Modérateurs: Garion, Silverwitch
Ils ont simplement été convaincu par le lynchage médiatique dont il a été victime en bon décérebrés qu'ils sont.Madcad a écrit:Nuvolari a écrit:Malgré les bonnes critiques dans ce genre :
http://www.lestroiscoups.com/article-23285687.html
Voilà ce que l'on peut lire ce matin :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/ ... ffiche.php
Bigard a dit ce qu'il pensait, ce n'est pas autorisé en France. Le lynchage a produit son petit effet.
Tu penses que les amateurs de théâtre ont décidé collectivement de bouder leur plaisir d'aller voir une bonne pièce à cause des déclarations de Bigard sur le 9 septembre ?![]()
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Nuvolari a écrit:Tout a été pulvérisé. Les mecs du MIT se demandaient comment les tours et tout ce qu'elles contenaient avaient pu être réduit à l'état de nanoparticules sous l'effet d'une simple implosion du bâtiment
Nuvolari a écrit:Laisse tomber von. Si tu connaissais un minimum le dossier, tu ne pourrais que constater qu'il est légitime de se poser des questions, sans se faire taxer de cinglés. Alors de grâce... toi qui semble t'y connaitre en stratégie et histoire militaire, ne va pas me dire que tu ne t'es pas renseigné sur les 25 exercices programmés le matin même des attentats, sur les procedures militaires classiques en cas de détournements etc... sur les djihadistes s'entrainant dans des camps de l'Otan en ex-Yougoslavie (lis le livre de Daniel Ganser à ce sujet, préfacé par Chevenement), ces même mecs que l'on retrouve à Madrid et à Londres, Londres où des exercices similaires aux attentats qui ont vraiment eu lieu étaient programmés le jour même, comme pour le 11/09. Et que dire de la manoeuvre d'un avion au dessus du pentagone, manoeuvre inutile et à la limite de l'irréalisable par des pilotes chevronné alors que la rapport Kean-Hamilton précise qu'aucun des pirates présent dans le vol 77 n'était un pilote !
Et depuis quand le nez en carbone d'un 747 traverse 6 murs de béton alors que les ailes et le moteur ne laissent pas de traces et se volatilisent "sous l'effet de l'incendie" alors qu'on trouve quelques corps calcinés ?
Encore une fois, je crois que l'on a le droit de se poser des questions.
Heureusement quue Nuvolari a écrit 747 au lieu de 757 sinon on aurait raté ton intervention et ta grande connaissance du dossier...Thrawn a écrit:Nuvolari a écrit:Laisse tomber von. Si tu connaissais un minimum le dossier, tu ne pourrais que constater qu'il est légitime de se poser des questions, sans se faire taxer de cinglés. Alors de grâce... toi qui semble t'y connaitre en stratégie et histoire militaire, ne va pas me dire que tu ne t'es pas renseigné sur les 25 exercices programmés le matin même des attentats, sur les procedures militaires classiques en cas de détournements etc... sur les djihadistes s'entrainant dans des camps de l'Otan en ex-Yougoslavie (lis le livre de Daniel Ganser à ce sujet, préfacé par Chevenement), ces même mecs que l'on retrouve à Madrid et à Londres, Londres où des exercices similaires aux attentats qui ont vraiment eu lieu étaient programmés le jour même, comme pour le 11/09. Et que dire de la manoeuvre d'un avion au dessus du pentagone, manoeuvre inutile et à la limite de l'irréalisable par des pilotes chevronné alors que la rapport Kean-Hamilton précise qu'aucun des pirates présent dans le vol 77 n'était un pilote !
Et depuis quand le nez en carbone d'un 747 traverse 6 murs de béton alors que les ailes et le moteur ne laissent pas de traces et se volatilisent "sous l'effet de l'incendie" alors qu'on trouve quelques corps calcinés ?
Encore une fois, je crois que l'on a le droit de se poser des questions.
Tiens, je savais pas qu'un 747 faisait partie des avions utilisés par les pirates du 9/11![]()
T'es sur de si bien connaître le dossier que ca ?
Heureusement quue Nuvolari a écrit 747 au lieu de 757 sinon on aurait raté ton intervention et ta grande connaissance du dossier...[/quote]Maverick a écrit:
Tiens, je savais pas qu'un 747 faisait partie des avions utilisés par les pirates du 9/11![]()
T'es sur de si bien connaître le dossier que ca ?
Maverick a écrit:Ben si t'en connais tant que ça, fais nous part de ton avis au lieu de t'attarder sur un détail sans importance qui n'est sans doute qu'une coquille.
Nuvolari a écrit:Laisse tomber von. Si tu connaissais un minimum le dossier, tu ne pourrais que constater qu'il est légitime de se poser des questions, sans se faire taxer de cinglés. Alors de grâce... toi qui semble t'y connaitre en stratégie et histoire militaire, ne va pas me dire que tu ne t'es pas renseigné sur les 25 exercices programmés le matin même des attentats, sur les procedures militaires classiques en cas de détournements etc... sur les djihadistes s'entrainant dans des camps de l'Otan en ex-Yougoslavie (lis le livre de Daniel Ganser à ce sujet, préfacé par Chevenement), ces même mecs que l'on retrouve à Madrid et à Londres, Londres où des exercices similaires aux attentats qui ont vraiment eu lieu étaient programmés le jour même, comme pour le 11/09. Et que dire de la manoeuvre d'un avion au dessus du pentagone, manoeuvre inutile et à la limite de l'irréalisable par des pilotes chevronné alors que la rapport Kean-Hamilton précise qu'aucun des pirates présent dans le vol 77 n'était un pilote !
