Modérateurs: Garion, Silverwitch
evia a écrit:j'ai bien aimé l'emission sur tf1 la derniere fois . les oui en face des non .
j'ai retenu ça : pour le non on as: le pen, besencenon,buffet, et de villiers .
ça fait pas terrible deja . meme sans les paroles j'avais deja une idée de mon vote !
c'est enorme je trouve . je sais toujours pas de quoi parle la constitution !
Arnaud a écrit:evia a écrit:j'ai bien aimé l'emission sur tf1 la derniere fois . les oui en face des non .
j'ai retenu ça : pour le non on as: le pen, besencenon,buffet, et de villiers .
ça fait pas terrible deja . meme sans les paroles j'avais deja une idée de mon vote !
c'est enorme je trouve . je sais toujours pas de quoi parle la constitution !
Bin arrête de te focaliser sur qui vote quoi, et réfléchit à la consitution.
evia a écrit:Arnaud a écrit:evia a écrit:j'ai bien aimé l'emission sur tf1 la derniere fois . les oui en face des non .
j'ai retenu ça : pour le non on as: le pen, besencenon,buffet, et de villiers .
ça fait pas terrible deja . meme sans les paroles j'avais deja une idée de mon vote !
c'est enorme je trouve . je sais toujours pas de quoi parle la constitution !
Bin arrête de te focaliser sur qui vote quoi, et réfléchit à la consitution.
ben, il faut bien dire que ça m'as fait reflechir !
evia a écrit:ben, il faut bien dire que ça m'as fait reflechir !
B.Verkiler a écrit:evia a écrit:ben, il faut bien dire que ça m'as fait reflechir !
C'est plutôt exactement le contraire...
@donf a écrit:B.Verkiler a écrit:evia a écrit:ben, il faut bien dire que ça m'as fait reflechir !
C'est plutôt exactement le contraire...
Non je crois qu'evia a tout à fait raison : le but du référendum est aussi de faire prendre conscience aux citoyens de leur nécessaire implication dans les les décisions pour leur avenir.
Demande aux Allemands : je pense qu'ils nous envient d'avoir droit au chapitre, alors que pour eux, c'est le parlement qui a décidé pour eux. On critique suffisamment notre système quand les lois sont votés et pour les "découvrir" une fois mises en application.
Sur des sujets forts comme celui-ci, le référendum force le politicien à ne pas faire n'importe quoi. Finalement, un vote 52/48 est heuresement bien représentatif d'une vraie démocratie...
von Rauffenstein a écrit:Hier le Bundestag a très largement approuvé le TCE, SPD, Grünen et CDU unis. La deuxième chambre, le Bundesrat devrait en faire de même le 27 mai.
B.Verkiler a écrit:von Rauffenstein a écrit:Hier le Bundestag a très largement approuvé le TCE, SPD, Grünen et CDU unis. La deuxième chambre, le Bundesrat devrait en faire de même le 27 mai.
Laisse-moi deviner...90% des voix? Un peu comme partout où la voie parlementaire a été choisie, au cas où la voie référendaire serait un peu trop risquée. Un peu comme cela aurait été le cas en France, fais le compte. Un bon début pour une Europe démocratique.
Shunt a écrit:Encore un élément qui me conforte dans le "non".
Nicolas Sarkozy : "l'Europe, c'est la plus formidable occasion de réveiller la France, de la faire bouger, de lui donner une nouvelle énergie"
![]()
Un autre défenseur du "oui" qui m'a conforté dans le "non", c'est François Fillon : "On ne fera jamais une Europe fédérale. L'élargissement est l'une des raisons qui m'a décidé à voter oui, alors que j'avais dit non à Maastricht"
Voilà un mec qui explique enfin clairement que le TCE tue dans l'oeuf l'idée d'une véritable Europe politique, c'est-à-dire une Europe fédérale. Conclusion : non, non, non et NON !
En Allemagne, le référendum est devenu tabou. Hitler s'en servait beaucoup pour justifier ses actes politiques par de grands appels à la démocratie collective et directe.B.Verkiler a écrit:von Rauffenstein a écrit:Hier le Bundestag a très largement approuvé le TCE, SPD, Grünen et CDU unis. La deuxième chambre, le Bundesrat devrait en faire de même le 27 mai.
Laisse-moi deviner...90% des voix? Un peu comme partout où la voie parlementaire a été choisie, au cas où la voie référendaire serait un peu trop risquée. Un peu comme cela aurait été le cas en France, fais le compte. Un bon début pour une Europe démocratique.
