
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Kôôl-x a écrit:50% du boulot a été fait, c'est déjà pas mal.
Toma a écrit:denim a écrit:Un homme, chômeur en fin de droit d'indemnisation, a mis fin à ses jours aujourd'hui à Nantes en s'immolant par le feu devant l'agence Pôle Emploi de son domicile après s'être aspergé d'essence, a-t-on appris de sources policières.
Plusieurs médias locaux avaient reçu lundi un mail de cet homme annonçant son intention de passer à l'acte dans la semaine devant son agence de Nantes-Est, pour protester contre le rejet de son dossier alors qu'il estimait avoir travaillé suffisamment d'heures. La direction de Pôle Emploi à Paris a confirmé ce suicide et que l'homme était bien inscrit dans cette agence et en fin de droits.
En août, un chômeur âgé de 51 ans s'était immolé devant son conseiller en emploi dans la banlieue parisienne. Il avait également succombé à ses blessures.
c'est vrai qu'il est tellement plus important de s'occuper du mariage pour les homos...
oui bon, j'ai entendu qu'il avait grugé les allocs en touchant le chomage pendant qu'il travaillait . Il a du payer une amende et en plus a arrêté de toucher son chomage.
Facile de gruger et ensuite de se plaindre
Hollande fait rire malgré lui sur la croissance française
Et la salle a ri. Mais ce n'était pas suite à une bonne blague de François Hollande. Non, cette fois, le chef de l’Etat a fait rire malgré lui. Et ce n’est jamais très agréable. Surtout de la part d’une assemblée réunissant le gratin politico-culturel indien, pas franchement porté sur la poilade. Il n’y avait évidemment rien de méchant, ni de désobligeant dans ce rire. C'était pire : il était d’une absolue cruauté. Il a renvoyé malgré lui Hollande à son statut de chef d’Etat d’un pays malade, sans croissance et avec un niveau chômage qui l’empêche de se projeter dans l’avenir.
Voilà comment tout est arrivé. Hollande parle depuis une dizaine de minutes de l’importance des relations franco-indiennes, vantant notamment la démocratie indienne, comme la plus grande du monde (c'était la troisième fois qu’il reprenait l’expression depuis le début du voyage). Son discours glisse alors sur le terrain économique : «Des entrepreneurs que je rencontrais me disaient qu’ils avaient peur que la croissance (indienne, ndlr) ne dépasse pas 8, 9, 10%. J’en rêvais. Leur crainte c’est de n’obtenir que 5%. Ce serait une très grande performance pour la France mais un risque pour l'économie indienne parce que vos besoins liés à la progression de la population, à son besoin d’accéder au marché de consommation, aux biens durables, exige une croissance forte.» Jusque-là tout va bien. L’assistance, les casques de traduction sur les oreilles écoute religieusement le chef de l’Etat parler. Il poursuit : «Nous en France nous luttons pour que la croissance ne soit pas en dessous de zéro.» Et là, sans prévenir, un rire parcourt l’assistance. Pas un rire à gorge déployée. Juste un petit rire pincé qui a du mal à ne pas cacher une certaine supériorité. Alors Hollande de reprendre sur un ton affirmé, et résolument premier degré : «Nous y parviendrons.»
Ce matin un éditorial du Hindustan Times ne disait pas autre chose. Mais avec des mots cette fois. «Le problème de la France, comme celui d’une partie de l’Europe, c’est le déclin de sa compétitivité économique. Les entreprises francaises ont certes une réputation de qualité mais une qualité qui ne peut pas concurrencer les pays d’Europe du Sud. Ceci explique pourquoi les entreprises indiennes ont peu d’intérêt à chercher des partenaires français.» Et le journaliste d’enfoncer le clou ultime : «Même la petite Belgique est un plus grand partenaire commercial que la France.»
Cortese a écrit:La guerre ?
Feyd a écrit:A propos de croissance dont on parlait plus haut :
Visite de Hollande : quand l'Inde se rit de la croissance françaiseHollande fait rire malgré lui sur la croissance française
Et la salle a ri. Mais ce n'était pas suite à une bonne blague de François Hollande. Non, cette fois, le chef de l’Etat a fait rire malgré lui. Et ce n’est jamais très agréable. Surtout de la part d’une assemblée réunissant le gratin politico-culturel indien, pas franchement porté sur la poilade. Il n’y avait évidemment rien de méchant, ni de désobligeant dans ce rire. C'était pire : il était d’une absolue cruauté. Il a renvoyé malgré lui Hollande à son statut de chef d’Etat d’un pays malade, sans croissance et avec un niveau chômage qui l’empêche de se projeter dans l’avenir.