Et depuis quand le nez en carbone d'un 747 traverse 6 murs de béton alors que les ailes et le moteur ne laissent pas de traces et se volatilisent "sous l'effet de l'incendie" alors qu'on trouve quelques corps calcinés ?
Encore une fois, je crois que l'on a le droit de se poser des questions.
von Rauffenstein a écrit:Et si les ailes ne rentrent pas, c'est qu'à l'impact, elle se replie en avant, que des photos ont montré bel et bien des traces d'impact des ailes, dont les moteurs sur les murs sans les traverser parce qu'elles n'ont pas la même densité que le reste de l'appareil, qu'elles contenaient du carburant, donc qu'elles ont explosé avant de traverser quoi que ce soit.
Maverick a écrit:von Rauffenstein a écrit:Et si les ailes ne rentrent pas, c'est qu'à l'impact, elle se replie en avant, que des photos ont montré bel et bien des traces d'impact des ailes, dont les moteurs sur les murs sans les traverser parce qu'elles n'ont pas la même densité que le reste de l'appareil, qu'elles contenaient du carburant, donc qu'elles ont explosé avant de traverser quoi que ce soit.
Où t'as vu des photos avec traces d'impact des ailes et des moteurs ?
Maverick a écrit:von Rauffenstein a écrit:Et si les ailes ne rentrent pas, c'est qu'à l'impact, elle se replie en avant, que des photos ont montré bel et bien des traces d'impact des ailes, dont les moteurs sur les murs sans les traverser parce qu'elles n'ont pas la même densité que le reste de l'appareil, qu'elles contenaient du carburant, donc qu'elles ont explosé avant de traverser quoi que ce soit.
Où t'as vu des photos avec traces d'impact des ailes et des moteurs ?
J’ai intitulé ma conférence « Un Nouveau Regard sur le 11-Septembre » [1]. En suggérant qu’il est temps de porter un nouveau regard sur ces événements, je pense avant tout à ceux qui ont décidé, depuis longtemps, que les attentats du 11-Septembre avaient bien eu lieu de la façon dont l’administration Bush-Cheney, ainsi que les rapports officiels, l’ont affirmé ; à ceux qui pensent que le Mouvement pour la Vérité sur le 11/9, qui conteste cette version, se compose d’adeptes de la théorie du complot, dépourvus de toute capacité de jugement objectif. Ces personnes, dont la plupart des journalistes, ayant forgé depuis longtemps leur opinion, sont imperméables à tout argument présenté par notre Mouvement. Elles se contentent de lever les yeux au ciel, et de passer leur chemin.
Mais notre Mouvement, de même que les éléments dont nous disposons, ont considérablement évolué ces trois dernières années. Il n’est pas rationnel de rejeter d’emblée nos arguments, sans prendre le temps de les examiner. Il est moins que jamais concevable de lever les yeux au ciel, sans démontrer la nature irrationnelle de ceux que l’on tente de discréditer en les appelant les « adeptes de la théorie du complot ».
Ma conférence s’adresse également, bien qu’indirectement, à mes amis, membres du Mouvement pour la Vérité. Certains d’entre eux estiment en effet que, Bush et Cheney n’étant plus en fonction, et l’administration Obama étant revenue sur certaines des politiques qui reposaient sur le 11-Septembre, il n’est plus si important de connaître la vérité. D’autres, voyant que l’administration Obama part toujours du principe que c’est al-Qaïda qui a attaqué les États-Unis le 11/9, en ont conclu qu’il n’y avait aucun espoir que la vérité soit jamais révélée, et que nous ferions mieux d’abandonner. À ceux-là, je voudrais dire que la recherche de la vérité est plus importante que jamais, car bien des politiques, à commencer par la guerre en Afghanistan, n’ont pas été remises en cause. De plus, les changements politiques s’ajoutant à l’évolution de notre Mouvement, nous avons à présent, pour la toute première fois, une chance raisonnable d’obtenir une véritable enquête.
J’en viens maintenant à mon sujet : Pourquoi les adeptes de la théorie officielle du complot devraient porter un nouveau regard sur le 11/9. J’utilise le terme « adeptes de la théorie officielle du complot » à dessein. Bien souvent, les gens qui croient en la théorie officielle sur le 11/9 surnomment dédaigneusement les membres du Mouvement pour la Vérité des « adeptes de la théorie du complot ». Mais cela n’est pas rationnel. On parle de complot dès lors que plusieurs personnes conspirent en secret en vue de commettre un acte illégal, tel un braquage de banque ou une escroquerie quelconque. Croire en une théorie du complot, au sujet d’un événement, signifie simplement croire que celui-ci est le fruit d’une conspiration. Selon l’interprétation du 11/9 par le tandem Bush-Cheney, qui devint la version officielle, les attentats furent le fruit d’une conspiration entre Oussama ben Laden et 19 membres d’al-Qaïda. Cette version officielle est, par conséquent, une théorie de complot.
Cela signifie que chacun défend une théorie du complot à propos du 11/9. Le débat sur le 11/9 n’est donc pas un débat entre adeptes et anti-adeptes de théorie du complot. Il s’agit simplement d’un débat entre ceux qui acceptent la théorie du complot de l’administration Bush-Cheney, et ceux qui penchent pour une théorie alternative, selon laquelle le 11/9 fut le produit d’un complot à l’intérieur de cette administration.
