
Modérateurs: Garion, Silverwitch
Xave a écrit:Je pense connaitre la réponse, mais on ne sait jamais : un lecteur DVD standard ne lit pas un Blue Ray Disc ?
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
von Rauffenstein a écrit:Bon bin maintenant, t'as plus qu'à les mettre dans l'ordre alphabétique mon shunty. C'est un vrai bordel ta dévédéthèque !
Xave a écrit:Je pense connaitre la réponse, mais on ne sait jamais : un lecteur DVD standard ne lit pas un Blue Ray Disc ?
Shunt a écrit:von Rauffenstein a écrit:Bon bin maintenant, t'as plus qu'à les mettre dans l'ordre alphabétique mon shunty. C'est un vrai bordel ta dévédéthèque !
Je les classe par réal' moâa môossieur...![]()
von Rauffenstein a écrit:Shunt a écrit:von Rauffenstein a écrit:Bon bin maintenant, t'as plus qu'à les mettre dans l'ordre alphabétique mon shunty. C'est un vrai bordel ta dévédéthèque !
Je les classe par réal' moâa môossieur...![]()
Attends, je te la joue Cahiay du Cinèmâââ
Shunt a écrit:von Rauffenstein a écrit:
Attends, je te la joue Cahiay du Cinèmâââ
T'oses dire ça à un lecteur inconditionnel de Positif
von Rauffenstein a écrit:ceci dit, d'après un pote, les "Câhiay" sont de droite...
Shunt a écrit:von Rauffenstein a écrit:ceci dit, d'après un pote, les "Câhiay" sont de droite...
Je ne sais pas s'ils le savent eux-mêmes à force de se triturer le bout...
Lay Kâhiay du Chinèmâââ a écrit:Critique. Je veux voir
de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige
Elle se tient debout, face à une fenêtre dont la lumière découpe sa silhouette. De l’autre côté de cette fenêtre située à un étage élevé, dans un halo de blancheur, on devine la ville, Beyrouth. Elle dit : « Je veux voir », elle ne dit pas quoi. La grande fenêtre lui fait un cadre, et quadrille sa silhouette. On la reconnaît tout de suite, Catherine Deneuve. Le film est là, tout de suite : l’actrice vedette, la réalité à la fois très éclairée et avec laquelle s’interpose une distance, les effets réels et inévitables de recadrage, de redéfinition critique de la place, de l’évidence de la présence. Ajoutons même le souvenir fugace d’une autre image, Deneuve chez Garrel devant une fenêtre, Le Vent de la nuit, une autre histoire, un autre artiste, pas une citation mais une harmonique.
Au début du film, ce plan très beau d’être à la fois très simple et si riche concentre l’œuvre à venir, il ne dit rien de l’histoire de Je veux voir. Puisque le troisième long métrage de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige est bien un récit. La découverte de cette nature paradoxale du film sera le carburant de sa mise à feu : pas un reportage sur la visite de Catherine Deneuve au Liban et d’une petite expédition qu’elle aurait faite dans le Sud du pays ravagé par les bombardements israéliens, quelques mois après la guerre de l’été 2006, mais un conte. Un jeu de représentation qui ne peut prendre son essor qu’à condition que Catherine Deneuve « joue », qu’elle joue un de ses rôles les plus difficiles et les plus délicats, celui de Catherine Deneuve.
Aux réalisateurs, tout de suite présents eux aussi comme personnages de leur fiction, elle fait cette demande - je veux voir - qui enclenche l’action. Celle-ci a besoin d’un autre personnage principal, l’acteur Rabih Mroué, qui conduira la voiture avec laquelle « Mademoiselle Deneuve » (le personnage) part vers le Sud. Mroué aussi joue un rôle, dit des dialogues, interprète des situations qui ont été mises en place. Rien pourtant ne vient revendiquer explicitement la nature romanesque de ce qui se produit sous nos yeux - rien sinon une certaine ubiquité de la caméra et une fluidité des enchaînements, qui murmurent que tout cela n’est pas le fruit d’un enregistrement brut mais bien d’une construction.
