Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Comment montrer alors que le combat nature et grâce est presqu'aussi vieux que la vie ?
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Cortese a écrit:Enfin, moi je répète mon point de vue : le film est globalement magnifique, mais les scènes allégoriques sont catastrophiques. La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme. Je serais Malick je couperais tout ça. C'est bien dommage d'ailleurs, parce qu'on ne peut pas s'empêcher d'imaginer ce qu'en aurait tiré un Kubrick.
Madcad a écrit:Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Comment montrer alors que le combat nature et grâce est presqu'aussi vieux que la vie ?
Ambrose a écrit:Cortese a écrit:Enfin, moi je répète mon point de vue : le film est globalement magnifique, mais les scènes allégoriques sont catastrophiques. La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme. Je serais Malick je couperais tout ça. C'est bien dommage d'ailleurs, parce qu'on ne peut pas s'empêcher d'imaginer ce qu'en aurait tiré un Kubrick.
Bah Kubrick aurait rajouté un monolithe noir à côté du dinosaure. Ça aurait eu plus de gueule.
Cortese a écrit:Madcad a écrit:Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Comment montrer alors que le combat nature et grâce est presqu'aussi vieux que la vie ?
La grâce n'existe que chez l'homme. Au pire il aurait fallu reprendre les australopithèques de Kubrick. Tu as déjà vu la jubilation d'un chat qui attrape une malheureuse petite souris ? Où tu vois de la grâce là dedans (sauf que les chats sont gracieux bien sur) ?
sccc a écrit:Cortese a écrit:Madcad a écrit:Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Comment montrer alors que le combat nature et grâce est presqu'aussi vieux que la vie ?
La grâce n'existe que chez l'homme. Au pire il aurait fallu reprendre les australopithèques de Kubrick. Tu as déjà vu la jubilation d'un chat qui attrape une malheureuse petite souris ? Où tu vois de la grâce là dedans (sauf que les chats sont gracieux bien sur) ?
C'est le principe qui veut que tout ce que l'homme n'a pas touché est beau, gracieux harmonieux, "naturel".
La hyène ou le lion qui tue la gazelle nouvelle née, c'est beau et harmonieux. Et gracieux.
Garion a écrit:Maverick, ne t'inquiète pas plus que ça. J'ai ressentit à peu près la même chose que toi, c'est à dire : rien![]()
Pas compris les scènes intercalaires, pas compris la spiritualité, pas compris ce que voulait faire passer le film.
Bref, j'ai vu une histoire banale tournée bizarrement.
Cortese a écrit:sccc a écrit:Cortese a écrit:Madcad a écrit:Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Comment montrer alors que le combat nature et grâce est presqu'aussi vieux que la vie ?
La grâce n'existe que chez l'homme. Au pire il aurait fallu reprendre les australopithèques de Kubrick. Tu as déjà vu la jubilation d'un chat qui attrape une malheureuse petite souris ? Où tu vois de la grâce là dedans (sauf que les chats sont gracieux bien sur) ?
C'est le principe qui veut que tout ce que l'homme n'a pas touché est beau, gracieux harmonieux, "naturel".
La hyène ou le lion qui tue la gazelle nouvelle née, c'est beau et harmonieux. Et gracieux.
Le seul animal vraiment gracieux c'est le chat. Le chat est un esthète naturellement fait pour tuer.
La grâce c'est culturel. On doit pouvoir trouver des exemples dans le règne animal (les manchots de l'Antarctique, je sais pas moi) mais franchement, la grâce chez des dinosaures... Pourquoi pas chez Netanyahu pendant qu'on y est.
Ah ?Madcad a écrit:Maverick a écrit:Je me suis dit que le dinosaure n'a pas mangé celui à terre parce qu'il peut-être senti que l'autre était malade. Une sorte d'instinct de survie, ce qui n'est pas forcément la preuve de conscience.Ambrose a écrit:Maverick a écrit:J'ai pas compris le lien avec le film...
On peut voir ça comme l'apparition de la conscience chez les êtres vivants. Voir même de la compassion et de l'amour.
Cette scène est une parfaite illustration du combat nature vs grâce présent tout au long du film.
Hugues a écrit:Garion a écrit:Maverick, ne t'inquiète pas plus que ça. J'ai ressentit à peu près la même chose que toi, c'est à dire : rien![]()
Pas compris les scènes intercalaires, pas compris la spiritualité, pas compris ce que voulait faire passer le film.
Bref, j'ai vu une histoire banale tournée bizarrement.