Ceux qui défendent la théorie officielle du complot ne peuvent donc pas, de façon rationnelle, rejeter la théorie alternative au motif qu’il s’agit d’une théorie du complot. La seule question rationnelle à se poser est : Quelle théorie est la mieux soutenue par les éléments probants ?
Je précise que je n’utilise pas le terme « théorie officielle du complot » de façon péjorative. Il n’y a rien de mal à croire en cette théorie. Je l’ai acceptée moi-même, au début. C’est seulement un problème si vous y croyez vraiment, si vous êtes à ce point convaincu par la théorie officielle du complot, que vous ne pouvez regarder de façon objective les éléments susceptibles de la contredire.
Les raisons d’être sceptique à l’égard de la théorie du complot de Bush-Cheney
Il est plus que jamais irrationnel de continuer à croire en la théorie officielle du complot, car nous disposons de beaucoup d’éléments nouveaux par rapport au moment où cette théorie fut gravée dans les esprits.
À ce moment nous ne savions pas, par exemple, que l’administration Bush-Cheney raconterait d’énormes mensonges, qui allaient faire des millions de victimes, dont des milliers d’États-uniens. Et bien avant de mentir à propos des armes de destruction massive en Irak, la Maison-Blanche avait ordonné à l’Agence de protection de l’Environnement, juste après le 11/9, de mentir à propos de la qualité de l’air sur le site du World Trade Center. Le résultat, c’est qu’environ 60 % des personnes qui ont participé aux opérations de sauvetage ou de déblaiement sont aujourd’hui malades, quand elles ne sont pas mortes, et que le nombre de gens qui vont mourir des suites de maladies sera probablement supérieur à celui des victimes du 11/9 lui-même. Devant ces faits, il serait difficile d’affirmer que l’administration Bush-Cheney ne pouvait être moralement impliquée dans l’organisation du 11/9 et de sa dissimulation.
Nous avons également d’autres raisons, peu connues à l’époque, d’être sceptiques à l’égard des rapports officiels.
La plupart des gens ont cru que la Commission d’enquête sur le 11/9 était conduite par ses deux co-présidents : Thomas Kean, ancien gouverneur républicain, et Lee Hamilton, ancien membre démocrate du Congrès. Par conséquent, cette Commission d’enquête leur paraissait être indépendante, et non partisane. Mais la Commission fut en réalité conduite par Philip Zelikow. C’est lui qui dirigea l’équipe de 85 personnes, lui qui était en charge de produire le Rapport de la Commission d’enquête sur le 11/9. Et Zelikow était avant tout un membre de l’administration Bush-Cheney, proche en particulier de Condoleezza Rice, avec laquelle il coécrivit un livre. Grâce à un ouvrage de Philip Shenon, journaliste au New York Times, sur la Commission d’enquête, nous savons maintenant que Zelikow restait en contact avec Rice, mais également avec Karl Rove, à l’époque secrétaire adjoint de la Maison-Blanche. Shenon révèle que, avant même que l’équipe se mette au travail, Zelikow avait déjà dessiné les grandes lignes du Rapport, et en avait écrit les « titres et sous-titres des chapitres et titres de sections ». Shenon nous apprend également que Kean et Hamilton s’étaient entendus avec Zelikow pour que l’équipe ignore l’existence de ce plan pré-établi.
Dans le livre qu’ils ont co-écrit sur la Commission d’enquête, Kean et Hamilton accusent les « tenants de la théorie du complot » de ne pas baser leurs théories sur les faits, mais de partir de leurs théories pour rechercher les faits qui la corroborent. Kean et Hamilton affirment qu’à contrario la Commission d’Enquête s’est basée sur les faits probants, et non sur une conclusion : « Nous n’étions pas là pour opposer une théorie ou une interprétation du 11/9 à une autre » ont-ils écrit. Ils ont pourtant admis que Zelikow avait attribué « le sujet ‘al-Qaïda’ à [l’un des membres de l’équipe] », à qui il fut demandé de « raconter l’histoire de l’opération la plus aboutie d’al-Qaïda : les attentats du 11/9 ». Si ce n’est pas là partir d’une théorie, comment appeler cela ?
Si la Commission d’enquête ne fut pas indépendante de l’administration Bush-Cheney, que dire du NIST (l’Institut National des Normes et Technologies), qui rédigea les rapports officiels sur la destruction du World Trade Center ? Le NIST est une agence du ministère du Commerce états-unien. Cette agence était par conséquent dépendante, à l’époque, de l’administration Bush-Cheney, et dirigée par une personne nommée par cette administration.
Récemment, un ancien employé du NIST a révélé que celui-ci avait été « largement détourné du champ scientifique vers le champ politique ». Les scientifiques travaillant pour le NIST, a t-il affirmé, « perdirent [leur] indépendance scientifique, et n’étaient guère plus que des ‘exécutants’ ». Il ajoute : « Tout ce que produisaient les exécutants était filtré par la direction, et évalué selon des critères politiques, avant publication. » [2]
De plus, selon lui, les rapports du NIST sur le World Trade Center ont également dû être approuvés par l’Agence de Sécurité Nationale (NSA), et le Bureau de Management et du Budget – « un bras du Bureau Exécutif du Président » – qui « avait spécialement délégué une personne pour superviser notre travail ». [3]
Les rapports du NIST, qui affirment que les Tours Jumelles et le bâtiment 7 se sont effondrés sans l’aide d’explosifs, sont donc davantage des rapports politiques que scientifiques – ce que tout examen sérieux confirme. Il n’est pas concevable que les auteurs, diplômés en physique et en ingénierie, aient pu croire ce qu’ils ont écrit.