L’important n’est pas tellement ici de reconstituer les stratégies de tournage, savant assemblage de préparation minutieuse et de capture d’instants fortuits - les Cahiers ont publié avec leur n°626 un « Carnet des cinéastes » qui en explicitait le cheminement. Ce n’est pas non plus d’élucider le caractère « véridique », au sens journalistique, des incidents qui émaillent le voyage de Catherine et Rabih, la brutale interdiction de tourner dans les quartiers Sud de Beyrouth contrôlés par les milices chiites, la dangereuse sortie du chemin balisé dans un paysage paisible où attendent des centaines de milliers de mines et de bombes à fragmentation léguées par Tsahal aux populations civiles, ou encore l’arrivée dans le village natal de Rabih, village aujourd’hui réduit à un monceau de ruines. Nous sommes dans la voiture avec les deux voyageurs qui échangent des mots simples, elle qui tente d’identifier la nature sinon le sens de ce qui se présente sous ses yeux, lui qui répond par réajustements successifs et précis, comprend les incompréhensions de son interlocutrice, ne se veut ni guide ni savant, aussi désemparé dans son propre pays dont il sait tout qu’elle qui n’en sait rien ou presque.
On entend distinctement, mais comme une musique de fond, ce qui était formulé si frontalement par le dialogue « j’ai tout vu/tu n’as rien vu » des amants de Hiroshima mon amour. Il s’agit bien, avec de nouveaux moyens et une situation entièrement différente, de miser à nouveau le même enjeu, inépuisable et essentiel pour le cinéma, celui des possibilités et impossibilités de voir.
Elle ne verra pas grand-chose, Catherine Deneuve. Des maisons détruites, des champs, des gens dans la détresse, des chantiers. Et qui attendrait que son expédition soit celle d’une Tintin en tailleur au pays des ruines, pour on ne sait quelle révélation voyeuriste, sera cruellement déçu. Que pourrait-elle voir d’ailleurs, et surtout nous faire voir, que n’auraient pas vu les cent mille caméras de télévision qui quadrillent le pays ? Attente absurde, malsaine, et pourtant irrépressible - la pulsion scopique que dit très littéralement le titre. Ce sont les conditions réelles de son désir de voir, et c’est, avec Deneuve, les possibilités du cinéma de voir autrement, au-delà de ce « rien à voir » symétrique du trop d’images, que mettent en scène Joreige et Hadjithomas. Il faut ces strates instables de curiosité, de pudeur, de savoirs partiels (ceux d’une Française normalement informée des événements du monde, d’un artiste libanais d’une quarantaine d’années ayant toujours vécu sur place), il faut des distances différentes, l’humour (présence gag et ultraréaliste du garde du corps, et sa variante pour quidam : « Il faut mettre sa ceinture de sécurité »), il faut le danger, le passage par d’autres références - le dialogue sur Belle de jour - et les brusques retours de « réel ». Il faut que celle qui veut voir soit regardée à son tour par ceux chez qui elle débarque et qui la reconnaissent pour ce qu’elle est et ne veut pas être à ce moment là, une star du cinéma occidental. Aux limites d’un fantastique inquiétant, la manière dont les jeunes hommes s’assemblent alors autour de la femme blonde restée seule un moment dans le village martyr se charge d’un miroitement de sens, et d’une étrangeté troublante - on songe, cette fois, à la promenade solitaire de Monica Vitti dans les rues de Syracuse dans L’avventura, au regard des hommes sur elle.
