Modérateurs: Garion, Silverwitch
Avec la hausse du prix du pétrole, je crains que ça s'emplifie rapidement, à défaut d'autres solutions peu coûteuses pour produire de l'énergie.Le charbon est de loin le principal coupable, avec un usage en nette hausse dans les pays du Sud, signe que la lutte contre le réchauffement sera difficile à mener. «C'est de loin la source principale d'énergie pour la production électrique», a rappelé Jamal Saghir, le responsable de l'eau et de l'énergie à la banque mondiale. Il relève qu'en 1990, 41% de l'électricité de la planète étaient tirés du charbon, une proportion qui a grimpé à 46% en 2003. En Chine, le taux est passé de 71% à 79% sur la même période.
N'est-ce pas une histoire que le japon justifie sa pêche pour les expérimentations scientifiques en toute légalité? (soit un total foutage de gueule)Garion a écrit:Elle est interdite, mais le Japon fait simplement partit des pays qui ne respectent pas cette loi.Xave a écrit:Tiens, pour une fois que je tombe sur un de ces canards, j'ai lu ce matin dans Metro (mais dans le bus) que le Japon comptait pêcher à l'avenir 2x plus de baleines qu'aujourdhui.
Elle est pas hyper réglementée et restreinte, le pêche à la baleine ?
rogerbrouzzouf a écrit:on contine dans la bonne humeur
Réchauffement climatique: des récifs de coraux peut-être détruits à jamais
WASHINGTON (AFP) - Le réchauffement climatique pourrait avoir détruit irrémédiablement certains des récifs de coraux les plus précieux de la planète, selon une étude destinée à évaluer l'impact durable de la montée de la température des océans sur les coraux et la faune marine, publiée lundi.
Des grandes parties des récifs coralliens et la plupart des espèces marines en dépendant "pourraient avoir été détruites à jamais", estime une équipe internationale de chercheurs, après l'examen de 21 sites et de plus de 50.000 m2 de récifs de coraux dans les îles des Seychelles entre 1994 et 2005.
Leur étude analyse l'impact à long terme du réchauffement climatique qui, en 1998, a entraîné une hausse sans précédent et durable de la température à la surface de l'océan Indien, détruisant plus de 90% de la barrière de coraux intérieure des Seychelles.
Ces travaux, dirigés par Nick Graham de l'université britannique de Newcastle, auxquels ont participé des chercheurs d'Australie et des Seychelles, sont publiés dans les Annales de l'Académie américaine des sciences (PNAS) datés du 15 mai.
Ils montrent que la montée de la température en 1998 a eu des effets dévastateurs à court et long terme, en empêchant la régénération de nombreux récifs coralliens.
Ces récifs se sont effondrés et ont été recouverts d'algues. Leur disparition a privé de nourriture et d'habitat une importante faune marine d'espèces variées.
En 2005, il ne restait plus que 7,5% de récifs coralliens dans la zone étudiée, précisent ces chercheurs.
Cette étude révèle aussi que la diversité des espèces de poissons a diminué de 50% dans les zones les plus durement touchées. Une moins grande biodiversité fragilise l'écosystème en le rendant moins stable.
Les plus petits poissons ont vu leur population diminuer plus rapidement, peu après 1998. Et leur raréfaction a commencé à avoir un effet durable sur la chaîne alimentaire, qui va probablement s'amplifier avec le temps, selon ces scientifiques.
En outre, la diminution du nombre des poissons herbivores est jugée inquiétante par ces chercheurs, en raison de leur rôle pour prévenir la prolifération des algues qui étouffent les coraux.
L'étude montre que quatre espèces de poissons --un type de Chétodon, deux variétés de Labridés et un poisson Demoiselle-- pourraient déjà être éteintes dans cette zone.
Six autres espèces de poissons risquent aussi de s'éteindre, relèvent ces scientifiques. Il s'agit du Pervagor Melanocephalus, de trois types de Chétodon et de deux sortes de poisson Demoiselle.
"Il est peut-être trop tard pour sauver nombre de ces récifs coralliens mais cette recherche montre l'importance de réduire les émissions de gaz à effet de serre et leurs effets sur les écosystèmes les plus divers de la planète", insiste Nick Graham.
Ecosystèmes fragiles, les récifs coralliens, surnommés les forêts tropicales de la mer, offrent refuge et nourriture à une multitude de formes de vie, concourant ainsi à la préservation de la biodiversité.
rogerbrouzzouf a écrit:on contine dans la bonne humeur
Réchauffement climatique: des récifs de coraux peut-être détruits à jamais
WASHINGTON (AFP) - Le réchauffement climatique pourrait avoir détruit irrémédiablement certains des récifs de coraux les plus précieux de la planète, selon une étude destinée à évaluer l'impact durable de la montée de la température des océans sur les coraux et la faune marine, publiée lundi.