Le Nouveau Visage du Mouvement pour la Vérité
Si la connaissance de nouveaux éléments concernant l’administration Bush-Cheney et les rapports officiels accréditant leur théorie du complot nous amène à porter un nouveau regard sur le 11/9, il en est de même de l’évolution du Mouvement pour la Vérité. Au début, l’image qui en était donnée était celle d’« une bande de gosses sur Internet ». Puis j’ai rejoint le Mouvement en publiant Le Nouveau Pearl Harbor, et l’image est devenue « une bande de gosses sur Internet, plus un théologien sur le retour ». George Monbiot, dans The Guardian, les traite d’« abrutis », et d’« idiots ». Alexander Cockburn, dans Counterpunch, dans The Nation, les surnomme les « complotistes cinglés » (édulcoré en français par l’expression « adeptes du complot » dans Le Monde Diplomatique) qui ne connaissent rien au « monde réel », et encore moins à l’histoire militaire. Manquant de « toute compréhension des preuves », ajoute-t-il, ils représentent « l’ascendance de la magie sur le bon sens [et] la raison ». [4]
Si certains de nos détracteurs m’ont décrit comme le chef de ce Mouvement (...) – Monbiot m’a désigné comme son « grand prêtre », un autre comme son « gourou » – l’idée était de le faire passer, aux yeux du grand public, pour un mouvement religieux (voire sectaire), composé de gens qui ne savent rien du monde réel. Comme l’un d’eux l’a exprimé : « En tant que théologien, Griffin n’est pas qualifié pour parler d’autre chose que de mythes et de fables ». Ce à quoi j’ai répondu que j’étais, de ce fait, parfaitement qualifié pour parler de la théorie officielle du complot. Néanmoins, le Mouvement pour la Vérité souffre encore de cette image auprès du grand public, et il est encore décrit comme étant mené par des gens qui n’ont aucune compétence dans les domaines concernés.
Même si cette caricature, comme toute caricature, a pu contenir une part de vérité, cela est aujourd’hui totalement erroné. Le leadership intellectuel du Mouvement est maintenant exercé par des scientifiques et des professionnels qui connaissent indéniablement le monde réel. Beaucoup de ces professionnels se sont regroupés en associations, dédiées à la recherche de la vérité sur le 11/9.
Il y a quelques années, des scientifiques ont créé le Panel Scientifique pour une Enquête sur le 11/9. Plus récemment, des physiciens et des chimistes, principalement, ont créé les Universitaires pour la Vérité et la Justice sur le 11/9. À la suite de quoi nos détracteurs ont déclaré que si nos affirmations à propos du World Trade Center étaient justifiées, elles feraient l’objet de publications dans des revues d’articles scientifiques approuvés par des pairs. Au cours de l’année écoulée, des scientifiques affiliés aux Universitaires pour la Vérité et la Justice ont publié trois articles dans des revues de ce type, (à comité de lecture). Le principal auteur du dernier en date de ces articles, paru dans l’Open Chemical Physics Journal, est Niels Harrit, professeur de chimie à l’Université de Copenhague. Ces scientifiques ont trouvé dans la poussière du World Trade Center des éléments chimiques qui ne devraient pas s’y trouver, si la théorie officielle, selon laquelle ce sont seulement les incendies et la gravité qui firent s’effondrer les immeubles, était vraie.
Lorsque des physiciens et des chimistes ont rejoint le Mouvement, certains critiques ont dit : « Ils ne comptent pas vraiment. Les raisons de l’effondrement des Tours du WTC est affaire d’ingénieurs, et votre Mouvement n’en compte aucun. » C’était le cas en 2005. L’année suivante, l’architecte Richard Gage créa « Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11/9 », et maintenant plus de 600 d’entre eux ont signé sa pétition, appelant à une nouvelle enquête. Ce sont des gens qui connaissent bien les grands immeubles à structure d’acier du monde réel, et qui savent que la théorie officielle à propos de l’effondrement sur eux-mêmes, pratiquement à la vitesse de la chute libre, des Tours Jumelles et du bâtiment 7, ne peut tout simplement pas être vraie. Jack Keller, par exemple, professeur émérite de génie civil à l’Université de l’Utah, qui obtint la reconnaissance spéciale de la revue Scientific American, a déclaré à propos de l’effondrement du bâtiment 7 : « C’est clairement le résultat d’une démolition contrôlée. » [5] Un jugement similaire a été porté par deux professeurs émérites d’ingénierie structurelle de l’Institut Fédéral Suisse de Technologie, ainsi que par des centaines d’autres ingénieurs et architectes.
Les pompiers possèdent une expertise probante sur ce qui s’est produit à New York le 11/9. Ils ont créé, l’année dernière, l’association des Pompiers pour la Vérité sur le 11/9. Ils démontrent pourquoi on ne peut pas croire les rapports du NIST sur le World Trade Center.
De plus, il existe maintenant une association d’Anciens combattants pour la Vérité, comprenant plusieurs anciens officiers. Je pense qu’ils en savent beaucoup plus sur le monde militaire réel qu’Alexander Cockburn.