Puisque c’est très logiquement que les repères du cinéma moderne réapparaissent comme autant d’images latentes au sein du film. Des ruines d’Allemagne année zéro à celles de Still Life en passant par Resnais, Buñuel, Antonioni ou Garrel, c’est bien la même mise à l’épreuve des puissances du cinéma de rendre compte autrement, grâce à son réalisme et à son onirisme propres, des vérités et des catastrophes du monde. Tout comme c’est dans la complexité de ces ruines, leitmotiv du film de la banlieue de Beyrouth à la frontière Sud puis au front de mer, que le cinéma se trouve lui-même, dans une noria de visions documentaires et imaginaires où l’antiquité archéologique, les projets urbanistiques, les effets de plusieurs invasions ennemies, les guerres civiles, les stratégies politiques d’occupation du territoire, les agendas humanitaires et les opérations immobilières produisent du paysage et du réel, de la souffrance et de la vie quotidienne, pour des millions de gens. Il faudrait de nombreux gros livres pour mettre tout cela en lumière. Ou, différemment, intuitivement, il est possible d’accompagner le visage de Catherine Deneuve tandis qu’elle roule à travers des champs si beaux, si verts, si calmes et dangereux, et que doucement elle s’endort. Rien de futile dans ce glissement progressif vers un onirisme où éclatera comme un coup de canon le passage d’un de ces jets israéliens qui violent chaque jour l’espace aérien et la fierté des habitants du pays. Mais au contraire, par réajustement constant des points de vue, des formulations, des silences, la construction minutieuse d’un considérable « appareil de vision », qui est le film lui-même. Et la manière dont Catherine Deneuve accepte, avec une modestie et une disponibilité totales, de devenir une pièce de cet appareil est digne d’une grande admiration, et d’une égale gratitude.
Le voyage mène vers plusieurs buts emboîtés. Il mène, à l’extrême Sud, jusqu’à ce chemin ouvert contre les lois de la guerre et de la diplomatie, et parcouru pour la seule justification de sa propre existence - et on songe cette fois aux chemins de Kiarostami, le sentier qui descend vers la frontière entre Liban et Israël prolonge alors la route qui montait à la fin de Et la vie continue. Il mène à l’impératif d’un avenir, quel qu’il soit, et à ce vertigineux recyclage des ruines en matériaux de construction ou en terre gagnée sur la mer. Il mène à un retour de Catherine Deneuve au milieu d’un environnement urbain, mondain, affecté d’une sorte de décalage aux limites du dérisoire et du cauchemar absolu, sous les flashes de photographes qui aveuglent. Circulez, plus rien à voir.
Ainsi le film aura rendu perceptibles la véritable singularité et la véritable puissance du « voir » cinématographique : pas un savoir ni une maîtrise esthétique, mais un agencement des regards, l’organisation sensible d’une assemblée de regardeurs, dont aucun ne peut être à la place de l’autre, et dont aucun, seul, ne pourrait voir, ni donner à voir quoique ce soit, mais dont la communauté fragile rend possible un autre accès au monde.
von Rauffenstein a écrit:Au début du film, ce plan très beau d’être à la fois très simple et si riche concentre l’œuvre à venir, [...]
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Xave a écrit:von Rauffenstein a écrit:Au début du film, ce plan très beau d’être à la fois très simple et si riche concentre l’œuvre à venir, [...]
Putaing, déjà là, je pleure !
General Amin-Dada (Barbet Schröder)
von Rauffenstein a écrit:Ceci dit, Shunt, j'ai été très déçu du Dalhia Noir de Brian De Palma qui essaie de façon besogneuse d'adapter un James Ellroy à l'écran. Je préfère L.A Confidential de Curtiss Hanson. Pas vu dans ta liste.
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
Cyril a écrit:von Rauffenstein a écrit:Ceci dit, Shunt, j'ai été très déçu du Dalhia Noir de Brian De Palma qui essaie de façon besogneuse d'adapter un James Ellroy à l'écran. Je préfère L.A Confidential de Curtiss Hanson. Pas vu dans ta liste.
Mouai... L.A. Confidential est certes un peu mieux que le Dahlia Noir, mais cela reste une médiocre adaptation du bouquin.
von Rauffenstein a écrit:A côté de cette chose, j'ai été vraiment surpris par la qualité d'un canard comme Positif quand je l'ai découvert où l'on ne tombe jamais dans le verbiage tout en restant dans l'analyse de fond.
