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de **denim** le 24 Nov 2012, 22:09

magnifique !!! et c'est exactement çà...et je n'espère qu'une chose à ces "fils de pute",c'est qu'ils crèvent tous.

cette émission je la regardais souvent quand j'avais la parabole...même si je ne comprenais pas l'allemand.

"robert Zollitsch...je le garde sur le tableau,on ne sait jamais". :lol:

"ne confonfondez pas avec Zoellick"

"henri Paulson,il travaillait où avant ???...à la caisse d'épargne du Lüdenscheidt...mais nooon j'rigole"

de **denim** le 27 Nov 2012, 17:52

en attendant,les tarés continuent...et quand je dis tarés,je me retiens.

L'accord sur la Grèce coûterait quelque 600 millions d'euros par an aux finances publiques françaises. Dans un premier temps.

Comment renvoyer aux calendes grecques le remboursement d'une partie substantielle de la dette d'Athènes sans que cela coûte apparemment aux créanciers? C'est la quadrature du cercle à laquelle sont parvenus cette nuit les ministres des Finances de l'Eugroupe, avec la participation de Christine Lagarde pour le FMI et de Mario Draghi pour la BCE.

«L'accord est habile dans la mesure où il conduit à une véritable restructuration des engagements d'Athènes vis-à-vis de ses créanciers publics, sans qu'à aucun moment on ne parle d'effacement du principal», analyse un économiste de banque. «Pour les finances publiques françaises, cela devrait correspondre à un surcoût de l'ordre de 600 millions d'euros par an, dans un premier temps», poursuit cet analyste spécialiste de la zone euro.

Dans la kyrielle de décisions prises pour alléger le fardeau grec d'une quarantaine de milliards d'euros, sur les 150 à 180 milliards de la dette souveraine actuellement détenus par des opérateurs publics étrangers, deux mesures devraient impacter le budget de l'État français.

Tout d'abord, en tant que prêteur direct à la Grèce à hauteur d'environ 12 milliards d'euros effectivement tirés depuis mai 2010, la France consent à réduire de 1 % le taux d'intérêt sur ces prêts. Cette mesure concerne l'ensemble des États créanciers. Soit au total 120 millions d'euros, que Bercy pourra présenter comme un simple «manque à gagner», même si ces rentrées auxquelles on renonce avaient été prises en compte dans les recettes du projet de loi de finances 2013.

La deuxième ligne d'impact sur le budget français est plus complexe et plus importante. Elle transitera par la BCE et la Banque de France. Son ordre de grandeur porte sur 500 millions d'euros annuellement.

Intérêts touchés par la BCE reversés
Le mécanisme est le suivant: la BCE et les banques centrales nationales (ses actionnaires) ont accepté d'abandonner les «gains» (sic) réalisés sur les titres de dettes grecques qu'elles détiennent. Leurs encours s'élèvent à 50 milliards d'euros. Autrement dit, les intérêts que la BCE touchait sur ces titres et dont le taux (à l'émission) peut être estimé à 4 % ne seront pas perçus mais reversés sur un compte bloqué à Athènes.

Au total, c'est à 2 milliards d'euros environ, et donc 500 millions pour la Banque de France et indirectement le Trésor français, son actionnaire unique, que nous renonçons. Précisons que ce chiffre de 500 millions correspond à la part française - soit le cinquième de toutes les opérations d'aide à la Grèce (ou plus exactement 20,3 %, qui est le quota de la France au capital de la BCE et donc dans l'euro).

Ces chiffrages, qui s'élèvent à un peu plus de 600 millions d'euros annuellement pour les finances publiques françaises, ne sont bien sûr que la partie émergée de l'iceberg. Autrement dit l'impact direct et immédiat dans les finances publiques des pays créanciers, car toute l'astuce de l'accord de l'Eurogroupe a consisté à différer les charges d'intérêt et les remboursements en capital vis-à-vis du Fonds européen de stabilité financière (FESF), lequel n'est à la vérité qu'un compte écran pour les États de l'Euroland qui ont donné leur garantie au FESF et qui sont les seuls responsables.