Une autre association, dans un autre domaine d’expertise concerné, compte de nombreux anciens pilotes de lignes et militaires dans ses rangs. Pour eux, la version officielle, qui explique pourquoi les avions de ligne n’ont pas été interceptés le 11/9, est irrecevable. Ils ont focalisé leur attention sur ce qui s’est produit au Pentagone, et ils ont mis en évidence de nombreuses raisons pour lesquelles la version officielle concernant cet événement n’est pas crédible.
La dernière en date de ces associations de professionnels regroupe des officiers du Renseignement. Un des premiers à la rejoindre fut William Christison, ancien cadre de la CIA. (...) Voici ce qu’il a écrit en 2006 : « Pendant quatre ans et demi, j’ai refusé catégoriquement de prêter une attention sérieuse aux théories du complot autour du 11/9… Mais au cours des six derniers mois, et après bien des tourments, j’ai changé d’avis. [6] … À présent, je pense qu’il existe des preuves convaincantes que ces attentats ne se sont pas déroulés de la façon dont l’administration Bush et la Commission d’enquête ont voulu nous le faire croire. » [7]
L’épine dorsale du Mouvement pour la Vérité est maintenant constituée d’associations de scientifiques, d’architectes, d’ingénieurs, de pompiers, de pilotes, d’officiers militaires et du Renseignement. Et il en existe d’autres encore. L’an dernier se sont créées des associations de Professionnels de la Santé, d’Avocats, de Responsables Religieux et, tout récemment, de Responsables Politiques pour la Vérité sur le 11/9. Cette dernière compte déjà des membres, anciens ou actuels, des Parlements européen, japonais, italien, anglais, néo-zélandais et suédois, ainsi qu’un ancien gouverneur des États-Unis. Manifestement, ceux qui pensent que le Mouvement est constitué de complotistes cinglés, d’idiots et d’abrutis, vont devoir revoir leur jugement – s’ils souhaitent fonder leur opinion sur le monde réel.
La situation est à présent la suivante (et si vous ne deviez retenir qu’une seule phrase de cette conférence, ce serait celle-ci) : Parmi les experts des domaines concernés qui se sont penchés sur la question, le poids de l’opinion scientifique et professionnelle penche désormais du côté du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9. Ils sont plus d’un millier à s’être publiquement exprimés sur la théorie officielle, et pratiquement aucun scientifique ou professionnel des domaines concernés ne l’a soutenue ouvertement – à l’exception de ceux qui ne sont pas indépendants, et dont la carrière serait menacée s’ils refusaient de le faire. Ce dernier point est important car, comme le fit observer Sinclair Lewis : « Il est difficile de faire comprendre quelque chose à quelqu’un, lorsque son salaire lui impose de ne pas comprendre. » À l’exception de ces personnes, pratiquement tous les experts des domaines concernés, qui ont sérieusement étudié la question, rejettent la théorie officielle du complot. Par conséquent, il est temps pour les journalistes, et pour tout un chacun, de porter un nouveau regard sur le 11-Septembre.
von Rauffenstein a écrit:La pointe des missiles, comme l'exocet par exemple, est aussi en matériau composite. Seulement il est propulsé à une certaine vitesse et concentre poids et vitesse sur une surface très réduite ce qui lui permet de traverser de part en part s'il n'explose pas, un navire en acier. Donc un boeing de 150 tonnes qui déboule à 250/300 kilomètres heure, il rentre dans du béton. Et si les ailes ne rentrent pas, c'est qu'à l'impact, elle se replie en avant, que des photos ont montré bel et bien des traces d'impact des ailes, dont les moteurs sur les murs sans les traverser parce qu'elles n'ont pas la même densité que le reste de l'appareil, qu'elles contenaient du carburant, donc qu'elles ont explosé avant de traverser quoi que ce soit.
von Rauffenstein a écrit:Et puis j'adore aussi les élucubrations fantaisistes sur la chute des tours plus vite que la lumière. Ce qui voudraient dire tout simplement que les lois physiques, dont celles de la chute des corps, n'étaient pas les mêmes à l'endroit de ces tours. Une sorte de vortex spatio-temporel peut-être ? Encore un coup des P'tits Gris de Roswell ?
J'ai lu que l'acier des tours du WTC avait été certifié pour résister à 1000C°.von Rauffenstein a écrit:De fait, je constate qu'expliquer en 1000 pages après des années d'enquêtes ce qui a pu se produire et qui n'a aucun précédent dans l'histoire humaine est démonté en 5 clicks et dix minutes sur le net par les "spécialistes de ce dossier" qui n'hésitent pas à défier les lois de la physique universelle, oublient que l'acier, s'il fusionne à 1.500°, perd ses qualités de résistance dès 500°, trouvent de la thermite dans les débris alors qu'il s'agit de la signature physico-chimique de l'acier exposé au feu et à l'air aussi, ou qu'un Arabe ne peut pas piloter un avion.
Maverick a écrit:J'ai lu que l'acier des tours du WTC avait été certifié pour résister à 1000C°.von Rauffenstein a écrit:De fait, je constate qu'expliquer en 1000 pages après des années d'enquêtes ce qui a pu se produire et qui n'a aucun précédent dans l'histoire humaine est démonté en 5 clicks et dix minutes sur le net par les "spécialistes de ce dossier" qui n'hésitent pas à défier les lois de la physique universelle, oublient que l'acier, s'il fusionne à 1.500°, perd ses qualités de résistance dès 500°, trouvent de la thermite dans les débris alors qu'il s'agit de la signature physico-chimique de l'acier exposé au feu et à l'air aussi, ou qu'un Arabe ne peut pas piloter un avion.