Nuvolari a écrit:Shunt a écrit:Encore un élément qui me conforte dans le "non".
Nicolas Sarkozy : "l'Europe, c'est la plus formidable occasion de réveiller la France, de la faire bouger, de lui donner une nouvelle énergie"
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Un autre défenseur du "oui" qui m'a conforté dans le "non", c'est François Fillon : "On ne fera jamais une Europe fédérale. L'élargissement est l'une des raisons qui m'a décidé à voter oui, alors que j'avais dit non à Maastricht"
Voilà un mec qui explique enfin clairement que le TCE tue dans l'oeuf l'idée d'une véritable Europe politique, c'est-à-dire une Europe fédérale. Conclusion : non, non, non et NON !
Elle est morte en 1973 l'Europe fédérale. Faudrait te reveiller pour le coup.
B.Verkiler a écrit:@donf a écrit:B.Verkiler a écrit:evia a écrit:ben, il faut bien dire que ça m'as fait reflechir !
C'est plutôt exactement le contraire...
Non je crois qu'evia a tout à fait raison : le but du référendum est aussi de faire prendre conscience aux citoyens de leur nécessaire implication dans les les décisions pour leur avenir.
Demande aux Allemands : je pense qu'ils nous envient d'avoir droit au chapitre, alors que pour eux, c'est le parlement qui a décidé pour eux. On critique suffisamment notre système quand les lois sont votés et pour les "découvrir" une fois mises en application.
Sur des sujets forts comme celui-ci, le référendum force le politicien à ne pas faire n'importe quoi. Finalement, un vote 52/48 est heuresement bien représentatif d'une vraie démocratie...
Euh...Ce qui a fait réfléchir Evia, c'est la tronche des mecs qui disent oui qui disent non. Il a tellement réfléchi au sujet qu'il ne sait pas lui-même de quoi ça cause. Et visisblement, je ne crois pas qu'il compte s'y mettre avant le 29 mai.
C'était le sens de mon intervention. Certainement pas de dire qu'il fallait ne pas réfléchir au pb posé.
von Rauffenstein a écrit:C'est marrant comme tous ces hommes politiques si critiqués pour les conneries et promesses qu'on prétend leur faire tenir, disent soudain la vérité quand il s'agit de se conforter dans son point de vue.
Quel "plan B" ?
Après la déclaration de Jacques Delors, reconnaissant la possibilité d'un "plan B" en cas de victoire du non à la Constitution européenne, les deux camps tentent de reprendre à leur profit ses arguments. L'intéressé fait marche arrière et clame : "Vive le plan A, il n'y a pas de plan B".
L'affirmation par Jacques Delors dans les colonnes du Monde, au nom du "devoir de vérité", qu'une renégociation de la Constitution européenne serait très difficile mais possible en cas de victoire du non au référendum, continue à faire l'objet d'âpres débats et de laborieuses exégèses. Par sa déclaration, Jacques Delors, qui fait autorité dans les dossiers européens en tant qu'ex-président de la Commission de Bruxelles, a paru placer en porte-à-faux le camp du oui. A tel point que, vendredi soir sur France 2, il est revenu sur ses propos de la veille. Pour lui, le débat ne peut se résumer à qualifier le texte du traité de "potion magique" si l'on est pour le oui ou de "passeport pour l'enfer", si l'on est pour le non. "Je veux être nuancé, dialoguer avec tout le monde, qui peut me le reprocher ?", s'est-il interrogé. "Je suis obligé aujourd'hui de dire les choses d'une manière simple", a-t-il ajouté, "vive le plan A il n'y a pas de plan B".
C'est dit. Mais le mal est déjà fait. Partisans du oui et du non se déchirent à qui mieux mieux en prenant pour base le "plan B mais" de Jacques Delors. Après la réaction de François Hollande dès jeudi sur le mode de la banalisation ("Jacques Delors a raison, il faudrait tout recommencer), le ministre de l'Intérieur, Dominique de Villepin, a fait l'analyse de la pensée de Jacques Delors en estimant que "ce qu'(il) a voulu dire, c'est que si par malheur nous devions connaître la crise, il faudrait réfléchir à des scénarios". Si la Constitution européenne n'est pas adoptée, "on repart à zéro. Ce n'est pas un plan B, c'est un plan zéro". Le président de l'UDF, François Bayrou, a exprimé son "désaccord profond" avec Jacques Delors. Aux pays qui ont déjà ratifié le traité, "on va dire: votre délibération, vos référendums ne comptent pas, on va réécrire le texte depuis le début. Evidemment ça ne tient pas", a-t-il dit.
