film sans le titre de ce même film n'était pas très évident...
Hamilton, champion du monde de F1 moral 2021 Verstappen, champion du monde FIA/Masi 2021
Stéphane a écrit:J'avais cru comprendre, mais je la saisis pas du tout.
Une blague des cahiers. Ça fait rire les gens qui lisent els cahiers.
Fais comme moi. Méprise les et lis Positif.
M'enfin tu embrouilles Stéphane, là mon Rauffounet.. Nan c'est pas une blague, c'est ça qui est tragique, c'est qu'ils sont tout à fait sérieux ! Et moi non plus non ça n'était pas une blague que je faisais. Mais une consternation que je montrais. (Damned mais pourquoi sheon a parlé de "drôle" là nait le malentendu) Après hein c'est les Cahiers du Cinéma, donc ça n'est presque pas étonnant qu'ils soient consternants (on aura compris que je ne les lis pas ). Mais quand même.
Hugues
PS: D'ailleurs pour être tout à fait franc, si ça ne s'était résumé qu'à des smileys et une image, c'est parce que ça n'en méritait pas plus, le message il voulait presque passer inaperçu, et je dois dire que tant d'attentions, de minutes et de lignes ait été accordé à quelque chose de si vide, qui mérite si peu d'attention me fait un peu ch.. Car ça va vraiment à l'opposé de mes intentions.
Stéphane a écrit:J'avais cru comprendre, mais je la saisis pas du tout.
Une blague des cahiers. Ça fait rire les gens qui lisent els cahiers.
Fais comme moi. Méprise les et lis Positif.
M'enfin tu embrouilles Stéphane, là mon Rauffounet.. Nan c'est pas une blague, c'est ça qui est tragique, c'est qu'ils sont tout à fait sérieux ! Et moi non plus non ça n'était pas une blague que je faisais. Mais une consternation que je montrais. (Damned mais pourquoi sheon a parlé de "drôle" là nait le malentendu) Après hein c'est les Cahiers du Cinéma, donc ça n'est presque pas étonnant qu'ils soient consternants (on aura compris que je ne les lis pas ). Mais quand même.
Hugues
Hugues, c'est pas grave. T'as pas besoin de te justifier Pourquoi tu te sens toujours obligé de t'expliquer ? J'ai toujours rien compris mais c'est pas grave, je cherche pas à comprendre et les autres ne devraient pas non plus. C'est à priori une vanne entre potes et ça ne regarde que tes potes. Et moi, je me fais une blague et j'étale ma confiture positive (paradoxal hein ?) au passage histoire de lacher un pet subtil au milieu.
Cool quoi.
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
Je suis en mesure de répondre maintenant. Il n'y avait aucune subtilité ni finesse dans ce post de brute de Hugues à l'origine.
Il y avait juste la consternation de Hugues devant la couverture du dernier numéro des cahiers. Et une lectrice assidue du torchon suscité en a sourri.
Hugues est en fait un lecteur de Positif (c'est ça que ça veut dire en fait).
Quand on lit positif, on méprise les lecteurs des cahiers).
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
Cortese a écrit:On a parlé de me trainer au ciné pour voir "Django unchained" parce qu'on a adoré en mp4, mais j'espère bien échapper à ce pensum. Je crois que fais une allergie radicale à Tarantino. "Pulp Fiction" m'avait laissé de marbre, "Kill Bill" m'a paru ridicule, "Inglorious B'sterds" répugnant, "Reservoir Dogs" complaisamment racoleur dans la violence gratuite (ce qui est le fond de commerce de Tarantino). De plus les yeux trop écartés de Samuel L. Jackson m'agacent. Il faut reconnaitre que le cinéma de Tarantino est surement le cinéma le plus révélateur de la culture de notre époque : un cinéma de merde pour une époque de merde.
ce n'est pas Jamie Foxx dans ce film ? Ah bon. Comme quoi, ce que je lis de Tarentino, c'est vraiment d'un derrière distrait.
Par contre Jamie Foxx, ça, c'est un putain d'acteur. mais il est pas dans ce film (ah bon !)
Si si, il est dans le film. Je ne savais pas trop c'était quoi ta question.
B je savais pas qu'il y avait Samuel Lee Jackson dedans.