Et peut être qu'un ingénieur pourra nous répondre mais admettons que l'acier ait effectivement perdu de sa résistance au point de ne plus pouvoir soutenir le poids de la tour, cette dernière n'aurait-elle pas dû s'affaisser lentement au lieu de s'effondrer d'un coup ?
Maverick a écrit:J'ai lu que l'acier des tours du WTC avait été certifié pour résister à 1000C°.von Rauffenstein a écrit:De fait, je constate qu'expliquer en 1000 pages après des années d'enquêtes ce qui a pu se produire et qui n'a aucun précédent dans l'histoire humaine est démonté en 5 clicks et dix minutes sur le net par les "spécialistes de ce dossier" qui n'hésitent pas à défier les lois de la physique universelle, oublient que l'acier, s'il fusionne à 1.500°, perd ses qualités de résistance dès 500°, trouvent de la thermite dans les débris alors qu'il s'agit de la signature physico-chimique de l'acier exposé au feu et à l'air aussi, ou qu'un Arabe ne peut pas piloter un avion.
Et peut être qu'un ingénieur pourra nous répondre mais admettons que l'acier ait effectivement perdu de sa résistance au point de ne plus pouvoir soutenir le poids de la tour, cette dernière n'aurait-elle pas dû s'affaisser lentement au lieu de s'effondrer d'un coup ?
Comment le kérosène a-t-il mis le feu au World Trade Center ?
Vancouver Independent Media Center, le 27 février 2003
Imaginez que l'intégralité du kérosène des avions se soit répandue dans un même étage du World Trade Center, que le kérosène se soit embrasé de manière optimale, et qu'aucun oxydant ne se soit échappé par transmission de chaleur. Dans ces conditions idéales, nous allons calculer la température maximale qui a pu régner dans les étages des tours.
“Le boeing 767 est capable de transporter jusqu'à 90 900 litres de carburant et l'on estime que, au moment de l'impact, chaque avion transportait 37 900 litres de kérosène inutilisés dans ses réservoirs (compilé des sources du gouvernement)” Extrait du rapport de la FEMA sur l'effondrement des bâtiments 1 et 2 du World Trade Center (chapitre 2).
Dans la mesure où les avions n'effectuaient des vols que de Boston à Los Angeles, ils étaient loin d'être pleins de carburant au décollage (les appareils ont une autonomie maximale de 12 235 kilomètres). Ils transportaient tout juste assez de carburant pour faire le vol, assorti d'une marge de sécurité. Rappelez-vous que transporter du kérosène en excès signifie de plus lourdes factures de carburant et moins de passagers payants. De plus, l'appareil a consommé du kérosène entre Boston et New York.
Ce que nous proposons de faire est de prétendre que la totalité des 37 900 litres (10 000 “gallons” américains) de kérosène s'est répandue dans un seul des étages du World Trade Center, que le carburant s'est enflammé avec une quantité parfaite d'oxygène, qu'aucun gaz ne s'est échappé de l'étage en question, et qu'aucune chaleur ne s'est échappée de l'étage par conduction thermique. Avec ces hypothèses idéales (aucune ne reflète la réalité), nous allons calculer la température maximale qui a pu être atteinte dans cet étage. Bien sûr, ce jour-là, l'élévation véritable de la température dans les étages due au carburant enflammé aura été considérablement moins élevée que notre calcul mais cette estimation va nous permettre de montrer que les explications “officielles” sont des mensonges.
Notez qu'un “gallon” de carburéacteur pèse environ 3,1 kilogrammes, donc 10 000 gallons pèsent 31 000 kg.
Le kérosène est un liquide incolore, inflammable, issue de la distillation directe du pétrole. Il est principalement utilisé comme combustible pour les lampes à huile, pour les fluides servant au démarrage des moteurs, comme carburant pour les moteurs d'avion et comme insecticide.
On le connaît également sous le nom d'essense, kérosène, fioul, mazout et carburéacteur.
Il est composé d'hydrocarbures allant de C9 à C17. Les hydrocarbures sont des composants alcanes CnH2n+2 avec n variant de 9 à 17.
Il a un point d'inflammabilité entre 42°C et 72°C.
Il a une température d'ignition de 210°C.
En fonction de l'apport en oxygène, le kérosène brûle selon une des trois réactions chimiques suivantes :
(1) CnH2n+2 + (3n+1)/2 O2 => n CO2 + (n+1) H2O
(2) CnH2n+2 + (2n+1)/2 O2 => n CO + (n+1) H2O
(3) CnH2n+2 + (n+1)/2 O2 => n C + (n+1) H2O
La réaction (1) ne se produit que quand le kérosène est mélangé à de l'air avant de brûler, comme par exemple, dans les moteurs d'avion.
Les réactions (2) et (3) se produisent quand une flaque de kérosène prend feu. Quand la réaction (3) a lieu le carbone produit par la réaction forme la suie noire que l'on aperçoit dans les flammes. Cela rend la fumée très noire.
Lors des attentats du 11 septembre à l'encontre du World Trade Center, la collision des avions aurait mélangé le kérosène avec la quantité d'air présente dans les bâtiments, mais la combustion aurait tout de même été une combinaison des réactions (2) et (3) car la quantité d'oxygène était assez restreinte.