Des grandes parties des récifs coralliens et la plupart des espèces marines en dépendant "pourraient avoir été détruites à jamais", estime une équipe internationale de chercheurs, après l'examen de 21 sites et de plus de 50.000 m2 de récifs de coraux dans les îles des Seychelles entre 1994 et 2005.
Leur étude analyse l'impact à long terme du réchauffement climatique qui, en 1998, a entraîné une hausse sans précédent et durable de la température à la surface de l'océan Indien, détruisant plus de 90% de la barrière de coraux intérieure des Seychelles.
Ces travaux, dirigés par Nick Graham de l'université britannique de Newcastle, auxquels ont participé des chercheurs d'Australie et des Seychelles, sont publiés dans les Annales de l'Académie américaine des sciences (PNAS) datés du 15 mai.
Ils montrent que la montée de la température en 1998 a eu des effets dévastateurs à court et long terme, en empêchant la régénération de nombreux récifs coralliens.
Ces récifs se sont effondrés et ont été recouverts d'algues. Leur disparition a privé de nourriture et d'habitat une importante faune marine d'espèces variées.
En 2005, il ne restait plus que 7,5% de récifs coralliens dans la zone étudiée, précisent ces chercheurs.
Cette étude révèle aussi que la diversité des espèces de poissons a diminué de 50% dans les zones les plus durement touchées. Une moins grande biodiversité fragilise l'écosystème en le rendant moins stable.
Les plus petits poissons ont vu leur population diminuer plus rapidement, peu après 1998. Et leur raréfaction a commencé à avoir un effet durable sur la chaîne alimentaire, qui va probablement s'amplifier avec le temps, selon ces scientifiques.
En outre, la diminution du nombre des poissons herbivores est jugée inquiétante par ces chercheurs, en raison de leur rôle pour prévenir la prolifération des algues qui étouffent les coraux.
L'étude montre que quatre espèces de poissons --un type de Chétodon, deux variétés de Labridés et un poisson Demoiselle-- pourraient déjà être éteintes dans cette zone.
Six autres espèces de poissons risquent aussi de s'éteindre, relèvent ces scientifiques. Il s'agit du Pervagor Melanocephalus, de trois types de Chétodon et de deux sortes de poisson Demoiselle.
"Il est peut-être trop tard pour sauver nombre de ces récifs coralliens mais cette recherche montre l'importance de réduire les émissions de gaz à effet de serre et leurs effets sur les écosystèmes les plus divers de la planète", insiste Nick Graham.
Ecosystèmes fragiles, les récifs coralliens, surnommés les forêts tropicales de la mer, offrent refuge et nourriture à une multitude de formes de vie, concourant ainsi à la préservation de la biodiversité.
En même temps, ce sont des écosystèmes fragiles qui dépendent de facteurs comme la profondeur de l'eau et la température, donc ça parait assez logique que le réchauffement climatique ait un impact sur ceux-ci.metomoll a écrit:oui j'ai entendu parler de ça, mais il semblerait que ce phénomène ne soit pour l'heure observé que dans l'océan indien... ici chez moi rien de tout ça, c'est intact et toujours aussi beau![]()
d'ailleurs c'est pas encore prouvé que ça ait un lien avec le réchauffement planétaire, il existe également des cycles de vie/mort dans les récifs coralliens aussi.
Dr Renard a écrit:En même temps, ce sont des écosystèmes fragiles qui dépendent de facteurs comme la profondeur de l'eau et la température, donc ça parait assez logique que le réchauffement climatique ait un impact sur ceux-ci.metomoll a écrit:oui j'ai entendu parler de ça, mais il semblerait que ce phénomène ne soit pour l'heure observé que dans l'océan indien... ici chez moi rien de tout ça, c'est intact et toujours aussi beau![]()
d'ailleurs c'est pas encore prouvé que ça ait un lien avec le réchauffement planétaire, il existe également des cycles de vie/mort dans les récifs coralliens aussi.
Le Monde.fr a écrit:Biocarburants : une fausse-bonne idée ?
LE MONDE | 08.06.06 | 13h12 • Mis à jour le 08.06.06 | 14h09
Le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, Thierry Breton, et le ministre de l'agriculture, Dominique Bussereau, ont installé, mercredi 7 juin, un groupe de travail baptisé "Flex fuel 2010", qui sera présidé par l'ancien pilote automobile Alain Prost.
Regroupant agriculteurs, pétroliers, constructeurs de voitures et représentants des consommateurs, il aura pour mission de préparer, dans les trois mois, un plan de développement des bioéthanols en France.