Et oui, il peut y avoir deux acteurs noirs connus dans un même film
Si j'avais souvent répété que je désirais mourir dans mon lit, ce que je voulais vraiment dire par là, c'est que je voulais me faire marcher dessus par un éléphant pendant que je ferais l'amour.Les Fusils d'Avalon, Roger Zelazny.
Cortese a écrit:On a parlé de me trainer au ciné pour voir "Django unchained" parce qu'on a adoré en mp4, mais j'espère bien échapper à ce pensum. Je crois que fais une allergie radicale à Tarantino. "Pulp Fiction" m'avait laissé de marbre, "Kill Bill" m'a paru ridicule, "Inglorious B'sterds" répugnant, "Reservoir Dogs" complaisamment racoleur dans la violence gratuite (ce qui est le fond de commerce de Tarantino). De plus les yeux trop écartés de Samuel L. Jackson m'agacent. Il faut reconnaitre que le cinéma de Tarantino est surement le cinéma le plus révélateur de la culture de notre époque : un cinéma de merde pour une époque de merde.
ce n'est pas Jamie Foxx dans ce film ? Ah bon. Comme quoi, ce que je lis de Tarentino, c'est vraiment d'un derrière distrait.
Par contre Jamie Foxx, ça, c'est un putain d'acteur. mais il est pas dans ce film (ah bon !)
Si si, il est dans le film. Je ne savais pas trop c'était quoi ta question.
B je savais pas qu'il y avait Samuel Lee Jackson dedans.
Et oui, il peut y avoir deux acteurs noirs connus dans un même film
C'est dingue ça !
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
Stéphane a écrit:J'avais cru comprendre, mais je la saisis pas du tout.
Une blague des cahiers. Ça fait rire les gens qui lisent els cahiers.
Fais comme moi. Méprise les et lis Positif.
M'enfin tu embrouilles Stéphane, là mon Rauffounet.. Nan c'est pas une blague, c'est ça qui est tragique, c'est qu'ils sont tout à fait sérieux ! Et moi non plus non ça n'était pas une blague que je faisais. Mais une consternation que je montrais. (Damned mais pourquoi sheon a parlé de "drôle" là nait le malentendu) Après hein c'est les Cahiers du Cinéma, donc ça n'est presque pas étonnant qu'ils soient consternants (on aura compris que je ne les lis pas ). Mais quand même.
Hugues
PS: D'ailleurs pour être tout à fait franc, si ça ne s'était résumé qu'à des smileys et une image, c'est parce que ça n'en méritait pas plus, le message il voulait presque passer inaperçu, et je dois dire que tant d'attentions, de minutes et de lignes ait été accordé à quelque chose de si vide, qui mérite si peu d'attention me fait un peu ch.. Car ça va vraiment à l'opposé de mes intentions.
Ton message serait passé inaperçu s'il avait été compréhensible. Ou au moins, si tu avais expliqué clairement à la première question. D'où ma remarque sur le fait que tu ne te fais pas comprendre.
-Iron Sky : Des Nazis sur la Lune qui envahissent la Terre, rien que cela c'est tripant ! On pardonnera donc le jeu d'acteur moyen, ainsi que le fait que le film fasse très numérique, pour s'amuser à retrouver les différentes références et avec un humour assez potache mais divertissant.
-The Avengers : J'accroche de moins en moins aux films de Super Héros, et celui-ci le confirme (même si la seconde partie est assez réussie), par contre j'accroche de plus en plus à Scarlett Johansson
-L'Agence : Une très bonne surprise, je ne m'attendais pas à quelque chose de particulier, et puis finalement, après un début assez poussif l'intrigue prend et on veut connaître la fin, qui est cependant assez décevante.
-Iron Sky : Des Nazis sur la Lune qui envahissent la Terre, rien que cela c'est tripant ! On pardonnera donc le jeu d'acteur moyen, ainsi que le fait que le film fasse très numérique, pour s'amuser à retrouver les différentes références et avec un humour assez potache mais divertissant.
[...]