Ceci dit, Shunt, j'ai été très déçu du Dalhia Noir de Brian De Palma qui essaie de façon besogneuse d'adapter un James Ellroy à l'écran. Je préfère L.A Confidential de Curtiss Hanson. Pas vu dans ta liste.
Cyril a écrit:von Rauffenstein a écrit:Ceci dit, Shunt, j'ai été très déçu du Dalhia Noir de Brian De Palma qui essaie de façon besogneuse d'adapter un James Ellroy à l'écran. Je préfère L.A Confidential de Curtiss Hanson. Pas vu dans ta liste.
Mouai... L.A. Confidential est certes un peu mieux que le Dahlia Noir, mais cela reste une médiocre adaptation du bouquin.
von Rauffenstein a écrit:Cyril a écrit:von Rauffenstein a écrit:Ceci dit, Shunt, j'ai été très déçu du Dalhia Noir de Brian De Palma qui essaie de façon besogneuse d'adapter un James Ellroy à l'écran. Je préfère L.A Confidential de Curtiss Hanson. Pas vu dans ta liste.
Mouai... L.A. Confidential est certes un peu mieux que le Dahlia Noir, mais cela reste une médiocre adaptation du bouquin.
Peut-être, mais entre les deux, y'en a un qui est meilleur. Et puis y'a Kevin Spacey et Russel Crowe dans L.A..
Shunt a écrit:von Rauffenstein a écrit:A côté de cette chose, j'ai été vraiment surpris par la qualité d'un canard comme Positif quand je l'ai découvert où l'on ne tombe jamais dans le verbiage tout en restant dans l'analyse de fond.
Positif a aussi sa part de subjectivité, et je ne suis pas toujours d'accord avec eux (ils ont encensé "la Môme" que j'ai personnellement trouvé raté), mais ils ont un immense mérite à mes yeux : ils ne pratiquent jamais l'anathème, le terrorisme intellectuel, ni les procès d'intention. Contrairement aux Cahiers, ils n'érigent pas leurs goûts en norme du cinématographiquement correct.
Ceci dit, Shunt, j'ai été très déçu du Dalhia Noir de Brian De Palma qui essaie de façon besogneuse d'adapter un James Ellroy à l'écran. Je préfère L.A Confidential de Curtiss Hanson. Pas vu dans ta liste.
Non mais j'aime bien le Curtis Hanson. Pour ce qui est de De Palma, je ne suis pas très objectif. Je trouve le travail d'ensemble du mec super intéressant, ses obsessions, son travail de décontruction parfois proche du situationnisme, son sens poussé de la métaphore et de l'abstraction... du coup, j'ai plus tendance à juger l'oeuvre dans sa continuité, dans sa fascinante cohérence (et le "Dahlia Noir" pourtant film de commande, est un authentique De Palma plus qu'une simple adaptation ellroyenne), que les films en eux-mêmes.
Shunt a écrit:Le bouquin - comme la plupart des Ellroy - est inadaptable cinématographiquement ou alors il faut en faire une série. Le plus simple finalement à adapter, c'était "le Dahlia Noir".
Ouais_supère a écrit:Ce forum est dans un état...
von Rauffenstein a écrit:Ah mais tout à fait. J'ai été étonné de leur critique de 3h10 pouyr Yuma, le dernier. Mais bon, on peut ne pas être d'accord tout en leur reconnaissant qu'ils donnent toujours un avis circonstancié et intelligent sans tomber dans l'incontinence verbale.
J'ai du mal avec Palma. Le seul que j'ai pu voir et apprécier restant Scarface et l'Impasse. Les incorruptibles a très mal vieilli. Mais j'ai un bon souvenir de Mission to Mars. Bon, ceci dit en SF, je suis plutôt bon public...