Le premier ministre, Dominique de Villepin, avait souhaité, le 15 mai, qu'avant la fin de la décennie "une véritable liberté de choix" soit offerte aux Français en matière de véhicules consommant de l'énergie à haute teneur de biocarburants. Il souhaitait l'élaboration d'un calendrier "volontariste" avant l'été. Cette initiative gouvernementale est une réponse à la forte augmentation des prix des produits pétroliers dont la voiture et le camion demeurent quasiment captifs - ils utilisent à 98 % des carburants fossiles. Elle s'inspire de l'exemple du Brésil, premier producteur mondial d'éthanol, où les trois quarts des voitures vendues peuvent rouler indifféremment à l'essence ou à l'éthanol.
Le gouvernement français emboîte aussi le pas au président américain qui avait déclaré, le 31 janvier, dans son discours sur l'état de l'Union, que les Etats-Unis, deuxième producteur d'éthanol mondial, devaient augmenter son usage, afin de ne plus être "drogués" au pétrole moyen-oriental.
Qu'appelle-t-on biocarburants ? Il s'agit de combustibles utilisables dans les moteurs à explosion, mais issus de la transformation des sucres ou des huiles d'origine végétale. Deux types de carburant dérivent de ces deux sources : les sucres ou amidons (canne à sucre, betterave, blé) transformés en alcool (éthanol) sont destinés aux moteurs à essence et les huiles (colza, tournesol, palme) sont dédiées aux moteurs diesels (biodiesel).
Ces carburants dits "bio" ne sont pas une nouveauté : de 1920 à 1960, l'éthanol a été un complément à l'essence couramment utilisé. Leurs vertus sont nombreuses. Ils sont produits sur le sol national et créent des emplois dans l'agriculture. Ils sont censés émettre moins de gaz à effet de serre et notamment de particules, de composants aromatiques et de gaz carbonique que les carburants fossiles - 60 % de CO2 en moins pour le biodiesel, 70 % pour l'éthanol.
Les objectifs gouvernementaux sont-ils atteignables ? L'Union européenne avait fixé, en 2003, des objectifs indicatifs de consommation de biocarburants : 2 % de la consommation totale de carburants en 2005, puis 5,75 % en 2010 et 7 % en 2015. Le gouvernement Villepin a décidé, en septembre 2005, d'avancer les 5,75 % en 2008 et d'atteindre 7 % dès 2010.
La difficulté ne viendra pas de la filière agricole qui peut consacrer les superficies nécessaires aux végétaux requis, notamment grâce aux jachères. En revanche, la France part de loin : l'éthanol et le biodiesel français représentent moins de 2 % de la consommation totale de carburants et les usines de transformation sont encore en construction ou en projet.
Les pétroliers préféreraient miser sur la filière biodiesel, en raison de leur insuffisance de raffinage en matière de gazole. Jusqu'à présent, ils rechignaient à augmenter les proportions de biocarburants dans l'essence (5 %, 15 %, 30 % et surtout le fameux E85 qui incorpore 85 % d'éthanol) ou le gazole.
Les biocarburants sont-ils rentables ? Sauf au Brésil où les subventions ont totalement disparu, la réponse est non. Partout, les Etats sont obligés de détaxer en totalité ou en partie le carburant, d'accorder des crédits d'impôts pour l'achat de voitures adaptées ou d'aider à financer des usines de transformation des végétaux afin de mettre le biocarburant à portée de bourse. En 2005, cette défiscalisation a coûté 200 millions d'euros au budget français. Le bilan pour les consommateurs n'est pas optimal : lorsque les automobilistes suédois paient 0,80 centime d'euro le litre de mélange E85, au lieu de 1,30 pour l'essence, c'est 30 % à 40 % de carburant qu'ils consomment en plus.
Pourtant la poussée du prix du baril de brut améliore la compétitivité des sources d'énergie "vertes". Ainsi, peut-on lire dans l'ouvrage Les Biocarburants (IFP Publications, éditions Technip) : "A 400 euros la tonne d'huile, le biodiesel devient compétitif avec un gazole produit à partir d'un brut à 60-65 dollars le baril." Les agriculteurs français qui s'étaient montrés a priori favorables aux biocarburants découvrent qu'ils seront astreints à une logique industrielle et à des fluctuations de prix qui les inquiètent.
Le bilan environnemental des biocarburants est-il bénéfique ? Ils émettent moins de ces gaz à effet de serre qui contribuent au réchauffement du climat. Mais tout dépend de la façon dont ils ont été produits, car leur fabrication consomme, elle aussi, des énergies fossiles.
D'autre part, les engrais, pour faire pousser les grains ou les betteraves, peuvent libérer de l'oxyde d'azote trois cents fois plus nocif que le gaz carbonique.