Puisque nous ignorons la quantité exacte d'oxygène présent, nous allons supposer que la combustion était parfaitement efficace, c'est-à-dire que l'intégralité du kérosène a brûlé par réaction de type (1), bien que nous sachions que ce n'était pas le cas. Cette hypothèse “généreuse” va nous permettre d'obtenir une température que nous savons supérieure à la véritable température des incendies causés par le kérosène.
Nous devons savoir que la valeur calorifique (nette) du kérosène quand il brûle par réaction (1) est de 42-44 MJ/kg. La valeur calorifique du kérosène correspond à la quantité d'énergie produite quand le kérosène brûle. Nous allons utiliser la valeur élevée de 44 MJ/kg car cela conduira à une plus haute température maximale que la valeur de 42 MJ (et nous souhaitons continuer d'être outrageusement généreux dans nos estimations).
Dans un souci d'effectuer une présentation claire et des calculs simples, nous allons admettre l'hypothèse selon laquelle nos hydrocarbures ont pour formule CnH2n+2. L'abandon des 2 atomes d'hydrogène ne fait pas beaucoup de différence au résultat final et le lecteur intéressé peut facilement recalculer les chiffres afin d'obtenir un résultat un peu plus précis. Nous admettons l'équation :
(4) CnH2n + 3n/2 O2 => n CO2 + n H2O
Cependant, ce modèle ne prend pas en compte que la réaction chimique se produit dans l'air, qui n'est que partiellement composé d'oxygène.
L'air sec est composé de 79% de nitrogène et de 21% d'oxygène (en volume). L'air normal a un taux d'humidité compris entre 0 et 4%. Nous allons incorporer la vapeur d'eau et d'autres gaz atmosphériques mineurs avec le nitrogène.
Donc le ratio des principaux gaz atmosphériques, l'oxygène et le nitrogène, est de 1 : 3,76. En termes moléculaires :
Air = O2 + 3,76 N2
Parce que l'oxygène est mélangé au nitrogène, nous devons l'inclure dans les équations. Bien qu'il ne provoque pas de réaction, il “est juste là” et absorbe la chaleur, il affecte l'équilibre de la chaleur globale. Par conséquent, nous allons utiliser l'équation suivante :
(5) CnH2n + 3n/2 (O2 + 3,76 N2) => n CO2 + n H2O + 5,64n N2
À partir de cette équation, on peut voir que le ratio molaire de CnH2n par rapport aux produits est :
CnH2n : CO2 : H2O : N2 = 1 : n : n : 5,64n moles
CnH2n : CO2 : H2O : N2 = 14n : 44n : 18n : 28 x 5,64n kg
CnH2n : CO2 : H2O : N2 = 1 : 3,14286 : 1,28571 : 11,28 kg
CnH2n : CO2 : H2O : N2 = 31 000 : 97 429 : 39 857 : 349 680 kg
Dans la conversion des moles en kilogrammes, on a supposé que les poids atomiques de l'hydrogène, du carbone, du nitrogène et de l'oxygène sont respectivement 1, 12, 14 et 16.
Chacune des tours contenait 87 090 tonnes (métriques) d'acier. Cela correspond à une moyenne de 87 090 tonnes / 117 = 744 tonnes par étage. Supposons que les étages inférieurs contenaient approximativement deux fois plus d'acier que les étages supérieurs (puisque les étages à la base devaient supporter davantage de poids). Donc, nous estimons que les étages inférieurs contenaient à peu près 998 tonnes d'acier et les étages supérieurs à peu près 500 tonnes. Nous allons supposer que les étages cisaillés par le fuselage des avions contenaient la valeur estimée la plus basse de 500 000 kg d'acier. Cela sous-estime largement la quantité d'acier dans ces étages et, une fois encore, conduit à une estimation de la température maximale plus élevée.
Chaque étage disposait d'une plaque de plancher et d'une dalle de plafond. Ces dalles, faites de béton allégé mesuraient 63 mètres de longueur, 63 mètres de largeur et 10 (par endroit 13) centimètres d'épaisseur. Donc, chaque dalle contenait 63 x 63 x 0,102 = 404,838 m3 soit environ 405 m3 de béton. Un mètre cube de béton allégé pèse 1763 kg, donc chaque dalle pesait 714 015 kg ! Ensemble, les dalles du plancher et du plafond pesaient donc plus de 1 400 000 kg.
[Note de Y.D. : C'est pour le coup une estimation maximale car au centre de chaque étage se trouvaient les ascenseurs, les escaliers, les 47 énormes poutres du noyau et autres gaines de communication verticale ; autrement dit la dalle était percée de trous.]
Maintenant si nous prenons tous les ingrédients et estimons une température maximale à laquelle ils ont pu être chauffés par 10 000 gallons de kérosène (ou 37 854 litres). Nous allons appeler T cette température maximum. Puisque la valeur calorifique du kérosène est de 44 MJ/kg, nous savons que 10 000 gallons (= 31 000 kg) de kérosène vont produire 31 000 x 44 000 000 = 1 364 000 000 000 joules d'énergie.
Il s'agit de la quantité totale d'énergie capable de chauffer tous les composants à la température T. Mais quelle est cette température T ? Pour le découvrir, nous devons d'abord calculer le montant d'énergie absorbée par chacun des ingrédients.