Expliquer le nouveau mirage grec
«On a un résultat, on peut le présenter à notre Parlement pour une décision», a commenté avec soulagement Wolfgang Schäuble, le ministre des Finances allemand. Il s'apprête à fournir les chiffres dans les prochains jours au Bundestag, qui devra apporter son aval.

Du côté français, Pierre Moscovici se félicite d'avoir «rendu de la visibilité à la zone euro et de l'espoir au peuple grec», ce qui n'est pas faux. Reste à expliquer ce nouveau «miracle grec», qui doit tout à la technique financière: la France, dont les engagements publics vis-à-vis d'Athènes s'élèvent à 50 milliards d'euros dans les estimations les plus basses, ne devra payer qu'environ le centième de cette somme par an pour maintenir la Grèce dans la zone euro. Une bonne affaire?

ben putain...et ce con de Moscovici...mais qu'est ce qu'il est con ce type c'est incroyable...fini à l'urine. :roll:

en attendant,y en a un qui doit bien se marrer dans sa prison...n'est ce pas monsieur Madoff ???

de **denim** le 27 Nov 2012, 18:03

de **DCP** le 27 Nov 2012, 23:10

Allez, une petite nouvelle qui fera plaisir à tous les honnêtes hommes...

http://www.margincall.fr/2012/11/delit- ... treet.html

de **Ghinzani** le 28 Nov 2012, 10:58

DCP a écrit:Allez, une petite nouvelle qui fera plaisir à tous les honnêtes hommes...

http://www.margincall.fr/2012/11/delit- ... treet.html

IL y a eu un film sur ce thème, non?

de **denim** le 28 Nov 2012, 17:12

non mais c'est la faute aux 35 heures...et à l'âge trop avancé du départ en retraite sans oublier bien sûr toutes ces semaines de congés payées et n'oublions pas surtout au manque de "flexibilité du travail".

pauvre d'eux... :roll:

que l'on continue à les écouter et à gauber la moindre "ânerie" sortant de leur bouche.
ils sont tous en admiration devant ces gens là...tous des "staaaaaaaaaaaaaaaars".

de **denim** le 28 Nov 2012, 17:39

de **Tarod** le 28 Nov 2012, 23:13

Formidable interview de Junker à la fin du sommet européen, qui déclenche des rires dans la salle quand il parle du plan… (c’est à 24:10)
http://www.bloomberg.com/video/juncker- ... WN_kw.html

-Question du journaliste: l’objectif est toujours d’obtenir une dette grecque à 120% du PIB ?
-Juncker: le fait est que l’objectif de 120% sera maintenu, mais la cible dans la mesure où le délai est en cause a été reportée à 2022.
[Rires dans la salle]
-Juncker: ce n’était pas une blague !!!

saoul:

de **denim** le 01 Déc 2012, 11:30

Moody's a annoncé ce vendredi l'abaissement d'un cran de la note du Mécanisme européen de stabilité de la zone euro (MES). Cette note passe de AAA à AA1. La note provisoire du FESF est aussi abaissée à AA1 contre AAA. La perspective est négative pour les deux notes.

L'agence de notation américaine a justifiée cette dégradation par celle de la France.

:lol:

ooooh le pove MES !!! pas le temps de sortir du nid que déjà il se fait laminer par ces poooooves agences de notation...ces mêmes agences de notation qui à l'époque d'avant la crise, décernaient des triples A à tour de bras,notamment à Goldman Sachs,par qui,le scandale est venu....elles ont rien vu venir ces poves agences de notation ??? :lol:

ou ont elles été complices du système ??? copains coquins ???

mais ils nous prennent vraiment pour des cons...va falloir que ça cesse.

de **denim** le 02 Déc 2012, 18:12

La chancelière allemande Angela Merkel n'a pas exclu, pour la première fois, un effacement de la dette de la Grèce dans quelques années, dans un entretien paru dans le journal dominical allemand Bild am Sonntag.