Disons que le film prend du sens dans la tétralogie qu'il forme avec les trois films précédents, et sans doute plus particulièrement avec les deux précédents.
Ses autres films aident peut-être à apprécier celui là. Ils te montrent qu'il filme quelque chose qui est au delà même de ce qui est montré, qu'il filme à la fois ce Monde, notre Monde que nous ne savons plus regarder, plus voir tel qu'il est vraiment : un paradis qui n'est pas à chercher ailleurs.
Et à la fois, un invisible, quelquechose que l'on perçoit chaque fois différemment.
Peut-être les âmes, le divin, ce qui fait l'essence du Monde? Peut-être cette solitude qui nous est commune face aux Monde, ces voix toujours seules, qui se répondent sans le savoir, que personne n'entend.
Si vous parvenez à percevoir cela un jour sur l'un de ces films, alors c'est toute l'oeuvre que vous apprécierez. Et cela en vaut la peine
Hugues
T'es sûr que c'est ce que le réalisateur a voulu faire ressentir ?Hugues a écrit:Disons que le film prend du sens dans la tétralogie qu'il forme avec les trois films précédents, et sans doute plus particulièrement avec les deux précédents.
Hugues
sccc a écrit:Hugues a écrit:Garion a écrit:Maverick, ne t'inquiète pas plus que ça. J'ai ressentit à peu près la même chose que toi, c'est à dire : rien![]()
Pas compris les scènes intercalaires, pas compris la spiritualité, pas compris ce que voulait faire passer le film.
Bref, j'ai vu une histoire banale tournée bizarrement.
Disons que le film prend du sens dans la tétralogie qu'il forme avec les trois films précédents, et sans doute plus particulièrement avec les deux précédents.
Ses autres films aident peut-être à apprécier celui là. Ils te montrent qu'il filme quelque chose qui est au delà même de ce qui est montré, qu'il filme à la fois ce Monde, notre Monde que nous ne savons plus regarder, plus voir tel qu'il est vraiment : un paradis qui n'est pas à chercher ailleurs.
Et à la fois, un invisible, quelquechose que l'on perçoit chaque fois différemment.
Peut-être les âmes, le divin, ce qui fait l'essence du Monde? Peut-être cette solitude qui nous est commune face aux Monde, ces voix toujours seules, qui se répondent sans le savoir, que personne n'entend.
Si vous parvenez à percevoir cela un jour sur l'un de ces films, alors c'est toute l'oeuvre que vous apprécierez. Et cela en vaut la peine
Hugues
C'est sans doute ça mon problème Hugues: j'ai vu les deux précédents (la ligne rouge et le nouveau monde)...
sccc a écrit:Cortese a écrit:Madcad a écrit:Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Comment montrer alors que le combat nature et grâce est presqu'aussi vieux que la vie ?
La grâce n'existe que chez l'homme. Au pire il aurait fallu reprendre les australopithèques de Kubrick. Tu as déjà vu la jubilation d'un chat qui attrape une malheureuse petite souris ? Où tu vois de la grâce là dedans (sauf que les chats sont gracieux bien sur) ?
C'est le principe qui veut que tout ce que l'homme n'a pas touché est beau, gracieux harmonieux, "naturel".
La hyène ou le lion qui tue la gazelle nouvelle née, c'est beau et harmonieux. Et gracieux.
Ambrose a écrit:Sauf que ce n'est absolument pas le propos de Malick.
Hugues a écrit:Je dirais plutôt, sccc, tu ne les as pas vu encore, c'est ton problème.
Qui sait, l'âge venant, si ton regard ne changera pas.
Hugues
PS: Tu fais un contresens en pensant que la Nature est l'état de nature.
Ambrose a écrit:sccc a écrit:Cortese a écrit:Madcad a écrit:Cortese a écrit:La scène du dinosaure est indéfendable. C'est du niveau d'une rédaction de 3eme.
Comment montrer alors que le combat nature et grâce est presqu'aussi vieux que la vie ?
La grâce n'existe que chez l'homme. Au pire il aurait fallu reprendre les australopithèques de Kubrick. Tu as déjà vu la jubilation d'un chat qui attrape une malheureuse petite souris ? Où tu vois de la grâce là dedans (sauf que les chats sont gracieux bien sur) ?
C'est le principe qui veut que tout ce que l'homme n'a pas touché est beau, gracieux harmonieux, "naturel".
La hyène ou le lion qui tue la gazelle nouvelle née, c'est beau et harmonieux. Et gracieux.
Sauf que ce n'est absolument pas le propos de Malick.