C'est-à-dire que nous devons calculer l'énergie nécessaire pour élever :
39 857 kilogrammes de vapeur d'eau à la température T
97 429 kilogrammes de dioxyde de carbone à la température T
34 680 kilogrammes de nitrogène à la température T
500 000 kilogrammes d'acier à la température T
1 400 000 kilogrammes de béton à la température T
Pour calculer l'énergie nécessaire afin de chauffer les quantités suscitées, nous avons besoin de leur chaleur massique. La chaleur massique ou capacité thermique massique d'une substance est déterminée par la quantité d'énergie à apporter par échange thermique pour élever d'un degré la température de l'unité de masse d'une substance.
Substance
Capacité thermique massique
(J/kg/K)
Béton
3 300
Acier
450
Nitrogène
1 038
Vapeur d'eau
1 690
Dioxyde de carbone
845
En remplaçant par les valeurs ci-dessus, on obtient :
* 39 857 x 1 690 x (T – joules nécessaires pour chauffer la vapeur d'eau) de 25°C à T°C,
* 97 429 x 845 x (T – joules nécessaires pour chauffer le dioxyde de carbone) de 25°C à T°C,
* 349 680 x 1 038 x (T – joules nécessaires pour chauffer le nitrogène) de 25°C à T°C,
* 500 000 x 450 x (T – joules nécessaires pour chauffer l'acier) de 25°C à T°C,
* 1 400 000 x 3 300 x (T – joules nécessaires pour chauffer le béton) de 25°C à T°C,
L'hypothèse selon laquelle les capacités thermiques massiques sont constantes dans une température comprise entre 25°C et T°C, est une hypothèse exacte si T est assez peu élevée (comme cela a été le cas). Si les valeurs de T sont plus élevées, cela induit une température maximale supérieure (car la capacité thermique massique des substances augmente avec la température). Nous avons supposé que la température initiale de l'environnement est à 25°C. La quantité, (T – 25°C), correspond à l'augmentation de température.
Donc la quantité d'énergie à apporter par échange thermique pour élever un étage à la température T°C :
= (39 857 x 1 690) + (97 429 x 845) + (349 680 x 1 038) + (500 000 x 450)
+ (1 400 000 x 3 300) x (T – 25)
= (67 358 300 + 82 327 500 + 362 968 000 + 225 000 000 + 4 620 000 000)
x (T – 25) joules
= 5 357 650 000 x (T – 25) joules
Puisque la quantité d'énergie produite pour embraser les étages est de 1 364 000 000 000 joules, nous obtenons :
5 357 650 000 x (T – 25) = 1 364 000 000 000
5 357 650 000 x T – 133 941 000 000 = 1 364 000 000 000
Par conséquent T = (1 364 000 000 000 + 133 941 000 000) / 5 357 650 000 = 280°C.
Donc, si nous considérons qu'un banal incendie de bureau s'est produit au World Trade Center, alors le carburéacteur n'aurait pu ajouter que 280 – 25 = 255°C (au maximum) à la température du feu.
En résumé :
Nous avons émis l'hypothèse selon laquelle la totalité du kérosène provenant des avions s'est déversé dans un seul des étages du World Trade Center de manière efficiente, qu'aucun gaz chaud ne s'est échappé de l'étage, et qu'aucune chaleur ne s'est échappée de l'étage par conduction thermique.
Nous avons constaté qu'il est impossible que le kérosène ait, à lui seul, élevé la température de cet étage au-delà de 280°C.
Or, cette température n'est pas suffisante, loin s'en faut, pour donner ne serait-ce qu'une amorce d'explication à l'effondrement des tours du World Trade Center.
von Rauffenstein a écrit:C'est vrai Ren. Maintenant, il y a la conjonction de beaucoup d'éléments qui ne sauraient se résoudre à la simple utilisation de thermite et de "nanotechnologies". Choc d'une force inédite à une hauteur qui a ébranlé les tours dans leurs hauteur, poutrelles cisaillées, incendie, quoi qu'on en dise, initié par le kérozène. Effondrement des sommets des tours sur eux mêmes puis effondrement des plafonds sur les planchers, résonnance et vibrations.
Si beaucoup de choses semblent étonnantes, voire sont cachées (pourquoi pas ? Et peut-être pour des tas de bonnes raisons), elles ne permettent pas d'affirmer que l'enchaînement des évènements liés à d'abord l'impact des avions dans ces tours n'ait pas la raison principale de l'écroulement qui a suivi.
De plus, nous n'avons pas de modèles standards concernant un crash d'avion de ligne dans une tour. Il faudrait peut-être faire l'expérience à nouveau ?
Fatcap a écrit:Cela fait longtemps que j'ai lâché le sujet, mais je me souviens qu'il y a deux ou trois ans on attendait toujours le rapport final du NIST sur l'effondrement du WTC 7. Est-ce que le rapport est enfin sorti, et est-ce qu'il y a des commentaires sur le résultat ?
Il est sorti oui et le moins que l'on puisse dire est qu'il est largement contesté y compris par ae911Truth (architectural and engineering for 9/11 truth) :Fatcap a écrit:Cela fait longtemps que j'ai lâché le sujet, mais je me souviens qu'il y a deux ou trois ans on attendait toujours le rapport final du NIST sur l'effondrement du WTC 7. Est-ce que le rapport est enfin sorti, et est-ce qu'il y a des commentaires sur le résultat ?
von Rauffenstein a écrit:C'est une photo qui date de quand ? Du 11 septembre 2001 une heure après la catastrophe ?
Rien ne dit que ces structures n'ont pas été cisaillées à l'explosif ou à la cisailleuse lors des travaux de déblayage et de pénétration à l'intérieur des décombres.
Thermite ici aussi ?
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