Voilà comment tout est arrivé. Hollande parle depuis une dizaine de minutes de l’importance des relations franco-indiennes, vantant notamment la démocratie indienne, comme la plus grande du monde (c'était la troisième fois qu’il reprenait l’expression depuis le début du voyage). Son discours glisse alors sur le terrain économique : «Des entrepreneurs que je rencontrais me disaient qu’ils avaient peur que la croissance (indienne, ndlr) ne dépasse pas 8, 9, 10%. J’en rêvais. Leur crainte c’est de n’obtenir que 5%. Ce serait une très grande performance pour la France mais un risque pour l'économie indienne parce que vos besoins liés à la progression de la population, à son besoin d’accéder au marché de consommation, aux biens durables, exige une croissance forte.» Jusque-là tout va bien. L’assistance, les casques de traduction sur les oreilles écoute religieusement le chef de l’Etat parler. Il poursuit : «Nous en France nous luttons pour que la croissance ne soit pas en dessous de zéro.» Et là, sans prévenir, un rire parcourt l’assistance. Pas un rire à gorge déployée. Juste un petit rire pincé qui a du mal à ne pas cacher une certaine supériorité. Alors Hollande de reprendre sur un ton affirmé, et résolument premier degré : «Nous y parviendrons.»
Ce matin un éditorial du Hindustan Times ne disait pas autre chose. Mais avec des mots cette fois. «Le problème de la France, comme celui d’une partie de l’Europe, c’est le déclin de sa compétitivité économique. Les entreprises francaises ont certes une réputation de qualité mais une qualité qui ne peut pas concurrencer les pays d’Europe du Sud. Ceci explique pourquoi les entreprises indiennes ont peu d’intérêt à chercher des partenaires français.» Et le journaliste d’enfoncer le clou ultime : «Même la petite Belgique est un plus grand partenaire commercial que la France.»
http://www.liberation.fr/politiques/201 ... nde_881596
Marlaga a écrit:Feyd a écrit:A propos de croissance dont on parlait plus haut :
Visite de Hollande : quand l'Inde se rit de la croissance françaiseHollande fait rire malgré lui sur la croissance française
Et la salle a ri. Mais ce n'était pas suite à une bonne blague de François Hollande. Non, cette fois, le chef de l’Etat a fait rire malgré lui. Et ce n’est jamais très agréable. Surtout de la part d’une assemblée réunissant le gratin politico-culturel indien, pas franchement porté sur la poilade. Il n’y avait évidemment rien de méchant, ni de désobligeant dans ce rire. C'était pire : il était d’une absolue cruauté. Il a renvoyé malgré lui Hollande à son statut de chef d’Etat d’un pays malade, sans croissance et avec un niveau chômage qui l’empêche de se projeter dans l’avenir.
Voilà comment tout est arrivé. Hollande parle depuis une dizaine de minutes de l’importance des relations franco-indiennes, vantant notamment la démocratie indienne, comme la plus grande du monde (c'était la troisième fois qu’il reprenait l’expression depuis le début du voyage). Son discours glisse alors sur le terrain économique : «Des entrepreneurs que je rencontrais me disaient qu’ils avaient peur que la croissance (indienne, ndlr) ne dépasse pas 8, 9, 10%. J’en rêvais. Leur crainte c’est de n’obtenir que 5%. Ce serait une très grande performance pour la France mais un risque pour l'économie indienne parce que vos besoins liés à la progression de la population, à son besoin d’accéder au marché de consommation, aux biens durables, exige une croissance forte.» Jusque-là tout va bien. L’assistance, les casques de traduction sur les oreilles écoute religieusement le chef de l’Etat parler. Il poursuit : «Nous en France nous luttons pour que la croissance ne soit pas en dessous de zéro.» Et là, sans prévenir, un rire parcourt l’assistance. Pas un rire à gorge déployée. Juste un petit rire pincé qui a du mal à ne pas cacher une certaine supériorité. Alors Hollande de reprendre sur un ton affirmé, et résolument premier degré : «Nous y parviendrons.»