Les deux filières de biocarburants les plus protectrices de l'environnement sont la canne à sucre, dont la tige peut être brûlée pour l'opération de distillation, et la lignocellulose (bois, paille, herbe), dont le développement a été privilégié par l'administration Bush.
Alain Faujas
martinb a écrit:Ça parle juste d'écologie les Nouvelles calédoniennes??
metomoll a écrit:j'étais au courant du projet en Australie, mais pas pour celui en Espagne
http://www.techno-science.net/index.php?onglet=news&news=2659
sans doute une des solutions les plus prometteuses à l'heure actuelle
Garion a écrit:metomoll a écrit:j'étais au courant du projet en Australie, mais pas pour celui en Espagne
http://www.techno-science.net/index.php?onglet=news&news=2659
sans doute une des solutions les plus prometteuses à l'heure actuelle
Personnellement, je n'y crois pas trop. C'est énorme et ça ne produit pas grand chose.
Je mise plutôt sur les hydroliennes qui fonctionne avec le courant marin.
libé a écrit:
Ecolo jusqu'au bout du vibro
REUTERS.
Par Emmanuelle PEYRET
QUOTIDIEN : Jeudi 10 août 2006 - 06:00
C'est fou tout ce qu'on peut faire de très simple pour passer un été pur bio et écologiquement hyper correct. Utiliser la puissance du soleil pour votre plaisir sexuel, par exemple, proclame la page d'accueil d'un site californien (1). Tiens, good idea, mais comment ? La bête à deux dos en plein midi : pas très nouveau. Caresses solaires à l'entrejambe : risqué. Non, la vraie bonne idée, c'est le vibromasseur à énergie solaire. Facile à comprendre : un vibro, ça utilise des piles et, comme chacun sait, la pile est nuisible à la planète. On l'a rêvé, Blowfish, site donc spécialisé en sexe écolo (et qui se flatte par ailleurs d'utiliser du papier recyclé et de bâfrer des cacahouètes en emballage biodégradable) l'a fait.
«Nam nam» à la fraise. «L'ensemble est composé d'un moteur vibrant qui ressemble beaucoup à un vibro classique», fourni avec «deux accessoires souples à enfiler dessus» qu'il ne faut pas utiliser sans le vibro en question. Celui-ci se branche sur la télécommande, qui est aussi le chargeur : trois modes de vibration possibles et, quand la batterie est aussi épuisée que vous, il faut débrancher le vibro et laisser la télécommande chargeur au soleil. «Selon nos tests, précisent aimablement les auteurs du site, nous avons obtenu une durée de fonctionnement en vitesse de vibration maximum de plus d'une heure pour une charge de sept heures au soleil.» En effet, c'est écologique. Oui, mais s'il pleut, si c'est l'hiver, tout ça ? Pas beaucoup d'autre alternative que de le charger sous une lampe. Mais même avec une ampoule à consommation réduite, ça n'est pas du tout écolo, ça. Quand il pleut, donc, tintin.
Notons qu'on peut également brancher des oeufs vibrants sur la télécommande (la version américaine des boules de geisha, semble-t-il) et le mystérieux gant de massage Fukuoku (sic) mais qui, prévient-on de façon sibylline, perdra alors sa fonction waterproof...
[...]
2.000.000 de litres de pétrole dans un bateau ? Je suis perplexe...GregG a écrit:J'ai une question:
La marée noir du au bombardements israelien en mediterranee, va etre payer par qui?
Et une autre catatrophe est en route, mais en Indonesie, puisque qu'un petrolier a couler et il y a deja 200 000 litres de sortie des cuves, mais il y en a 10 fois encore dedans!![]()
Maverick a écrit:2.000.000 de litres de pétrole dans un bateau ? Je suis perplexe...GregG a écrit:J'ai une question:
La marée noir du au bombardements israelien en mediterranee, va etre payer par qui?
Et une autre catatrophe est en route, mais en Indonesie, puisque qu'un petrolier a couler et il y a deja 200 000 litres de sortie des cuves, mais il y en a 10 fois encore dedans!![]()
Les plus gros pétroliers font 550.000 tonnes.schumi84f1 a écrit:Maverick a écrit:2.000.000 de litres de pétrole dans un bateau ? Je suis perplexe...GregG a écrit:J'ai une question:
La marée noir du au bombardements israelien en mediterranee, va etre payer par qui?
Et une autre catatrophe est en route, mais en Indonesie, puisque qu'un petrolier a couler et il y a deja 200 000 litres de sortie des cuves, mais il y en a 10 fois encore dedans!![]()
non y en a facile plus, ils ont souvent des bidons de 1000 l et y en a facile 5 à 10000 par tanker
Maverick a écrit:Et voilà le plus gros :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Knock_Nevis
Il peut emporter 650.000m3 de pétrole soit 650.000.000 de litres.
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 2 invités