"Le vote non ne conduit pas à une impasse"
Tel n'est évidemment pas l'avis des partisans du non. A droite, le député UMP Nicolas Dupont-Aignan, favorable au non, a salué dans la déclaration de Jacques Delors "un formidable message d'espoir pour tous les Français" favorables à "une Europe plus démocratique et plus juste". Même tonalité chez Philippe de Villiers (Mouvement pour la France). Selon lui, "Jacques Delors souligne, avec l'autorité de son expérience, que le vote non ne conduit pas à une impasse mais qu'il porte bien une solution de renégociation".
Pour l'un des chefs de file du "non de gauche", Jean-Luc Mélenchon, l'action des Etats est guidée par le principe de réalité. "Les Etats n'ont pas que des sentiments, ils ont aussi des intérêts", rappelle l'ancien ministre. Laurent Fabius, qui a pour atout dans cette controverse d'avoir été Premier ministre, assure qu'"on ne va pas faire l'Europe sans la France" et pronostique "une rediscussion, à partir de novembre 2006, par les chefs d'Etat en exercice". Le traité doit en effet entrer en vigueur au premier jour de ce mois-là s'il a été ratifié par tous les Etats et, si tel n'est pas le cas, rappelle-t-il, "le Conseil européen se saisit" de la question. Enfin, le président d'Attac, Jacques Nikonoff, juge qu'un non français serait "une puissante impulsion à la refondation européenne". "Tout reposera, comme toujours, sur des mobilisations populaires", affirme le responsable altermondialiste.
sccc a écrit:C'est effectivement curieux que dans la totalité des débats entendus à ce jour, et y compris à la lecture des arguments des uns et des autres sur ce forum, chacun peut interpréter le traité selon ses vues politiques et sa doctrine économique.
Récemment, un partisan et un opposant s'affrontaient sur la définition de "service d'intérêt général" selon le traité, à savoir est-ce équivalent à la définition actuelle de "service public" dans le traité de Maastricht ou non. Et bien entendu, pour l'un c'était bien cela, pour l'autre pas du tout.
Et ce n'est qu'un exemple.
La question que je me pose, c'est que si ce texte peut être interprété selon le bon vouloir (et l'agenda) des gouvernants, COMMENT PEUT-IL ETRE CONSIDERE COMME UN TEXTE DE REFERENCE CENSE REGLER LE FONCTIONNEMENT DE CETTE EUROPE A 25 ET BIENTOT A 30?
Luke a écrit:Quoi qu'ils disent on peut toujours interprêter d'une manière ou d'une autre leurs propos...
Je pense que pour un mec qui se prétend de gauche et qui vote non il est préférable de voir ce que disent les partisans du non de son propre camp avant d'aller voir ce que disent ceux d'en face puisque de toute manière quoi qu'ils disent il n'y aura jamais aucun crédit à leurs yeux...
Shunt a écrit:Sinon l'argument de dire que je vais voter comme De Villiers ou Le Pen, c'est quand même le degré zéro de la politique.
http://www.genereux.fr/
Luke a écrit:shunt > je ne parle pas de ton approche en général, mais de dire comme ça à brûle pourpoint, que parce que machin a dit ça ça te conforte pour le "Non"... Une petite phrase, de qui qu'elle soit mérite souvent explication et t'es d'accord avec moi qu'elle est pas ressentie de la même manière si on est du même bord politique que celui qui la prononce![]()
evia a écrit:Shunt a écrit:Sinon l'argument de dire que je vais voter comme De Villiers ou Le Pen, c'est quand même le degré zéro de la politique.
http://www.genereux.fr/
en attendant le degré zero de la politique est je pense le plus appliqué . il faut quand meme savoir que le peuple est un troupeau qui va ou le berger desire
moi ce qui m'as pas inspiré c'est la brochette de guignols qui representait le non .
evia a écrit:
en attendant le degré zero de la politique est je pense le plus appliqué . il faut quand meme savoir que le peuple est un troupeau qui va ou le berger desire
von Rauffenstein a écrit:Et pourtant, la majorité du non en France c'est quoi ? Des troskards, des monarchistes et des nationalistes jacobins ou racistes.
Alors...
Arnaud a écrit:Luke a écrit:shunt > je ne parle pas de ton approche en général, mais de dire comme ça à brûle pourpoint, que parce que machin a dit ça ça te conforte pour le "Non"... Une petite phrase, de qui qu'elle soit mérite souvent explication et t'es d'accord avec moi qu'elle est pas ressentie de la même manière si on est du même bord politique que celui qui la prononce![]()
Sauf que le fait d'être conforté par le vote de quelqu'un et decider de son vote par rapport à une personne, c'est pas trop pareil.
von Rauffenstein a écrit:Et pourtant, la majorité du non en France c'est quoi ? Des troskards, des monarchistes et des nationalistes jacobins ou racistes.