"Si la Grèce arrive un jour à s'en sortir avec ses recettes sans contracter de nouvelles dettes, alors on doit regarder et évaluer la situation. Cela ne se passera avant 2014/15, si tout marche comme prévu", a dit la chancelière, questionnée si elle voulait se pencher sur l'effacement de la dette d'Athènes après les législatives allemandes de 2013.

C'est la première fois que la chancelière conservatrice évoque cette possibilité, un sujet particulièrement délicat pour les contribuables et électeurs allemands, à moins d'un an des élections législatives dans le pays, prévues pour le 22 septembre 2013.

:roll:

alors mémère ??? t'en es où avec tes élections ??? ça se présente comme tu veux ou si tu vas te prendre une dégagée ???

tout çà pour çà ??? et pourtant,pas besoin d'être "chancelière ou chancelier" pour en connaitre l'issue de la Grèce.

et que d'argent passé à la trappe... :roll:

et dire que marine l'avait assez dit en plus d'avoir raison. :roll:

de **denim** le 03 Déc 2012, 17:31

de **Fatcap** le 03 Déc 2012, 17:44

L'abaissement de la note du MES n'a plus beaucoup d'importance. D'une manière générale les notes de crédit ont de moins en moins de signification, à partir du moment où les banques centrales assument le rôle de prêteur en dernier recours.

En ce qui concerne l'effacement de la dette grecque, c'était prévisible. Le transfert des risques du secteur privé vers le secteur public est désormais quasiment achevé, la majorité de la dette grecque étant maintenant détenue par la BCE et les gouvernements. La prochaine étape sera donc d'acter les pertes et d'en répartir progressivement l'impact sur les différents budgets des états, sur les années à venir. La détérioration des comptes publics en résultant sera masquée par du saupoudrage et du découpage en tranches, de la sorte les contribuables ne pourront jamais vraiment dire que telle augmentation d'impôt ou telle augmentation de TVA est incontestablement dûe aux pertes grecques. Nous serons tous dans le brouillard.

La première phase a déjà commencé, avec l'annonce par le gouvernement grec du rachat des obligations encore présentes sur le marché secondaire. Cela va se révéler une affaire en or pour les acteurs privés (banques d'investissement, hedge fonds, assurances) qui vont pouvoir revendre au prix fort au gouvernement grec leurs obligations pourries, l'opération étant financée par les fonds européens, c'est-à-dire notre argent et notre crédit. Depuis hier les cours des obligations grecques remontent massivement.

Tout se déroule plus ou moins suivant le plan...

de **denim** le 03 Déc 2012, 18:49

pour résumer:

ni vu ni connu, j't'embrouille...

de **Cortese** le 03 Déc 2012, 19:49

Cela revient à détruire de la monnaie, non ? Du moins celle potentiellement ou effectivement détenue par les salariés, de façon à éponger la masse monétaire inflationniste américaine à l'origine de la crise. C'est bien, les Européens aiment tellement les Américains, qu'est ce qu'ils ne feraient pas pour eux.

de **Tarod** le 03 Déc 2012, 20:15

En Allemagne ils ont du mal à avaler la pilule du rachat d'obligation illimité par le MES. A mon avis cette histoire ne va pas durer longtemps, d'ailleurs Merkel parle d'un possible effacement de la dette Grecque... c'est bien tard mais quoi qu'il arrive on se dirige vers un défaut de paiement.

de **denim** le 03 Déc 2012, 21:22

si elle a des couilles,qu'elle aille en récupérer une partie chez Papandréou...mais comme elle n'en a pas(quoique,par moment je me pose des questions) ben elle n'ira pas.

Deux journaux accusent la mère de l'ancien premier ministre grec de détenir un compte en Suisse d'un montant de 550 millions de dollars.