Vu en BluRay. Me suis bien marré quand même. plein d'allusions à des films de martiens et d'autres, genre "La Chute". Parodique mais qui n'arrive pas vraiment à être vraiment méchant comme un Mars Attacks, un sommet du genre. Dommage. les FX sont bons même si peut-être un peu trop "lisses" au niveau des textures. C'est du bon taf quand même et on y croit.
je garde.
Par contre découvert 'Chronicle", toujours en BluRay et ça m'a beaucoup plu. Vraiment. Film de superhéros qui ne paie pas de mine et qui partent en live en foutant le why partout. Très intéressant sans jamais tomber dans le pathos. Certains y ont vu un "Akira" like avec son anti-super héros, Tetsuo, mais ils n'ont pas de culture en fait tous ces petits cons. Ces histoires là, ce sont des mythes aussi vieux que la Grèce Antique et chaque époque les revisite. On pète dans leur direction générale et on les méprise.
Le fascisme au fait, c'était pas déjà l'histoire d'un mec en marche qui fascinait les foules avec son culte de la personnalité ?
J'ai vu une critique très virulente d'Amour (nombreux césars et palme d'or à Cannes). Quelqu'un ici l'a-t-il vu, et si oui qu'en a-t-il pensé ? À vue de nez, on dirait un film fait pour les festivals, et chiant à mourir.
Si j'avais souvent répété que je désirais mourir dans mon lit, ce que je voulais vraiment dire par là, c'est que je voulais me faire marcher dessus par un éléphant pendant que je ferais l'amour.Les Fusils d'Avalon, Roger Zelazny.
(Eh bien du coup ce rappel prévu, est presque téléphoné .. ! )
A partir de demain, sur seulement 70 écrans (mais c'est toujours mieux que les 11 de La Porte du Paradis), ce qui est une rareté inédite, en France, pour le cinéaste.
Hugues a écrit:
Hugues a écrit:Dans deux semaines débutent peut-être, sans doute, les deux plus belles semaines de cinéma de 2013...
Ca n'est pas l'affiche que vous verrez en salle, j'ai évité, par sollicitude, Ben Affleck, même si les affiches anglaises ou françaises où il figure sont plus esthétiques. Ca tombe bien ce sont, contrairement à ce qu'indique le générique, les deux êtres principaux du film.
Sur une musique originale de Hanan Townshend pour le film.
Un film à première vue, moins ambitieux, plus accessible. L'histoire d'un amour, l'histoire de plusieurs amours, des rendez-vous manqués, des échecs amoureux. Et en même temps tellement exigeant. A en perdre certainement même des plus convaincus sur le bord de la route. Parce qu'il faut faire l'effort, et parce que l'effort ne garantit pas de ne pas rester aveugle au final... Il faut presque savoir remettre en cause tout ce qu'on croit savoir du cinéma de Terrence Malick, s'en dépouiller, s'en déshabiller.. Il faut presque savoir admettre que c'est un échec selon tous ces propres critères avant de soudainement déceler ce qui en fait le génie. Comme si le cinéaste américain, une autre fois, réinventait le langage du cinéma.
Alors l'esprit libéré, pour le reste du film, mais surtout, plus encore, à la seconde vision, quel flot, quelle rivière, quelle poésie ininterrompue... Comme si le premier regard à être tant ébloui (ou perturbé par le visage d'un mauvais acteur) avait été aveugle.
Aveugle aussi à la nature véritable du film.. Un film où les acteurs ne jouent pas.. Mais dansent. Non pas métaphoriquement mais presque littéralement. Le film est à tous égards un ballet. Les acteurs sont en effet toujours en mouvement, mais plus que ça, toujours en des mouvements expressifs, toujours en relation l'un à l'autre, se séparant, se rapprochant, tournant l'un autour de l'autre, souvent en se regardant l'un l'autre tout en même temps. Le montage du cinéaste américain accentue encore cela, en coupant les dialogues et se concentrant sur la collision des corps. Et même quand l'acteur vient à être isolé, le mouvement, et souvent la danse demeure.
La Ligne Rouge, Le Nouveau Monde, films pourtant vu comme si malickien, si singulier dans le paysage du cinéma américain se révèlent soudainement dans les limites que le cinéaste s'était fixé pour satisfaire quelque peu aux studios, comme si c'était presque des films de commande. Les films désormais semblent plus personnels que jamais, comme si le cinéaste était dans les conditions de faire désormais, le cinéma qu'il ambitionnait de tourner depuis toujours.