Alors...
Et j'oubliai les écolos de droite. CNPT. Non, pas vraiment. Ce sont les courants de pensée en France d'aujourd'hui quoi.B.Verkiler a écrit:von Rauffenstein a écrit:Et pourtant, la majorité du non en France c'est quoi ? Des troskards, des monarchistes et des nationalistes jacobins ou racistes.
Alors...
Ca te rassure de penser ça?
Quand tu do it yourself, c'est de la main droite ou de la main gauche ?Arnaud a écrit:von Rauffenstein a écrit:Et pourtant, la majorité du non en France c'est quoi ? Des troskards, des monarchistes et des nationalistes jacobins ou racistes.
Alors...
Ou la majorité, c'est peut être des gens raisonnable.
je crois que ça n'a aucun rapport. Mais plutôt avec la sucession de Raffarin. Qui communiquera le mieux, entre Alliot Marie et Villepin ? C'est la question. Et puis l'immigration clandestine est un vrai problème.Cortese a écrit:Et ce soudain intérêt pour l'immigration clandestine ("Quelle mouche a piqué le ministre de l'intérieur, Dominique de Villepin, pour sortir, au débotté, après une concertation restreinte avec le président de la République et le premier ministre, un énième "plan d'actions" contre l'immigration clandestine ?" - Le Monde), que le gouvernement nous sort comme un lapin d'un chapeau, vous ne croyez pas que c'est un signe de panique ?
von Rauffenstein a écrit:je crois que ça n'a aucun rapport. Mais plutôt avec la sucession de Raffarin. Qui communiquera le mieux, entre Alliot Marie et Villepin ? C'est la question. Et puis l'immigration clandestine est un vrai problème.Cortese a écrit:Et ce soudain intérêt pour l'immigration clandestine ("Quelle mouche a piqué le ministre de l'intérieur, Dominique de Villepin, pour sortir, au débotté, après une concertation restreinte avec le président de la République et le premier ministre, un énième "plan d'actions" contre l'immigration clandestine ?" - Le Monde), que le gouvernement nous sort comme un lapin d'un chapeau, vous ne croyez pas que c'est un signe de panique ?
Cela n'a rien à voir et cela ne la justifie pas.Cortese a écrit:von Rauffenstein a écrit:je crois que ça n'a aucun rapport. Mais plutôt avec la sucession de Raffarin. Qui communiquera le mieux, entre Alliot Marie et Villepin ? C'est la question. Et puis l'immigration clandestine est un vrai problème.Cortese a écrit:Et ce soudain intérêt pour l'immigration clandestine ("Quelle mouche a piqué le ministre de l'intérieur, Dominique de Villepin, pour sortir, au débotté, après une concertation restreinte avec le président de la République et le premier ministre, un énième "plan d'actions" contre l'immigration clandestine ?" - Le Monde), que le gouvernement nous sort comme un lapin d'un chapeau, vous ne croyez pas que c'est un signe de panique ?
Un problème qui concerne tous les pays du monde, depuis que les hommes sont sur terre, ils ont l'habitude d'aller voir ailleurs. D'ailleurs, depuis 500 ans aucune population n'a autant pratiqué l'(é)immigration que la population européenne, donc pas de quoi crier au scandale. Mais c'est le thème central du FN, qui est pour le non à une Constitution qui fait peur au petit peuple, terrorisé par le plombier polonais.
evia a écrit:Shunt a écrit:Sinon l'argument de dire que je vais voter comme De Villiers ou Le Pen, c'est quand même le degré zéro de la politique.
http://www.genereux.fr/
en attendant le degré zero de la politique est je pense le plus appliqué . il faut quand meme savoir que le peuple est un troupeau qui va ou le berger desire
moi ce qui m'as pas inspiré c'est la brochette de guignols qui representait le non .
Cortese a écrit:Et ce soudain intérêt pour l'immigration clandestine ("Quelle mouche a piqué le ministre de l'intérieur, Dominique de Villepin, pour sortir, au débotté, après une concertation restreinte avec le président de la République et le premier ministre, un énième "plan d'actions" contre l'immigration clandestine ?" - Le Monde), que le gouvernement nous sort comme un lapin d'un chapeau, vous ne croyez pas que c'est un signe de panique ?
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