Athènes

Le trésor des Papandréou se cacherait-il en Suisse? Cette question taraude une grande partie de l'opinion publique et des médias grecs depuis 48 heures. Dimanche, deux journaux nationaux ont publié une photographie de Margaret Papandréou, 89 ans, la mère de l'ancien premier ministre grec. Ils l'accusent de détenir 550 millions de dollars sur un compte en Suisse et d'utiliser un prête-nom pour les dissimuler.
La nouvelle a immédiatement déclenché une nouvelle polémique dans le pays. Les journaux se basent sur la «liste Lagarde», un document de 2059 noms de personnes détenant un compte dans la banque HSBC de Genève, pour un montant total de 1,5 milliards d'euros.
Donnée aux autorités grecques en 2010 par Christine Lagarde, ministre des Finances du gouvernement Sarkozy, cette liste est entre les mains d'un procureur en charge d'analyser la véracité des allégations.

«Tous corrompus»
Andréas Papandréou, le père de l'ancien premier ministre, avait déjà été jugé, puis acquitté in extremis, pour corruption à la fin des années 1980. Margaret Papandréou, soutenue par son fils, a formellement démenti les accusations de la presse, alimentées par un enquêteur.

Dans la population, ce scandale fait rejaillir la doctrine du «tous corrompus» lancée par le mouvement des indignés désavouant leur classe politique après la mise sous tutelle du pays par le Fonds monétaire international et l'Union européenne. Les partis d'opposition demandent au plus vite le rapport du comité parlementaire chargé de l'enquête sur la «liste Lagarde», assisté par deux procureurs.

et oui...y a plus d'sou.

de **Fatcap** le 03 Déc 2012, 22:48

Cortese a écrit:Cela revient à détruire de la monnaie, non ? Du moins celle potentiellement ou effectivement détenue par les salariés, de façon à éponger la masse monétaire inflationniste américaine à l'origine de la crise. C'est bien, les Européens aiment tellement les Américains, qu'est ce qu'ils ne feraient pas pour eux.

Cela détruira de la monnaie ou aura un effet équivalent si une renonciation de dette a lieu - ce qui n'est pas encore le cas, le "rachat" de la dette grecque consiste simplement à changer de débiteur pour Athènes. Annuler une partie de la dette grecque signifierait, pour les gouvernements, rayer des positions de leur bilan et donc augmenter leur déficit. Ce déficit serait dans un deuxième temps comblé par une augmentation des recettes fiscales. Ponctionner les salariés et les retraités donc. Mais cela ne sera jamais présenté de manière aussi simple. Les prochaines années verront donc une innovation comptable débordante. Mais au final la situation reste simple, tout aussi simple et claire qu'elle l'était en 2009 : sauvetage des banques -> transfert des créances pourries vers les finances publiques -> épongeage des pertes par les gouvernements. C'est juste que ça se passe très, très lentement...

[edit]concrètement les retraités grecs qui ont misé sur des fonds de pension risquent de perdre au moins 50% de leur retraite future. Ils seront les premiers touchés par un défaut partiel d'Athènes.

de **denim** le 04 Déc 2012, 18:31

"C'est juste que ça se passe très, très lentement"...

c'est vrai...maintenant leur parade c'est de dire : pas avant 2014...vers 2020...

en plus de pouvoir continuer à toucher leur salaire "astronomique"...pour une sacré bande d'incompétents.

de **denim** le 04 Déc 2012, 18:43

allez va...l'est bien brave ce Delamarche.

de **Sylphus** le 04 Déc 2012, 19:08

Toujours beaucoup de constat chez Delamarche mais jamais de proposition. N'oublions pas que Delamarche n'investit pas (ou peu) sur le marché actions, donc il a tout intérêt à le descendre.

de **denim** le 05 Déc 2012, 18:22

à quoi bon avoir des "solutions" ???

selon le rapport annuel de l'ONG Transparency International, l'Hexagone se situe seulement au 22e rang mondial et au 9e rang européen des États perçus comme les moins corrompus. Entreprises, système judiciaire et classe politique sont pointés du doigt.

la France ??? état corrompu ??? étonnant tout çà.

de **Tarod** le 05 Déc 2012, 22:45

Delamarche a un discours très proche de celui de l'économiste américain Peter Schiff (école autrichienne) je pense que ses idées sont similaires. Mais j'ai pas l'impression qu'il assume vraiment ses positions, par exemple il critique sans arrêt la monnaie fiduciaire mais ne parle pas d'un retour à l'étalon or ou un système proche de celui ci.