C'est un peu gênant pour moi, qui ai vu le film et ai des réserves dessus, de voir la discussion polluée par quelqu'un qui n'a pas vu le film et se complait à jouer le rôle du beauf de service.
Maverick a écrit:Ah ?Madcad a écrit:Maverick a écrit:Je me suis dit que le dinosaure n'a pas mangé celui à terre parce qu'il peut-être senti que l'autre était malade. Une sorte d'instinct de survie, ce qui n'est pas forcément la preuve de conscience.Ambrose a écrit:Maverick a écrit:J'ai pas compris le lien avec le film...
On peut voir ça comme l'apparition de la conscience chez les êtres vivants. Voir même de la compassion et de l'amour.
Cette scène est une parfaite illustration du combat nature vs grâce présent tout au long du film.
Cortese a écrit:sccc a écrit:Hugues a écrit:Garion a écrit:Maverick, ne t'inquiète pas plus que ça. J'ai ressentit à peu près la même chose que toi, c'est à dire : rien![]()
Pas compris les scènes intercalaires, pas compris la spiritualité, pas compris ce que voulait faire passer le film.
Bref, j'ai vu une histoire banale tournée bizarrement.
Disons que le film prend du sens dans la tétralogie qu'il forme avec les trois films précédents, et sans doute plus particulièrement avec les deux précédents.
Ses autres films aident peut-être à apprécier celui là. Ils te montrent qu'il filme quelque chose qui est au delà même de ce qui est montré, qu'il filme à la fois ce Monde, notre Monde que nous ne savons plus regarder, plus voir tel qu'il est vraiment : un paradis qui n'est pas à chercher ailleurs.
Et à la fois, un invisible, quelquechose que l'on perçoit chaque fois différemment.
Peut-être les âmes, le divin, ce qui fait l'essence du Monde? Peut-être cette solitude qui nous est commune face aux Monde, ces voix toujours seules, qui se répondent sans le savoir, que personne n'entend.
Si vous parvenez à percevoir cela un jour sur l'un de ces films, alors c'est toute l'oeuvre que vous apprécierez. Et cela en vaut la peine
Hugues
C'est sans doute ça mon problème Hugues: j'ai vu les deux précédents (la ligne rouge et le nouveau monde)...
Moi aussi, et je ressens toujours le même malaise avec Malick. A vrai dire (je vais me faire tuer), je me demande s'il est aussi intelligent qu'il en a l'air.
sccc a écrit:Cortese a écrit:sccc a écrit:Hugues a écrit:Garion a écrit:Maverick, ne t'inquiète pas plus que ça. J'ai ressentit à peu près la même chose que toi, c'est à dire : rien![]()
Pas compris les scènes intercalaires, pas compris la spiritualité, pas compris ce que voulait faire passer le film.
Bref, j'ai vu une histoire banale tournée bizarrement.
Disons que le film prend du sens dans la tétralogie qu'il forme avec les trois films précédents, et sans doute plus particulièrement avec les deux précédents.
Ses autres films aident peut-être à apprécier celui là. Ils te montrent qu'il filme quelque chose qui est au delà même de ce qui est montré, qu'il filme à la fois ce Monde, notre Monde que nous ne savons plus regarder, plus voir tel qu'il est vraiment : un paradis qui n'est pas à chercher ailleurs.
Et à la fois, un invisible, quelquechose que l'on perçoit chaque fois différemment.
Peut-être les âmes, le divin, ce qui fait l'essence du Monde? Peut-être cette solitude qui nous est commune face aux Monde, ces voix toujours seules, qui se répondent sans le savoir, que personne n'entend.
Si vous parvenez à percevoir cela un jour sur l'un de ces films, alors c'est toute l'oeuvre que vous apprécierez. Et cela en vaut la peine
Hugues
C'est sans doute ça mon problème Hugues: j'ai vu les deux précédents (la ligne rouge et le nouveau monde)...
Moi aussi, et je ressens toujours le même malaise avec Malick. A vrai dire (je vais me faire tuer), je me demande s'il est aussi intelligent qu'il en a l'air.
C'est que tu es un beauf aussi alors.
Bienvenue au club.
Madcad a écrit:Maverick a écrit:Ah ?Madcad a écrit:Maverick a écrit:Je me suis dit que le dinosaure n'a pas mangé celui à terre parce qu'il peut-être senti que l'autre était malade. Une sorte d'instinct de survie, ce qui n'est pas forcément la preuve de conscience.Ambrose a écrit:Maverick a écrit:J'ai pas compris le lien avec le film...