Cortese a écrit:T'exagère avec Silverwitch, Panzer. Elle est vraiment très loin des cahiers du cinéma (à la limite je te concède le style), mais quelqu'un qui met Ford et Kubrick au sommet de la hiérarchie, ne peut pas être vraiment attaquable. Il me semble qu'elle est aux antipodes de la Nouvelle Vague" ("horresco referens" comme on dit en Kabylie).
Cortese a écrit:Bah. Silverwitch est la seule personne qui m'ait dit adorer "Coca Cola Kid" de Dusan Makavejev. Tu pourrais être indulgent.
http://fr.youtube.com/watch?v=ml0TURpHRuw
http://fr.youtube.com/watch?v=IBytDbh2C ... =1&ie=UTF-
Shunt a écrit:von Rauffenstein a écrit:Ah mais tout à fait. J'ai été étonné de leur critique de 3h10 pouyr Yuma, le dernier. Mais bon, on peut ne pas être d'accord tout en leur reconnaissant qu'ils donnent toujours un avis circonstancié et intelligent sans tomber dans l'incontinence verbale.
C'est clair. Et puis tu les sens globalement plus ouverts, moins bourrés d'a priori... globalement je suis plus souvent en accord qu'en désaccord avec eux. Ce que j'aime surtout, ce sont les longues interviews de réalisateurs. Celles de James Gray et de Steve McQueen (le black qui a réalisé le film sur Bobby Sands, "Hunger, pas celui qui est mort) étaient passionnantes, même quand tu n'as pas vu les films. Ca transpire la passion... quand tu t'intéresses un tant soit peu à l'image, à la réprésentation des choses, des sentiments, c'est du pur bonheur.
$hunty a écrit:J'ai du mal avec Palma. Le seul que j'ai pu voir et apprécier restant Scarface et l'Impasse. Les incorruptibles a très mal vieilli. Mais j'ai un bon souvenir de Mission to Mars. Bon, ceci dit en SF, je suis plutôt bon public...
J'ai lu des analyses très intéressantes sur "les Incorruptibles", notamment sur la fameuse scène du landeau dans l'escalier, inspirée du Cuirassé Potemkine... ça illustre la peur de l'éclatement de la structure familiale pour Elliott Ness, thème récurrent chez De Palma... la séquence de la fusillade à la frontière canadienne illustre également le passage à l'acte, le basculement d'Elliott Ness s'engageant "de l'autre côté", dans un chemin sans retour, irréversible, un combat à mort... c'est un mec intéressant De Palma. Barré, obsessionnel, intelligent. Rien n'est jamais gratuit avec lui.
schumi84f1 a écrit:Ma liste de DVD au 07/12/2008
Brice de Nice (cultissime !)
En Pleine Tempête (histoire simple qui se finit très mal)
Harry Potter – Le Prisonnier d’Azkaban (Bon, harry potter quoi...)
La Fin des Temps (Schwarzie y est étonnant et c'est mon pote)
L’Age de Glace (evidemment)
L’Age de Glace 2 ( pas vu mais par curiosité)
La Ligne Verte (très bonne histoire)
L’Arme Fatale (bin oué quoi)
Le Fan (bon film)
Le Fugitif (j'adore l'ambiance)
Le Mans (culte)
Le Monde de Némo (excellent Disney. Ça devient rare...)
Le Professionnel (Bébel quoi)
Le Trasnporteur (très efficace)
Le Transporteur 2 (pas vu alors par curiosité)
Matrix (excellent. Au contraire des deux autres)
Rabbi Jacob (si incorrect aujourd'hui...)
Retour vers le Futur – L’Intégrale (culte)
Robin des Bois (un bon Disney comme on savait en faire à l'époque)
Seven (à la rigueur)
Shreck (excellent)
Shreck 2 (pas vu, par curiosité)
Starsky & Hutch (on me l'a donné et c'est marrant)
Ze Inconnu Story - L’Intégrale (bin les Inconnus quoi ! On n'a pas fait mieux depuis)
schumi84f1 a écrit:Ma liste de DVD au 07/12/2008
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