Enfin faut dire que l'émission dans laquelle il est invitée est faite juste pour entendre un type gueuler chaque semaine

de **Garion** le 05 Déc 2012, 23:10

Il est rigolo Delamarche. Il n'a apparemment pas encore compris que la valeur des choses ne vient pas de la valeur intrinsèque mais de ce que les gens estiment que ça vaut.
C'est grave quand même pour un gestionnaire de compte.
On va mettre ça sur le compte de ses gesticulations pour essayer de se justifier sur ses mauvaises prévisions.

de **Tarod** le 06 Déc 2012, 00:14

Ça dépend si on prend la valeur d'une chose à un moment précis ou bien si on cherche à savoir ce qu'il se passera sur le long terme. Or Delamarche est plus dans une vision de long terme...
Après les mauvaises prévisions tout le monde riait au nez de Peter Schiff ou d'autres avant la crise quand il disaient exactement ce qui allait arriver et même de la manière dont cela allait arriver.

de **Garion** le 06 Déc 2012, 00:21

Tarod a écrit:Ça dépend si on prend la valeur d'une chose à un moment précis ou bien si on cherche à savoir ce qu'il se passera sur le long terme. Or Delamarche est plus dans une vision de long terme...

Oui, mais ça vaut quoi le long terme si finalement tout le monde continue à spéculer sur une valeur au cours du marché ?

de **Tarod** le 06 Déc 2012, 00:24

Ca je suis bien d'accord, mais finalement on ne lui demande pas vraiment ce qu'il ferait si il devait jouer à court terme.

de **Garion** le 06 Déc 2012, 00:26

Tarod a écrit:Ca je suis bien d'accord, mais finalement on ne lui demande pas vraiment ce qu'il ferait si il devait jouer à court terme.

Ben il est quand même gestionnaire de fonds.

de **Tarod** le 06 Déc 2012, 00:28

Je penses qu'on peut gérer des fonds sur le long terme non? :roll:

de **DCP** le 06 Déc 2012, 00:30

Si les investisseurs t'en laissent le temps, oui, mais j'ai l'impression que c'est de plus en plus rare.

de **Garion** le 06 Déc 2012, 00:33

Parfaitement

de **Tarod** le 06 Déc 2012, 00:45

C'est sûr que temps qu'il y aura des banques qui pèsent autant que le PIB d'un Etat et qui peuvent virtuellement tout faire l'investissement à long terme est pas prêt de redevenir la norme. Le pire c'est que les Etats continuent de favoriser le secteur bancaire.

Tient d'ailleurs je poste le dernier article très intéressant du blog d'Olivier Berruyer sur la séparation des activités bancaires:
http://www.les-crises.fr/separation-gouvernemen/

C'est formidable de voir que c'est sous la gauche que la finance a été la plus dérégulée depuis 81. Et après ils arrivent avec leurs taxes ridicules nous faisant croire que ça changera quelque chose :lol:

de **Tarod** le 08 Déc 2012, 15:27

La dette expliquée par les belges :-D

de **DCP** le 08 Déc 2012, 15:43

Excellent !

de **denim** le 08 Déc 2012, 19:33

magnifique...très bien expliqué :lol:

en plus avec l'accent c'est top.

et mention spéciale pour "la tarte à la crème" qui j'espère, ne va pas en rester là...

de **denim** le 08 Déc 2012, 23:18

Le président du Conseil italien Mario Monti a déclaré aujourd'hui au président Giorgio Napolitano qu'il avait l'intention de présenter sa démission, a indiqué un communiqué du Quirinal, la présidence de la République.