On peut voir ça comme l'apparition de la conscience chez les êtres vivants. Voir même de la compassion et de l'amour.
Cette scène est une parfaite illustration du combat nature vs grâce présent tout au long du film.
Ah quoi ?![]()
Toi tu y as vu un prédateur bouder son plaisir parce que la bouffe semble avariée, moi je vois le même prédateur combattre sa nature ultime, attaquer, se nourrir, survivre au lieu de quoi il faire preuve de compassion.
Hugues a écrit:Ambrose a écrit:Sauf que ce n'est absolument pas le propos de Malick.
Ce que je lui disais en PS aussi.
Hugues
Cortese a écrit:sccc a écrit:Cortese a écrit:sccc a écrit:Hugues a écrit:Garion a écrit:Maverick, ne t'inquiète pas plus que ça. J'ai ressentit à peu près la même chose que toi, c'est à dire : rien![]()
Pas compris les scènes intercalaires, pas compris la spiritualité, pas compris ce que voulait faire passer le film.
Bref, j'ai vu une histoire banale tournée bizarrement.
Disons que le film prend du sens dans la tétralogie qu'il forme avec les trois films précédents, et sans doute plus particulièrement avec les deux précédents.
Ses autres films aident peut-être à apprécier celui là. Ils te montrent qu'il filme quelque chose qui est au delà même de ce qui est montré, qu'il filme à la fois ce Monde, notre Monde que nous ne savons plus regarder, plus voir tel qu'il est vraiment : un paradis qui n'est pas à chercher ailleurs.
Et à la fois, un invisible, quelquechose que l'on perçoit chaque fois différemment.
Peut-être les âmes, le divin, ce qui fait l'essence du Monde? Peut-être cette solitude qui nous est commune face aux Monde, ces voix toujours seules, qui se répondent sans le savoir, que personne n'entend.
Si vous parvenez à percevoir cela un jour sur l'un de ces films, alors c'est toute l'oeuvre que vous apprécierez. Et cela en vaut la peine
Hugues
C'est sans doute ça mon problème Hugues: j'ai vu les deux précédents (la ligne rouge et le nouveau monde)...
Moi aussi, et je ressens toujours le même malaise avec Malick. A vrai dire (je vais me faire tuer), je me demande s'il est aussi intelligent qu'il en a l'air.
C'est que tu es un beauf aussi alors.
Bienvenue au club.
C'est vraiment pas le genre d'accusation infamante qui pourrait m'impressionner !
sccc a écrit:??
Hugues a écrit:sccc a écrit:??
Tu n'as pas encore vu ce qu'il y a à y voir (malgré toi, je le sais bien)
Tout comme je pourrais écrire que tu n'as pas encore vu une sculpture ou un tableau tant que tu restes étranger (malgré toi, je le sais bien) à ce qu'elle transmet.
Hugues
sccc a écrit:
C'est que tu es un beauf aussi alors.
Bienvenue au club.
Stéphane a écrit:Evidemment...
sccc a écrit:Et si je rétorque que j'ai vu ces deux films et que je ne les ai pas aimés, c'est nécessairement parce que j'ai raté quelque chose?
Ambrose a écrit:sccc a écrit:
C'est que tu es un beauf aussi alors.
Bienvenue au club.
N'essaye pas de mêler Cortese à ça.
Le problème n'est pas d'aimer ou ne pas aimer le film (moi même, je l'ai dit, je suis mitigé et loin d'être un inconditionnel).
Le problème, c'est de juger un film que l'on a pas vu, quitte à raconter des énormités comme tu le fais.
Hugues a écrit:sccc a écrit:Et si je rétorque que j'ai vu ces deux films et que je ne les ai pas aimés, c'est nécessairement parce que j'ai raté quelque chose?
Tu as bien dit "je n'aime pas", tu n'as pas dit "le film n'est pas bon"
Or je ne te parle pas d'aimer (on va pas refaire le débat entre le sentiment subjectif sur un film et le jugement objectif). Ton sentiment est le tien, et il ne m'importe pas. Tu peux même détester un film que tu juges bon.
En revanche, ton jugement (basé sur des éléments objectifs) si jamais il est négatif ou si il n'est pas formé (car finalement tu ne t'es pas exprimé à ce sujet), oui il me semble que c'est parce que tu as raté toute une somme de choses objectives et remarquables à ton corps défendant.