Ce matin un éditorial du Hindustan Times ne disait pas autre chose. Mais avec des mots cette fois. «Le problème de la France, comme celui d’une partie de l’Europe, c’est le déclin de sa compétitivité économique. Les entreprises francaises ont certes une réputation de qualité mais une qualité qui ne peut pas concurrencer les pays d’Europe du Sud. Ceci explique pourquoi les entreprises indiennes ont peu d’intérêt à chercher des partenaires français.» Et le journaliste d’enfoncer le clou ultime : «Même la petite Belgique est un plus grand partenaire commercial que la France.»
http://www.liberation.fr/politiques/201 ... nde_881596
C'est étrange cette façon de regarder la France de haut pour les indiens. Oui, ils ont un pays avec une population énorme et une économie en pleine expansion, mais on ne peut pas dire qu'ils aient un niveau de vie faramineux. Les invités de cette conférence sont certainement des parvenus richissimes et prospères, mais le PIB par habitant est plus de 30 fois supérieur en France qu'en Inde, alors un peu de retenue ne serait pas superflue.
denim a écrit:si seulement y en avait aussi, au sein des islamistes radicaux...des homos...le "mariage homo" aurait pû adoucir "les moeurs".
seulement voilà...
sccc a écrit:Quand le niveau de vie des indiens sera celui de la France, la croissance de l'Inde sera du même ordre.
denim a écrit:tiens...y a un imam en France qui a dit que "l'islam radical" était en train de progresser...en France.
va falloir faire attention...va falloir suivre tout çà de très prêt.
Marlaga a écrit:denim a écrit:tiens...y a un imam en France qui a dit que "l'islam radical" était en train de progresser...en France.
va falloir faire attention...va falloir suivre tout çà de très prêt.
L'imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, qui publie jeudi son livre avec David Pujadas "Agissons avant qu’il ne soit trop tard", a affirmé sur Europe 1 que l'islam subit aujourd'hui "une ingérence étrangère".
Depuis l'affaire Mohamed Merah, l'imam dresse un bilan : "on est toujours dans un islam d'ingérence étrangère. Par rapport à la formation des imams, on est encore loin. Troisièmement : l'islamisme monte en Tunisie et au Mali. En Libye ou ailleurs, on n'est pas à l'abri. C'est très dangereux, très important de donner la responsabilité des parents jusqu'aux pouvoir publics", a-t-il assuré sur Europe 1.
En publiant ce livre, Hassen Chalghoumi assure être "menacé". "Mais des vies sont encore menacées. La société est menacée", affirme Hassen Chalghoumi. Cette vision de islam est "la minorité", ajoute-t-il "Mais si on ne fait rien, l'islamisme grandit, gangrène de plus en plus. Il est en train de récupérer nos jeunes par des sites Internet de haine. Ils sont en train de récupérer les faibles d'esprit dans des prisons où ils passent à l'acte par la délinquance", déplore-t-il.
Même un imam le dit, mais Cyril va encore dire que tout ça n'existe pas.
Feyd a écrit:Taxer les prestations familiales maintenant ?
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013 ... liales.php
denim a écrit:Une telle mesure découragerait assurément toute l'Afrique de rappliquer chez nous...
Genie a écrit:Feyd a écrit:Taxer les prestations familiales maintenant ?
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013 ... liales.php
Plutôt que de les taxer, il faut les réformer.
- Supprimer la mention "sans condition de ressources" et limiter le versement des allocations aux familles ayant des revenus inférieurs à un certain montant (à moduler selon le nombre d'enfants).
- Modifier le barème pour que les aides soient versées dès le premier enfant pour les familles qui en ont besoin.
porcaro77 a écrit:Encore de nouvelles taxes , encore des impôts , tout cela pour redistribuer aux feignants ! On voit que la gauche applique son programme , fini les les mensonges de la campagne électorale
Tarod a écrit:Genie a écrit:Feyd a écrit:Taxer les prestations familiales maintenant ?
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013 ... liales.php
Plutôt que de les taxer, il faut les réformer.
- Supprimer la mention "sans condition de ressources" et limiter le versement des allocations aux familles ayant des revenus inférieurs à un certain montant (à moduler selon le nombre d'enfants).
- Modifier le barème pour que les aides soient versées dès le premier enfant pour les familles qui en ont besoin.
Tout à fait d'accord, sinon supprimer toutes les aides et remplacer par un impôt négatif... c'était pas De Villepin qui était en faveur du revenu de base ?
Tarod a écrit:Ah ok.
Ce que je pige pas c'est que lorsque le camp Hollande avait parlé de supprimer le quotient familial pendant la campagne ils s'étaient vite ravisés alors que ce système renforce les inégalités...
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