Que dit le film? Que l'ex-istence est la rencontre avec l'Amour, le séjour en Amour. Sous toutes ses formes humaines... L'amour entre deux êtres qui se trouvent, l'amour entre deux parents, une mère et sa fille éloignée, l'amour en tant que désir et chair, l'amour même en la haine et les disputes les plus violentes, l'amour dans le pardon, l'amour dans le service des plus nécessiteux, des plus âgés, des mourants, ou des prisonniers, l'amour qui existe dans la foi.. Toutes ces formes si difficiles à faire coexister en une même âme... Mais plus encore, que ces amours, sensibles au malheur, à l'infortune, ces amours qui ne nous sont pas garanties, que peut-être on ne rencontrera jamais, naissent au sein d'un plus grand Amour, l'ex-istence même, ce Monde offert. Amour et Monde se confondent. L'ex-istence est le séjour en Amour.
Et ce qu'il y a de remarquable, c'est que cette intuition, que nous insuffle le film, prend de l'épaisseur après plus d'examen.. Des mots laissés, des plans, apparaissent finalement comme tant d'indices, que le film a un lien avec Les Oeuvres de l'Amour de Søren Kierkegaard. Et la lecture rétrospective de ces pages est troublante, car c'est en quelque sorte tout le film, la douleur même même des personnages, qui est décrite dans ces écrits du philosophe danois.
Extraits Seul, dirons-nous, peut désespérer qui est désespéré. Quand l'amour immédiat désespère au sujet de son malheur, il devient simplement évident – qu'il était désespéré, et qu'il l'avait été dans son bonheur également. Le désespoir consiste à s'en tenir avec une passion infinie à un seul être, une seule chose ; car, avec la passion infinie, si l'on n'est pas désespéré, l'on ne peut s'en tenir qu'à l'éternel. [...] L'amour immédiat est ainsi désespéré ; dans le bonheur, comme on dit, il ne voit pas qu'il est désespéré; mais dans le malheur, il apparaît – qu'il était désespéré. [...] Ce qui, en effet, nous livre au désespoir, ce n'est pas le malheur, mais le défaut de l'éternel. [...]
L'éternel, la Merveille, the Wonder, visible si l'on retrouve le tout premier regard, si l'on sait s'émerveiller, to [i]wonder[/i], de ce qui est devant nous. Le Monde, sa Beauté, son Amour.
Il n'est pas tout à fait sûr que cela soit (importante sont les chances quand même) (hey j'ai bien dit que même les plus convaincus pourrait être laissés sur le bord de la route)
Mais si ça n'est pas le cas, c'est bien que notre Sorcière argentée se sera laissée trop distraire par du contingent, la quotidienneté...
Hugues
Les autres affiches: Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher
Hugues a écrit: (mais c'est toujours mieux que les 11 de La Porte du Paradis)
Cette après midi Michael Cimino était l'invité de l'emission de France Inter entre 18 et 19h (celle de Colin et Mauduit), il a dit qq petits trucs intéressants et essayé d'expliquer l'echec de Heaven's Gate en 1980 et sa descente en flêches auprès des media americains : pour lui, il était trop jeune à l'époque pour avoir un 2nd grand succès après les 4 oscars de the Deer Hunter (il a dit "sourire intérieurement" en se voyant encensé aujourd'hui par le même journal qui exigeait en 1980 ... qu'il rende ses 4 oscars !), et que les americains adorent ces histoires d'hommes devenus célébres puis qui descendent plus bas que bas avant de revenir au premier plan (leur côté religieux ?).
Colin et Mauduit, sur France Inter, ont souvent des grands invités Cimino aujourd'hui, Marcel Ophuls recemment, ou la fille de Max Linder ...et même Gérard Manset (dans quelle autre émission pourrait il être invité ?). Par contre qu'est ce qu'ils sont pénibles avec leur gimmicks ou leur jeux de mots débiles (ils ont même osé faire un vague jeu de mots entre Cimino et Cheminots )
la démocratie et la souveraineté nationale sont comme l’avers et le revers d’une même médaille.