Hugues
Justement, pour moi il ne fait pas preuve de compassion. Il ne veut pas manger un animal qu'il pense être sans doute malade. En tout cas, c'est ce que je me suis dis.Madcad a écrit:Maverick a écrit:Ah ?Madcad a écrit:Maverick a écrit:Je me suis dit que le dinosaure n'a pas mangé celui à terre parce qu'il peut-être senti que l'autre était malade. Une sorte d'instinct de survie, ce qui n'est pas forcément la preuve de conscience.Ambrose a écrit:Maverick a écrit:J'ai pas compris le lien avec le film...
On peut voir ça comme l'apparition de la conscience chez les êtres vivants. Voir même de la compassion et de l'amour.
Cette scène est une parfaite illustration du combat nature vs grâce présent tout au long du film.
Ah quoi ?![]()
Toi tu y as vu un prédateur bouder son plaisir parce que la bouffe semble avariée, moi je vois le même prédateur combattre sa nature ultime, attaquer, se nourrir, survivre au lieu de quoi il faire preuve de compassion.
sccc a écrit:Hugues a écrit:sccc a écrit:Et si je rétorque que j'ai vu ces deux films et que je ne les ai pas aimés, c'est nécessairement parce que j'ai raté quelque chose?
Tu as bien dit "je n'aime pas", tu n'as pas dit "le film n'est pas bon"
Or je ne te parle pas d'aimer (on va pas refaire le débat entre le sentiment subjectif sur un film et le jugement objectif). Ton sentiment est le tien, et il ne m'importe pas. Tu peux même détester un film que tu juges bon.
En revanche, ton jugement (basé sur des éléments objectifs) si jamais il est négatif ou si il n'est pas formé (car finalement tu ne t'es pas exprimé à ce sujet), oui il me semble que c'est parce que tu as raté toute une somme de choses objectives et remarquables à ton corps défendant.
Hugues
Non Hugues, je les ai trouvés insupportables, au point d'être à deux doigts de sortir de la salle...C'est pour ça que je n'irai pas voir l'arbre de vie. Ce que j'en ai lu et vu présage du même spectacle à la troisième puissance. Je dois être allergique à Malick, désolé. Mais c'est mon problème après tout.
Maverick a écrit:Justement, pour moi il ne fait pas preuve de compassion. Il ne veut pas manger un animal qu'il pense être sans doute malade. En tout cas, c'est ce que je me suis dis.Madcad a écrit:Maverick a écrit:Ah ?Madcad a écrit:Maverick a écrit:Je me suis dit que le dinosaure n'a pas mangé celui à terre parce qu'il peut-être senti que l'autre était malade. Une sorte d'instinct de survie, ce qui n'est pas forcément la preuve de conscience.Ambrose a écrit:Maverick a écrit:J'ai pas compris le lien avec le film...
On peut voir ça comme l'apparition de la conscience chez les êtres vivants. Voir même de la compassion et de l'amour.
Cette scène est une parfaite illustration du combat nature vs grâce présent tout au long du film.
Ah quoi ?![]()
Toi tu y as vu un prédateur bouder son plaisir parce que la bouffe semble avariée, moi je vois le même prédateur combattre sa nature ultime, attaquer, se nourrir, survivre au lieu de quoi il faire preuve de compassion.
Peut-être que je me trompe et qu'il fait preuve de compassion et le lien avec le film est plus évident mais par rapport à ce que je pense de la scène, je pige pas le rapport avec le reste du film...
Marlaga a écrit: Toute l'intensité du moment où il apprend la mort de son frère est zappée.
Marlaga a écrit:Mais c'est tellement bordélique et donné en vrac aux spectateurs qu'on ne sait même pas qui Sean Penn est supposé être parmi les gamins avant la fin où il retrouve son frère.
Hugues a écrit:Marlaga a écrit: Toute l'intensité du moment où il apprend la mort de son frère est zappée.
Peut-être parce que ce n'est pas le sujet du film..
Je dis ça juste comme ça.. hein
Marlaga a écrit:Mais c'est tellement bordélique et donné en vrac aux spectateurs qu'on ne sait même pas qui Sean Penn est supposé être parmi les gamins avant la fin où il retrouve son frère.
On le sait dès le début du film.
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Hugues (qui espère que tu n'as pas eu à subir le doublage français)
Le reste n'est que du bordel religieux ponctué de jolis effets spéciaux sans rapport.
C'est dommage, c'est le seul semblant d'intérêt du film.
On sait qu'il est l'un des frères, mais on ne sait pas quel est le frère qui meurt. On le devine seulement.
Hugues a écrit:Le reste n'est que du bordel religieux ponctué de jolis effets spéciaux sans rapport.
Ca n'est justement pas un film religieux.
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