Mario Monti "ne juge pas possible de poursuivre son mandat et a manifesté en conséquence son intention de présenter sa démission", indique le communiqué, qui fait suite à l'annonce de Silvio Berlusconi qu'il va se présenter aux prochaines élections législatives du début 2013.

bravo mario !!!

allez Draghi,fais de même,qu'on rigole un peu.

de **sccc** le 09 Déc 2012, 01:13

Si c'est pour les remplacer par des Berlusconi, c'est aller de Charybde en Scylla.

de **denim** le 09 Déc 2012, 16:01

La banque centrale des Etats-Unis (Fed) devrait annoncer mercredi une mesure pour créer encore plus de monnaie qu'elle ne le fait déjà, afin de soutenir l'économie du pays. Le Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) se réunit pour deux jours à partir de mardi, pour réfléchir notamment à la suite à donner à son action après le 31 décembre, date à laquelle prendra fin son "opération Twist".

La Réserve fédérale maintient son taux directeur quasi nul depuis bientôt quatre ans. L'opération Twist est l'un de ses programmes dits non conventionnels lui permettant de prolonger son action pour peser au maximum sur le niveau des taux d'intérêt, du plus court au plus long terme, afin de favoriser la consommation, l'investissement et la reprise du marché immobilier.

Mi-novembre, la Fed a annoncé qu'elle envisageait d'augmenter ses opérations de rachats de titres sur les marchés à partir de janvier, pour compenser la fin du "Twist", qui, en l'absence de mesure compensatoire entraînera automatiquement un resserrement de la politique monétaire.

allez vas y Bernanke...imprimons imprimons..."yaya twist"...tu tiens peut être "le tube de l'été",2013 bien sûr.

de **denim** le 10 Déc 2012, 17:41

je viens de recevoir un SMS du général...

« La France savait aussi bien que quiconque, en tout cas beaucoup mieux que ceux qui ne sont pas européens, qu’il ne peut y avoir d’Europe qu’en vertu de ses nations, que, de par la nature et l’histoire, notre continent est tel que la fusion n’y est que confusion, à moins qu’elle ne soit l’oppression, qu’on n’est pas un européen si l’on est un apatride, que, par exemple, Chateaubriand, Goethe, Byron, Tolstoï pour ne parler que des romantiques n’auraient rien valu du tout en volapük ou en espéranto, mais qu’ils sont toujours de grand écrivains de l’Europe parce que chacun d’eux s’inspira du génie de son pays. »

merci mon général...

et joyeux noël.

de **Aiello** le 10 Déc 2012, 17:58

Il doit avoir un forfait illimité, le Général.

de **Waddle** le 10 Déc 2012, 18:08

denim a écrit:je viens de recevoir un SMS du général...

« La France savait aussi bien que quiconque, en tout cas beaucoup mieux que ceux qui ne sont pas européens, qu’il ne peut y avoir d’Europe qu’en vertu de ses nations, que, de par la nature et l’histoire, notre continent est tel que la fusion n’y est que confusion, à moins qu’elle ne soit l’oppression, qu’on n’est pas un européen si l’on est un apatride, que, par exemple, Chateaubriand, Goethe, Byron, Tolstoï pour ne parler que des romantiques n’auraient rien valu du tout en volapük ou en espéranto, mais qu’ils sont toujours de grand écrivains de l’Europe parce que chacun d’eux s’inspira du génie de son pays. »

merci mon général... et joyeux noël.

Tu pourrais donner tes sources...

En tout cas, excellent discours de NDA!

de **denim** le 10 Déc 2012, 18:25

Le président français François Hollande a affirmé aujourd'hui à Oslo que la crise de la zone euro était "derrière nous" :eek:

, relevant tous les efforts faits pour "régler les problèmes". :eek:

"La crise de la zone euro, je l'ai déjà dit, elle est derrière nous :eek:

. La Grèce, nous avons enfin apporté les fonds qu'elle attendait. L'Espagne, nous avons permis au secteur bancaire d'être renfloué. L'Italie, même s'il y a une incertitude politique, je suis sûr que les Italiens vont y répondre" :eek:

, a affirmé M. Hollande à la presse.

c'est valérie qui doit lui préparer quelques rails de coc tous les matins, avant de partir au bureau.